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Etrange conversation entre une mère et sa fille. – Chapitre 10

Etrange conversation entre une mère et sa fille. - Chapitre 10



— La mère: Lilianne, 50 ans.

— La fille ainée: Isabelle, 25 ans.

— La deuxième fille: Emma, 20 ans.

Claudia se lève en prenant sa fille par la main.

— Isabelle, Emma, suivez-nous les filles!

Les deux soeurs s’ exécutent en pouffant.

Elles arrivent dans la salle de bain. Claudia fait s’ arrêter Lilianne au milieu de la pièce pour lui enlever, lentement, son dernier vêtement.

Le chemisier glisse le long du corps de sa fille pour s’ échouer sensuellement sur les pieds.

— Isabelle, déshabille ta soeur. Ensuite elle fera de même. Dis Claudia en se tournant vers les deux jeunes femmes, et en caressant le dos et les fesses de Lilianne.

Isabelle déboutonne fébrilement les boutons du chemisier. Elle hume la chair tant désirée, dépose un baiser sur le petit sein au garde-à-vous.

Elle s’ agenouille pour faire glisser la jupe légère, approche son visage du mont de vénus imberbe pour y déposer un autre baiser.

Elle colle son nez sur les lèvres intimes, inspire longuement les humides effluves de sa soeur avant de la parcourir d’ une langue dardée.

Emma tressaille en caressant les cheveux de son admiratrice. Elle se débarrasse complètement de son chemiser et, de son autre main, pince son téton.

— Allez Isabelle, relève-toi. Emma, à ton tour. Dit Claudia tout en emmenant sa fille dans la baignoire.

Emma aide difficilement Isabelle à se détacher de son sexe pour la déshabiller rapidement. Elle lui roule un profond baiser tout en explorant le corps de ses doigts agiles.

Claudia a fait se coucher une Lilianne intriguée dans la baignoire.

— Ouch, c’ est froid! Geint cette dernière.

— Ne t’ inquiètes pas, tu vas bientôt être réchauffée ma chérie. Répond Claudia, un petit sourire aux lèvres.

.. Isabelle, viens rejoindre ta maman.

Elle abandonne le doigt curieux de sa soeur, qui commençait à s’ insinuer entre ses lèvres vaginales,

pour obéir à l’ injonction de sa grand-mère.

— Puisque vous aimez les jeux d’ urine, mes deux petites cochonnes, vous allez nous montrer ce que vous savez faire. Dit Claudia en flattant la croupe de sa petite fille.

.. Isabelle, tu vas t’ accroupir au-dessus de ta mère et lui faire pipi dessus!

— Mais c’ est moi qui avais envie de faire pipi! Dit Lilianne en grelottant.

— Tu attendras, petite impatiente, que ta fille se soit vidée sur toi!

Isabelle ne peut s’ empêcher de rire en voyant le visage frustré de sa mère.

Claudia l’ aide à s’ installer au-dessus de Lilianne. Isabelle est accroupie au niveau du ventre de sa maman.

Emma s’ approche pour découvrir ce nouveau jeu. Elle enlace, par derrière, sa grand-mère et pose son menton sur son épaule.

Une bonne minute passe…

— Alors grande tige, tu es bloquée? Se moque Emma.

Isabelle lui tire la langue avant de fermer les yeux pour se concentrer, mais son visage trahit l’ effort en cours.

Claudia ouvre le robinet pour faire couler un fin filet d’ eau froide.

— Hé! Je ne vais pas pouvoir me retenir encore longtemps moi! Dis Lilianne en grelottant de plus belle.

— Ca vient, ça vient maman…

De petits jets commencent à gicler sur le ventre de Lilianne.

Elle ferme les yeux de bonheur lorsque le chaud liquide descend sur son clitoris.

Lorsqu’il atteint les lèvres intimes, son sexe commence un mouvement, comme une bouche qui tenterait de boire désespérément l’ urine de sa fille.

Claudia, prédatrice, sourit devant l’ obscène poésie de ce tableau.

— Ma chérie, tu garderas les dernières gouttes pour le visage de ta tendre maman. Dit-elle d’ une voix profonde, sensuelle.

Isabelle rougit en se déplaçant, tel un crabe maladroit, pour s’ installer au-dessus du visage de sa mère.

Lilianne, haletante, lui caresse les cuisses.

Le jet interrompu coule à nouveau, en fins filets irréguliers, sur le visage souriant de sa maman.

Emma est partagée entre une profonde réserve et une curiosité titillante.

— On dirait bien que notre Lilianne apprécie cette offrande! Dit doucement Claudia en serrant la main d’ Emma.

Lilianne ferme les yeux, obligée parfois d’ ouvrir la bouche pour mieux respirer. Elle déglutit quelques petites gorgées d’ urine.

Le goût, quoique amère, ne provoque aucun rejet.

Elle attire le bassin de sa fille vers son visage pour nettoyer le sexe avec sa langue.

Claudia fait asseoir Emma sur le rebord de la baignoire et commence à lui caresser le clitoris.

Cette dernière agrippe le poignet de sa grand-mère en exhalant un long soupir.

— A présent, à toi de t’ allonger Isabelle. Il est temps que ta mère se soulage sur toi. Dit Claudia en accélérant le mouvement sur le bouton de sa petite fille.

Lilianne laisse la place à sa fille.

Isabelle s’ allonge sur son urine à présent refroidie. Des frissons, dus au froid et au plaisir, la parcourent.

— Lilianne, tu vas rester debout et commencer à faire pipi sur le visage de notre petite cochonne

d’ Isabelle.

Lilianne, trépignante de son besoin urgent, demande silencieusement, d’ un regard explicite,

l’ autorisation à sa fille.

Cette dernière hoche affirmativement la tête dans un sourire rassurant.

La maman soupire de soulagement en expulsant, enfin, un puissant jet sur le visage d’ Isabelle.

Des gouttes rebondissent avec force jusque sur la main d’ Emma.

Celle-ci, assaillie par l’ étrange sensualité du moment, vit une brusque jouissance sous les doigts de sa grand-mère.

Isabelle suffoque sous l’ impressionnant geyser de sa mère. Une bonne quantité d’ urine s’ est déjà infiltrée dans sa gorge.

Elle interpose une main en toussotant.

Lilianne, sans pouvoir s’ arrêter d’ uriner, recule en arrosant le torse de sa fille.

Claudia saisit la main d’ Emma et la dirige entre les jambes de sa mère, sous le jet qui semble vouloir ne jamais s’ arrêter.

Une explosion d’ éclaboussures honore les deux femmes hors de la baignoire.

Isabelle caresse d’ une main les mollets de sa mère tandis que l’ autre masturbe furieusement son propre clitoris.

Emma étudie avec curiosité la sensation du jet sur sa main. Cela lui procure une sensation presque mystique qui, couplée avec les vagues déclinantes de sa dernière jouissance, provoque une douce montée d’ énergie le long du corps.

Le jet de Lilianne se tarit enfin. Emma pénètre facilement, de deux doigts, le sexe maternel.

Après quelques va-et-vient, elle porte les doigts enduits d’ urine aux lèvres de sa grand-mère.

Cette dernière ouvre les lèvres pour embrasser, lécher, sucer les doigts offerts.

— Maman, accroupis-toi sur mon visage, je veux te lécher! Dit Isabelle, un reflet sauvage dans le regard.

Lilianne se positionne au-dessus du visage de sa fille dont les lèvres s’ emparent ardemment du sexe maternel.

Elle aspire brutalement le clitoris, glisse une langue impérieuse entre les lèvres vaginales, se positionne pour darder cette langue dans le cul de sa mère qui gémit sans discontinuer.

Claudia va chercher une brosse à cheveux pour la déposer entre les mains d’ Emma.

— Ma chérie, fais goûter ton savoir-faire à ta soeur. Susurre-t-elle à l’ oreille de sa petite-fille.

Emma dirige lentement le manche de la broche entre les cuisses d’ Isabelle.

Cette dernière, en entendant la requête de la grand-mère, frémit d’ une impatiente attente.

Le manche glisse aisément dans le sexe.

Isabelle dévore de plus belle l’ intimité de sa mère.

Lilianne remue spasmodiquement son bassin en agrippant les rebords de la baignoire.

Emma pilonne, dans un bruit humide, le vagin de sa soeur.

Claudia, toujours debout, a enlevée son pantalon pour se masturber. Elle se sent comme la réalisatrice d’ un film pornographique.

Cette sensation de pouvoir artistique l’ excite formidablement.

Isabelle explose dans un orgasme qui la laisse aux portes de l’ inconscience.

Voir sa fille ainsi frétiller de plaisir précipite la jouissance de Lilianne. De longs jets de cyprine arrosent le visage, infiltrent la bouche.

Seul le bruit de la masturbation de la grand-mère perturbe le silence qui suit…

Puis sa jouissance, qu’ elle hurle comme une louve délivrée.

Surprises, les trois femmes alanguies sursautent. Elles regardent, fascinées, Claudia qui chancelle

sous l’ impact de son plaisir.

Les secondes embaumées de plaisirs passent…

— A nous de nous occuper de toi! Lancent en choeur les trois femmes.

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