Ceci est la suite de nos échanges virtuels sur internet.
ELLE:
…………je regarde des vidéos gay sur le net………………..tout ce que je veux!, à vos ordres…………….
Il nous reçoit dans sa maison. 14h pile, il referme le portail derrière nous. Il a un grand chien qui nous suit, mais il le laisse dehors disant que sinon il voudrait participer.
Il nous emmène au salon, où des verres et des grandes bouteilles d’eau sont installés, en prévision du plan pisse.
On se déshabille entièrement, sans perdre une seconde. Je m’installe dans un fauteuil, munie d’un gode que j’ai apporté et je vais assister au spectacle que vous allez m’offrir.
Vous êtes debout, face à face, tout prêt l’un de l’autre. Vos mains s’avancent vers le paquet de l’autre, et vous vous tripoter pour estimer la marchandise, tandis que vos bouches se rapprochent pour un doux baiser. Elles se séparent, puis se ressoudent, pour cette fois un patin fougueux. Ca monte en intensité, et vous vous roulez des pelles voraces, vous vous bouffez la poire, vous vous léchez la gueule, en même temps que vous vous astiquez le manche. Tu lui adresses quelques mots, à voix haute pour que je puisse entendre:
— Tu es un bon toi, tu es chaud, ça t’excite de baiser avec un homme.
— Oui, surtout si c’est un salaud, comme je crois savoir.
— Tu sais bien, mais tu n’es pas mal toi non plus il parait. On est des grosses putes tous les deux.
Vous vous embrassez à nouveau goulument, vous vous branlez, jusqu’à ce qu’il te fasse arrêter. Il y a trop longtemps qu’il n’a pas eu d’amant et il est trop excité. Il essaie de se calmer pour ne pas jouir, mais c’est trop tard, il est au point de non retour. Tu as juste le temps de te baisser pour le prendre en bouche, qu’il décharge et que j’imagine ses giclées recouvrir ta langue. Tu le laisses se soulager dans ta bouche accueillante puis te relèves pour exhiber ton réceptacle rempli de sa généreuse semence. Il te tend ses lèvres et vous vous roulez une pelle au sperme.
Je me branle comme une folle et me demande si c’est une bonne idée de vous avoir fait vous rencontrer.
Il s’excuse pour son éjaculation précoce, te dit qu’il avait trop envie d’un mec, et tu le rassures, le pardonnes, lui disant que l’on a tout notre temps et qu’il va pouvoir se rattraper. Puis tu lui proposes de te sucer en entendant qu’il soit à nouveau en forme. Il ne se fait pas prier et tu viens devant moi pour que je le vois te pomper sous mes yeux. Il te fait une pipe d’enfer, comme je n’en ai jamais vue dans les vidéos, et tu l’encourages, le félicites; lui disant qu’il suce aussi bien que moi. Je ne suis pas dupe, ou alors jalouse, mais je sais qu’il suce mieux que moi. Il te pompe voracement, salive en abondance, avec de bruits de sucions insupportables. Je me gode tant que je peux et je suce mon joujou recouvert de ma délicieuse mouille:
— Salauds, putassiers, vous me faites trop mouiller.
Tu succombes à sa fellation experte, et éjacules dans sa bouche en balançant les pires insultes et obscénités. Je me gode profond et suce mon joujou encrémé de ma cyprine, en regrettant qu’il ne soit juteux, du bon jus de couilles comme j’en raffole.
Il a sa bouche remplie de ton foutre et se relève pour te proposer une pelle à laquelle tu ne résistes pas. Je jouis de toute mes forces, putains de chiens, vous me chauffez à blanc.
Vos lèvres se dessoudent et tu lui demandes de t’enculer. Sa bite n’est pas encore au top, ton fion n’est pas prêt, et vous vous décidez pour un 69 qui arrange tout. Tu le pompes et il te bouffe le cul. Je n’en reviens pas du plaisir que vous vous donnez entre hommes, et je regrette de plus en plus mon plan; tu ne le sais pas mais je suis jalouse de vous voir vous éclater sans moi, surtout toi.
Ton cul est prêt et tu es debout, penché en avant, ton cul face à mes yeux, en attente de te faire saillir. Sa bite a repris de l’ardeur à ce vieux salaud, et il t’embroche sauvagement, te faisant hurler de plaisir. Il te lime, te ramone, en te traitant de tous les noms, pute, salope, j’en passe et des meilleures. Il va jouir, se retire, et tu lui offres ta bouche. Il te baise la gueule et décharge direct dans ta gorge.
C’est maintenant à ton tour de le sodomiser et il est complètement fou d’impatience. Tu lui bouffes le cul, je vois ta gueule de gros porc vicieux enfouie entre ses fesses d’enculé. Je me doigte le cul, tu me donnes des envies. Tu lui a ouvert son petit trou, et il s’installe à quatre pattes sur la table basse du salon pour attendre ta pénétration. Tu l’enfiles, lui casses le cul, en disant à quel point c’est bon de se faire un trou à merde. Je le prends un peu pour moi, moi qui t’aie toujours refusé le mien. Je regrette de plus en plus mon plan, j’aime nos baises et j’ai peur que tu m’abandonnes pour lui.
Tu vas jouir toi aussi, et comme tu l’a fait pour lui, il va t’offrir sa bouche. Hummm, comme j’aimerais être à sa place. Je me gode le cul, mon cul qui mouille autant que ma chatte.
La partie baise est terminée, on va passer à la partie pisse.
…………….vous m’avez fait écrire notre premier plan pisse, alors à vous pour celui la……..Bisessssssssssssss
Anne-laure
MOI:
………….Ok pour le plan pisse, mais avant je veux te féliciter pour ton long message superbandant……………………
Il nous entraine dehors et fait rentrer son chien renouvelant le prétexte qu’il voudrait participer. Il a un coin de terrain à l’abri de tout regard, et sur lequel il a étendu une bâche. On est face à face, lui et moi, et tu restes à l’écart pour nous observer. Chacun tient sa queue et c’est à qui pissera le premier. C’est lui qui démarre et je retiens mon envie. Il me pisse sur le ventre puis son jet remonte sur mes seins. Je me caresse pour étaler son urine chaude sur tout mon corps. Son jet remonte encore, jusque dans ma bouche grande ouverte qui l’invitait à venir. Il coupe son robinet et je lui montre ma bouche remplie de son liquide. Il me demande de l’embrasser.
Nos bouches se rejoignent, et après des pelles sperme voici que tu assistes à des pelles pisse. Tu te masturbes à fonds la caisse, et nous insultes sans retenue.
On en a rien à foutre de tes injures, on est à fonds dans notre truc et on te laisse te faire plaisir, tout comme on se fait plaisir.
C’est maintenant à mon tour de pisser et il se régale à se laisser arroser. Je pisse dru dans sa bouche ouverte et il se penche pour remonter mon jet jusqu’à la source. C’est trop bon, il me suce, je pisse, et il engloutit tout.
On recommence plusieurs fois à se pisser l’un dans l’autre, puis on se décide pour un 69 très liquoreux.
Cette fois on ne tient pas notre bite pour pisser, mais celle de l’autre. On peut ainsi diriger le jet au gré de nos envies, pour se remplir la bouche ou s’asperger la gueule.
Tu as beaucoup bu toi aussi, et tu n’en peux plus de te retenir. Tu nous rejoins sur la bâche, mais tu restes debout alors que l’on est allongé à tes pieds. Tu ouvres les vannes et je suis le premier a bénéficier de ta douche. Tu m’arroses le visage, tu arroses sa queue. Je retourne la tête pour t’offrir ma bouche grande ouverte. Tu me sers à boire puis changes de place pour faire maintenant sur ma queue et sur sa tête; il t’offre sa bouche lui aussi;
On a fini d’uriner mais pas toi, puisque tu as commencé plus tard. On est à genoux face à face, et on tourne la tête vers toi. On te sert de double urinoir que tu vas utiliser peu à peu pour faire durer le plaisir. Tu balances une petite dose dans nos bouches insatiables. On se tourne l’un vers l’autre, on se crache ta liqueur à la gueule, on se lèche la poire, on se roule une pelle, et on revient vers toi. On recommence de nombreuses fois, jusqu’à ce que ta source ne coule plus.
Il y a des petites flaques sur la bâche, et on se met à quatre pattes pour y boire. Je lève la tête et je vois que tu nous a rejoint. On est comme trois bêtes autour d’un point d’eau , et on va se désaltérer de ce délicieux breuvage, mélange de nos trois urines.
La séance est finie, on reste un peu dehors pour sécher, puis on revient à l’intérieur pour prendre une douche. Le chien lui fait la fête, lui saute dessus, et une fois de plus il le met dehors avec quelques petits mots:
— Sois mignon, papa est occupé, on jouera tout à l’heure.
Il est sous la douche et on se regarde avec la même idée. Ca fait trois fois qu’il à une phrase équivoque envers son chien, et on se demande s’il fait l’amour avec, et s’il accepterait de le faire devant nous. Il revient et c’est à notre tour d’aller à la douche, toi, puis moi.
On s’est rhabillé, on est au salon et il nous sert un gâteau avec du café. On discute, sexe bien entendu, et j’attends le bon moment pour lui poser la question:
— Il est beau ton chien, il doit être bien monté. Tu baises avec?
…………………..à toi pour la suite……………si ça ne te plait pas , tu lui fais répondre "non" et tu passes à autre chose…………………bisessssssssssssss
Eric
ELLE:
……….C’est moi qui ai eu l’idée du chien la première, alors je ne peux que continuer…………………………..
Je n’aurais jamais osé lui poser cette question, et je suis contente que tu le fasses:
— Il est beau ton chien, il doit être bien monté. Tu baises avec?
— Oui, bien sûr, c’est pour ça que j’ai pris un chien.
— Et pas n’importe lequel, il est grand, il doit être bien monté.
— Pour ça oui, il est bien gaulé. Et toi, tu as déjà essayé?
— Non, je n’ai jamais eu l’occasion.
— Je te le prête si tu veux, et je reste avec toi pour te tranquilliser.
— Une autre fois, pourquoi pas. Par contre j’aimerais le voir en action; tu veux bien nous faire une démonstration.
Il est enchanté de ta demande, il a très envie de son chien, et il adore s’exhiber.
Il ressort pour aller chercher son ami canin, et on les suit à la chambre. Il se fout à poil et s’agenouille pour s’occuper de la bite de son chien. Il le caresse, le branle, le fait bander, pour faire sortir son sexe de son étui. Il est à l’air libre, et il le prend en bouche pour le sucer. Tu bandes comme je mouille à la vue de ce spectacle, et on baisse le bas pour se masturber, chacun pour soi.
Il pompe un court instant et se relève. Il a du recevoir une première giclée qu’il recrache dans sa main, pour se torcher le cul, lubrifier l’entrée de son conduit. Il s’agenouille contre le lit, sur une couverture épaisse pour être à la bonne hauteur. Il se penche sur le lit, écarte ses fesses, et donne l’ordre à son chien de le prendre.
Le chien vient sur lui, et après quelque coups de bites à l’aveugle il finit par taper dans le mille, et peut commencer sa saillie. Son patron se prend un pied pas possible, il gémit, il grogne, et il encourage son animal, comme s’il pouvait le comprendre:
— Oui, c’est bien mon chien, tu me baises bien……………je suis ta femelle, ta chienne…………….baise papa mon bébé……………………c’est bon tes coups de queue, ce chibre que tu as, tu es le meilleur…………………………j’aime trop ton sperme qui coule à répétition, en abondance……………………………….remplis moi le ventre de ta semence, féconde moi, inonde mes reins……………………………………………………..
Son chien n’en finit plus de le sodomiser, et nous de nous branler. Je mouille à flots, tu te tiens une trique d’enfer.
J’ai passé l’après midi à vous regarder forniquer, et maintenant je le vois se faire défoncer par son chien queutard. C’est insupportable, je n’en peux plus, je me tourne vers toi:
— Encules moi, encules moi, j’ai envie.
…………………………je vous laisse continuer……………………………………BISE.
Anne-laure
A SUIVRE