J’ai trouvé ma perle rare
Chapitre 1 : notre rencontre,
Je me présente, je m’appelle Chris, je suis un homme d’une soixantaine d’années, j’ai une taille moyenne 1,77 mètre, cheveux grisonnants et courts, je pèse 97 kilos, je suis un peu enrobé, car ne faisant pas de sport, la graisse s’installe. Je suis de nature très timide avec les femmes et je dois dire que je n’ai pratiquement pas de chance avec la gent féminine, car mon physique n’est pas ce qu’elle recherche. Je suis marié à une femme qui m’a donné deux beaux enfants, Nina et Amandine, elles sont déjà grandes et mariées, et elles ont quitté notre foyer.
Je vis maintenant avec ma femme Murielle qui mesure un mètre soixante-deux et qui à mon avis doit peser dans les 88 kilos. Elle est ronde et en surpoids, avec des bourrelets d’amour un peu partout, elle a des seins lourds qui lui tombent sur le ventre, les trois quarts du temps, elle ne met même plus de soutien-gorge pour lui maintenir ses seins. Entre nous, tout se passait relativement bien dans la vie, et côté sexuel, je dois dire que jusque-là, je n’ai jamais vraiment été porte sur le sexe, nous avions des relations sexuelles, disons une à deux fois par semaine, mais pas toutes les semaines, et lorsque ma femme voulait avoir des rapports, elle a toujours été satisfaite et elle a eu son plaisir.
Et puis avec le temps est venue la ménopause, et c’est là que tout a basculé entre nous. Bien que je n’ai jamais été porté sur le sexe, il m’arrivait quand même d’avoir certains besoins sexuels. Et donc comme je disais à cause de cette ménopause, tout a changé entre nous et nos relations sexuelles se sont espacés de plus en plus, jusqu’à devenir inexistant, et cela fait bien sept ans que nous n’avons plus aucun rapport sexuel entre nous. Murielle prétendait que chaque fois que nous faisions l’amour ensemble, je lui faisais mal, bien que je lui lubrifiai son vagin avec du gel avant de la pénétrer, qu’elle n’y prenait plus aucun plaisir et de plus en plus, nous espacions nos relations sexuelles, et puis un jour, elle se refusa à moi.
N’étant pas un homme à forcer quelqu’un à faire quelque chose qu’elle ne voulait pas, j’ai laissé faire, puis quelque temps plus tard, même réponse. C’est là que j’ai décidé de lui parler sérieusement en lui expliquant que même si je n’étais pas porté sur le sexe, en tant qu’homme, j’avais quand même certains besoins à satisfaire, et que ça me manquait de ne pas avoir de relations sexuelles, je lui ai demandé la raison de ce revirement, et elle me donnait toujours la même réponse et se refusait toujours à moi. Je lui ai même demandé d’aller voir un médecin, un gynécologue, un sexologue, et je ne sais plus quel spécialiste. Mais non, rien à faire.
Alors je l’ai menacé de me chercher une amante, je lui ai aussi rappelé que c’était son devoir d’épouse de satisfaire sexuellement son mari, et même lorsque nous étions entre amis de longue date et lorsque nous parlions de choses et d’autres et qu’à certains moments arrivaient et qu’on parlait de sexualité, j’ai fait comprendre à tous que nos relations sexuelles étaient devenues zéro et qu’on ne se touchait plus.
Là non plus, Murielle ne réagissait pas et ne voulait plus faire l’amour avec moi, j’avais beau lui montrer des revues où l’on disait que c’était important de garder une sexualité même minime, mais toujours la même réponse, NON, je n’ai pas envie, NON ça ne me dit plus rien, NON et toujours NON.
C’est ainsi que j’ai pris mon mal en patience, mais par contre, je lui ai bien signalé qu’à la première occasion où je trouverais une femme prête à coucher avec moi, je n’hésiterais pas et que je sauterais sur l’occasion, si je puis dire, et qu’elle en serait en partie responsable. Je ne suis pas un homme qui quitte sa femme uniquement parce qu’elle ne veut plus rien savoir côté sexuel, surtout au bout de quarante-deux ans de mariage. À part le côté sexuel, Murielle et moi, nous nous entendons très bien et nous sommes toujours heureux de nous retrouver ensemble. Mais je dois dire qu’à moi, il me manque quelque chose que maintenant je trouve important, ce côté sexuel qui n’existe plus et qui me manque cruellement.
De plus en plus souvent, je pars en célibataire et je ne la prends que très rarement avec moi lors de mes déplacements. Je sors seul et étant donné que je suis timide, avec un physique qui n’attire pas spécialement les femmes et je reste sur ma faim, et les années, elles passent, et comme on ne rajeunit pas avec le temps, je suis malheureusement obligé de me satisfaire seul, avec la veuve, le poignet, et ça, ça commence à me peser. Ne sortant que rarement, je n’ai pas beaucoup de chance de trouver une femme consentante à coucher avec moi, mais je garde espoir et je ne perds pas patience, il arrivera bien un jour où… Et je dois dire que j’ai hâte qu’il arrive enfin, je dois vous avouer qu’après sept ans d’abstinence sexuelle, je ne me rappelle même plus comment c’est lorsqu’on est dans une chatte bien chaude et humide, et j’ai même peur de ne pas être à la hauteur. D’un côté, je suis impatient que ce jour arrive, et d’un autre, je suis anxieux et crispé lorsqu’il arrivera.
Mais bon, on verra bien le jour où je rencontrerais cette personne. J’ai pas mal de copains, et de temps à autre, on fait des chouilles (soirées animées), où nous invitons des filles et femmes qui soit travaillent avec nous, soit ce sont voisines, où soit ce sont des femmes que nous rencontrons lors de nos sorties entre copains. Et c’est comme ça que j’ai été invité par Maurice, un de mes amis, à venir assister à une de ses soirées ou comme à l’habitude l’alcool coule à flots, et où les femmes et filles ne manquaient pas à l’appel lancé. Il était environ vingt heures lorsque je sonnais à sa porte. Il vint m’ouvrir et me fit entrer, j’étais parmi les premiers et il n’y avait pas encore grand monde. Maurice me servit un apéritif et il resta avec moi pour converser sur un projet que nous avions en commun.
Puis petit à petit, les invités vinrent, et au bout d’un moment, j’ai remarqué qu’il y avait plus de filles que de garçons, j’en fis même la remarque à Maurice qui me répliqua que c’était normal, car il y avait une sortie entre hommes de prévue, et qu’il en avait profité de ce moment pour inviter les femmes, ce qui me rassura et me comblait au plus haut point, j’espérais avoir mes chances avec l’une d’entre elles, et c’est ainsi qu’à force de discuter et de raconter des blagues sur les femmes, je fis la connaissance de Mia, une veuve dont le mari était décédé il y a deux ans d’un cancer qui s’étaient généralisé et qui l’avait emporté avec lui. Et donc Mia était encore une très belle femme dans la soixantaine, comme moi d’ailleurs.
Mia commençait doucement à reprendre goût à la vie et se laissait invitée depuis peu, de temps en temps, et Maurice avait la chance qu’elle accepte son invitation, il faut dire que ça faisait déjà un bon moment qu’il essayait de la faire venir, mais sans succès. Elle était mince, avec de longues jambes fines, Mia avait une taille de mannequin, des cheveux tout noirs et légèrement bouclés, un visage légèrement ridé par les années, et de grands yeux marron à damner un saint, quand on la regardait ne voyait qu’eux, et elle avait un grand et beau sourire aux lèvres, et lorsqu’elle vous parlait, vous étiez accrochés à ses lèvres et vous suiviez assidûment la conversation, et personne ne voulait perdre une miette de ce qu’elle disait, elle avait l’air assez instruite, et connaissait beaucoup de choses.
Mia avait une poitrine comme je les adore, de petits seins qui me semblaient encore assez fermes et bien maintenus, d’après ce que j’en jugeais, elle devait avoir un 85 bonnets A, donc de petits seins qui tiennent juste dans la paume d’une main. Elle portait un chemisier crème en satin, légèrement ouvert, ainsi qu’un petit et fin gilet par-dessus, une jupe de couleur noire qui lui allait aux genoux, et ses fines gambettes étaient recouvertes de bas en résilles noires, avec des motifs incrustés, et de temps à autre selon la lumière, on voyait de petites étoiles briller.
J’étais un peu à l’écart et je rêvassais un peu, lorsque Mia vint me voir, avec deux verres de Martini à la main, elle m’en tendit un, et engagea la conversation avec moi, nous parlions de choses et d’autres sans thème précis. Comme à mon habitude, je lui sortis quelques vannes à deux sous qui la faisaient beaucoup rire, ce qui me réconfortait et qui me faisait prendre conscience qu’elle était attirée par moi, et qu’elle se plaisait en ma compagnie et qu’elle se sentait bien avec moi.
De temps en temps, elle repartait se mêler aux autres, puis elle revenait vers moi, et nous nous racontions un peu nos vies et nos malheurs vécus, passés, et de ce qui nous intéressait dans la vie courante, c’est comme ça que nous sommes arrivés sur le bricolage et sur ce que je faisais à mes moments perdus, que j’étais un grand bricoleur, et que je touchais à pas mal de choses, que ce soit de l’électricité, de la réparation ou de la fabrication de meubles. Que ce soit de semer ou de planter des légumes, ou tout simplement de fendre et de rentrer du bois, ou encore de retourner le jardin…
Et c’est comme cela que Mia me dit qu’elle souhaitait faire l’acquisition d’un meuble, car il lui manquait un élément afin qu’elle puisse ranger quelques affaires, mais étant donné que la place pour le mobilier était assez restreinte, il lui fallait un meuble sur mesure. Je me mis aussitôt à lui présenter mes services et à lui proposer de venir voir chez elle que quoi il pouvait bien s’agir.
Nous nous nous sommes donnés rendez-vous, chez elle, trois jours plus tard, afin de voir la situation, l’emplacement et le meuble qu’il faudrait réaliser, et ensuite nous avons décidé de poursuivre le restant de la soirée ensemble. Le restant de la fête, nous avons continué à rester ensemble, nous avons mangé l’un à côté de l’autre. Lorsque Mia et moi nous dansions, je la serrais bien contre moi, et de humer son odeur, je m’enivrais de son essence corporelle qu’elle dégageait et qui sentait bon le chèvrefeuille, je m’enhardissais de temps à autre à lui serrer les fesses et à promener mes mains sur celles-ci, Mia ne semblait pas offensée et elle ne me disait rien à ce sujet et se laisser faire, je pris donc sur moi d’explorer un peu plus son anatomie fessière, quelquefois, je lui déposais un petit baiser dans le cou, et je lui léchais la peau, elle semblait beaucoup apprécier, car elle me regardait et me faisait un grand sourire.
Nous avons dansé, ri, plaisanté et bu plus que de mesure, et à un moment, nous étions gais et pompettes, tous les deux. Puis malheureusement comme le disait Mia, il va falloir se quitter et se séparer, puis reprendre nos bonnes et vieilles habitudes. Mia me dit qu’elle avait passé une très belle soirée en ma compagnie, que ça lui avait fait beaucoup de bien de sortir de sa léthargie, qu’elle avait bien fait de venir, de parler avec d’autres personnes, qu’elle s’était bien amusée, et qu’il fallait qu’on remette ça un jour prochain.
Chapitre 2 : Ma visite chez Mia :
Comme convenu ensemble, Mia et moi nous nous sommes revus trois jours plus tard, c’était un mardi, je vins chez elle pour les 8 heures, je me présentais à sa porte et je sonnais. J’étais à la fois anxieux et très heureux de la retrouver, elle vint m’ouvrir robe de chambre et en chemise de nuit. En me voyant devant sa porte, elle eut un grand sourire, puis elle me fit la bise et me serra contre elle, je mis à mon tour mes bras autour de sa taille, et je l’enserrais entre mes bras. Elle jeta rapidement un regard rapide à l’extérieur pour regarder et pour voir si quelqu’un avait remarqué notre étreinte ! Comme il n’y avait pas un chat à l’extérieur, elle sembla satisfaite et eut un sourire aux lèvres.
Puis elle me pria de la suivre jusqu’à la cuisine. En la suivant, j’entendis des aboiements de chien, et je lui demandais s’il mordait ou s’il était docile ? Mia me dit de suite qu’elle l’avait enfermé dans une pièce, et elle me dit, Chris, tu n’as pas besoin d’avoir peur de Tyrox, c’est un Berger belge en plus c’est une crème de chien, ses seuls défauts sont : qu’il saute sur les visiteurs pour leur faire la fête et qu’il a la sale manie de lécher tout ce qui se présente à lui, et donc aussi visiteurs y compris, et lorsqu’il rencontre quelqu’un qu’il apprécie, il ne le quitte plus, il reste tout le temps auprès de lui… Voilà ses principaux défauts. Je répondis alors à Mia que j’avais moi-même un chien et comme Tyrox, il avait exactement les mêmes défauts, et qu’en m’expliquant ses défauts, elle me rassurait en quelque sorte.
En entrant dans la cuisine, elle me proposa de prendre place à table, et elle me demandait si je voulais prendre un café avec elle, je lui répondis que oui, et comme ça, je pourrai goûter son café et je pourrai ainsi lui dire si elle sait faire du bon café. On éclata de rire, suite à ma réponse, puis elle me répondit qu’elle n’y était pour rien, si le café n’était pas bon, qu’elle possédait une cafetière ’’Senséo’’, et que celle-ci faisait tout elle-même, qu’il n’y avait qu’à mettre une dosette de café et puis qu’ensuite, il fallait appuyer sur un bouton et c’était tout ce qu’il y avait à faire. Là-dessus, je lui répondis alors qu’elle aurait pu choisir une mauvaise marque de café et donc qu’indirectement, elle serait quand même fautive. Sur cette réflexion, nous avons à nouveau ri ensemble, puis elle me répondit, jusqu’à présent, personne ne s’est jamais plein de mon café, alors tu peux me faire confiance ?
À ces mots, je lui demande si elle, elle avait confiance en moi, étant donné qu’on ne se connaissait que depuis peu ? Mia me répondit de suite, si je ne te faisais pas entièrement confiance, je ne t’aurai pas invité à venir seul chez moi ! Sa réponse me fit chaud au cur et je l’en remerciais pour sa franchise. Puis elle me ramena le café et le posa devant moi, puis en retirant la main, elle passa avec sa main sur ma joue et la caressa légèrement en me disant qu’elle avait tiqué sur moi lors de la fameuse soirée chez Maurice, et que je lui plaisais beaucoup ! Puis elle se mit face à moi et elle prit sa tasse à moitié vide, ensuite lorsqu’elle la mit à sa bouche, elle sortit sa langue et se lécha ses lèvres en me regardant droit dans les yeux.
Je compris à ce moment qu’elle me faisait un signe. Un signe qui ne trompe pas, dans ces cas. Je me levais alors et je vins derrière elle, puis je me penchais sur son cou pour y déposer de petits bisous, ensuite mes mains vinrent à l’avant et elles se posèrent sur sa belle poitrine que j’adorais depuis que je l’avais vu la première fois, lors de la fête chez Maurice. Mia se laissa faire, puis elle se retourna et me présenta son visage, afin que je puisse l’embrasser sur la bouche, ce que je fis sans perdre de temps. Je l’embrassais goulûment et durant de longues minutes, nos langues se cherchaient et s’enroulaient mutuellement.
Puis Mia se leva de sa chaise, sans que nos lèvres se séparent, nous continuâmes notre baiser durant de longues, de très longues minutes même, nous nous embrassâmes tendrement, passionnément, amoureusement, comme si ça faisait longtemps qu’on attendait ce moment magique. Nous étions tous les deux épris l’un de l’autre et nous étions enfin heureux de pouvoir enfin le faire sans retenue.
Une fois notre baiser amoureux fini, Mia me prit par la main et m’entraîna vers une chambre où le lit était encore défait, je compris de suite que c’était sa chambre où elle dormait habituellement. Puis au bord du lit, elle défit lentement mes vêtements et elle enleva toutes mes affaires, les laissant tomber par terre, une fois terminé avec mon effeuillage, j’en fis de même, par contre chez elle, c’était du vite fait étant donné qu’elle ne portait qu’une robe de chambre et une chemise de nuit.
Une fois ces remparts enlevés, je me mis tout d’abord à contempler ce merveilleux corps que je voyais pour la première fois, nu, et dont j’en étais émerveillé. Je lui en fis d’ailleurs le compliment, après celui-ci, Mia se mit à rougir et elle mit en doigt en bouche comme une petite fille, ce qui ne fit que renforcer mon désir de la toucher, de l’embrasser à nouveau, ainsi que le désir de vouloir la posséder et de l’aimer à sa juste valeur. Elle était si belle et je la désirais tant. Du premier coup, j’étais tombé fou et amoureux de Mia, et je la voulais pour moi tout seul. Je me suis ensuite rapproché d’elle, l’enserrant avec mes bras autour de la taille, et je vins rejoindre sa bouche et ses lèvres que je me mis à embrasser avec passion, je recherchais sa langue que j’aspirais et dons je tournais ma langue autour de celle-ci, en même temps que j’aspirais sa langue, j’aspirais sa salive que j’avalais avec envie comme si je la mangeais.
En même temps que j’embrassais tendrement et avec passion, mes mains parcouraient ses fesses qui étaient bien fermes et très bien proportionnées et que j’aimais depuis les premières minutes de notre rencontre, pétrir entre mes mains.
Après un laps de temps, je la couchais sur son lit, et je me mis à commencer à explorer ce corps nu qui m’était offert et dont nous avions tous les deux envies d’unir finalement. Je descendis avec mes lèvres vers son sein gauche dont je pris le téton en bouche pour le mordiller, pour le sucer et pour le téter.
Mia sous mes attouchements et sous mes caresses se mit à gémir doucement et elle mit ses mains dans mes cheveux et me caressa la tête. Tandis que je tétais son téton gauche, ma main droite vint prendre son téton droit et je le serrai, je le faisais tourner entre mon pouce et l’index, de temps en temps, je le tirai, puis-je le repoussais dans sa base pour le faire rentrer. Au bout de quelques minutes d’échauffement, je descendis lentement, doucement vers son nombril que j’aspirais à son tour, et que je repoussais avec ma langue, et pendant que ma bouche était occupée par son nombril, ma main droite, elle, elle descendait vers l’intimité de Mia, vers la grotte, vers le paradis, que je me mis à frotter avec le creux de ma main, puis petit à petit, j’ai laissé passer un doigt entre ses lèvres vaginales.
Je faisais aller et venir le doigt entre ses grosses lèvres, venant titiller son clitoris, qui sous mes allées et venues devenait de plus en plus dur, si bien que je le sentais pointer et sortir d’entre ses lèvres.
Mia gémissait et jouissait toujours sous mes attouchements, si bien que je sentais s’écouler un liquide odorant de sa vulve, que je me mis aussitôt à recueillir avec ma langue, sa liqueur d’amour avait un goût âpre et acide, que j’aimais bien. Lorsque j’aspirais sa liqueur d’amour et que je buvais littéralement Mia, celle-ci me pressa la tête plus fortement sur sa vulve, me signalant qu’elle aimait cela, et que je lui faisais du bien. Pendant que je buvais cette merveilleuse liqueur de femme en chaleur, ma main droite vint se poser sur son clitoris et je faisais de même qu’avec le téton, je le pressais, je le faisais tourner entre mes doigts, ce qui a pour effet de faire gémir plus expressivement Mia. Elle soulevait même son bassin, afin que ma langue la pénètre plus profondément et qu’elle aille le plus loin possible en elle, et avec mon pouce gauche, je me présentais à son cul et je le faisais tourner autour de sa petite rondelle, essayant de temps en temps de l’y enfoncer.
Cet attouchement à sa petite rondelle l’excitait beaucoup, car plus je tournais autour de celui-ci et plus elle gémissait, et au moment où je lui enfonçai celui-ci dedans, elle souleva son bassin et elle se mit à crier à haute voix. Au bout d’un moment et une fois qu’elle était bien échauffée, Mia me demanda de venir la prendre, elle en avait vraiment trop envie, elle voulait maintenant que je la prenne, elle voulait me sentir en elle et que la fasse jouir.
Je répondis alors à Mia, que pour moi, ses désirs sont des ordres, et que j’allais venir la satisfaire. Je refis donc mon exploration de son si merveilleux corps à l’envers, remontant avec ma bouche de ses lèvres vaginales vers son clitoris, puis repassant au nombril, ensuite sur ses seins et enfin sur sa bouche, pour revenir l’embrasser tendrement et passionnément et afin de m’avoir permis d’explorer son si beau corps que j’aimais de plus en plus et dont je n’arrêtais pas de faire des éloges. Puis je mis mes bras autour d’elle et je me mis à tourner sur moi-même, et de ce fait, Mia se retrouva sur moi. Et je lui dis voilà ma chérie, je suis tout à toi, dispose de mon corps et de ma verge à ta guise.
Mia se mit alors à descendre vers ma bite bien dure et tendue, et elle la prit en main, puis elle approcha ses lèvres et vint engloutir mon pénis en bouche, ensuite elle fit des va-et-vient, d’abord lents, puis de plus en plus vites, et en même temps qu’elle me suçait la queue, elle tournait avec ses mains autour de mon sexe, ce qui m’excitait beaucoup.
En la voyant faire, j’avais l’impression que ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas goûté à une bite, et que ça lui avait manqué, je voyais qu’elle aimait ça, et je lui en fis part de ces remarques, elle me confirma d’ailleurs un peu plus tard, que c’est vrai ce que je lui disais, elle me disait encore qu’elle n’avait pas connu d’autres hommes après le décès de son mari, bien qu’il y ait eu des prétendants qui auraient voulu avoir des relations sexuelles avec elle, et ils lui avaient fait des propositions, mais elle leur répondait que ça ne l’intéressait pas, elle les remettait à leur place, allant même à les insulter quelques fois lorsqu’ils devenaient trop entreprenants.
Au bout d’un petit moment à force de me sucer, je sentis la sève monter rapidement, je voulus prévenir Mia, mais déjà elle avait mon jus d’amour en bouche et elle dut en avaler une bonne partie pour ne pas s’étouffer, tellement il y en avait. Voyant cela, je m’excusais auprès d’elle pour la rapidité, et pour ne pas l’avoir prévenu de la venue. Il avala mon sperme et me dit, premièrement, je l’ai sentie venir, et donc si je n’en avais pas voulu, j’aurais pu le dévier et le laisser allé sur mes seins. Deuxièmement, je voulais goûter à ton jus d’amour pour savoir le goût que tu as. Et troisièmement, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas goûté à du sperme que de toute manière je ne l’aurais pas laissé se perdre autre part que dans ma bouche, et d’ailleurs, il faut que je te dise, ton sperme est super bon et j’en veux encore.
Une fois cet interlude passé, je dis à Mia, maintenant que nous nous sommes goûté l’un et l’autre et que nous avons aimé nos jus d’amour, il serait peut-être temps qu’on baise ensemble ? Cette réflexion, on s’est mis tous les deux à rire et à dire que c’était vrai qu’on n’avait pas encore fait l’amour ensemble. Je lui dis encore, de toute manière, il fallait d’abord allumer la chaudière avant de pouvoir se chauffer, sur ce, nous nous remirent à rire. Ma me fit remarquer qu’en parlant de vouloir faire l’amour, il fallait d’abord avoir une trique avant de vouloir baiser, ce qui n’était pas encore le cas avec ma bite. Je répondis ensuite à Mia que ça allait être vite fait, car vois-tu ma chérie, rien qu’à voir ton beau corps si bien fait, et tout nu qui plus est, m’est offert si gracieusement, je lui dis encore de bien observer ce qui allait suivre.
Puis-je me mis à genoux entre ses cuisses et je mis deux doigts dans sa chatte toute trempée qui suintait, et je la masturbais en faisant quelques va-et-vient que déjà mon sexe se dresser à l’horizontale.
Ma belle Mia n’en revenait pas de la vitesse à laquelle ma bite se redressait.
Une fois mon artillerie rechargée, je demandais à ma douce amante comment elle souhaitait être prise ? Mia me répondit que je devais la prendre à la ’’Missionnaire’’, comme cela, on pouvait se rébecqueter à nouveau, car elle aimait ma façon de lui faire des baisers ! Je me mis donc entre ses cuisses et je présentais ma bite à l’entrée de son minou, et je m’enfonçais doucement en elle centimètre après centimètre, savourant ainsi la moiteur et la chaleur de son antre, en même temps que je m’enfonçais dans sa chatte, je revins me coucher sur elle pour venir l’embrasser tendrement, et amoureusement. Puis je faisais de lents va-et-vient dans sa chatte chaude et trempée, j’y allais doucement, appréciant chaque millimètre de son orifice, et ne voulant surtout pas brusquer la chose.
Mais Mia n’était pas du même avis que moi, et elle me dit que ça faisait tellement longtemps qu’elle n’avait pas de queue en elle, qu’elle voulait que j’aille un peu plus vite parce qu’elle ne voulût pas attendre trop longtemps, je me mis donc à la limer plus rapidement, ce qui eut pour effet de faire crier carrément mon amante, tellement c’était bon, et elle me demanda d’aller plus loin en elle et d’y aller plus fort, elle en voulait encore et encore. Au moment où je sentais que j’allais venir, je lui en fis part et je lui demandais si elle voulait que je me retire d’elle, je n’eus aucune réponse de sa part, par contre, elle mît ses jambes autour de ma taille et les croisa derrière mon dos et elle me bloqua en elle, empêchant ainsi toute sortie. Sans rien dire, elle m’avait fait quand même savoir qu’elle préférait que je reste en elle pour décharger mon sperme.
Puis Mia me dit, ne t’inquiète pas pour moi, après la mort de mon mari, j’ai gardé mon stérilet, et donc je ne risque pas de tomber enceinte. Et c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai voulu que tu restes en moi et que tu vides tes couilles dans ma chatte, j’adore trop sentir le sperme venir en moi et taper contre mon utérus, c’est trop bon, et j’adore ça. Une fois que j’avais donc vidé mes couilles, je restais encore quelques longues minutes en elle, profitant de sa chaleur et du bien-être de sa chatte, tout en l’embrassant à nouveau amoureusement et en la remerciant du cadeau qu’elle venait de me faire, c’est-à-dire en faisant l’amour ensemble, sur ce elle me dit. Maintenant que tu m’as goûtée et appréciée, je suis pratiquement sûr que tu reviendras, je ne pus hélas que confirmer ses dires, car j’étais devenu amoureux fou d’elle et de son merveilleux corps, et je savais déjà que je ne pourrais plus m’en passer.
Une fois que je m’étais retiré d’elle, elle vint lécher ma bite pour la nettoyer, c’est à ce moment que je lui sortis la vanne, combien y a-t-il de position en amour ? Elle ne sut pas quoi répondre, alors je lui donnais la réponse en lui disant qu’en fait il n’y a que 68 positions, car à la soixante-neuvième, on nettoie les outils, et on éclata de rire ensemble. Puis nous sommes partis sous la douche, que nous avons bien entendu prise ensemble, et nous nous sommes lavé et frotté mutuellement. Une fois notre séance sexuelle terminée, je dis à Mia, ce n’est pas tout, mais je suis venu pour voir l’emplacement de ton meuble, et je voulais aussi savoir à quoi tu voulais qu’il ressemble ? Elle me répondit qu’elle avait complètement oublié le pourquoi de ma venue, que je lui avais complètement tourné la tête et qu’elle ne se souvenait absolument plus de ce meuble.
En réponse, je lui dis encore qu’elle était comme l’autre gars qui buvait pour oublier, et quand on lui demandait ce qu’il voulait oublier, il répondait qu’il ne savait plus ce qu’il voulait oublier, car il l’avait oublié.
Encore une fois, nous nous sommes mis à rire en commun.