Salut! Cest de nouveau Anthony. Vous avez été nombreux à me demander de vous raconter la suite de la déchéance de Marie, ma mère, qui est devenue mon esclave sexuelle docile. Ma maîtresse, Annie, cest carrément installée chez ma mère pour mieux la soumettre, elle a enfin à sa disposition la pute qu’elle voulait. Maman doit shabiller soit en soubrette sexy,soit en pute vulgaire tous les jours. Elle porte souvent une robe noire ultra courte, dissimulant à peine lattache du porte-jarretelles qui retient des bas noirs, avec des talons. Elle a le cul à lair et ses nichons débordent du décolleté de la robe. Elle reste ainsi sans aucun dessous et Annie prend un malin plaisir à lhumilier en lui imposant de prendre des poses obscènes.Bien souvent elle se retrouve en train d’écarter son cul pour exhiber son anus ou parfois elle est sur le canapé écartant outrageusement ses cuisses pour exhiber sa chatte gluante et Annie en profite pour prendre des photos ou fait même carrément des films. Elle me raconte tout par le détail devant ma mère quand je rentre du travail.
Cela commence des le matin, maman doit servir le petit déjeuner à Annie qui ne se prive pas de lui trifouiller la chatte en lui passant la main sous la robe. Elle lamène très vite au bord de lorgasme et labandonne frustrée. Cest son grand plaisir. Ensuite, Annie va se laver et maman doit se tenir à disposition, prête, si jamais Annie veut quelle lui lèche le clitoris ou l’anus avec des grands coups de langue. Une fois habillée, Annie attache Marie sur la table du salon, les chevilles et les poignets liés aux pieds de la table, bâillonnée par une boule en latex. Maman bave sur la boule et gémit pendant quAnnie lui enfonce dans la chatte des godes de dimensions souvent effrayantesElle insulte ma mère, la traite de tous les noms et lui tanne le cul avec un martinet laissant des marques rouges. Annie enfin baise ma mère avec son gode-ceinture pendant de longues minutes, elle passe outrageusement de sa chatte à son anus sans aucun ménagement. Elle en profite aussi pour la filmer pour me permettre de la mater en rentrant. Je bande comme un fou en voyant ma mère se faire défoncer par ma maîtresse. Maman, secouant la tête dans tous les sens, lâchant des sons inarticulés à travers son bâillon et donnant des coups de reins pour mieux sempaler sur la bite en latex dAnnie qui la bourre férocement en lui donnant de violents coups de reins, cela mamène toujours au bord de lexplosion. Cest ma mère qui vient me soulager, à quatre pattes, elle me prend délicatement le sexe dans sa bouche et me suce jusqu’à ce que jexplose, lui ordonnant davaler ma semence
Je rentrai un peu plus tôt, Annie mayant téléphoné pour me demander de la rejoindre. Jarrivais dans la maison de maman, la découvrant habillée en veuve! Chapeau à voilettes, tailleur noir avec une jupe ultra courte. Des bas noirs et des escarpins à très hauts talons. Des gants noirs complétaient le déguisement. Annie était habillée à lidentique.
Maman était à genoux et regardait Annie avec de la soumission plein les yeuxEn claquant des doigts, Annie ordonna à ma mère de me faire ma fellation de la journée
— Allez, salope, va sucer ton fils!
Marie avança péniblement, à quatre pattes vers moi. Elle dégagea ma queue et lavala, me regardant par en dessous, à travers la voilette. Je sens sa langue senrouler autour de mon gland, elle me lèche la hampe, me suce les couilles, elle me pompe avec dextérité, une vraie professionnelle
Après avoir enfonce ma bite le plus loin possible dans sa gorge je ne tarde pas à éjaculer lâchant des traînées de foutres dans sa bouche quelle avala sans rechigner
Sans même lui laisser reprendre ses esprits annie la traîne dehors direction le parking.
Nous sommes dans la voiture de maman. Cest moi qui conduis et à larrière, comme toujours, jentends maman gémir sous les attouchements pervers que lui impose Annie. Je jette un il dans le rétroviseurMarie, jupe troussée, halète sous les caresses dAnnie qui lui titille savamment le clitoris en prenant bien soin de sarrêter avant quelle ait un orgasme…par moment, jentends maman murmurer, dune voix mourante, honteuse:
— Fais moi jouir, je ten supplie, fais moi jouir, je nen peux plus, cest inhumain
Annie lui donne une violente claque sur ses cuisses au dessus des bas!
— Tais-toi, traînée! Tu vas voir ce qui tattends, espèce de chienne!
Nous arrivons devant lentrée du cimetière et je gare la voiture. Quelques passants sont interloqués en me voyant rentrer suivi par deux veuves aussi sexys!
Nous entraînons Marie dans lallée ou se trouve la tombe de mon père. Ma mère est devenue blanche…Comme un linceul
Il ny a presque personne dans le cimetière, à part quatre hommes, genre ouvriers. Je suis étonné et je regarde Annie.
— Je les ai contacté par le biais dInternet, ils ont vu des photos de ta mère et voudrait la sauter. Ils ont payés un bon prix pour ça!
Ma mère baisse les yeux, anéantie De nouveau, la voila contrainte de se prostituer!
Un des hommes sapproche de maman :
— Alors cest toi, la bourgeoise salope qui se fait sauter par son fils?
Maman ne répond pas, rouge de honte
Annie lui soulève sa jupe par derrière et lui claque les fesses!
— Réponds, putain!
Maman balbutie dune voix étranglée:
— Oui, cest moiJe suis une salope
Annie pousse ma mère vers la pierre tombale et la force à se cambrer, dévoilant aux quatre types son cul nu et lattache des porte-jarretelles
Un des hommes, un grand bien bâti, savance et plonge deux doigts dans la chatte de ma mère qui sursauteJai déjà une érection en voyant maman se faire explorer par ses clientsIl la manipule comme une poupéeMaman ne dit rien, subissant les doigts qui envahissent sa fente sans ménagements. Les quatre hommes font cercles autour delle. Un petit gros lui a sortie ses seins de son soutien-gorge après avoir ouvert la veste du tailleur. Il lui suce les tétons qui deviennent rouge. Il parvient à arracher un gémissement à ma mère. Les deux autres se masturbent, le souffle court en regardant le grand farfouiller la chatte de ma mère qui donne des coups de reins
Annie contraint ma mère à saccroupir dans lallée. Les quatre hommes sapprochent, bites dressées, bandant comme des cerfs. Maman en avale une et, les joues déformées, commence sa fellation. Machinalement, elle sempare dune autre queue et la masturbe avec sa main gantée
Jobserve maman en train de lutter vaillamment contre ces quatre bites qui se dressent devant son visage. Elle sétouffe par moment, à cause de lépaisseur des bitesElle en a continuellement une dans la bouche. Elle en recrache une par moment pour reprendre sa respiration. Elle halète un instant mais doit reprendre très vite le travail sous les coups que lui donne Annie. Les hommes la traite comme du bétail! Ils lui tirent les cheveux pour la guider, Ils enfoncent leurs queues dans la bouche de cette femelle en chaleur; Manquant la faire vomir de dégoût. Elle aspire les bites, pompe, salive sur les queues. Elle doit avoir mal à la mâchoire à force de pomper toutes ces bites.Jai sortie mon sexe et me masturbe et regardant ma mère se faire violer la bouche
A quatre pattes, la jupe troussée, Marie attends la saillie. Cest le petit gros qui commence. Il sengouffre dans la fente de ma mère et sactive sur elle, lui donnant des coups de reins. Son gros ventre vient claquer sur son cul qui tressautentMaman ouvre la bouche, haletante, gémissante Le petit gros, en sueur, se démène furieusement Le grand fais le tour et de nouveau enfourne son membre dans la bouche de ma mèreIl donne des coups de bassin pour mieux senfoncer.
Le petit gros ne tarde pas à jouir et il se retire, lâchant des traînées de sperme sur le tailleur élégant de ma mère. Il se relève et un autre le remplace
Ça dura un bon moment maman fut contrainte daccepter toutes ces queues dans sa chatte ou son culNotamment celle du grand, qui lui déchira lanus la faisant gueuler comme une truieElle fut même prise en double! Empalée sur une bite dressée, enculée par une autre. Les deux hommes alternèrent leurs coups de reins faisant couiner ma mèreUn autre se branla entre ses gros seins, laissant des marques rougesIl se vida en grognant maculant ses seins de son liquide poisseux
Annie a positionné ma mère à genoux, langue pendante, attendant que les quatre hommes éjaculent. Les jets fusèrent, aspergeant le visage de ma mère de leurs spermes chauds qui sécoula lentement sur son front ou son menton, tombant sur ses seins.Elle fut même aveuglé par un jet plus puissant qui latteignit aux yeux
Resté voyeur, je voulu me soulager et maman, tirée par les cheveux par Annie, me suça de nouveau. Jenfonçais ma bite dans la bouche de ma mère devant la tombe de mon père! Conscient de la perversité de cette situation, jéjaculais en criant, aspergeant son palais de ma semence qui sécoula au fond de sa gorge.
Avant de partir les quatre hommes donnèrent l’argent promis à annie tout en profitant pour l’embrasser goulûment l’un d’eux en profita même pour promettre beaucoup plus d’argent si la prochaine fois ils pouvaient défoncer les deux.
Dans un éclat de rire annie lui indiqua que la pute c’était ma mère pas elle mais pourquoi pas car elle aussi ne crachait pas sur une bonne bite