Je vous ai récemment dit que j’avais deux voisins de palier : Krine la chaudassse et un mec : Nathan. Je crois vous avoir aussi dit qu’un jour en rentrant d’une de mes escapades, j’ai rencontré une fille qui semblait avoir un air de famille avec ce dernier. Je crois que c’est sa sur. Et bien Le lendemain de ma mésaventure avec Krine, j’ai vécu une scène troublante avec cette « famille ».
Cette histoire avec Krine me troublait à tel point que j’avais passé la nuit sans dormir, à réfléchir. N’ayant trouvé aucune solution, je décidais de sortir, j’allais passer la journée chez Dylan. En sortant de chez moi, je vis que la porte de Krine était toujours fermée. Mais un bruit derrière moi me fait sursauter. Je me retourne et je reçois un large sourire de Nathan. C’est un mec d’environ 1 mètre 70, l’allure plutôt fine. Je suis un peu étonné, il porte un collant noir et une chemise vert-citron. Ça lui donne une allure efféminée quand on y ajoute ses cheveux défrisés.
— Waouh ton sport commence à porter des fruits ! s’exclame t’il en me scrutant de la tête aux pieds.
Ça me gêne un peu, donc je ne lui rends que son sourire et me retourne pour fermer ma porte quand soudain sa main se pose sur mon bras. Il se met à me tâter les muscles et il ajoute :
— Oui oui ! Ton corps est plus ferme.
Je prends la peine de regarder le sien, il a un look androgyne.
— Ah bof c’est rien dis-je.
Je le dévie en lui faignant un sourire et je le quitte. Direction « chez Dylan ». J’y passe la journée. Le soir, je fais un tour par le super marché « Heaven » en centre-ville pour me ravitailler.
J’en ai terminé, donc je me dirige vers le carrefour pour héler un taxi. Trois minutes passent, je suis toujours sur place le bras tendu quand une silhouette s’approche de moi et j’entends :
— Salut toi!
Je la reconnais, c’est la fille Afin c’est la sur de Nathan. Ils se ressemblent étrangement.
— Ah tiens salut voisine.
— Non c’est Nathalie
— Moi c’est Robert. Dis-je en lui tendant la main, Tu attends aussi un taxi ?
— Oui. Mais je n’ai réellement pas envie de rentrer.
— Ah bon ?
— Oui j’étais avec un ami qui m’a planté là. Non moi j’ai envie de m’amuser. Ça te dit ?
J’hésite un instant, mais quand je pense à krine qui pourrait bien être en train de m’attendre devant ma porte, je cède vite. En plus elle est plutôt jolie, mince, environ 1 mètre 70 ou plus. Elle porte une mini-jupe, un t-shirt blanc et une veste en cuir noir. On se dirige alors vers un cabaret non loin. On discute, on blague. J’ai un drôle de pressentiment qui m’envahit. Je commence alors à détailler ses moindres fait et gestes.
1- Sa voix est étrange, presque comme si elle se forçait.
2- Elle n’a pas une forte poitrine : dommage
3- Heuhh Je cherche encore.
On entre, on consomme et elle me tire sur la piste de danse : Dans nos oreilles : Papi chulo de Lorna.
On (je) commence timidement, mais elle me tire se retourne et je pose mes mains sur son bassin. On commence. Je me surprends. Mes mains commencent à se balader sur tout son corps. Elle semble apprécier. Ses fesses tournoient et se pressent sur ma queue déjà dure comme un piquet. Oh la la, elle est magique. Elle me fait des trucs de dingue : parfois elle se retourne et il y’a des regards sexy, des sourires ensorcelants etc
Je ne sais pas pourquoi je lui trouve un coté pervers ou déviant. Il y’a quelque chose en elle qui m’intrigue: elle a un coté garcon manqué.
Il fait très chaud dans la pièce alors on sort. Dehors, on s’assied à même le sol. Cette fille menvoûte, en moins de trois heures, on se comporte déjà comme si on se connaissait depuis des lustres. On se regarde dans les yeux et comme un aimant, je m’approche d’elle et on s’embrasse. Elle se retire, fait une grimace et me fixe l’air intrigué.
— Robert, je dois te dire quelque chose
Je me lève et me dirige vers elle pour continuer e qu’on a commencé. Et bouche contre bouche je bafouille.
— Oui quoi ?
— Je ne suis pas celle que tu crois.
— La maintenant, je m’en fou !
Elle soupire puis sourit :
— Ah bon ? Dans ce cas, viens !
On se dirige derrière le cabaret à l’abri des regards. Elle me baisse le pantalon en me regardant fixement dans les yeux, sort mon engin et l’avale d’un seul coup. Elle entame une fellation royale. Elle sait y faire. Je suis déjà dur. Elle va et vient sans cesse en bouffant ma bite. Je suis excité comme jamais. Elle envoie une main sous sa jupe et se met à faire des vas et viens. Ensuite elle se relève, m’embrasse et prend ma main et la dirige sous sa jupe. OMG (Oh My God). Une Bite!
Je m’écarte et :
— Oh My God. Tu as un une Bite!
— Quoi ? Comment ? Tu n’avais pas compris ! C’est moi, c’est Nathan !
Je sens une vibration qui me traverse le corps. Un mélange de panique et d’excitation. L’évidence était pourtant là. Quelque part au fond de moi je le savais et ça contribuait à m’exciter.
Bon essayons d’être lucide : Je viens de me faire sucer par un mec. Mais a ma décharge, je ne le savais pas. Et surtout, Elle afin Il est très séduisant et ravissant. Je restais planté la pendant plus d’une minute. La situation me glaçait le sang. Mais surtout, je ne comprenais pas pourquoi derrière ce cabaret, dans la pénombre et à cette heure tardive, à un mètre de Nathan/Nathalie j’étais toujours autant excité.
-Nathan! Je…
-Tu quoi?
-Je ne savais pas… Afin je pensais que tu étais une fille.
En disant cela, j’essayais de remonter mon pantalon mais il/elle me saisit le bras et :
-Quoi tu veux te défiler?
Sans préavis, il/elle gobe ma queue a nouveau et se met à me sucer…
Je suis à la fois paniqué et excité et je le/la laisse continuer. Je regarde sa tête qui fait des vas-et-viens. Et je me rends compte que c’est l’idée d’un mec derrière cette parure, ce glamour qui me plaît qui m’excite. Il est évident qu’elle aime ça: sucer…
Elle se relevé en me fixant, avec une grâce digne d’une actrice porno, Je suis fasciné, envoûté. ses lèvres se poses délicatement sur les miennes et on échange un tendre baiser:
"Maintenant je sais : J’aime les travestis."
Elle se retire et me balance:
-Plus c’est deviant, plus c’est bon
