Quand Eva rentra, Charlotte ne put s’empêcher de lui raconter son aventure avec sa tante Charlène. Cette dernière lui avait pourtant bien expliqué qu’elle n’en retirerait que des désagréments. Mais elle ne l’écouta pas, pressée de soulager sa conscience. Bizarrement Eva fit preuve d’un grand sang froid. Elle réunit la tante et la nièce, les traita de chiennes en rut et leur annonça simplement qu’elle allait leur faire payer leur écart.
Puis elle disparut. La journée passa sans nouvelle d’Eva. Charlène se demandait ce qu’elle pouvait bien concocter. Elle fut fixée vers les 18 heures quand cette dernière rentra à la villa. A sa suite deux sexagénaires teutons qu’elle avait repêché on ne sait où. Aucun des deux ne parlait le moindre mot de français, mais ce n’était pas un souci pour Eva qui avait grandi en Alsace.
Elle les présenta à la nièce et à la tante adultérines. Elle leur expliqua qu’elles seraient quitte à l’issue de la soirée, si elles consentaient à faire ce qu’elle leur ordonnerait. Elles acceptèrent.
Charlène contemplait les deux hommes. Georg avait 68 ans et devait bien peser dans les 120 kilos. Son frêre Helmut, son cadet, était tout aussi ventripotent et de plus complétement chauve. Les deux zèbres étaient venus se donner un peu de bon temps dans le Sud et une chance inespérée, du moins le croyaient-ils, leur avait fait rencontrer Eva.
Celle-ci les avait fort gracieusement invité à passer la soirée chez elle où se trouvaient deux de ses amis.
Eva jouait pleinement son rôle de maîtresse de maison. Elle fit installer les deux mastards près de la piscine et alla cherhcer dans la cave les meilleures bouteilles de Charlène. Celle-ci estomaquée vit passer deux Château Petrus sous son nez. Les germains appréciaient visiblement. Eva les invita à une baignade et demanda aux deux filles de les rejoindre.
Charlotte et sa tante suivirent. Eva échangea quelques mots en allemand avec les deux types et ceux-ci se mirent à rire grassement en contemplant la tante puis la nièce. Eva demanda aux deux filles d’enlever leurs maillots, ce qu’elles firent. Les rires devinrent plus gras.
Ensuite Charlène dut, dans le plus simple appareil, servir une coupe de champagne à chacun des gros lards, tandis que Charlotte leur présentait des amuse gueules. Les deux germains trouvaient la situation délectable et en firent part à leur supposée hôtesse.
On passa ensuite à table au bord de la piscine et la tante et la nièce durent préparer le repas et servir les convives toujours en tenue d’Eve. Helmut était le plus graveleux et l’alcool aidant il baladait ses mains sur l’une des deux filles dés que l’occasion se présentait. Le repas fut excellent grâce à la prodigalité d’Eva qui mit à disposition de ses convives le meilleur de la réserve alimentaire de Charlène.
La nuit tomba sur le café et le pousse, en l’occurrence un cognac hors d’âge. Les frères reluquaient sans relâche les deux femelles nues, appliquées à les servir. Ils appréciaient visiblement l’une et l’autre et le faisait savoir à Eva.
Charlène reçut l’ordre de mettre une musique douce tandis qu’ Eva conduisait ses hôtes jusqu’au sofa du living-room. Elle les fit s’installer confortablement et devisa quelques instants avec eux, semblant s’enquérir de leurs souhaits. À l’issue de leur conversation elle demanda à Charlène de se présenter à eux. C’est à dire qu’elle dut se rapprocher à portée de main, pivoter sur elle-même, exposer sa poitrine, puis faire saillir sa croupe et enfin écarter les cuisses, tournée de dos et penchée en avant. Le tout en se trémoussant sur la musique.
Charlotte subit le même sort. Les deux germains, aux anges applaudirent à tout rompre les deux prestations.
Eva demanda ensuite à Charlène et sa nièce de danser devant les bonhommes. Elles durent s’enlacer au gré d’un slow interminable, puis se caresser mutuellement les fesses tout en se déhanchant. Eva les fit se coller l’une à l’autre et les força à s’embrasser en les traitant de putes. Elle leur tournait autour, pinçant un sein ou bien claquant une fesse.
Elle prit soudain Charlène par le bras et la plaça de dos par rapport aux deux types. Elle l’obligea à se pencher en avant, les mains sur les genoux. Puis elle écarta ses fesses afin d’exhiber son intimité aux voyeurs. Charlotte dut se placer entre les jambes de satane, assise par terre, jambes écartées. La nièce fut alors forcée de lécher l’entrejambe de Charlène
Elle se gouinèrent ainsi pendant un long moment tandis que les deux frères, écarlates, tâtaient machinalement le fond de leur pantalon.
Eva trouvait que la scène manquait de vigueur. Elle disparut brièvement dans le jardin et revint, armée d’une pousse de bambou qu’elle avait arrachée à la haie environnante. Elle distribua quelques coups bien sentis sur les parties intimes de ses victimes pour les inciter à mettre plus de cur à leur ouvrage. Les deux filles gémissaient sous la férule qui les asticotait.
Eva arrêta le manège et demanda à chacune de prendre place sur les genoux de leurs convives. Helmut accueillit ainsi Charlène, tandis que Georg prenait possession de sa nièce. Les types commencèrent à palucher sérieusement les deux femmes tout en poussant des grognements satisfaits. Charlotte détesta ces caresses mais quelques coups de badine eurent raison de ses réticences.
Helmut avait directement enfouit sa main dans la chatte de Charlène, tandis qu’il ravageait ses seins de son autre pogne. Pour couronner le tout il lui fit des suçons dans le cou tout en la mordillant. Charlène qui avait horreur des vieux n’appréciait guère.
Eva demanda aux deux femmes de branler leurs hôtes puis de les sucer jusqu’à ce qu’ils aient une érection décente. Ce fut parcimonieux car les germains avaient bu passablement, mais la situation aidant, ils se retrouvèrent l’un et l’autre avec des sexes relativement durs. Charlotte était visiblement dégoutée de tailler une pipe à Georg et sa tante n’exprimait guère plus d’envie.
Eva plaça finalement les deux femmes en levrette, face l’une à l’autre, croupes bien offertes. Elle les gratifia de quelques coups de verge supplémentaires afin qu’elles fassent bien pointer leurs attributs. Les frères furent alors invités à prendre possession de leurs hôtesses. Ils ne se firent pas prier et entreprirent de les besogner à tour de rôle.
Eva pris quelques clichés avec son portable à titre de souvenir.
Elle fouettait toujours nièce et fille nonchalamment pour les convier à plus d’ardeur. Helmut, après quelques borborygmes, lâcha finalement sa semence dans la chatte Charlène tandis que son frérot faisait de même avec Charlotte quelques instants plus tard.
La tante et la nièce reçurent l’ordre de se lécher mutuellement dans un 69 bien équilibré afin de récupérer le sperme des deux vieillards. Ceux-ci finirent une bouteille de Dom Pérignon en observant, goguenards, les deux filles laper goulument leur sperme. Elle durent ensuite s’embrasser et échanger la semence d’une bouche à l’autre jusqu’à ce qu’Eva les autorise à l’avaler.
Les deux frères furent inviter à passer le reste de la nuit avec la femelle de leur choix. Ne sachant se décider ils tirèrent au sort et Helmut put passer la nuit avec Charlotte tandis que sa tante héritait de l’ainé. Inutile de dire qu’elles ne dormirent pas beaucoup.
En fin de matinée les germains prirent congé, signifiant leur gratification à leurs hôtesses à grand renfort de tapes amicales sur leurs fesses. Une fois qu’ils furent partis, Eva signifia à charlotte qu’elle la quittait et qu’elle pouvait continuer à se gougnotter avec sa tante si cela l’enchantait. A midi, elle prit un taxi pour la gare d’Agde et disparut à jamais.