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Soumise, sinon rien. – Chapitre 4

Soumise, sinon rien. - Chapitre 4



Partie 4

Pendant ce laps de temps de 15 minutes, je m’interrogeais…

Qu’allais je faire d’elle ?

Stéphanie n’était pas une bonne suceuse. C’était pour moi primordial qu’elle le devienne. Si elle devait aimer ce que je lui fais subir et qu’elle décide de pousser son aventure plus loin, il faudrait que je prenne des mesures pour qu’elle s’améliore sur ce point.

Une idée me vint alors. Faire appel à un ex, avec qui j’ai gardé d’excellents contacts, et qui elle, était une experte de la fellation. Elle pourrait l’initier comme il se doit.

De plus, si elle décidait de rester, j’ai le désir ardent, d’en faire une véritable soumise, une esclave du sexe. Et si possible aller loin, très loin dans la soumission.

Parce que là, pour le coup, je débute presque… J’ai juste eu une relation basée sur un peu de masochisme avec une ex. Elle voulait que je la domine tout le temps. J’ai aimé ça.

Depuis, je me suis documenté sur cette pratique et j’avoue y avoir trouvé des envies, de très fortes envies.

Mais hors de question que je force Stéphanie à rester. Je veux que cela vienne d’elle. Ainsi, elle ne pourra jamais me le reprocher. Vicieux et manipulateur… Mais tout n’est il pas bon pour arriver à ses fins ?

La voilà qui sort de la salle de bain. Cheveux tirés en arrière, très joliment maquillée. Elle porte sa robe moulante sous laquelle je peux apercevoir ses tétons pointer. Ca lui plait cette situation, c’est certain.

Je la fais venir vers moi.

— Soulève ta robe que je vérifie ton plug.

Il était en place et seul le "bijou" type diamant rose émergeait de son anus.

— Tu n’as pas eu trop de mal pour le mettre.

— Un peu, si. Mais je l’ai bien lubrifié et j’ai réussi. Ca me fait quand même tout bizarre.

— Il va falloir que tu t’y habitues. Comme beaucoup de choses d’ailleurs… Bon, c’est pas tout ça, mais je commence à avoir faim. On file au resto.

Dans la voiture qui nous menait à la pizzéria, je l’interrogea.

— Dis moi Stéph, en toute sincérité. Comment te sens tu, psychologiquement parlant ? Quel est ton état d’esprit par rapport à ce que je te fais vivre ?

— Honnêtement, je ne sais pas. Je me sens perdue. Quelque part, tu t’occupes de moi, tu prends soin de moi, tu t’interesses à moi, mais tu me fais faire des choses que je n’ai jamais faites. Des choses très bizarres pour moi. Alors, je ne sais pas.

— OK. Ca, je comprends. Mais as tu aimé ce que je t’ai fait ?

— Oui.

— Aimerais tu que cela dure ?

— Je crois que oui…

— Ce n’est pas une réponse. Une réponse, c’est oui, ou non !!

Elle me regarda alors avec un air de chien battu, aucun son ne sortant de sa bouche.

— Bon, c’est simple comme question : aimerais tu que cela dure plus longtemps ? Oui ou Non ?

— Si ca devait durer plus longtemps, qu’attendrais tu de moi ?

— Ok, je vais mettre ma question en suspens. Cependant, tu y répondras dimanche avant de partir. OK ?

— Oui, merci. je veux bien.

— En attendant, tu peux me poser des questions si tu le souhaites. J’y répondrais avec franchise. Mais avant, j’aimerais bien que tu soulèves ta jupe afin que ton cul soit directement en contact avec le siège.

Elle se trémoussa un peu et sa robe fut relevée. Son cul était en contact avec le siège et j’avais accès à sa chatte imberbe.

— Ouvre la boite à gants et prends la petite boite devant toi.

Ce qu’elle fit. En l’ouvrant, elle y trouva un petit oeuf de couleur noire.

— J’aimerais que tu te l’insères dans la chatte. Tu vas voir, tu vas aimer…

Le restaurant était en vue.

Elle accepta et se fourra l’oeuf dans la chatte. Elle avait apparemment toujours envie de jouer…

Nous rentrâmes dans le restaurant et une petite table pour deux, vue mer, nous attendait.

Nous nous y installâmes. Stéph se trémoussa sur sa chaise afin de se sentir le plus à l’aise possible avec le god qu’elle avait dans cul. Le serveur nous demanda si nous désirions prendre un apéro. Une réponse affirmative lui fut faite.

La commande passée, je revenais à notre conversation.

— Dis moi Stéph, as tu des questions à me poser ?

— En fait oui, plusieurs. C’est ça, être soumise ? C’est de dire oui à tout ce que tu me demandes et t’obéir ?

— Oui, dans les grandes lignes.

— J’ai l’impression que tu ne me respectes pas ! Que tu joues avec moi. As tu des sentiments pour moi ?

— Alors… Si, je te respecte. Je veux juste t’amener plus loin que tu n’as jamais été et te faire découvrir des pratiques sexuelles. Je crois savoir que tu es plutôt novice en la matière. Rien qu’à voir ta façon de sucer, tu es débutante.

Ensuite, je ne joue pas avec toi. Je t’ai clairement exposé ce que je souhaitais et tu es venue de ton plein gré. En aucun cas, je ne t’ai forcé à quoique ce soit.

Enfin, si j’ai des sentiments pour toi ? Pour tout te dire, je t’aime bien, je trouve que tu es une jolie fille et j’ai envie d’aventures avec toi. De la à dire que je suis amoureux de toi, franchement, non. Pas pour l’instant en tous cas. Mais ça peut venir.

— J’ai vraiment l’impression d’être un objet pour toi.

— On peut voir cela comme ça. Tu es en quelque sorte "mon objet". Un objet auquel je ferais attention.

— mmmhhhh (réflexion). A quoi dois je m’attendre si je décide de continuer après mon séjour ?

— J’attendrais de ta part une soumission totale.

— C’est à dire ?

— Il faudra que tu prennes la décision de quitter Marc. Tu viendras alors habiter chez moi et je m’occuperais de toi. Je prendrais soin de toi et en contre partie, tu me devras une obéissance sans faille. Tu seras ma soumise.

— Et en quoi cela consistera ? C’est comme maintenant ?

— Oui, mais en plus poussé. Ton corps entier m’appartiendra. Ta bouche, ton sexe, ton cul seront des orifices dont je me servirais à guise. Tes seins, que j’adore seront des objets avec lesquels je jouerais en permanence. Je te ferai certainement anneler, peut-être tatouée.

— C’est quoi, anneler ?

— Je te ferais poser des anneaux aux seins. Soit pour étirer tes tétons, soit pour les relier à une chaine…

— Mais je serais toujours avec toi ? Tu ne m’abandonneras pas. Tu ne me feras pas faire choses que je ne veux absolument pas ?

— On va dire que je serais un dominateur compréhensif. Mais il y a des choses sur lesquelles il faudra te plier.

— Comme quoi par exemple ?

— Je te prêterai certainement à quelques amis, histoire que tu leur vides les couilles. Je te l’ai déjà dit, mais ta nourriture principale sera du sperme, tant que la source n’est pas tarie, évidemment.

On fera certainement un peu d’uro, car c’est un truc que j’ai envie d’essayer. Mais je te rassure, pas de scato. Bien évidemment, la sodomie sera de rigueur, et ce de manière assez fréquente.

— Ca me fait peur ? Tu peux me jurer que tu me traiteras bien ? Que tu ne me feras pas de mal ?

— Non, car mal tu auras si jamais tu désobéis ! Il faudra que je te punisse. Mais je te traiterais bien. Ce que je souhaite, c’est que tu me demandes d’être ma soumise et que tu acceptes tout de moi.

— Quelle sont les punitions ?

— Coups de ceinture, cravache, fouet et autre jouet sur tes seins, ton cul, ta chatte, ton cul, ton dos. Dormir attachée au pied du lit. Te raser la tête…

— Quoi, me raser la tête ? Ca va pas non !!

— En fait, c’est une possible punition, mais l’idéal serait que tu me le demandes, en guise de soumission ultime.

— Je crois que pour ce soir, j’en ai assez entendu. J’ai besoin de réfléchir. Je peux te demander quelquechose, stp ?

— Je t’écoute.

— Pour la suite du WE, j’aimerais bien que tu m’inities un peu, que tu me fasse découvrir des choses, mais rien de trop hard. STP.

— Il suffit juste que tu dises NON. Et ça s’arrête. Tu prends tes affaires et te rentres chez toi, retrouver Marc et ta vie d’avant.

— Ok, j’ai compris.

C’est sur ces bonnes paroles que notre repas nous fut servi. Suite à quoi, pendant le reste du repas, nous avons discuté de tout, de rien.

C’est au dessert que j’ai sorti une petite télécommande. Après un apéro et une bonne bouteille de rosé, elle était pompette. L’activation de l’oeuf la fit sursauter.

Je l’ai regardé avec un sourire coquin et malicieux. Elle était devenue rouge pivoine.

Je jouais sur l’intensité pour l’exciter un maximum, jusqu’à ce qu’elle me dise.

— J’ai trop envie de faire l’amour, je veux ta queue.

— Patience Stéph, tout vient à point à qui sait attendre…

Le café arriva. L’addition avec. Une fois réglée, alors que nous prenions le chemin de la sortie, j’ai vu les yeux des clients masculins la mater de haut en bas.

— Tu excites tous les mecs du resto, Steph. Une vraie petite pute…

— Putain Fabien, je suis chaude comme la braise, me chuchota t elle.

— Allez rentrons à la maison. On va s’amuser un peu.

Fin partie 4

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