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Une famille sexuellement débridée – Chapitre 2

Une famille sexuellement débridée - Chapitre 2



C’était le pied, le super pied. C’était la première fois que j’étais dans un truc à trois et j’avais l’impression de participer à une scène de porno.

J’en avais déjà pourtant peloté du nibard, du petit et du gros comme ceux de la mère de mon meilleur pote Stéphane (mais ne le lui dites pas, il ne sait pas… il faudra d’ailleurs que je vous raconte), mais jamais je  n’avais eu un matériel aussi doux, aussi ferme, aussi frémissant avec des tétons si érectiles qu’ils se dressaient facilement entre les doigts.

Je m’appliquais à faire exactement ce que faisait mon frère, et ma soeur poussait de petits gémissements qui en disaient long sur le plaisir qu’elle prenait.

Mon frère arrêta de se pignoler pour caresser le corps de sa main libre. Puis il bascula et mit sa main sur la vulve de Patou après s’être abondamment mouillé les doigts de salive. Il commença à lui chatouiller vigoureusement le clitoris et ouvrit grand sa bouche pour gober un sein.

Elle ne fut pas longue à jouir bruyamment et je fus fasciné par cet orgasme qui balayait tout. Certainement mes parents devaient entendre, mais comme elle ne faisait que crier sans prononcer un seul, peut-être ne se doutaient-ils pas que nous étions la cause partielle de ce plaisant tapage et qu’elle obtenait son bonheur au prix d’efforts personnels et autonomes. Les traits de ma soeur, son visage grimaçant sous les ondes voluptueuses, son corps contorsionné par la vague de jouissance, m’excitèrent au plus au point et je dus relâcher la pression sur ma bite pour ne pas éjaculer immédiatement.

Ce bref moment paroxysmique passé, il y eut une accalmie pendant laquelle elle continua à se goder avec lenteur, le temps de reprendre son souffle. Mon frère triturait toujours le téton avec la langue et, les doigts mouillés par la décharge de cyprine, se remit à stimuler le clitoris.

Peu à peu le corps de ma sur se tordit à nouveau comme si elle avait été possédée. Elle se remit à se pénétrer de plus belle en soulevant et rabaissant  sans cesse son bassin. Attentif à ce signes mon frangin comprit qu’on se rapprochait d’un autre orgasme et qu’il fallait en profiter.

Aussi opéra-t-il un retournement pour se retrouver presque en 69, en tout cas son sexe très proche du visage de ma frangine.

Il continua de lui caresser le sexe et se remit à se branler en prenant soin de se rapprocher de la bouche qui gémissait. Quand ma sur sentit la douceur du gland contre sa joue, elle ne put se  retenir, incapable de se contrôler, et tourna la tête pour engloutir le zob. Ramenant une main à elle elle s’en saisit pour mieux le maintenir entre ses lèvres et le masturber tout en le pompant.

Aide-la à se goder !

Je exécutai et saisis le sextoy pour le faire coulisser en elle, le faire tourner sur lui-même quand il était au plus profond, tout en continuant de lui malaxer le nichon d’une autre main.

–  Putain qu’elle suce bien…raaah, Ouf, Guedin ! Elle l’avale toute jusqu’au couilles. Elle a l’habitude, c’est clair.

Je mesurai l’exploit car mon frère et moi avons la même bite. On les croirait clonées, Même longueur, même circonférence, même gland plus large que la hampe et très dessiné, mais moi je suis circoncis. Il n’empêche, elle avalait toute la pine avec frénésie J’enviais mon frère sans pourtant oser lui demander de me céder la place.

C’en était trop, je me mis à gueuler à l’approche de l’orgasme et, machinalement, l’ayant souvent vu faire dans les films et raffolant de cette pratique, je dirigeai ma bite vers sa poitrine. Le sperme fusa, frappant les deux globes avec puissance, recouvrant le téton que j’avais libéré, s’écrasant sur la main de mon frangin et ruisselant dans le creux de la gorge.

Puis, je m’approchai pour expulser jusqu’à la dernière goutte et pressant bien sur l’extrémité de ma verge, puis pour essuyer mon méat sur le téton recouvert de foutre… enfin je me reculai pour contempler la scène.

–  Putain ! T’as juté comme un taureau frangin! Y’a combien de temps que tu t’es pas purgé les burnes ? Tu jouis autant quand on se tape une queue ?

–  Ben oui, j’pense…

–  La vache, tu l’as inondée ! Tiens, j’ai une idée !

Gilles, de sa main couverte de mon sperme, attrapa alors le gode que je venais de lâcher et le trempa dans tout ce qu’il put ramasser de foutre. Puis il en caressa la vulve et le réintroduisit brutalement dans la chatte et le faisant coulisser le plus rapidement possible.. Je regardai cela d’un air absent, comme si ce n’était qu’un rêve ou un film.

Il se retira un instant de la bouche de ma sur.

–  Suce le gode !

Elle le fit sans l’ombre d’une hésitation et avec une passion dévorante. Puis, il se mit franchement en 69 et lui bouffa le con comme un panier de fraises.

Ils étaient magnifiques à observer.

Les cheveux bruns bouclés et épais de mon frère dissimulait presque entièrement son visage enfoui entre les deux cuisses. Son cul poilu et musclé, dansait au dessus du visage de ma sur dont les mains posées sur les reins retenaient captif le baiseur.

Elle jouit bientôt en cessant d’avaler la queue fraternelle pour crier aussi, plus fort que ma mère ne l’avait fait auparavant. Mon frère se redressa pour se libérer et lui lâcha la sauce sur le visage au moment où les dernières secousses du cataclysme vaginal la secouait.

Gillou, coup tiré, se redressa et se figea en regardant vers la porte. Je me retournai et la honte m’envahit.

Mon père et ma mère se tenaient sur le seuil, ma mère en avant et mon père dans son dos mais dépassant suffisamment pour laisser voir le meilleur de son anatomie, entièrement nus, encore couverts de la sueur de leurs ébats, les poils pubiens mouillés, la vulve rougie et gonflée, pour ma mère et la bite de mon père épaisse, quasiment écarlate, recalottée, et les couilles pendantes exhibées sans gène; ils nous mataient.

Etendue, se reposant de ses efforts, ma sur ne pouvait pas les voir.

Ce fut papa qui rompit le silence gêné.

–  Putain, j’ai bien cru que vous alliez vous la grimper votre soeur !

–  Ben mes coquins ! Ajouta maman. Vous faites une triplette de beaux salopiaux. Qui aurait cru ça ! C’est du propre !

–  C’était bon au moins ? Reprit le père avec une réeele curiosité.

–  Ah la vache, p’pa, elle suce comme une pro !

–  T’es déjà allé chez les pros fiston?

–  Nan, mais c’est comme au cinoche… Y’a de super suceuse qui te bouffent toute la bite et qui avalent le jus.

Pendant ce temps ma sur s’était redressée, en nage, visiblement épuisée. Le sperme qui commençait à se figer coulait lentement sur ses joues. Ma mère y trempa les doigts.

–  C’est bon au moins ? dit-elle en les portant à sa bouche.

–  En tout cas il avait les couilles bien pleines ! ajouta encore papa.

–  Hmmm, c’est bon.

Elle en reprit encore mais cette fois, elle les porta vers ma sur.

–  Prends le bon jus ma chérie !

Plutôt que de sucer les doigts de maman, elle récolta elle-même ce qu’elle pouvait et après l’avoir dégusté précisa :

–  C’est vrai, j’en ai bouffé de pire.

–  En tout cas, on vous a pas ratés, vous êtes doués pour la baise mes enfants.

–  C’est sûr mon chéri. On peut être fiers de leurs performances.

–  Laisse-moi encore vingt minutes que je rebande car ils m’ont bien chauffés.

–  Vingt minutes, pas plus ! dit maman en empoignant le sexe flaccide de son mari.

Et ils retournèrent dans leur chambre, non sans nous avoir souhaité rapidement une bonne nuit, tout pressés qu’ils étaient de remettre ça. Je regagnai mon lit en essayant d’analyser ce que nous venions de faire et où cela allait-il nous mener.

Mes réflexions furent longues et je m’endormis au son des ébats parentaux qui avaient repris, mais beaucoup plus tard que prévu.

A suivre.

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