Le samedi arrive enfin. Quel supplice que de patienter autant de jours. Je me remets en faction en face de limmeuble pour lattendre. Attente interminable. Mais que fait elle ? Son heure habituelle est déjà passé de 10 min. je narrête pas de bander par intermittence. Je suis obligé de penser à mes cours pour empêcher cette excitation. 15min .20min mais où est elle ?
30 min. je ny tiens plus. Jy vais.
Je traverse la route, appelle lascenseur et appuie sur le 4ème. Mince ! Que vais-je lui dire ? Tant pis je verrais bien. Lascenseur arrive. Mon cur bat à 100 à lheure. Je me calme 30 secondes et sonne. Et si elle nétait tout simplement pas là ? Ouf ! jentends marcher. La clé
-« ah! Bonjour ! » Me fit elle avec un grand sourire. Elle était de nouveau habillée dune robe dété légère, rouge a points blanc. Visiblement, aux fines bretelles de la robe, je devinais quelle ne portait pas de soutien gorges.
-« bonjour. Je ne dérange pas au moins. »
-« non ! Pas du tout. Entre si tu veux. »
Me voici dans la place. On se fait la bise.
-« je venais mexcuser de ne pas avoir pu taider pour les courses cette semaine »
-« oh ! Ce nest pas grave. »Fit elle en riant. » De toute façon, je nen ai plus à porter. Cest mon mari qui les fait maintenant. Il me les ramène quand il rentre du boulot. »
-« mais comment je vais faire maintenant ? »
-« comment ça ? »
— « ben oui, pour faire ma b.a. hebdomadaire ? »
-« eh bien tu vas maider pour autre chose. Mon mari nous a apporté une climatisation mobile et comme il commence à faire chaud, ce serait sympa si tu pouvais me linstaller. »
Une clim mobile. Qu’était ce donc ça ? Jallais le découvrir rapidement. On était en 199-, la canicule, on ne connaissait pas encore et cétait la 1ère fois que je voyais ce type dengin. Mais bon, la mise en uvre était rapide. Le plus dur était de le sortir du carton. Et de le surélever pour mettre une bassine afin de récupérer leau de condensation. On fit un essai et cela fonctionna du 1er coup. En moins de 5 min, on commençait à sentir leffet du frais dans la pièce. Elle léteignit.
-« en fait, pas maintenant il ne fait peut être quand même pas si chaud que ça. »
— je ne connaissais pas .cest super ce truc. »
-« oui. En fait mon, mari la récupérer dun de ces fournisseurs afin quil puisse mieux en parler à la clientèle. »
-« pot de vin ? » suggérais je en riant.
-« si tu veux sexclaffa t elle, mais ne le redit à personne. Je compte sur toi »
-« mon silence contre une bière alors. Si tu en as bien évidemment.»
— « daccord. Si tu veux. Assoies toi, je vais en chercher, tu las bien mérité.»
Elle revint 30 secondes plus tard avec une bouteille décapsulée et un verre de jus dorange.
-« tiens ! » me fit elle en me la tendant.
-« merci ! » cest vrai que le petit effort que javais fait mavait donné soif.
Elle alla sasseoir en face de moi sur le canapé. Il était assez profond et jeu espérer voir quelque chose, mais non rien. On discuta un petit peu. Je lui demandait le suivit de notre conversation de la semaine précédente, mais elle me dit quelle sétait résigner et quelle ferait avec.
-« cest dommage. Une belle fille comme toi devrait être pleinement heureuse. »
-« mais je le suis. » Me répondit elle. « Il est là pour me rendre heureuse. » dit elle en plaçant ses mains sur son ventre ; « Dailleurs il me le fait savoir de plus en plus souvent comme maintenant.»
-« vraiment ? Je peux ? » Lui demandais je.
-« Heu oui si tu veux. » fit elle toujours embarrassée. Elle se releva pour sapprocher de moi.
Elle pensait certainement que je voulais tenter comme la semaine précédent la caresse par derrière son dos. Je fis mine de me lever pour en fait me mettre au bord du fauteuil. Et une fois approchée, je passais très rapidement ma main sous sa robe pour la remonter vers son ventre. Je lui touchais le bord de sa culotte en passant. Visiblement, ce nétait plus du coton.
-« mais arrête » Sécria telle en voulant repousser ma main avec les siennes.
-«chut ! Je ne veux que te caresser le ventre. Calme toi et laisse toi faire. Ai confiance ne moi. »
-« mais ce nest pas convenable ! »
-« chut ! Ferme les yeux comme la dernière fois et imagine que cest ton mari qui te caresse. »
-« mais »
-« chuuut ! »Murmurais je.
On se regarda une 30aines de secondes dans les yeux puis elle finit par obéir et se positionna correctement devant moi. Comme je lui avais demandé, elle ferma les yeux pour se concentrer sur ma caresse.
Ma main passait donc sur son ventre. Sur les cotés, je pouvais toucher une ficelle. Portait elle un string ? Je décidais de regarder. Elle avait les yeux fermés et en faisant attention, je pensais que je pouvais prendre ce risque. Avec ma main libre, je remontais doucement le bas de sa robe en faisant attention quelle ne sen aperçoive pas. Centimètre par centimètre, je lui remontait. Le temps paraissait séterniser. Les genoux, les cuisse, le haut des cuisses et enfin ! Un morceau noir de dentelle. Oui cétait un string. Je voyais à quelques centimètres de mes yeux ce trésor inestimable pour un homme, le dernier rempart de lintimité dune femme.
Je faisais attention de continuer à la caresser sans lui faire part de ma surexcitation qui me gagnait. Il était donc noir ce coup ci et en dentelle avec des trous qui me permettait de voir partiellement sa toison à travers. Je ne pouvais détacher mon regard de son entrejambe. Certes ça faisait longtemps que je nétais plus sorti avec une fille, mais cette situation avait quelque chose dirréel. Je bandait a mort et javais peur quelle nouvre les yeux tout à coup. Cette minute ou ces 2 minutes me parure des heures. Je décida a faire redescendre son pan de robe quand je senti quelque chose. Vite je lâchais le pan de robe en faisant mine de bouger mon séant pour quelle ne se doute de rien et en même temps elle me dit en ouvrant les yeux :
-« tu as senti »
-« oui, mais je cherche où »
-« là me fit elle » en prenant ma main à travers la robe et en me la faisant descendre à la base de son ventre. Là je ne pouvais que caresser son ventre mais aussi le haut du string. Je voulus retirer ma main mais elle me dit :
-« Non reste, il sent que cest une autre main que la mienne. Ce nest pas grave. » Elle me lavais dit en me fixant droit dans les yeux. Alors je fis ce quelle me demandait. Je continuais à la caresser à la base de son ventre tandis quelle avait refermé ses yeux. Une nouvelle fois, je sentis le mouvement. Plus fort cette fois ci. Peut être parce que jétais plus prêt. Encore une fois plus bas. Alors je me lâchai. Ma main descendit vraiment sur son string. Je marrêtais à la base de son pubis sous prétexte de pouvoir trouver doù venait ces accoups.
Sa respiration était devenue plus rapide. Quand ma main est descendu, elle eu un tressaillement infime qui montrait que mes caresses lui faisait du bien. Peut être en avait elle envie autant que moi et quelle profitait comme moi de la situation.
Une fois puis 2 et 3 fois, on sentit des mouvements. Ma main sactivait encore sur son ventre et sur son string surtout. Je pouvais sentir quelques poils rouler sous ma paume. Puis plus rien. Plus de mouvement du ventre. Ma main sactivait toujours. Elle avait toujours sa respiration rapide et ses yeux fermés. Alors je ny tins plus. Tout doucement, ma main se dirigea par mouvements concentriques de plus en plus bas. Je gagnait ainsi millimètre par millimètre son entrejambe. Sa respiration saccélérât de plus belle. Ma main se concentra maintenant sur son string à part entière. Je fis des mouvements de bas en hauts en continuant de gagner millimètre par millimètre. Elle ne protestait pas. Je remerciai le bon dieu et finit par atteindre cet endroit magique. Elle émit un petit « huumm ! » de contentement. Je sentis à travers les tissus toute lexcitation qui ressortait de ce corps. Elle sabandonnait à mes caresses et cela se concrétisait par une humidification abondante. Avec mon index, je remontais son sillon de bas en haut et mattardais sur ce que je pouvais sentir comme son clito. A chaque fois que je leffleurais, elle lâchait un soupir de satisfaction. Je finis par my arrêter afin de le caresser par petite rotation du doigt. Sa réaction fut immédiate par un « oh ! » plus prononcé, une respiration encore plus saccadé. Ses main rejoignirent la mienne ce qui me permit de voir ainsi ce qui se passais car elle avait passée ses mains par en dessous de sa robe. Elle avait machinalement écarté ses jambes. Elle nétait pas rasée car des poils sortais de tout les cotés de son string. Elle pensait certainement que personne ne verrait ce quil y avait en dessous et moi je men délectais. Jadore les femmes non rasée. Elles sont ainsi plus naturelles. Je voyais également la tache plus sombre que laissait apparaître son désir. Ses mains posées sur la mienne me dirigeaient et me pressaient sur son clito de plus en plus fort. Avec ce que je voyais et touchais, javais limpression dêtre une bombe à retardement qui allait exploser à tout moment.
Elle aussi visiblement car elle lâcha un « ooohhhh ! » et ses jambes flagellèrent ses mains sétaient immobilisées et pressait ma main contre son clito. Elle eut 2 ou 3 tressaillements et je senti son string shumidifier encore plus. Je patientai une minute pour lui laisser reprendre sa respiration. Puis je me pencha vers lavant pour me mettre à genoux. Mon visage était à quelques centimètres de son sexe encore entravé. Ses effluves arrivaient à mes narines. Effluves de femme en attente de désir. Effluves dune femme propre sur elle qui ninvite quà une chose : y goûter.
Cest ce que je voulus faire. Ma tête sapprocha et je commençai à déposer quelques baisés sur le haut de ses cuisses. Le premier contact lui fit faire un nouveau tressaillement et sa respiration repartit de plus belle. Je lui fit comprendre par mes baisés que je voulait aller plus loin en remontant et en lui baisant les mains. Elle eu lair de comprendre car ses mains lâchèrent la mienne et se posèrent sur ma tête. Je put ainsi librement lui embrassé pleinement son sexe à travers son string. Tout en faisant cela, avec mes mains entièrement libres, je lui caressait les cuisses et remontait ainsi jusquà ses fesses libres séparées uniquement par un petit bout de ficelle. Elles étaient fermes et je les malaxais avec force. Elle navait pas lair de trouver cela déplaisant. Ma langue elle était sortit et je lui léchais le jus qui sétait imprégné sur son string. Après quelques coups de langues, je ramenai une main par devant et après 2 ou 3 caresses, je lui écartai ce bout de tissus pour aller boire à la source. Visiblement, ce fut trop pour elle. Ses jambes flagellèrent de nouveaux. Ses mains me firent retirer ma tête de lenivrant endroit où jétais.
-« non ! Arrête. Jen peu plus. Pas comme ça. »
-« dis moi comment alors ? » et là, jeu peur quelle voulut tout arrêter ; quelle me demande de partir.
— « viens par ici. » me répondit-elle.