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Natalie – Chapitre 25

Natalie - Chapitre 25



— Je sens la base coincée entre les deux lattes du banc. L’étoffe de ta jupe est bien évidemment prise. Quelle galère !

— Tu peux essayer de le pousser vers le haut ? Je vais essayer de me lever en même temps.

— OK, à trois on commence. Un… Deux.. Trois !

Peine perdue ! La base refuse de se décoincer. Après plusieurs tentatives, je propose d’aller chercher des outils à mon appartement.

— Dépêche-toi, je t’en prie !

— Je vais faire aussi vite que je peux.

Trois minutes plus tard je reviens avec une couverture, une cale en bois et un marteau.

Sabrina semble un peu inquiète.

— Tu es sûre de toi, Natalie ?

— Je vais y aller progressivement pour éviter de te faire mal.

J’étale la couverture sous le banc en priant pour que personne ne sera trop intrigué par notre manège, puis je m’allonge de façon à pouvoir placer la cale de bois contre la base du godemiché. L’étoffe de la jupe de Sabrina risque d’être abîmée, mais nous n’avons guère le choix.

— Es-tu prête Sabrina ? Je vais commencer à donner des coups de marteau d’abord doucement puis de plus en plus fort. Préviens moi dès que tu as mal.

— OK, je suis prête. Je tire de mon côté en essayant de me lever ?

— Oui, c’est une bonne idée. Attention, je commence.

Je donne cinq coups de marteaux. Cela n’a pas l’air de marcher beaucoup.

— Comment çà va ? Demandé-je

— Pas trop mal, Cela produit des vibrations, ma foi pas désagréable du tout pour l’instant. Tu t’es jurée de me faire jouir ?

— Bon, en tout cas, pour l’instant cela ne bouge pas. Je vais essayer plus fort. Tu me préviens si cela ne va pas.

— Vas-y, je te fais confiance

Confiance ! Moi, je ne suis pas très confiante dans ma façon de faire. Mais comment faire autrement ? Je commence à donner des coups un peu plus forts.

— Natalie ?

— Oui ? Je t’ai fais mal ?

— Non, mais je sens que cela commence à venir. Continue ainsi. Je tire de mon côté.

Quelques coups de marteau supplémentaires et Sabrina est enfin délivrée de son banc et se lève soulagée.

— Ouf ! Merci Natalie.

Je me relève de dessous le banc et replie la couverture. Je regarde Sabrina qui semble jubiler.

— Nous ferions mieux de repasser à l’appartement pour que tu puisses retirer le godemiché.

— Surtout pas, rétorque Sabrina. Tu ne peux pas savoir le plaisir que je viens d’avoir.

— Quelle tête de mule t fais ! Attends ! Tu eu un orgasme ?

— Deux ! La première fois, lorsque j’ai tenté de me lever en vain. Le deuxième lorsque tu m’as libérée. Des flash incroyables que je n’ai pas eu le temps de sentir venir. Comme lorsque Monster me monte et qu’il désire se dégager. Cela t’excite, non ?

— Oui, tu m’excites pas mal avec tes histoires.

— Je m’en doute, tu sens la femme en rut à dix pas !

— Fais voir ta jupe. Hum ! Je l’ai un peu abîmée avec mes coups de marteau. Tu ne veux pas te changer.

— Non, on y va ! Nous avons déjà perdu pas mal de temps

— Prends donc place dans la voiture alors.

Sabrina s’assied prudemment à la place du passager :

— Ouh là, cela fait drôle. Heureusement que les sièges ne sont pas trop durs ! Essaye d’éviter les cahots.

— J’espère que je n’ai pas abîmé la valve.

— Arrête ! Ce n’est pas drôle.

— Ce n’est peut être pas drôle, mais je m’angoisse un peu sur ce point. À la sortie de la ville, la forêt commence, je m’arrêterai dans une allée pour que tu puisses vérifier que tu peux le retirer.

Après quelques kilomètres, la route traverse effectivement la forêt qui entoure les lacs. Je bifurque sur une allée et stoppe le véhicule après quelques mètres.

— Tu peux m’aider à le retirer ? Me demande Sabrina, je ne pense pas y arriver toute seule.

— D’accord, j’essaierai de ne pas profiter de la situation. Comment veux tu faire ?

— Je propose que l’on mette la couverture près de l’arbre là-bas. Je me mettrai à quatre pattes.

— OK, allons-y.

Nous étendons la couverture et Sabrina se met à quatre pattes puis retourne sa jupe. J’ai maintenant une vue imprenable sur sa chatte d’où dépasse la base du godemiché.

— Écarte bien les cuisses, lui dis-je.

Elle s’exécute et je commence à tourner le bouton de la valve. Une petite frayeur au départ, mais non la valve tourne et l’air s’enfuit du nud.

— Ouh, le plaisir, râle Sabrina

— Je le retire ?

— Oui, je pense que je vais en profiter pour faire pipi.

Je retire donc le godemiché du vagin de Sabrina doucement. Pas assez doucement pour éviter de prendre dans la figure un jet sous pression de ses secrétions intimes.

— Oh !

— Que t’arrive-t-il Natalie ?

— Tu viens de me lancer un jet de cyprine à la figure.

— C’est vrai ? Excuse-moi !

— Ne t’excuse pas au contraire, c’est tout simplement délicieux !

Sabrina, se retourne pour venir lécher les sécrétions qui ruisselle de mon visage. Nos langues se rencontrent.

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