Promenade insolite dans les bois
Cette histoire parfaitement authentique m’est arrivée il y a une trentaine d’années. J’avais alors 18 ans depuis quelques mois.
Nous habitions un petit village, quelque part en Suisse. J’étais (et je suis toujours) clairement attiré par les filles. Mais lorsque je sens du désir dans le regard d’un homme, ça me trouble. Il m’est arrivé, au fitness notamment (je suis assez sportif), de sentir des regards insistants sous la douche. Je prends alors un malin plaisir à me savonner longuement, en insistant bien sûr sur mes fesses assez pulpeuses, et l’effet est garanti, je vois apparaître un début, voire une franche érection.
Un ami de mes parents, apprenant que je viens d’avoir mon permis de voiture me demande si je peux venir le chercher le dimanche suivant à l’arrêt de bus. En effet, le dimanche, peu de transports permettent d’effectuer le trajet qui nous ramène de la ville toute proche. J’accepte volontiers de lui rendre ce service. Je sais qu’il est gay, mais il a une quarantaine d’années et ne m’a jamais fait d’avances auparavant.
Le dimanche en question, je vais le chercher à l’heure qu’il m’a indiquée. Cet arrêt de bus se trouve à quelques kilomètres de notre village. Et la liaison n’est effectivement pas assurée le dimanche. Il m’attend au bord de la route. Il a un sac à dos assez volumineux et je me demande ce qu’il est allé faire en ville. Il n’est pas très causant et j’ai l’impression qu’il est un peu tendu.
Après une dizaine de minutes de voiture, il me demande, m’ordonne presque, de tourner sur ma gauche. Ce n’est clairement pas la direction de notre village. J’obéis sans poser de questions et on s’engage sur un chemin à peine carrossable qui pénètre dans la forêt.
On roule environ 500 mètres et il me demande de me garer sur le côté. On dirait qu’il a repéré les lieux. Je suis intrigué et presque excité par ces mystères. Mais je le connais assez bien et je ne suis donc pas inquiet. On sort de la voiture et il me demande les clés de la voiture qu’il range dans son sac. Il m’ordonne ensuite d’enlever mon t-shirt. J’hésite une seconde, puis je le lui donne. Il disparaît à son tour dans le sac. Mon short et mon boxer suivent le même chemin. Je suis donc nu avec mes baskets aux pieds. On est au milieu de l’été et la température est assez chaude, comme la situation d’ailleurs qui m’excite de plus en plus.
Il passe derrière moi et je sens un contact froid sur mes poignets. Je n’en reviens pas! Il me passe des menottes, qu’il serre d’ailleurs assez fort. Ce sont de vraies menottes, pas le genre jouet. Je ne peux presque plus bouger mes bras derrière mon dos. Je me demande si un promeneur va surgir sur le chemin. Ca m’excite beaucoup. Que ce soit un homme ou une femme, je me demande quelle serait sa réaction. Mais ça n’arrive pas. Il m’ordonne d’avancer. Je vois bien qu’il ne veut pas traîner dans le coin.
Je me mets donc en route. On ne suit bien sûr pas le chemin, mais on s’enfonce au milieu de la forêt. Des branches et des ronces me griffent légèrement. Ce n’est pas désagréable, et même carrément excitant. Je prends conscience que j’aime cette position d’homme soumis à un autre. Ca me procure une excitation intense et je bande de plus en plus.
Soudain, je sens un contact sec et appuyé sur mes fesses. Je me retourne et je m’aperçois qu’il a une sorte de martinet à la main. Les coups sont d’abord très légers, mais comme je ne réagis pas, il appuie régulièrement un peu plus et j’imagine volontiers que mes fesses deviennent rouges. Je suis au bord de l’éjaculation. Ces sensations nouvelles me transportent littéralement.
Après une dizaine de minutes, nous arrivons dans une petite clairière. Il me dit de m’arrêter. Il sort de son sac une grande couverture qu’il dispose sur le sol. Il appuie sur mon épaule pour m’indiquer de m’agenouiller sur la couverture. Il se positionne face à moi, baisse son short et j’ai la surprise de voir apparaître un très gros sexe déjà passablement en érection. Ma surprise provient du fait qu’il est plutôt petit et très mince, je ne m’attendais pas à un tel attribut. Il approche son sexe de ma bouche. Mes mains sont toujours solidement entravées dans mon dos. Je n’ai jamais fait ça mais j’ouvre instinctivement la bouche et la referme sur sa belle queue. Sans expérience, j’essaie surtout de ne pas le toucher avec mes dents et je m’active avec mes lèvres et ma langue pour lui procurer le plaisir qu’il attend de moi. Je suis en ce moment son jouet et je dois dire que ça me plaît. Je sens qu’il apprécie car son sexe qui était déjà gros devient vraiment dur. Il me saisit alors la tête à deux mains et me baise littéralement la bouche. J’ai du mal à suivre et à reprendre mon souffle. Je me demande s’il va éjaculer dans ma bouche et je dois dire que la perspective ne m’enchante guère. Mais après l’avoir plantée quelques secondes le plus loin possible dans ma gorge, il se retire d’un coup et se dirige à nouveau vers son sac.
Il sort un préservatif qu’il enfile rapidement. Il sort un tube et vient se placer derrière moi. Il appuie sur ma tête qui vient doucement toucher le sol et naturellement mes fesses sont tendues dans sa direction. Je sens le contact froid du gel lubrifiant qu’il applique à l’entrée de mon petit trou. Un doigt vient rapidement s’insérer dans mon orifice et je n’en mène pas large. Je n’ai aucune expérience en la matière et les premières sensations ne sont pas forcément très agréables.
Je sens ensuite son gland qui vient caresser l’entrée de mon orifice. Il presse légèrement et je sens qu’il entre à l’intérieur de moi. Je n’éprouve pour l’instant aucune douleur et je suis très excité par cette situation pour le moins insolite. J’essaie de me détendre le plus possible et son sexe entre tout doucement de plus en plus loin. Ca brûle un peu et je perçois les premières douleurs. Forcément, je me crispe un peu, ce qui n’arrange rien. Il commence de lents va-et-vient en moi. Il me demande si je la sens bien. Et je dois dire que je sens surtout la douleur. Mais quand il me demande si j’aime ça, je lui réponds que oui. Il se met alors à intensifier sa pénétration. Et la sensation de brûlure augmente aussi Je lui demande alors de calmer le jeu. Il reste planté au fond de moi sans bouger et j’arrive à me détendre un peu. Il me dit que ça va aller, que bientôt je vais prendre mon pied, que je vais adorer ça.
Il commence à nouveau à bouger. J’essaie de me détendre au maximum, mais sa queue est vraiment grosse. Je sens que son excitation monte. Il commence à me donner des claques sur les fesses et à me dire des mots très crus. On sent qu’il a besoin de cette domination pour prendre son pied. Je suis sa chose, sa chienne. Cette soumission et cette humiliation me plaisent vraiment sur le moment. Ce sont des sensations que je n’avais jamais éprouvées auparavant. Mais la douleur prend vraiment le dessus et je lui demande de s’arrêter, ce qu’il fait à regret. Il se retire, enlève son préservatif, me roule sur le dos. Il est maintenant debout au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mon corps. Il se masturbe avec frénésie et finit par éjaculer sur moi avec de grands râles de satisfaction. Il me suce ensuite et me masturbe jusqu’à ce que j’éjacule aussi sur moi. Je suis nu, menotté, couvert de sperme. Quelle étrange mais plaisante sensation!
Il sort des mouchoirs de son sac, m’essuie, me redonne mes habits. Nous rentrons à la voiture sans trop parler de tout ça. Quand je le pose devant chez lui, il me demande si je serais prêt à recommencer. Je lui dis tout de suite que oui.
La suite dans de prochaines aventures
