Nous sommes donc retournées dans le garage pour y subir les coups de raquettes de ping-pong attachées à la table. Nous avons pleuré toutes les 2 avec Mito.
— Sachez que si je vous punis, c’est pour votre bien. Vous m’appellerez à présent Maîtresse Sandrine ou maman suivant les tenues portées. Toi, Laïka, tu auras les mêmes habits que ceux achetés. En revanche, j’ai choisi d’autres vêtements pour cette larve que je vais nommer Vodka. Une fois votre punition ici terminée, je vous parlerai des surprises que j’ai imaginées pour vous. Mais avant de continuer, je veux vous entendre dire que vous méritez les punitions que je vous infligerais ainsi que vous me demandez de vous formez.
— Nous méritons toutes les futures corrections que nous allons recevoir de votre main Maîtresse Sandrine. Nous voulons que ce soit vous qui nous formiez. S’il vous plaît, Maîtresse.
— C’est bien. J’ai votre demande sur une cassette donc je pourrai vous le rappeler à n’importe quel moment de réticence de votre part. Pour avoir pleuré comme de sale gamine, je vous donne un coup supplémentaire par fesse mais chacune son tour. Nous allons retourner dans le salon pour que vous me serviez l’apéritif. Vodka l’ayant déjà servi tout à l’heure, elle me servira de table basse pour mes pieds alors que Laïka s’occupera de m’abreuver.
Nous nous sommes donc exécutées. Je redoutais encore l’épreuve suivante avec les raquettes de jokary. Nous sommes toutes deux attachées l’une à côté de l’autre. J’ignorais qu’elle possédait deux jeux de jokary, mais bon. Nos fesses commençaient sérieusement à cuire à cause de cette après midi. Il nous restait encore à endurer l’épreuve de la cuisine. Comment va-t-elle se passer puisqu’il n’y a plus de plats sales ? La réponse arriva tout de suite :
— Puisque Vodka a déjà nettoyé tous les plats, je vais devoir changer le gage pour cette salle. Vodka va se vêtir en soubrette alors que Laïka va mettre le tablier. Vous allez toutes deux me nettoyer cette cuisine et plus vite que cela. Je vais vous donner une zone équivalente à chacune. La première qui finit sera exemptée, pour l’instant, de la petite punition. Elle devra se mettre quelques gouttes de Tabasco dans l’anus, puis mettre une petite culotte dans laquelle seront placer des ufs. Malgré la douleur, elle devra réaliser une omelette. Si elle casse les ufs, la culotte lui sera essorée sur la tête qu’elle devra ensuite plonger dans le bol de l’omelette. Si jamais rien n’est cassé, elle devra boire tout le bol cul sec.
Je ne sais toujours pas comment j’ai fait, mais j’ai réussi à battre Vodka car c’est ainsi qu’il me faut l’appeler. C’est donc elle qui a eu l’horrible punition. Elle a évidemment cassé les ufs dans sa culotte et c’est moi qui aie du l’essorer ainsi que de lui verser et tremper sa tête dans le bol.
— Vodka, tu resteras ainsi jusqu’au repas. Je vais à présent passer à votre sodomie. Je vais vous expliquer comment cela va se dérouler. Vous viendrez toutes les deux me présenter votre anus pour en contrôler la propreté. Vous devrez vous faire une feuille de rose pour les nettoyer. Ensuite, vous irez au coin pour méditer sur ce qui vous attendra. La punition de Vodka pour la cuisine n’est pas terminée. Comme je désire qu’elle soit propre, tout du moins le visage, pour sa première sodomie, je lui ferai un petit face-sitting enchaîné d’un nettoyage de peau façon maison.
Notre petit cul fut défoncé pour la première fois. Ça fat très mal. Nous avons dû aller au coin pendant dix minutes après cette terrible épreuve.
— Vous allez préparer le dîner avec la recette que je vais vous donner. Laïka, tu devras t’habiller en soubrette tandis que l’autre chienne devra mettre le tablier. Vous allez être menottées ensemble par les poignets et les chevilles. Vous avez une demi heure pour faire chauffer les plats, mettre la table. En outre, l’une des deux aura un foulard sur les yeux et l’autre du scotch sur la bouche pour éviter qu’elle fasse trop de bruit. Je vous donnerai les ordres mais vous ne pourrez pas me poser de questions car je n’entendrai rien. La personne voyante devra guider l’autre et lui donner les ustensiles et l’aider Vous aurez une punition commune si l’une d’entre vous faire une bêtise. Vous êtes solidaires dans l’effort mais aussi dans la douleur. Vous allez tout de suite vous changer.
Nous nous sommes donc changées, elle nous a attaché ensemble et elle m’a mis le Scotch sur la bouche. Vodka a fait tomber des assiettes et elles sont évidemment cassées. La punition a été directe. Nous avons d’abord reçu un coup de cravache chacune puis elle nous a détaché. En fait, c’était pour qu’on change de main menottée. En effet, ma main droite était avec la main gauche de Vodka. Nos deux mains droites se sont retrouvées ensemble et nous deux l’une en face de l’autre. En fait, elle nous a retiré nos entraves visuelles ou buccales, nous a remis une cravache à chacune :
— Vous allez vous donner des coups sur les fesses à tour de rôle. Celle qui demandera grâce en premier, aura un gage qui sera en fait finir le repas, le servir ce soir et faire la vaisselle. Vodka tapera deux coups au départ pour équilibrer la force et si vous ratez un coup, l’autre vous en donnera deux. Allez-y mesdemoiselles.
Je ne sais toujours pas comment mais j’ai perdu. J’ai du demander grâce à genoux en tendant mon " arme " à mon bourreau pour qu’elle me remette cinq derniers coups. Une fois cela réalisé, j’ai dû lui embrasser les pieds puis continuer mon gage mais sans entraves sur le visage (ni bâillon ni masque). Ensuite, Vodka dû faire le servir à ma place car j’ai été attachée à la table de ma nouvelle maîtresse. Le repas était déposé sur moi et elles mangeaient toutes les deux sur moi. J’ai lavé la vaisselle ensuite.
— C’est bien. Je vais vous expliquer la journée de demain. Vous savez que j’adore l’équitation et donc vous devrez faire mes chevaux de traits demain. Vous verrez que c’est très intéressant. Nous allons aller dormir. Je serais sur le lit et vous serez attachées au pied du lit. Vous serez en sous-vêtements et recouvert d’une couverture. Bonne nuit, mes chéries.
Nous nous sommes donc retrouvées attachées entre nous avec les menottes entourant le pied du lit. J’ai attendu l’endormissement de Sandrine pour discuter un peu avec Mito.
— On est deux. On devrait se rebeller et lui faire payer cette honte quelle nous a fait subir car elle a pris des photos pour chaque gage, la garce.
Au terme photo, elle s’est retournée vers moi pour répondre :
— Elle nous a pris en photo ? Donc elle va le regretter. Voici mon plan
Je l’ai donc écouté et j’ai approuvé ce plan.
Le lendemain matin, nous avons du préparer le petit déjeuner de madame puis faire la vaisselle. Elle a désiré faire une promenade dans le parc de la maison et nous a donc habillé pour l’occasion, c’est à dire en sous-vêtements, un mors à chevaux dans la bouche relié à une bride et une carotte dans l’anus.
— Comme promis, vous allez toutes les deux être mes juments de trais. La carotte que vous avez dans votre trou du cul remplace les bouchons habituellement utilisés pour éviter que les chevaux ne chient en chemin. Vous allez me tracter à tour de rôles sur le même parcours. Il faudra aller le plus vite possible sous peine de coups de cravache pendant la course mais aussi de gage à l’issu de cette épreuve. Cette fois ci, la perdante devra lécher les deux carottes anales jusqu’à ce qu’elles soient propres puis elle devra la manger. Ensuite, elle devra nettoyer mes bottes crades avec sa langue. Enfin, elle sera cravachée, fessée et tapée par la gagnante qui voudra se venger de ce nouveau duel. Entre chaque séquence, elle ira chercher des rafraîchissements et ira au coin le temps de méditer. Pendant le temps de la course de l’autre, vous devrez commencer le ramassage des feuilles. Vodka commencera la course pour équilibrer le physique.
Que dire de plus si ce n’est que j’ai subi une cuisante défaite et une humiliation tout aussi cuisante dans les tous les sens du terme ! Vodka s’est déchaînée sur mes pauvres fesses. J’ai eut le droit à dix coups de cravaches en position de jument, vingt coups de raquettes de ping-pong sur la table appropriée, tente coups de brosse à cheveux en travers de la baignoire dont quinze côté piquants, trente coups de règle comme une écolière et quarante fessées à la main sur ces genoux. J’ai eu le droit à dix coups de pénalité pour avoir jouit car, il faut l’avouer, j’ai adoré cela et je bandais comme jamais auparavant. Malgré la douleur, j’en redemandais après mon énorme punition.
— D’accord, tu auras le droit à une suite puisque tu insistes. Et n’espère surtout pas me soumettre avec Mito car c’était un piège pour mieux te punir. Ce soir, nous avons des invités et ils pourront voir les progrès que tu as réalisés sous nos ordres. Tu seras l’esclave pour toute la soirée. Pour cela, tu vas devra te faire belle ma chérie. Tu vas devoir te changer avec de nouveaux habits spécialement achetés pour l’occasion, tu te maquilleras, tu nettoieras les instruments de ton éducation, c’est à dire cane, martinet, cravache, brosse à cheveux, cuillère en bois, et tu aideras pour le couvert et la cuisine. Une fois que cela sera terminé, tu auras les yeux bandés et tu attendras les invités à qui tu devras prendre leur manteau et enlever leurs chaussures pour qu’ils ne salissent pas la maison. Avant d’avoir tes yeux bandés, tu devras apprendre des phrases par cur pour justifier que tu nous es entièrement dévoué et apprendre les punitions correspondant à tes fautes car chaque convive te donnera la punition de son choix. Une fois fait, tu seras mis au pilori avec tes jolies fesses cramoisies tournées vers la porte pour qu’ils les voient dès leur arrivée.
J’ai acquiescé les dires de Maîtresse Sandrine. Avant de m’habiller, Mito a décidé que je devais prendre une douche écossaise pour me changer les idées et me laver pour être propre et sentir bon. Je fis ensuite connaissance avec mes nouveaux habits. Je dus enfiler un string ficelle à dentelle et une culotte par-dessus, des bas résilles, un pantalon en cuir très moulant, dans lequel chaque mouvement est un calvaire, qui s’arrête aux mollets, des chaussures à talon de très grande hauteur, donc j’ai eu des problèmes d’équilibre. J’ai du m’entraîner à marcher comme cela pour être sûr de ne pas trébucher en présence des autres. Pour le haut, j’ai du enfiler un soutien gorge de grande taille avec des prothèses mammaires pour simuler des seins. J’ai enfin mis une robe rose bonbon. Le supplice du maquillage a été horrible. J’ai ensuite mis le couvert et aidé pour la bouffe.
Suite et fin dans la prochaine partie