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Ma nièce – Chapitre 10

Ma nièce - Chapitre 10



(Merci à Ystid (7 péchers) pour son appréciation qui vaut encouragement et bravo aussi pour lui )

’Ma nièce’, résumé des chapitres précédents : dans le premier chapitre, j’ai débarrassé mon adorable nièce de vingt ans de son inutile pucelage. Petit à petit, elle a complèté avec moi son éducation sexuelle. Et elle est douée, la petite ! Elle est venue aussi avec sa copine Alixe, pour pratiquer à trois… Un petit intermède dans le chapitre 8 pour retrouver une de mes cousines et néanmoins amante, accompagnée de sa fille peu farouche. J’ai raconté dans le chapitre 9 mes aventures avec Juliette, ma fidèle postière. La voici qui entre en scène pour le dernier chapitre. (Merci au passage pour l’appréciation d’Ystid et bravo à lui pour son récit : quelle bonne idée ce thème des 7 péchers !)

CHAPITRE 10 (et fin …pour l’instant) : JULIETTE =================================================

Après une nuit réparatrice, je traînasse toute la matinée, bricolant deux-trois choses jusqu’à midi. Je suis dans le salon lorsque Juliette y entre, brandissant mon courrier, son immense sourire illuminant une frimousse craquante. Nous nous embrassons longuement et tendrement, histoire de rattraper notre frustration d’hier : devant sa famille, nous gardons une certaine retenue… Mais c’est vrai que ça nous manque quand on ne s’est pas vus pendant un certain temps. – ’Voilà, j’ai fini ma tournée de distribution du courrier, et je suis libre ! Dis donc, elle sont sympas, Alixe et Marine. Elle, je l’avais déjà vue avec toi, mais je ne savais pas que c’était ta nièce. Alors comme ça, elle fait l’amour avec son oncle ?’ – ’Eh oui, ça reste en famille, tu vois. Et tous les deux, on aime bien ça. En fait, elle était un petit peu pucelle, et je lui ai montré le mode d’emploi il y a quelques semaines. Elle trouve ça super et elle en redemande sans arrêt. Elle est très douée, comme élève…’ – ’Oh mais avec toi, ça ne m’étonne pas ! Bon, alors tu me le montres, ce film que tu ne pouvais pas me faire voir hier ?’ – ’Ah, je me doutais bien que tu ne résisterais pas longtemps à la curiosité, toi ! Attends, installe toi, je te montre.’ Je tire les épais rideaux pour faire l’obscurité, branche le vidéo projecteur et rejoins Juliette dans le canapé face à l’écran géant. Le temps que la cessette se rembobine, je lui explique que le premier jour, il n’y a eu que la scène de strip-tease et que je suis resté sur ma faim, puis il y a eu la nuit tout seul, mais que le matin les filles m’ont réveillé d’une façon un peu particulière. Je lui explique aussi que j’ai joui dans une bouche sans savoir laquelle, et que j’ai découvert la ’coupable’ grâce à une trace de sperme, et qu’ensuite j’ai fait l’amour à Alixe debout dans la cuisine, puis que nous nous sommes retrouvés dans ma chambre tous les trois… Les images tournées à la piscine défilent sur l’écran, suivies de celles du strip-tease des deux filles. Juliette applaudit à leur prestation, comme nous l’avions fait nous-mêmes. Mon sexe apparait soudain à l’écran, entouré de la main de Marine qui le caresse avec application. Juliette est fascinée par les dimensions et l’intensité de l’image. – ’Oh, mais je sais en faire autant !’ dit-elle pour se donner une contenance, ouvrant néanmoins ma braguette et y passant la main, donnant rapidement à ma verge une dimension très honorable. Les images continuent à défiler, la main de Juliette s’active dans mon caleçon, et je suis obligé de me tortiller pour laisser à mon érection une place suffisante. Elle a heureusement pitié de moi et terminant d’ouvrir ma ceinture, libère enfin mon sexe, qu’elle peut enfin caresser à loisir. J’adore qu’elle me caresse, ses mains toutes petites ont des doigts fins et agiles, ma bite semble énorme quand elle la tient. Souvent, elle me masturbe à deux mains, j’adore ça. Sur l’écran, Marine a pris mon sexe dans sa bouche, et Juliette en profite pour l’imiter, sans cesser de regarder les images… Qu’est-ce que ce sera au moment où je sodomise Alixe… Juliette s’excite de plus en plus à regarder le film. Elle me masturbe énergiquement, sa tête posée sur mon ventre, les lèvres posées sur ma tige qu’elle embrasse au fil des images. Lorsque vient le moment où les deux filles réalisent un splendide soixante neuf, elle se fige, envoûtée par la scène. Je la redresse, assise à côté de moi, puis tout en la laissant regarder la suite, je la déshabille rapidement et complètement, sans me priver de quelques caresses, puis je quitte aussi vite tous mes vêtements. Nu, je me glisse derrière elle, m’asseyant dans son dos, ma verge coincée contre ses reins, et je commence à caresser ses seins parfaits aux aréoles gonflées, son ventre ferme et sa toison brune. Juliette me laisse faire mais manifeste son contentement, frotte son dos contre moi, encourage ma main à des caresses plus intimes. A l’écran, la langue d’Alixe fouille le sexe de Marine. Mes doigts écartent délicatement les lèvres du sexe de Juliette, parcourent sa fente chaude et humide, jouent doucement avec son clitoris. Elle geint doucement et son corps ondule sous mes caresses, mais elle garde les yeux rivés à l’écran. Lorsqu’elle me voit approcher mon gland de l’anus d’Alixe, elle pousse un petit cri d’envie et frotte ses reins contre ma verge raidie dans son dos. Je passe mes mains sous ses fesses et la soulève doucement, l’amenant au dessus de mon sexe avant de la laisser redescendre, lui laissant le choix de la destination. Rapidement, elle envoie une main entre ses cuisses et guide mon gland vers sa chatte prête à l’accueillir. Elle s’empale d’un seul mouvement, impatiente, s’asseyant sur moi et recevant d’un coup toute la longueur de ma bite dans son ventre. Elle pousse un cri et se cambre, jouissant immédiatement ! Juliette est comme ça : elle jouit très vite, mais elle est prête à recommencer aussitôt. D’ailleurs, après un court moment de répit, elle se met en mouvement, suivant ceux d’Alixe sur l’écran. Ses gémissements sourds sont couverts par ceux d’Alixe sortant des haut-parleurs, qui emplissent la pièce et excitent Juliette. Lorsque s’affichent en gros plan les images de mon sexe glissant dans les reins d’Alixe, Juliette est secouée d’un frisson qui balaye tout son corps. Elle remonte les talons sous les fesses, se soulève, extrayant ma verge de son sexe, la guide d’une main vers son anus, et s’empale avec un cri de plaisir. Elle descend jusqu’à ce que ses fesses touchent mon ventre, sodomisée jusqu’au plus profond de ses reins, son petit trou distendu par ma verge dilatée. Avec application, elle monte et descend, aspirant et comprimant mon sexe, haletant et geignant, autant excitée par les images que par les sensations terribles perçues dans ses reins. Perfidement, je pivote sur le côté, une jambe dans le dos de Juliette et l’autre entre les siennes, augmentant un peu plus encore ma pénétration. Ses seins fermes tressautent devant mes yeux, tous ses muscles se contractent, y compris son anus autour de ma bite qui va et vient dans son cul pendant que d’une main, je la masturbe par devant. Elle crie, ne sait plus si ses mouvements doivent suivre les sensations de son anus ou de sa chatte. Lorsqu’elle entend Alixe jouir et crier, elle jouit à son tour, empalée jusqu’à la garde, sa main crispée sur la mienne.

— ’Wouahhh ! C’est terrible, ces images…’ finit-elle par admettre au bout de quelques instants, au moment même où à l’écran défile la scène qu’elle a elle-même tournée. Elle éclate de rire quand le film montre ses seins puis sa chatte et enfin sa frimousse. Toujours empalée, elle pivote sur ma bite et se retrouve face à moi, le dos appuyé sur mes cuisses relevées. Mes mains se posent aussitôt sur son ventre, le caressent et jouent dans sa toison soyeuse. – ’Quand tu as pris ces images, juste après la scène que tu as vue dans le film, on avait refait l’amour, puis on recommencé encore tous les trois sous la douche, et enfin on s’étaient payé un délicieux soixante neuf avec Alixe pendant que Marine se masturbait. Autant te dire qu’on étaient vidés ! C’est là qu’on s’est endormis sur le canapé.’ – ’Tu sais, quand je vous ai vus, ici, j’ai failli repartir sans bruit, mais comme je me suis aperçu que vous dormiez, je me suis approchée et je me suis tranquillement rincé l’oeil… Vous étiez beaux, tous les trois ! Je vous enviais, j’aurais bien aimé me joindre à vous, mais je n’ai pas osé. Vous aviez l’air repus de sexe, mais tu as vu ? Même en dormant, tu bandais entre leurs cuisses… C’est là qu’il m’est venu l’idée d’aller chercher ta caméra et de vous laisser un petit souvenir à ma façon. Et puis avec ma petite signature finale en vous montrant qui j’étais. Et… comment j’étais ! Là aussi, hein, j’ai failli en montrer plus, je voulais même me caresser devant l’objectif, mais j’ai pas osé !’ Elle me raconte tout ça, parfaitement décontractée, riant de sa plaisanterie et de ses pudeurs, mon sexe toujours fiché dans ses reins… – ’Tu sais qu’elles aussi, quand elles ont vu le film, ça les a excités, elles se masturbaient devant les images, et ça a fini en un triple onanisme… Sauf que Marine a eu la bonne idée d’avaler tout mon sperme avant qu’il ne gicle partout !’ – ’Hummm, gourmande, la nièce !’ – ’Ah ça, elle a commencé tard, mais elle se rattrape ! Figure-toi qu’hier matin, on s’est réveillés tous les trois dans mon lit, et comme bisou de réveil, elles ont commencé à s’entre-masturber joyeusement… Alors je leur ai sorti le double godemiché avec ceinture, et tour à tour chacune a baisé l’autre. Des furies ! Elles ont pris un pied magistral, elles étaient heu-reuses !’ – ’Ouais, ça m’étonne pas, elles sont sympas toutes les deux. Et puis elles sont canons, chacune dans son genre. Et quand on regarde le film, on voit qu’elles ne laissent pas leur part, ça, elles participent activement et avec plaisir ! Alixe, je trouve qu’elle a carrément le feu au cul, mais je ne crois pas qu’elle soit nymphomane, simplement on voit qu’elle aime ça et que non seulement elle ne laisse pas passer une occasion, mais elle sait même créer les occasions… Quant à Marine, elle est plus naturelle, elle saisit et découvre toutes les situations qui se présentent, et elle en exploite tout le plaisir qu’elle peut y trouver et qu’elle peut donner.’ – ’Oui, tu as raison, c’est aussi mon avis. Il faut dire que Marine a peu d’expérience : elle a… fait ses premiers pas il y a à peine un mois !’ – ’Ah, ben dis-donc, elle est douée, elle ! Elle va devenir une vraie experte en baise… Hummm, tu devrais les réinviter ! Moi, ça ne me dérangerais pas d’essayer le double godemiché avec elles…’ Ah, ça ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd, cette proposition-là… Et juliette qui est toujours empalée sur mon sexe se penche pour m’embrasser. Pour se dégager, elle soulève doucement les fesses et mon sexe coulisse lentement hors de ses reins. Pour augmenter ma sensation, elle contracte fortement son anus : j’ai l’impression que mon sexe est aspiré, pompé par son anus… Mais elle-même n’échappe pas au plaisir et je la sens vibrer, tendue, la respiration suspendue. Elle marque le passage du bourrelet de mon gland par un cri de jouissance et elle vient nicher son visage au creux de mon cou. – ’Ouhhh, ce que c’est bon !… Si Bruno savait que j’aime tant ça quand tu… quand tu m’encules…’ – ’Ah bon, parce que lui, il ne te le fait pas ?’ – ’Non, c’est pas ça, c’est moi qui ne veut pas. D’abord, quand c’est lui, j’aime moins, et puis j’ai pas envie, avec lui. C’est seulement avec toi que c’est si bon, c’est notre petit jardin secret !’ Elle s’allonge complètement sur moi, s’étire de toute sa (petite) taille et murmure pour elle-même ’hummm, ce que c’est bon d’avoir deux hommes avec qui on aime faire l’amour… Je ne sais pas combien de temps ça pourra durer, mais si ça pouvait toujours être comme ça !’ Délicieuse Juliette… – ’En attendant, il faut que je parte, moi ’ dit-elle en se levant, puis en partant à la recherche de ses vêtements dispersés dans la pièce. – ’Je vais finir par te mettre tous les jours à la boîte à lettres une enveloppe vide, pour avoir du courrier à t’apporter à chaque fois : une lettre, un… une… heu, un coup !’ – ’Oh, non, ne fais pas ça, si ça se trouve, si on faisait l’amour tous les jours, régulièrement, tu n’aimerais plus ça autant… Laisse faire le hasard, va !’ Elle rit et commence à se rhabiller pendant que je la regarde, profitant du spectacle toujours allongé sur le canapé. Cinq doigts passés dans ses cheveux courts suffisent à la recoiffer, et elle vient s’asseoir à côté de moi. – ’La veille du jour où Marine et Alixe reviendront, tu n’auras qu’à te poster une lettre à toi-même, et moi je viendrai innocemment te l’apporter, hein ?’ Oh, la coquine… – ’Non, je ferai mieux : je commanderai un triple godemiché, et c’est toi qui me livrera le paquet !’ Elle éclate de rire et s’écroule sur moi, saisissant au passage mon sexe dans sa main. – ’Et ça existe, des engins comme ça ?’ demande-t-elle en commençant à me masturber. ’C’est vrai que ça serait chouette ! Imagine : moi je l’enfilerai dans mon ventre avec la ceinture, et je les pénètrerais toutes les deux en même temps, je leur ferais l’amour à toutes les deux !’ Cette évocation l’excite et les mouvements de sa main sur ma verge s’amplifient, mon ventre va à la rencontre de sa main sans que je puisse résister. – ’Et toi, pendant ce temps là tu viendrais dans mes fesses, tu aurais l’impression de nous baiser toutes les trois à la fois…’ L’imagination de Juliette est sans limite. ’Ou alors j’en prendrais une et je lui mettrais un sexe dans le ventre et un autre par derrière. Ou bien on se mettrait les trois en triangle, chacun un sexe dans le ventre et on se masturberait ensemble !’ Je la laisse délirer pendant que mon plaisir monte, monte au rythme de ses doigts qui vont et viennent le long de ma tige, jusqu’au moment où un puissant jet de sperme gicle de ma verge sur mon ventre. Juliette approche vite son visage, bouche ouverte, et récolte le reste de ma semence sur sa langue, jusqu’à la dernière goutte, avec une mimique de satisfaction. – ’Tu vois, toi aussi ça t’excite, cette idée-là !’ – ’Tu ne crois pas que ce sont plutôt tes doigts qui m’ont excités ? Regarde-les, ces gredins pleins de foutre, maintenant : ah, ils savent y faire, et à l’autre bout, il y a surtout quelqu’un qui sait bien s’en servir pour me faire jouir, tu ne crois pas ?’ Elle admet, finalement satisfaite de ma conclusion, et après un dernier baiser au goût de sperme, s’en retourne chez elle. Au fait, je n’ai même pas regardé ce qu’elle m’a apporté comme courrier ! Quoi ? Deux enveloppes vierges et vides !?!…

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Voilà, ce chapitre marque la fin du récit de mes turpitudes avec ma nièce Marine. J’ai juste commencé à écrire mes ’aventures’ avec ma cousine Sandy (Alexandra de son vrai prénom) que l’on a rencontrée dans le chapitre 6 de ’ma nièce’). C’est après avoir tout raconté à sa fille Laura, lors d’une visite plutôt ’hot’, que je me suis décidé à coucher tout ça sur le papier. Mais le temps et la motivation me manquent un peu pour écrire. Patience !

Ulysse

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