Rambouillet, je vais vous raconter ma vie de jeune femme, encore jeune fille.
1979, 19 ans le permis en poche, quelques économies sacrifiées auprès d’un grand-oncle qui me « vend » sa vieille Austin Haley 3000 !
Mes parents ont une maison de campagne vers Gazeran, et je laisse dormir la vieille voiture dans le grand garage sous la maison. Je suis en deuxième année dentaire, il faut travailler dixit papa.
Après bien des recherches, je pense avoir trouvé un garage de restauration pas trop cher et proche, grâce à l’un de mes professeurs. Me voici donc un samedi matin en petite robe blanche d’été, foulard au cou, mains gantées (un air d’actrice des années 50 !) et petites chaussures Todd aux pieds (plus pratique pour conduire) et mes escarpins rouges à côté au volant de ma Healey en train de chercher ce fichu garage.
Je crains de trop m’éloigner de la maison de peur de tomber en panne. Malheureusement, ce garage est un peu plus loin que je ne l’avais imaginé.
Les nuages s’amoncellent au-dessus de ma tête et je me hâte pour éviter la pluie. La capote est coincée et je risque de me retrouver détrempée…
Le ciel est maintenant très sombre. J’entre dans un brouillard épais qui humidifie mon pare-brise. Le brouillard se transforme en bruine et mes vêtements ne sont pas du tout adaptés.
Ma petite robe blanche est maintenant collée à ma peau.
Mais je vois enfin le garage. Il est éloigné de la petite route. Il faut prendre un chemin en terre pour l’atteindre. Mon cabriolet n’est pas très adapté pour rouler sur ce chemin devenu boueux. J’atteins tout de même le garage et je range mon véhicule à l’abri de la pluie en entrant dans le hall du garage.
Un homme est là, le garagiste sans doute. Il est vraiment moche… difforme même.
Il est petit, 1m50, avec un énorme ventre. Il est sale, ses doigts sont pleins de graisse. Je change de chaussures et descends de voiture. En me levant, je sens ma robe qui me colle à la peau.
Je me rends compte du spectacle que j’offre à ce gros cochon : une belle bourgeoise distinguée, dans une robe devenue complètement transparente.
Je ne comprends pas pourquoi mais je sens des frissons dans tout mon corps et plus particulièrement dans mon ventre. Sans doute le froid…
Le gros cochon reste bouche bée, un mégot collé sur sa lèvre inférieure.
Au bout de quelques secondes, il se reprend et me demande :
– Qu’est-ce qu’elle veut la petite dame ?
– Bonjour Monsieur, auriez-vous un endroit où je puisse me sécher ? La pluie m’a détrempée et j’ai vraiment froid. Je suis venu ici pour avoir un devis pour restaurer ma voiture.
Il me regarde d’un il interrogateur.
– Hm… D’accord, la petite dame… Suivez-moi, je vais vous montrer la salle de bain. Mais faut pas rester longtemps, hein !
Je le suis avec une petite inquiétude mais j’ai trop froid et rien pour me changer…
Je remarque bien les caméras qui me filment dans ma robe qui ne cache rien de mon anatomie. Je suis le gros garagiste et je me sens épiée. Ce ne sont pas les caméras mais je sens autre chose. Je tourne la tête et je vois au fond du garage une silhouette qui bouge.
Il y a d’autres personnes dans cet endroit froid et inhospitalier. Le gros porc immonde et puant m’ouvre la porte de sa maison.
Celle-ci est attenante au garage. Je passe devant lui et je sens son regard qui scrute la moindre partie de mon corps. Maintenant que je suis devant lui, il a une parfaite vue de mon cul. La culotte Eres transparente que je porte sous ma robe trempée ne peut malheureusement pas cacher grand-chose. Je suis à la fois écurée de montrer mon joli petit cul à ce parfait inconnu qui plus est moche et certainement débile, mais en même temps, le petit frisson que j’ai ressenti tout à l’heure dans mon ventre se manifeste à nouveau.
J’entre dans un couloir sombre et je remarque encore une caméra au plafond. Je suis un peu inquiète. J’ai l’impression d’être tombée dans un guet-apens. Que le monstre difforme va se jeter sur moi et me violer.
L’inquiétude se transforme en excitation et ma petite chatte commence à s’humidifier. Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi ai-je des pensées aussi obscènes et pourquoi ça m’excite ? Mais rien ne se passe… J’arrive à l’autre bout du couloir sans qu’il ne se soit rien passé. Je suis un peu déçue…
J’arrive au salon et j’y trouve un bazar à l’image du garagiste.
Une vieille télévision est allumée et une fille difforme est en train de la regarder dans un vieux canapé défoncé. Au milieu du salon trône une table sur laquelle s’amoncellent des papiers divers, de la vaisselle sale, je vois même des magazines pornographiques !
Le garagiste appelle son petit boudin de jeune fille. Elle me regarde émerveillée.
Elle n’a jamais vu de bourgeoise de la ville. Elle me trouve très belle. Elle m’envie, me jalouse. Elle est moche depuis toujours et n’a jamais rencontré d’homme qui voulait bien d’elle.
À l’école, les autres filles se moquaient d’elle et les plus belles lui volaient les garçons dont elle tombait amoureuse mais n’osait pas leur montrer de peur d’être rejetée. C’est pourquoi finalement, elle voue une haine aux jolies femmes. En plus, sa mère est magnifique.
– Tu vas amener la jolie dame à la salle de bain et tu vas lui prêter des vêtements le temps de faire sécher sa robe. Et attention, c’est une cliente alors tu prends bien soin d’elle. Compris ? Pas de bêtises !
– Suivez-moi m’dame ! Dit-elle en mâchouillant un chewing-gum.
Sur le chemin de la salle de bain, je passe devant une chambre où j’aperçois un garçon. Il est devant son ordinateur.
Sur l’écran s’affiche une vidéo qui m’intrigue. Je m’arrête pour regarder : une belle jeune femme brune est traînée à quatre pattes comme une chienne, complètement nue, avec une laisse reliée à un collier autour du cou. Elle arrive devant un petit homme ventru et vieux (on dirait le garagiste mais ce n’est pas possible) et elle avale son sexe.
Pendant qu’elle le suce, un jeune homme qui ressemble au petit homme ventru (son fils ?) se place derrière la jeune femme et d’un seul coup enfonce son sexe dans le pauvre trou du cul de la belle qui semble pousser un cri. L’image bouge beaucoup, ça a l’air d’être une vidéo amateur.
Ce qui arrive à cette jeune femme m’excite beaucoup mais je ne comprends pas pourquoi. La fille me dit :
– C’est mon petit frère, un vrai obsédé du cul ! Faut pas qu’il vous voie comme ça, sinon il va vous sauter dessus ! – Et elle rigole.
Le jeune homme s’aperçoit qu’il est épié. Il arrête la vidéo et se retourne.
– Qu’est-ce que vous voulez ?
– Faites pas attention me dit la fille.
Je continue dans la pièce suivante, la salle de bain. La fille me dit de me déshabiller et de me doucher. Elle va chercher quelques vêtements pendant ce temps dans sa propre chambre.
Je suis tout émoustillée par tout ce que je viens de vivre. Je ferme le loquet de la porte et je me déshabille. Je n’ai pas encore remarqué la caméra collée dans un coin du plafond au-dessus d’un grand meuble.
J’ai gardé mes hauts talons et je m’admire dans le grand miroir posé sur le mur mitoyen avec la chambre du jeune obsédé sexuel. J’imagine qu’il m’observe à travers ce miroir sans tain. Je commence à caresser mes seins parfaitement dessinés puis je descends mes mains sur mon ventre, ma taille, mes hanches et enfin j’arrive à mon petit trésor convoité par beaucoup d’hommes !
Je titille le petit bouton qui fait monter d’un cran les fourmillements dans mon ventre et l’humidité de mon sexe.
Mon fantasme est en fait réel. Le miroir est effectivement sans tain et le jeune adolescent n’a rien raté de mon spectacle. D’ailleurs personne dans cette maison n’utilise cette salle de bain connaissant parfaitement ce secret. La fille du garagiste m’a amenée ici sachant très bien ce que son frère allait faire.
Le jeune ado s’est branlé en imaginant qu’il me faisait la même chose qu’à cette pauvre conne sur la vidéo. Il imaginait me violer par mes trois trous, moi la bourgeoise hautaine qui se croit supérieure à eux. La dernière petite conne, celle de la vidéo, il a juste eu le droit de la filmer pendant que son père, ses frères et sa sur s’occupaient d’elle. Lui, le plus jeune n’a eu droit à rien… ce n’est pas juste.
– Papa a promis que je pourrai participer pour la prochaine ! J’espère que ce sera cette pute de blonde. – Et il éjacule sur le miroir.
Je me dirige vers la douche mais j’entends quelqu’un qui toc à la porte.
C’est le jeune boudin qui m’apporte des vêtements. J’entrouvre la porte pour qu’elle me glisse les vêtements mais elle pousse la porte et se retrouve à l’intérieur. Je me cache mais elle dit :
– Allez, je suis une femme moi aussi ! C’est ridicule. Allez vous doucher ! J’obéis à son ton autoritaire mais sans comprendre pourquoi.
Pendant que je me douche, elle m’examine de haut en bas. Elle admire mon corps.
Je me dis : si elle veut du spectacle, elle va en avoir.
Et je recommence mon petit manège mais cette fois sous la douche et avec du savon. Je caresse à nouveau mes seins, et tout mon corps. Cette fois, je ne vais pas jusqu’à ma jolie chatte.
Une fois séchée, j’examine les vêtements qu’elle m’a apportés : une petite jupette d’écolière plissée et un t-shirt à moitié transparent ! Je n’ai pas trop le choix alors je les mets. Bizarrement, ils me vont assez bien. J’ai pris soin de garder ma culotte ainsi que mes escarpins qui n’étaient pas mouillés.
La jeune fille me raccompagne maintenant jusqu’au salon.
Pendant ce temps, le vieux cochon n’a pas raté une miette du spectacle, assis confortablement dans sa chambre grâce à la caméra.
Il s’est branlé devant ce corps parfait en imaginant toutes les perversions qu’il allait lui faire subir. Et puis il a promis au petit une femelle avec laquelle il pourrait s’amuser. Sa décision est prise: CE SERA MA NOUVELLE CHIENNE.
Il est parti saboter la voiture pour que la belle se retrouve coincée.
J’ai vraiment l’air d’une vulgaire putain dans cet accoutrement : jupette écossaise plissée, t-shirt transparent, et mes escarpins à hauts talons. Je n’ai gardé que mon slip transparent Eres mauve, le soutien-gorge étant finalement trop humide. Mes petits tétons pointent à travers le tissu.
Quand je me suis vue dans le miroir de la salle de bain, j’ai remarqué à quel point je pouvais être belle. Je sais l’effet que je fais sur les hommes, mais évidemment dans cette tenue. Cette situation m’excite finalement. Et ce garagiste a l’air si inoffensif. Décidément, mon petit minou n’est pas près de s’assécher aujourd’hui !
La jeune fille a choisi sciemment ces vêtements : c’est la tenue que son père et ses frères préfèrent utiliser avec leurs captives. Elle sait exactement ce que je vais subir dans quelques heures. Elle va même y participer. C’est elle la plus perverse de la famille. A cause de sa laideur, elle hait les belles femmes comme moi. Et comme sa mère !
J’entre dans le salon et là… toute la famille de gogols est réunie pour m’accueillir : le père, vieux cochon ventru, un sourire vicieux aux lèvres, le cadet que j’ai croisé tout à l’heure et qui semble très excité, deux jeunes adultes mâles que je n’avais pas encore vus. Pourtant l’un des deux me dit quelque chose. Le jeune boudin derrière moi termine la fratrie. Il manque pourtant la mère. Sans doute occupée !
Ils me dévisagent tous avec des regards lubriques. En fait, ils ne font pas que me dévisager, ils inspectent avec minutie chaque centimètre carré de mon anatomie, s’attardant qui sur mes seins, qui sur mon ventre, qui sur mes jambes, qui sur mes pieds en fonction des goûts et des fantasmes de chacun.
Malgré ce déguisement de catin et ces regards perçants, je garde ma dignité de bourgeoise. Je toise ces campagnards avec dédain. L’atmosphère est cependant pesante. On entend simplement le tic-tac de la vieille horloge. Je romps le silence en disant avec mon air hautain que je veux récupérer mon sac à main que j’ai oublié dans la voiture. Le vieux m’accompagne, suivi par toute la famille.
Arrivée à la voiture, je vois le sac sur le siège passager, là où je l’avais laissé. Je suis tellement pressée de le récupérer que je me penche directement par-dessus la portière, découvrant mon joli petit cul, mon slip ne couvrant pas grand-chose.
L’excitation des mâles et de la petite femelle monte d’un cran. Ils sont à bout mais n’osent pas encore intervenir. C’est le mâle dominant, le vieux père qui déclenchera la furie et tous le savent. Je comprends l’effet que je leur ai fait involontairement. J’ai une idée un peu perverse mais ça me plaît de jouer avec cette famille de dégénérés. Et puis à côté de ma voiture, je me sens un peu plus en sécurité.
J’explique alors au garagiste la restauration que j’avais envisagée. J’aimerais un devis. J’ouvre le capot, demande d’inspecter le moteur avec lui, pour ne pas avoir de surprise.
Nous nous penchons tous deux de chaque côté du véhicule. J’ai pris soin de me placer dos aux enfants. Ils ont à nouveau une magnifique vue sur mon petit cul. Je m’amuse à le remuer, à écarter mes jambes… De l’autre côté, le garagiste a droit à un autre spectacle dont il ne perd pas une miette.
Je me penche pour ouvrir au maximum le col bien large de mon t-shirt. Le garagiste peut maintenant admirer mes jolies mamelles de bourgeoise. Je remue le buste pour les faire s’agiter. L’effet est immédiat, il bande comme un âne et n’arrive plus à parler.
Mon sexe et mes seins gonflent également. Je suis surprise et électrisée par mon audace, par la scène. Ma chatte suinte. J’ai envie de me caresser, de me toucher. Mon esprit est embrumé, je n’arrive plus à raisonner, je n’arrive plus à ME raisonner. Mon cerveau primaire est en train de prendre le dessus sur mon cortex !
Et le désir monte, monte, mooooonte !!! Je ne réagis plus que par réflexe. Toute mon éducation, mes bonnes manières bourgeoises sont en train de s’envoler et ça m’affole. J’aimerais que ces monstres me prennent là, tout de suite sur le capot de la voiture comme une vulgaire pute de l’est démontée par un routier dans son camion.
L’aboiement des deux mâtins de Naples me sort de ma torpeur. Je me reprends, je me ressaisis et finalement je me relève. Ça y est, mon éducation reprend le dessus. Je suis à nouveau en territoire connu : Ouf ! Ce n’est pas passé très loin ! Je reprends mon air hautain. Et je demande au garagiste :
– Pourriez-vous me faire un devis et me dire quand vous pourriez prendre en charge mon véhicule ? J’ai d’ailleurs peur qu’il ne tombe en panne, je préférerais que vous veniez l’enlever directement dans mon parking. C’est possible ? Voici mon numéro de téléphone (avec un frémissement dans le dos, non en plein ventre), appelez-moi dès que vous pouvez.
Dehors, la pluie s’est arrêtée et il est temps de rentrer. La nuit commence à tomber. Mon fiancé n’est pas là pour la semaine, je suis donc tranquille ce soir mais je préfère quitter ce lieu qui me donne la chair de poule. J’ai ressenti trop d’émotions pour aujourd’hui.
– Vous m’apporterez ma robe la prochaine fois et je vous rendrai les vôtres ! Merci pour tout ! (et surtout au revoir et à jamais !).
Je remonte dans mon Hailey et mets la clé de contact. J’essaye de démarrer mais rien ! NON, pas maintenant, pas ici !!! Le garagiste accourt et me dit avec sa grosse voix, un sourire en coin :
– Vous z’inquiétez pas ma p’tite dame. Z’êtes dans un garage ici, on va vous réparer ça !
Il appelle son aîné pour l’aider, celui qui me disait quelque chose tout à l’heure. Il s’approche et maintenant je le reconnais… MON DIEU, LA VIDEO !!!
Je reconnais maintenant le garçon. C’est celui qui défonçait brutalement le trou du cul de cette jeune beauté brune aux cheveux longs. Le père et le fils s’affairent sur le moteur comme ils le faisaient sur la malheureuse, chacun d’un côté. Je suis effrayée.
Je me sens prise au piège. Je ne sais plus quoi faire. Je suis seule dans ce trou perdu. Personne pour me venir en aide. Même mon mari est loin ! Je ne veux pas leur montrer ma peur. Vite une idée, viiite !
Perdue dans mes pensées, je ne remarque pas que la jeune fille s’éloigne. Elle sait exactement quoi faire. C’est son père qui lui a enseigné avec les autres. Elle aime ce moment de pure perversion. Elle est partie détacher les deux gros chiens qui fondent sur ma voiture comme l’éclair.
Ils posent leurs pattes sur ma portière et me reniflent. Ils sont aussi gros et laids que leur maître. Ils me font peur, je n’ose plus bouger. Le piège se referme petit à petit. Maintenant je sais que je ne leur échapperai pas.
Les mains sur le volant, je me rappelle la scène de la vidéo. Cette pauvre innocente avilie, souillée par les sexes de ces monstres. Mon esprit vagabonde. Qu’ont-ils pu lui faire subir d’autre à cette malheureuse. Elle a dû être aussi gourde pour se laisser piéger ainsi. Mais peut-être aimait-elle cela ! Peut-être était-elle consentante !
Ça me glace le dos car en fin de compte c’est ce que j’ai ressenti : je l’ai enviée d’être ainsi utilisée comme un bout de viande, humiliée, dépravée ! Je m’imagine à sa place, les deux monstres m’enfilant des deux côtés. Je ne comprends plus rien. Pourquoi mon corps réagit-il ainsi ?
Les deux molosses me sortent de mes rêveries. Je remarque qu’ils semblent anormalement excités. Ils essaient de me lécher. Ils me dégoûtent. Mais ils m’excitent également !!! Je ne comprends pas. Je suis écurée d’être excitée par des animaux.
Le garagiste et le jeune monstre relèvent la tête :
– Ca va être compliqué à réparer ! J’ai pas la pièce ici. Y a pas beaucoup de voitures comme ça ici ! Va falloir la commander.
– Mais mais mais je ne peux pas rester ici. Il faut que je rentre chez moi à Paris.
Le garagiste répond sur un ton très autoritaire :
– Non c’est pas possible ! Vous resterez ICI cette nuit ! J’vous ramènerai demain matin en ville pour prendre un taxi ou le train.
– Mais non mais non, je vais appeler un taxi.
– NON ! Le téléphone marche plus depuis l’orage d’hier. Vous allez dormir dans la chambre au sous-sol. Sortez, j’va vous montrer.
Je suis à la fois apeurée et excitée par sa voix et surtout son ton tyrannique. Les chiens sont toujours là à tenter de me renifler, de me lécher. J’ouvre la portière doucement et les chiens en profitent pour se jeter sur mon entrejambe.
La petite jupette et ma culotte transparente n’ont pas permis de cacher l’odeur de ma cyprine. Les chiens ont été dressés pour être attirés par cette délectable fragrance. Ils sont tous deux extrêmement excités par l’odeur de ma chatte béante.
Ma culotte est détrempée par tout ce que je viens de vivre. J’essaie de sortir et ai le malheur d’écarter mes jambes. Un chien s’engouffre dans la brèche et enfonce sa gueule entre mes douces cuisses. Son excitation se voit maintenant. Sa langue râpeuse s’est posée sur ma chatte et commence à me ravager le clitoris. Il donne des coups de tête, me lèche.
Je crie, j’appelle au secours mais personne ne semble pressé de venir m’aider. Je ressens une profonde honte d’être traitée comme une chienne et en plus d’être vue mais l’excitation l’emporte sur la honte. J’y prends du plaisir. Le garagiste voit mon visage complètement retourné par le plaisir. Il décide d’arrêter ce trop délectable supplice.
– C’est lui qui contrôle votre jouissance, pas moi… plus moi…
Il attrape les deux chiens par le collier :
– Assez joui comme ça !
Cette remarque s’adresse à moi, pas aux chiens. Il me rabaisse, m’humilie en me montrant qu’il a bien vu que j’y prenais du plaisir. C’est la première fois que j’ai ce genre d’expérience : je sens le dominant dans ce mâle bourru et très moche, mais ça me procure un plaisir que je n’ai encore jamais atteint. Inconsciemment, je me soumets à ce mâle.
Je peux maintenant sortir, ma chatte est liquéfiée, la culotte Eres à moitié arrachée par la langue râpeuse du chien. Je suis mon futur bourreau. Mon cerveau est en quête de ce plaisir que je viens de vivre, que je vis depuis mon arrivée dans ce garage. Mes bonnes manières et mon éducation s’enfuient petit à petit, mais de plus en plus vite.
Je sais que si je suis ce monstre, je vais subir les pires outrages qu’on peut faire à une femme. Mais j’en ai envie. Je le veux. Pendant toutes ces années la putain soumise qui est en moi était endormie. Et ce lieu, ces gens sont en train de la réveiller.
Le vieux se dit qu’il a une meilleure idée, avec un petit sourire vicieux.
Il sent que je ne suis pas comme ces autres femelles qu’il a domptées par le passé.
Il a vu avec quelle facilité il me soumettait. Il a remarqué ma culotte trempée après toutes ces péripéties. Il devine mon goût pour le sexe immoral, bestial.
Depuis des années, son rêve était de trouver une bourgeoise comme moi : à la fois fine, belle, sophistiquée, hautaine, en apparence coincée du cul mais avec, à l’intérieur, le feu d’une fournaise torride. Une véritable salope comme on n’en trouve malheureusement que rarement.
Il veut faire de moi SA soumise et pas une simple esclave.
S’il me laisse partir, il sait qu’il me reverra : c’est le début de mon éducation.
Il me demande alors :
– Z’avez quelqu’un chez qui dormir dans l’coin ?
– Oui, mes parents habitent dans le coin…
– Paris c’est trop loin, mais dans le coin je pourrais peut-être vous amener. Venez avec moi dans mon bureau. J’ai un cadeau pour vous. Je fais attention à mes clientes !
Je le suis, intriguée, dans son bureau. Celui-ci est rempli de photos de femmes dénudées dans différentes positions, seules, avec des hommes, des femmes… En regardant bien, je reconnais le vieux et ses fils sur certaines photos.
Mais il y a aussi d’autres hommes aussi laids que le garagiste. Les femmes sont systématiquement dans des situations humiliantes, ce qui attise le feu dans mon bas-ventre.
Pendant ce temps, le vieux sort un collier clouté en cuir d’un tiroir et s’approche de mon oreille. Tout en l’ajustant autour de mon cou, il vous susurre :
– Voici votre cadeau Madame. J’espère qu’il vous plaira !
Et il recule pour me défier droit dans les yeux, avec un sourire vicieux.
Je me laisse faire et ne le retire pas. L’humiliation de porter un collier de chienne me procure du plaisir.
Et il le sait. Toutes des chiennes en chaleur ces bourges !
– Allez, il faut partir maintenant. Pour votre voiture, j’aurai la pièce demain. Faudra d’abord aller voir le tailleur avec lequel je travaille pour les sièges. Je passerai vous chercher pour vous y amener. Vous pourrez faire connaissance, il vous montrera son travail. Je reviendrai ensuite avec votre robe et votre voiture pour qu’il puisse la voir.
Je récupère ma veste dans le cabriolet. Mes parents ne peuvent pas me voir ainsi vêtue.
Il me raccompagne jusqu’à son pick-up. Les enfants se sont placés derrière moi pour voir mon cul nu lorsque je monte dans le pick-up côté passager. Un régal !
Le moteur démarre, ça y est, nous sommes partis, seuls, tous les deux.
Sur le trajet, le garagiste passe plus de temps à regarder mes cuisses dénudées que la route. Au passage d’une vitesse, il en profite pour glisser sa main sur une de mes jambes.
Je regarde la route, en faisant semblant de n’avoir rien senti.
Cependant les frissons qui parcourent mon corps me trahissent. Mais je ne dis rien.
La garagiste se sent encouragé ! Il commence à caresser mes fines cuisses avec sa main calleuse et ses doigts boudinés. Il a rarement eu l’occasion de caresser d’aussi belles et douces jambes dans sa vie. Il en profite bien le salaud ! Je fais toujours semblant de ne rien sentir.
L’audace de garagiste augmente et il remonte sa main vers ma petite motte encore tout humide.
Il est arrivé à l’endroit le plus doux de mon anatomie : l’intérieur de mes cuisses, juste devant l’entrée de ma chatte. Cette fois, je suis gênée et je bouge comme pour me rasseoir correctement dans le siège. Le garagiste prend peur et retire sa main. Je suis déçue.
Quelques minutes plus tard, la main du garagiste glisse à nouveau sur mes cuisses et, cette fois, il a l’air plus décidé. Il remonte doucement jusqu’à l’entrée de ma petite chatte et reprend ses caresses. Je ne bouge plus du tout. Ma respiration s’accélère au fur et à mesure de l’augmentation de mon excitation. Je sens ses gros doigts boudinés s’introduire dans mon intimité parfaitement lubrifiée.
Mes mains et mes bras sont comme collés, je n’arrive pas à les déplacer (je n’en éprouve pas l’envie de toute façon). Sa main frotte mon clitoris pendant que ses doigts fouillent mon vagin. Je respire la bouche ouverte en fermant les yeux.
Je pousse de petits gémissements sans même m’en rendre compte.
Je suis entièrement concentrée sur le mouvement de sa main et de ses doigts.
Je sens que la voiture ralentit. Je panique tout à coup ! Que va-t-il me faire ?
J’ouvre les yeux et malgré la pénombre, je reconnais la maison de mes parents.
La garagiste connaît bien le coin et avec l’adresse que je lui ai donnée, il s’est repéré immédiatement.
Il sort ses doigts de ma chatte trempée et les porte à mes lèvres. Je crois comprendre qu’il veut que je les suce. Je commence à les prendre en bouche mais il les retire :
– Pas comme ça ! Tu les lèches comme une sucette !
Il veut m’humilier complètement. Je sors ma langue et je commence à lécher ses doigts. J’imagine que c’est sa grosse queue que je suis en train de lécher.
– C’est bien. Tu lèches comme une bonne petite chienne.
Décidément, il me fera tout subir pour me rabaisser au rang d’un animal.
Une fois qu’il en a décidé, il me demande d’arrêter.
– Allez file ! Je passe te prendre demain à 9h et je t’amène chez le tailleur. Et habille-toi mieux que ça, on dirait une pute ! J’ai une réputation moi !
Et je rentre passer la nuit chez mes parents.
Mais mon père était à l’extérieur pour se balader au moment où j’arrivais avec le garagiste. Il m’a reconnu malgré la nuit qui tombait. Il a remarqué que quelque chose se tramait dans cette voiture. Il m’a vu jouir, il m’a vu sucer les doigts de ce monstre et il ne comprend pas.
Il ne comprend pas comment une fille, sa fille, si belle, si distinguée, avec une éducation stricte, comment sa fille peut se donner ainsi comme une pute à un parfait inconnu, un porc. Mais une idée commence à germer dans son esprit encore très vif.
Ca fait des années que je hante ses rêves. Ça a commencé à mon adolescence quand mon corps de fillette s’est transformé en corps de femme. Depuis il rêve de me baiser comme une pute. Il rêve de me faire subir les plus outrageux sévices. Il sait que c’est mal, un père ne doit pas avoir de telles pensées sur sa fille. Mais je suis trop bonne !
Il n’a jamais raté une occasion de m’espionner dans ma chambre ou sous la douche, pour me voir me caresser mon ventre, mes jambes, mes bras, en toute innocence. Quand j’ai commencé à fréquenter mon fiancé, il imaginait toutes les cochonneries que nous faisions ensemble. Mais en ce moment, il admire mes longues jambes dénudées qui sortent par la portière.
Il sait que ce soir, il a l’occasion de réaliser son plus grand fantasme, un fantasme odieux mais tellement bon : baiser sa fille. Au moment où j’allais descendre, je vois mon père. J’essaie de cacher mes seins avec ma veste. Je le connais bien et j’ai déjà remarqué son manège pour se frotter constamment à moi, pour me caresser.
J’ai honte, mais ça m’a toujours plu, et même excitée.
J’écarte donc les jambes pour qu’il ait une belle vue sur ma chatte toute mouillée et ouverte par les doigts experts du garagiste. Je laisse même ma veste s’ouvrir largement pour qu’il puisse baver devant mes seins. Je me retourne ensuite en cambrant mon dos pour faire ressortir mon petit cul bien dessiné (dont il est le coauteur !) simplement recouvert d’une minuscule jupette.
Il s’approche et je lui explique ma petite mésaventure, en évitant certains passages. Je ne sais pas encore qu’il m’a surpris tout à l’heure !
– Monsieur le garagiste, je vous invite à prendre un verre avec nous ce soir pour vous remercier de votre gentillesse.
Il me prévient alors que ma mère n’est pas là cette semaine. Elle est partie rendre visite à une de ses surs. Je serai donc seule ce soir avec deux mâles qui ne rêvent que d’une chose. J’entre donc dans cette maison, la maison de mon enfance accompagnée par ces deux hommes. Ils me frôlent chacun leur tour et je sens des mains qui glissent sur mes fesses.
Dans la maison, le garagiste demande où sont les toilettes.
Mon père me demande de le lui montrer pendant qu’il prépare un apéritif. Je l’accompagne donc jusqu’aux toilettes. Au moment de le laisser, il m’attrape par le bras :
– Tu viens avec moi pétasse.
Il m’embarque donc dans les toilettes et referme la porte. Il m’attrape par la gorge et me plaque contre le mur :
– Ta gueule ! Alors t’aimes te faire caresser petite pute. T’aimes ça hein !
Je n’ose pas bouger ni crier. Je suis comme l’antilope attrapée par le lion : je fais la morte pour essayer de décourager le dominant devant moi. Il exerce une pression sur mon cou pour m’obliger à m’agenouiller.
Puis il continue à baisser ma tête pour me mettre à quatre pattes, mais avec la tête dans la cuvette des toilettes (pas dans l’eau !), le cou reposant au bord. Il veut m’humilier, me rabaisser au niveau d’une ordure, d’une merde. Il admire son uvre pendant de longues secondes. Cette position humiliante me procure beaucoup de plaisir. Il soulève ma jupette et regarde mon cul. Puis il prend mes fesses entre ses mains et les écarte pour apprécier mon trou du cul :
– T’as une belle petite rondelle tu sais. J’m’amuserais bien avec elle tu sais.
Ce commentaire, dans cette position, me donne des frissons dans tout le corps.
– Bon là, on n’a pas le temps. Relève-toi, ton père nous attend.
Je m’apprête à partir mais il me retient :
– T’as rien compris ! Je suis venu pisser et ton père t’a demandé de m’aider. Tu sors ma queue et tu m’aides à pisser.
Je suis horrifiée par ces mots. Je ne bouge plus.
– Tu comprends rien. Tu sors ma queue et tu vises les chiottes ! Je vais t’aider.
Il ouvre donc sa braguette, me prend la main et la glisse dans son slip sale. Je sens sa vieille queue toute flasque dans mes longs doigts fins manucurés, au milieu de ses poils. Une odeur d’urine flotte maintenant autour de moi.
– Bon, y faut tout t’expliquer à toi. TU LA SORS !
J’extirpe donc cette grosse queue dans ma belle main de bourgeoise et il se met à pisser.
– Vise bien pétasse ! Sinon tu vas devoir tout nettoyer.
Et une fois qu’il a fini de se vider :
– Secoue-moi la queue. Allez !
Je m’exécute mais au fur et à mesure, je sens sa queue grossir, grossir, grossir. Mais elle ne va jamais s’arrêter de grossir ! Elle est devenue énorme, bien large et bien longue. Je n’en ai jamais vu d’aussi grosse.
– Sale pute, t’es contente de toi ! Maintenant que tu m’as excité tu dois me branler jusqu’au bout ! Pendant que je lui tiens la queue, il me fait asseoir sur la cuvette. Je suis maintenant face à lui, sa queue devant mon visage et je le branle.
– Tu sais pas t’y prendre salope. Laisse-moi faire et regarde !
Il prend sa grosse bite et se branle d’une main en me tenant à la gorge de l’autre.
– Regarde-moi dans les yeux putain !
Je vois son excitation qui monte. La pupille de ses yeux se dilate. Ses mouvements sont de plus en plus rapides. Il serre de plus en plus fort la main sur mon cou. Et tout à coup, ça y est, il vient.
Il lâche une première giclée de sa semence sur mon visage d’ange. Celui-ci est maintenant zébré du menton jusqu’au nez par cette première giclée. Mais la seconde arrive aussitôt et recouvre mon front jusqu’aux cheveux. Puis une troisième, une quatrième. Ça ne s’arrêtera donc jamais ! Mais la fin arrive. Ses grosses couilles sont maintenant vides.
Le sperme glisse lentement sur mon visage mais je reste parfaitement soumise. J’attends ses ordres pour bouger. Un "morceau" de sperme dégouline doucement sous mon menton. Et le vieux me regarde avec son regard de dominateur qui me montre qui je suis réellement. Il attrape ce sperme qui pend lamentablement au bout de mon menton et me l’introduit de force dans la bouche.
– Avale salope !
Puis il étale le reste sur votre visage, me refaisant un maquillage… naturel. Il me relève, me plaque contre le mur et me claque le cul pour bien terminer cette session.
– Bon va te laver maintenant, t’es qu’une grosse dégueulasse.
Et il part rejoindre mon père.
J’ai encore le goût du sperme mélangé à son urine dans la bouche. Je suis dégoûtée par ce qu’il m’a fait subir. Le garagiste s’est ravisé. Il a une meilleure idée. Il attrape le papier toilettes et m’essuie lui-même le visage. Il laisse bien en évidence sa semence dans mes cheveux.
– Tu viens comme ça ! Ça va exciter ton vieux. J’ai remarqué qu’il te matait et qu’il se frottait à toi. Tu vas lui donner un beau spectacle ce soir. Un spectacle inoubliable. À chaque fois que je ferais tomber un truc par terre, tu te lèveras pour le ramasser. Mais tu n’as pas le droit de plier tes jambes ! Tu les garderas tendues et tu tourneras ton cul vers ton père.
Il m’attrape par les cheveux et les tire tout en ramenant mon visage près du sien.
– Compris salope ?
– Oui, j’ai compris !
Et il ajoute :
– Tu t’assoiras les jambes écartées, devant ton père pour qu’il puisse voir ta belle chatte toute rasée.
Je reviens dans le salon avec le garagiste. Mon père remarque des traces blanchâtres dans mes cheveux mais il est obnubilé par mes jambes et mes seins qui pointent à travers le t-shirt transparent. Je m’assois comme la garagiste me l’a demandé dans le fauteuil en face de votre père. Mais je n’ose pas ouvrir mes jambes. Le garagiste assis juste à côté de moi glisse une main sur mes cuisses et exerce une pression pour m’obliger à écarter mes cuisses. Je cède !
Mon père qui reluquait déjà mes jambes ne comprend pas pourquoi je me laisse faire par cet inconnu mais voit immédiatement ma petite grotte. Il rougit d’excitation et des perles de sueur glissent sur ses tempes. Voyant l’effet provoqué sur mon père, le garagiste écarte encore plus mes cuisses et se met à les caresser.
Impressionnée par la volonté de ces deux dominants, je me laisse faire comme dans la voiture. Mes bras le long du corps, je n’ose pas bouger.
Mon père et le garagiste commencent à discuter voitures pendant que le garagiste continue à caresser mes jambes devant l’il hagard de mon père. Toutes ces années à me mater, à fantasmer sur moi, et je suis là à m’exhiber devant lui, pendant qu’un inconnu me caresse l’intérieur des cuisses. Le garagiste remonte ses mains toujours plus haut, remontant complètement ma jupe et dévoilant toute mon intimité.
Le garagiste toujours plus vicieux profite de ce moment pour laisser tomber son verre vide sur le tapis du salon.
– Ramasse !
Je me lève, hypnotisée par son ordre. Je l’exécute dans les moindres détails, comme il me l’a demandé. Je tourne le dos à mon père, faisant face au garagiste, et je baisse mon torse sans plier les jambes. Je me retrouve le cul à l’air devant mon père qui peut reluquer mes petits trous. Sa queue est raide. La bosse sur son pantalon le prouve. Le garagiste est aux anges, il m’empêche de me relever en tenant ma tête. Cette exhibition incestueuse me rend folle d’excitation. Je ne sais plus ce que je fais.
Le garagiste voit mon état d’excitation ainsi que celui de mon père. Il sait que c’est le moment de porter le coup de grâce. Il dit alors :
– Votre fille a fait une grosse bêtise tout à l’heure dans les toilettes. Elle mérite une punition mais vous êtes le mieux placé pour la lui donner !
Je le regarde interloquée. Mais que va-t-il dire ? Ne m’a-t-il pas déjà assez humiliée comme ça. Qu’il s’en aille ! Et le garagiste reprend :
– Elle a tout d’abord voulu entrer avec moi dans sa tenue de pute. Elle m’a dit qu’elle voulait voir ma bite car celle de son copain ne la satisfait apparemment pas. J’ai dû sortir ma queue. Quand elle l’a vu, elle est devenue folle.
Mon père n’en croit pas ses oreilles. Il est excité, il est dur… Et le garagiste continue :
– Elle m’a pris la bite et m’a dit de pisser. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais vu d’aussi grosse bite. Une fois fini, elle a commencé à me la secouer. Je ne suis qu’un homme et ça m’a excité. Ma queue a durci et elle m’a branlée, comme une professionnelle. C’est sûr, ce n’est pas la première fois qu’elle fait ça !
Je fais non de la tête. C’est faux, il ment mais je n’ose pas parler. Et le garagiste continue :
– Quand elle a vu que j’allais venir, elle s’est mise à genoux devant moi et j’ai tout craché sur son visage. Une vraie pro, une pute !
Mon père ne sait pas quoi répondre tellement il est impressionné par la situation. Mais le garagiste l’aide :
– Je pense qu’elle mérite une punition ! Une fessée cul nu ?
Mon père se reprend très vite, il a l’habitude dans son métier :
– Oui c’est ça, une fessée. Viens ici Emmanuelle !
La situation m’échappe totalement. Je ne suis plus qu’une poupée entre les mains de ces deux pervers, dont mon propre père. Le garagiste me laisse me relever avec un petit sourire vicieux. Mon père m’attrape par le bras et m’attire à lui.
Il me fait m’allonger à plat ventre, sur ses cuisses. Je me retrouve comme une petite fille qui va être punie par son papa. D’une main, il me presse le dos pour que je ne puisse pas m’échapper et il relève ma petite jupette de l’autre. Je suis maintenant cul nu devant mon père. Il commence par caresser mon joli cul avec ses grosses mains. Je sens sa grosse queue gigoter à travers son pantalon. Il continue ses caresses jusqu’à mon sexe qu’il effleure.
– Mais tu aimes ça Emmanuelle ! Tu es toute mouillée ! Tu es une vraie petite salope ! Une putain !
Emporté par son excitation, il m’assène une première claque sur les fesses. Je pousse un petit cri de surprise. Il reprend ses caresses. Ça fait tellement longtemps qu’il rêve de ce moment, il profite donc de chaque instant. Il revient vers ma chatte qui s’ouvre et par où s’écoule ma mouille. Il introduit un de ses gros doigts. Ma chatte est tellement mouillée qu’il s’introduit sans peine. Il me masturbe avec son doigt et je gémis de plus en plus. Il sort alors son doigt et CLAC ! Une deuxième claque tombe sur mon cul.
– Salope ! – Puis une troisième – Sale pute !
Une quatrième et ainsi de suite. Mon cul est tout rouge. Ma chatte coule. Il reprend sa masturbation.
– Alors Emmanuelle, t’aimes jouer les grandes dames avec ton copain. Tu te prends pour la plus belle. Mais t’es la reine des salopes tu sais. Seules les salopes se font caresser par leur père comme ça !
Et je ne dis rien. Humiliée, utilisée comme un objet je me tais mais intérieurement je jouis comme jamais.
– Quand tu viens à la maison avec ton fiancé, t’aimes bien baiser bruyamment la nuit. Tu sais que ça m’excite. Tu le fais exprès ! Maintenant c’est moi qui vais profiter de ton beau corps de bourgeoise et pas ton copain.
Je suis toujours allongée à plat ventre sur les cuisses de mon père. Il trempe ses doigts dans ma chatte dégoulinante et utilise ce fluide pour lubrifier ses doigts. Il caresse alors ma petite rondelle anale. Je panique. Non, je ne veux pas !
– Non pitié laisse moi ! Tu as eu ce que tu voulais ! Laisse-moi !
Je tente de me tourner mais mon père me tient fermement. Je remue mon joli petit cul, ce qui a pour effet d’exciter encore plus mon père.
– Je suis loin d’en avoir fini avec toi. Je te laisserai une fois que ma bite aura visité chaque recoin de ton corps ! Je vais te faire crier, hurler de plaisir ma petite Emmanuelle ! J’ai besoin de vider mes couilles !
Ses propos me choquent mais je sens le gros doigt de mon père pénétrer dans mon petit trou. Celui-ci n’est pas habitué à ce genre de visite. Il se contracte pour empêcher l’intrus d’entrer. Mais l’indésirable doigt est plus fort d’autant plus qu’il est aidé par mon propre lubrifiant. Mon père commence ses mouvements de va-et-vient dans mon trou du cul. Je le laisse faire. Ma tête retombe comme une poupée de chiffons.
Le garagiste voyant que la situation devient très torride, en profite pour s’approcher de moi, tout en sortant sa grosse queue.
– Je crois que vous êtes très dur avec votre fille Monsieur. Finalement c’est une gentille petite fille qui veut faire plaisir à son papa. Elle mérite bien une petite récompense.
Et il s’approche de mon visage, la queue bien tendue. Mon père a immédiatement compris.
– Oui c’est ça. Le gentil Monsieur va t’offrir une petite sucrerie ma chérie. Tu vas la sucer bien gentiment.
Il me relève la tête, me présente sa queue tendue et la fait glisser sur mon visage. Je me rappelle encore du sperme qui a giclé dans mes cheveux tout à l’heure. Sa bite est toute baveuse, et je n’aime pas cette sensation humide sur mon visage. Il dirige maintenant son dard sur mes lèvres et tente d’y pénétrer mais je serre ma mâchoire.
– Tu avales salope, sinon tu vas te prendre autre chose que mon doigt dans ton cul Emmanuelle – dit mon père.
Le garagiste acquiesce bruyamment, et sort de sa poche un anneau de fer, c’est une précaution pour les viols de pute cela maintient la bouche ouverte ! Il me pince le nez, j’ouvre la bouche et il me place cet anneau malgré mes cris et devant mon père stupéfait qui se dépêche de me faire la leçon !
– Regarde-moi dans les yeux quand tu me suces salope ! Je savais que t’étais une vraie salope Emmanuelle. J’attends ça depuis trop longtemps !
Il introduit son deuxième doigt bien lubrifié dans mon anus qui s’élargit un peu plus pour laisser de la place aux visiteurs. Le garagiste continue sa masturbation dans ma bouche.
– Pompe-moi salope ! Caresse-moi avec ta langue sale pute !
Je suis ses ordres humiliants sans broncher. Je fais des bruits dégradants de succion et de la bave commence à couler par mes lèvres. Le garagiste s’enfonce maintenant plus loin. Il essaye de me toucher le fond de la gorge ce qui a pour effet de me provoquer des haut-le-cur et augmente la sécrétion de bave. Il sort sa bite de temps en temps pour me laisser respirer. Elle sort avec un filet de bave. Il me dit :
– Alors Salope, t’as pas l’habitude d’être traitée comme ça par les hommes ! T’es tellement belle que d’habitude ce sont eux qui sont à tes pieds. Tu peux en faire ce que tu veux. Mais là t’as de vrais hommes qui te traitent comme une traînée. Je suis sûr que t’aimes ça en plus !
Il replonge sa bite dans ma bouche.
– Alors réponds-moi, t’aimes ça ?
–
Et j’essaye de répondre, la bouche pleine :
– Arggh ! hmm ! bfp !
– Ha Ha Ha ! Tu ne sais pas articuler ? Je comprends rien ! Ha%