On a passé une annonce pour rechercher un couple black, grand-père et petite fille, incestueux comme nous. Contre tout espoir on a eu deux réponses sérieuses, et après quelques échanges on se décide pour une rencontre à six.
Ce sera dans deux semaines, chez moi, et enfin arrive le jour tant espéré. Ils sont là à onze heures du matin, et on fait les présentations. Il y a:
— Yannick, 65 ans, (23×5,3 d’après ses messages) et sa petite fille Emma, 20 ans.
— Charlie, 68 ans, (25×6 d’après ses messages) et sa petite fille Vanessa, 18 ans.
— Moi même, Eric, 62 ans, et ma petite fille Anne_Laure,19 ans. Elle a mesuré ma virilité pour comparer et se faire une idée, et a trouvé un 18×4,5 qui lui convient parfaitement.
Ils devaient arriver pour midi, que l’on aille déjeuner ensemble, mais ont une heure d’avance. Du coup on va se faire une petite séance sympa avant d’aller manger. Je nous sers un apéro, et on s’assoit (nous les hommes) dans le canapé et fauteuils, les pattes écartées. Les minettes viennent s’agenouiller devant nous, chacune devant son grand-père afin de démarrer en douceur et en confiance.
Elles ont baissé nos pantalons et slip ou caleçon, et commencent à s’occuper de nos queues, comme elles le font en secret sauf que là c’est en présence de quatre inconnus. Ca ne semble pas les troubler, et nous non plus vu la rapidité avec laquelle on bande. Je félicite ma chérie, l’encourage, et n’hésite pas à l’insulter , sachant avec nos échanges que nos partenaires adorent eux aussi les injures et la vulgarité. Ils me le prouvent en traitant leur petite progéniture de la même façon.
Les filles se regardent de temps en temps, comme pour se rassurer de ne pas être une perverse unique, mais aussi par convoitise, envie de connaître un autre sexe. C’est Anne-Laure qui se décide la première et demande à Emma si elle veut inverser. Elle est ravie de la proposition, et nos bites ont vite fait de changer de bouche.
Je vois ma petite fille se jeter comme une affamée sur cette queue tant rêvée et conforme aux dimensions annoncées, mais je vois aussi ma bite disparaître dans la bouche de ma nouvelle copine:
— Hummm, c’est bon comme tu me la bouffes toute. Remarque, pour toi, c’est une petite!
On leur a demandé de nous tutoyer, et elles s’adaptent facilement:
— Oh non, elle est très belle ta bite, et puis surtout elle doit pouvoir passer partout, pas comme celle de papy.
— Dis moi, je me trompe ou c’est une proposition!
— Peut-être, on verra cet après-midi. Pour le moment je te suce, et j’aime bien.
— Tu préférerais sans doute celle de Charlie?
— Tu es un coquin toi! C’est surtout que tu voudrais Vanessa; à peine une nouvelle bouche, et il t’en faut une autre.
— C’est pour cela que l’on est là, non!
— Ok salaud, mais tu vas le regretter. Demande à papy, je suis la meilleure.
Elle se lève et change de place avec Vanessa.
Nos petites filles sucent maintenant des inconnus, et tout le monde en semble satisfait. A partir de là elles se remplacent rapidement et nous font bénéficier tour à tour de leurs trois bouches expertes, aussi accueillante l’une que l’autre, ma petite fille s’étant immédiatement adaptée aux gros calibres qu’elle gobe tout entier, comme les deux petites filles de leur heureux propriétaires.
On est au paradis, nous les papy vicieux, mais pour autant on n’en oublie pas l’heure. Il faut que l’on y aille vu que j’ai réservé, et on s’entend pour ne plus se retenir, s’abandonner, jouir ensemble. Nos petites salopes ont tout compris, et s’activent sur nos manches; Elles ont changé de place une dernière fois, et chacune pompe son papy, pour lui vider les couilles en toute sécurité et avaler cette semence incestueuse tant appréciée.
On sort et on gagne le resto à pied. Les filles sont devant et semblent rigoler entre elles, on se plait à les regarder, à mâter leur cul, et on se félicite d’avoir des pettes filles aussi jolies et aussi salopes. Deux heures plus tard on est de retour et on va pouvoir démarrer nos séances de sexe. On se sépare en deux, j’emmène les deux jolies filles noires dans ma chambre, tandis qu’Anne-Laure emmène leurs grands-pères dans la sienne.
On se déshabille, je suis à poil, mais j’ai demandé aux filles de garder leur dessous, le bas, pour leur ôter moi-même. Je prends Emma dans mes bras, on se roule une pelle et je lui masse la chate. Ma bouche descend rapidement dans son cou, sur ses petits seins bien fermes, sur son ventre, son bas ventre. Je descend sa culotte lentement, centimètre par centimètre, pour prendre le temps de découvrir son ravissant petit minou. Elle relève une jambe à ma demande, et je peux ouvrir ses lèvres pour contempler son intérieur. Je suis fasciné par le contraste de son vagin rose et de sa vulve noire, de même que je suis par le contraste de sa langue et de son visage. Je dépose de gros bisous dans sa fente, quelques coups de langue, et je me relève. J’ai été rapide pour ne pas que Vanessa se sente délaissée, et je vais renouveler ma prestation avec elle, avec autant de plaisir. Elle est encore plus jolie, avec ses gros seins lourds d’une tenue parfaite
Je m’allonge sur le lit, et elles s’installent pour me sucer toutes les deux. L’une s’occupe de ma queue et l’autre de mes couilles, elles inversent, parfois leur bouche et leur langue se rejoignent sur mon gland ou sur mes boules. Elles me regardent alors avec des yeux malicieux, comme pour attendre ma réaction, mes insultes:
— Hum, c’est bon, ça vous plait de sucer à deux petites salopes, et surtout de sucer un vieux.
— Oui, un vieux cochon qui aime les minettes tout juste majeures.
— Oui, à condition qu’elles soient vicieuses, et avec vous je crois que j’ai tiré des bons numéros.
— Pas de souci, on va te donner autant de plaisir que ta petite fille.
— J’espère bien, parce que cette putain ne vas pas se gêner avec vos vieux. Bon, mais assez discuté, sucez moi salopes.
— Oui, tu as raison, et toi tu vas nous bouffer la chatte, ça t’évitera de dire des insultes.
C’est Emma qui vient de parler.
Elle fait un demi-tour, et vient m’enfourcher pour écraser sa vulve sur ma bouche. Je devrais la punir pour son audace, mais je suis trop heureux de son offrande. Je la lèche, je la bouffe, je la broute, et je m’abreuve de son huître dégoulinante, de sa liqueur des plus succulentes. Je la dévore avec délice, et elle n’en finit pas de couler dans ma bouche, tandis que la sienne s’empiffre de ma queue qu’elle partage avec Vanessa.
Elle se dégage et change de place avec sa nouvelle copine. Elle est maintenant entre mes cuises, et c’est la vulve bien charnue et toute mouillée de Vanessa qui vient s’offrir à moi. Oh putain, c’est trop bon, elles sont délicieuses ces petites femelles. Je la dévore elle aussi, puis je la sens se redresser. Elle a cessé de me turlutter, et sa consur aussi. Je comprends vite pourquoi. Emma vient sur moi, se saisit autoritairement de mon manche, et se l’enfile dans la chatte. Elle me chevauche, me baise, et Vanessa me masse la gueule avec sa chounette en feu. Elles ont dû comploter ces petites morpionnes, elles abusent de moi, pour mon plus grand bonheur. Je m’abandonne à elles, elles changent plusieurs fois, jusqu’à ce que Yannick débarque:
— Excuse moi Eric, mais tu peux venir?
Je dégage celle qui est sur mon visage, sans même ne plus savoir qui elle est.
— Oui, qu’est-ce qu’il se passe? Il y a un problème?
— Non, tout va bien, ne t’inquiète pas. On a juste besoin de toi.
Je le suis en laissant mes partenaires à regrets et en leur promettant de revenir au plus vite.
A suivre…………………….