C’était en 2011, mon premier nouvel an en région parisienne. Ma vie personnelle était compliquée et je n’avais rien prévu pour cette soirée de l’année un peu spécial. Je résidais dans un petit studio depuis un peu plus de 6 mois et je ne connaissais personne de mes voisins. Étant étudiant, mon studio me servait surtout pour dormir et ramener quelques filles chez moi.
J’avais donc symboliquement commencé ma soirée avec un repas un peu plus raffiné que d’habitude, avait surfé sur le net pour me rendre compte que je n’étais pas le seul dans cette situation et avait fini la soirée en regardant le film "Nuit d’ivresse" avant d’aller me coucher vers 2H du matin.
Je suis sorti de mon sommeil par des bruits dans le couloir, quelqu’un essaye de rentrer chez lui apparement mais n’y arrive pas. Je me rendors mais suis reveillé un petit peu plus tard par des sanglots dans le couloir. Sur le coup, je me dis que ce n’est pas mon problème mais comme je n’arrive pas a dormir à cause de ça…
Je décide de m’habiller et d’aller voir ce qui se passe. J’ouvre la porte et je vois un peu plus loin sur ma droite, une femme mince, plutôt d’âge mûre, accroupit contre le mur du couloir en train de pleurer.
— Bonsoir, qu’est ce qu’il vous arrive ?
— J’ai perdu mes clés et je ne peux pas rentrer chez moi ! J’étais avec des amis sur les Champs et on m’a volé mon sac à main avec toutes mes affaires dedans. J’ai bien essayé de dormir dans ma voiture mais il faut trop froid et ici il ne fait guère plus chaud.
— Voulez vous que je vous prête mon téléphone pour appeler quelqu’un ?
— Non merci, mes amis m’ont raccompagné jusqu’ici, je ne vais pas les reveiller à nouveau maintenant qu’ils doivent dormir… Tant pis, je vais retourner dans ma voiture mettre un peu de chauffage et je reviendrais dormir ici après – me dit elle tout en pleurant.
Je ne savais trop quoi faire et naturellement je lui demande
— Voulez vous venir dormir chez moi ?
Elle a levé la tête d’un coup, m’a regardé comme si on proposait un verre d’eau à une personne mourrant de soif et s’est levée sans dire un mot. Mon appartement n’étant pas très bien isolé, j’avais un peu forcé sur le chauffage ce soir là et quand nous sommes rentré tout les deux, nous avons tout de suite eu très chaud.
On échange nos prénoms et Mademoiselle B (appelons là comme ça) enlève son manteau tout en regardant l’intérieur de mon appartement d’étudiant (gros bordel). Ses larmes commencent à sécher pour laisser place à un timide sourire et je lui propose de boire quelque chose avant de nous coucher.
Après un petit thé très agréable, je commence a me déshabiller pour me mettre au lit, en caleçon, comme a mon habitude. Mademoiselle B se retrouve en petite culotte à cote de moi et garde son haut. J’éteins la lumière et la discussion se fait de plus en plus détendue avec quelques blagues.
Je commence à m’endormir quand j’entends Mademoiselle B me dire :
— Romain ? (prénom d’emprunt) Tu dors ?
— Non
— Dis moi, est ce que tu as une petite copine ?
— Non
— Oh comment ça se fait ? Tu es très mignon tu sais…
— Je ne sais pas, je crois que c’est moi qui préfère rester célibataire.
— D’accord…
Un silence s’en suit mais je sens que Mademoiselle B a une idée derrière la tête.
— Romain, tu crois pas qu’on devrait se faire plaisir ? C’est le 1 janvier, on a bien le droit à notre petit cadeau nous aussi ?
— Je ne sais pas trop, quel genre de cadeau… (Cette femme me plaisait, mais j’étais un peu surpris par la situation)
— Romain, j’ai très envie que tu me fasses l’amour…
C’est alors que je me suis retourné et que j’ai embrassé tendremment cette femme mûre qui était ma voisine. Je commençais à caresser son corps mince et ses grandes jambes quand elle me repoussa sur le lit.
J’étais alors sur le dos et je sentis qu’elle commençait à me branler doucement en embrassant mon corps. Elle fini par tirer mon caleçon et je senti mon sexe pénétrée dans quelque chose de chaud et humide. Ma voisine était entrain de me sucer comme une experte et j’aimais ça. Avec mes mains je caressais ses cheveux tout en l’écoutant gémir en pratiquant cette fellation.
Quelle salope quand même, ai-je pensé !
Je sentais que j’allais venir dans sa bouche, je lui ai alors demandé d’arrêter, je l’ai poussé à mon tour sur mon lit et j’ai commencé à embrasser tout son corps. Ce n’était pas le corps d’une jeune fille mais il était très excitant ! Je retire sa petite culotte et me retrouve devant un sexe blond et poilu. Je ne peux m’empêcher de poser ma bouche dessus et lui fait un cunni, je l’entends gémir et ça me plait beaucoup…
— Romain, prends moi maintenant !
J’ai commencé par la prendre doucement comme ça, allongée sur mon lit, elle me caressait les fesses en même temps, ce que j’adore. Puis ses carresses sont devenus plus insistantes pour finir par accompagner ce mouvement de va et vient. Je voulais ralentir mais elle m’en empechait.
— Vas y, vas y, oui….
J’ai alors laché plusieurs jets puissants en elle et nous nous sommes endormis comme ça….
Le lendemain, Mademoiselle B contacta un ami pour ouvrir son appartement. Après plusieurs minutes à tenter d’ouvrir la porte et le silence revenu, on frappe à ma porte. C’est Mademoiselle B
— Salut Romain, je te présente mon ami Pierre qui m’a aidé à ouvrir mon appartement.
Nous échangeons une poignée de main et Mademoiselle B me dit avec le sourire
— ll est au courant de notre petite soirée…
A suivre….
