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les femmes de 40 ans – Chapitre 1

les femmes de 40 ans - Chapitre 1



J’étais à un soirée chez ma cousine Brigitte.

Nous étions une cinquantaine d’invités.

Nous étions quasiment tous en couple.

La moyenne d’âge dans les 45 ans.

Il y avait beaucoup de jolies filles habillées sexy.

Mon épouse un peu grippée était restée à la maison.

J’avais quartier libre et je ne m’en privais pas.

Bon danseur, j’avais un franc succès et j’en abusais.

Beaucoup de maris délaissant leurs épouses préférant la bière à la danse nous les abandonnaient.

Ces femmes de 40 ans, superbes encore, délaissées s’abandonnent très facilement à tous les ébats furtifs pour se rassurer de leurs charmes résiduels.

Je me souviens de Nadine, brune assez grande,cheveux châtains mèches, habillée d’un pantalon fluide noir avec un top blanc moulant une poitrine plus que prometteuse, qui dansait admirablement les rocks.

Je l’ai accaparé presque toute la soirée, son mari ignorant quasiment son existence.

Elle sentait bon, elle était fraîche, tout me plaisait en elle.

On a beaucoup dansé, elle n’était pas farouche, et lors de slows, on pouvait avec elle tout faire.

Je la tenais serrée, une main dans son dos, une autre sur ses fesses.

Elle avait un bassin proéminent.

On était serrés l’un contre l’autre.

Elle ne pouvait ignorer que je bandais ferme. Elle ne faisait rien pour éviter cet état de chose et même faisait tout pour pérenniser le contact entre nous.

J’étais bien,tendu contre elle, frottant ma virilité contre son bassin, au bord de l’implosion, j’aurais voulu l’embrasser, mais l’environnement n’était pas propice aux épanchements.

Je n’ai pu retenir mon éjaculation trois slows.

Elle en a eu un orgasme cérébral contenu …

C’est assez déçus que nous nous quittâmes en fin de soirée.

Elle me glissa un papier avec son numéro de portable et une note: mari absent tous les lundis après midi.

J’étais aux anges.

Le premier lundi, j’étais chez elle, j’allais pouvoir profiter de tout d’elle.

C’est habillée d’une jupe ample et d’un top sans soutien qu’elle m’accueillit.

On s’est embrassé sur le pas de la porte un temps fou. On se voulait l’un l’autre. J’avais ma main sous sa jupe, au contact de son entre-jambes enveloppé dans de la soierie excitante à merci.

Je la sentais se liquéfier petit à petit sous ma main massante.

On a gagné le salon tout en s’embrassant et on s’est laissé tomber dans le premier fauteuil venu comme de jeunes amoureux.

On s’est découvert mutuellement avec tendresse et patience.

Des seins magnifiques, bien durs et excités, bien accrochés que j’ai caressés, massés, sucés à merci.

Une chute de reins et des fesses rebondies comme j’aime.

Des lèvres vaginales bien développées et un clitoris bien développé que j’ai fait sortir au maximum de sa cachette.

J’avais un trique d’enfer.

Elle me libéra pour m’emprisonner dans sa bouche. Bon dieu quelle fellation d’enfer!

Elle m’a bu jusqu’à la dernière goutte.

On était bien. Je m’occupais d’elle, je me délectais de son jus de femme.

J’ai toujours aimé m’abreuver à la source de femmes mariées délaissées.

Laissée au bord de l’orgasme, je l’ai pénétré et limé et amené à l’orgasme fou qui m’a fait éjaculer en elle.

Plaisir fou, fou, fou.

Le pied total.

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