Ce premier acte terminé dans la jouissance et les rires ; nous nous reposons un peu en échangeant sur nos derniers jours, nos dernières visites. Blottis tous trois ensemble, nous nous détendons et savourons ces moments de complicité intense.
Lentement, les mains se font plus baladeuses, les corps se resserrent, se collent, une certaine émotion s’empare de nous et quelques baisers langoureux s’échangent. Tout en langueur, en longueur, en tendresse, en complicité.
On arrête néanmoins un petit moment avant de ne plus pouvoir stopper pour procéder à quelques indispensables ablutions et, j’en profite pour, comme à chaque fois, admirer mes compagnes. Aline ma femme si jolie, devenue si dévergondée ces derniers temps, volcan qui s’est tout à coup réveillé pour mon plus grand plaisir ; redonnant un nouvel élan à notre couple. Son corps souple de nageuse, ses seins ronds, la nouvelle découpe de son petit buisson si sexy. Tant d’attraits qui font que je ne me lasse jamais d’elle. Sans compter son humour ravageur et sa vivacité. Et puis Elodie, rencontrée sur la Grande Canarie et désormais notre amie, aussi brune, un peu plus fine mais des seins plus lourds, son corps de joggeuse et son penchant pour la soumission…
Je prends mon tour pour la douche, et après quelques minutes de délassement, me sens à nouveau frais et dispos pour le reste de nos ébats.
Je reviens et les trouve allongées sur le lit, s’échangeant un baiser tout en douceur. J’admire encore une fois ces deux femmes si sexys, si tentantes et… Je me laisse tenter en les rejoignant. Pour nous emmêler les uns aux autres. Bon à trois, cela ne met pas longtemps évidemment et, rapidement cela devient plus intense, plus sauvage.
Plus de baisers langoureux, de doux câlins… Ce sont des baisers intenses, des langues mélangées, des corps empoignés, serrés, des gestes durs, des muscles tendus. C’est une mêlée de coups de griffes, de langues, mon sexe est empoigné ; secoué. C’est l’une, puis l’autre qui me branle, pendant que nos mains, nos doigts caressent, touchent, pénètrent, envahissent.
Si les gestes sont forts, les paroles aussi et, à ce petit jeu, Elodie désormais n’est pas la dernière !
Lentement, je sens néanmoins comme un changement. Les deux femmes semblent d’abord se relayer dans leurs caresses sur moi ; passant l’une après l’autre sur un endroit ; puis se complètent, chacune taquinant une de mes oreilles puis un téton avant de carrément agir dans une symbiose totale sur ma poitrine, mon ventre, mon pubis, mon… Oooooh c’est bon… Mon sexe tendu.
J’ignore si elles ont discuté pendant que j’étais dans la salle de bains ou si l’accord naturel s’est fait au fur et à mesure, mais je me sens comme un coq en pâte, soigné, dégusté par elles. C’est super bon et je savoure totalement.
Elles reviennent m’embrasser et je me sens assailli de partout, j’entends des murmures à mes oreilles.
— Laisse-toi faire mon chéri…
— Savoure nos caresses…
Je n’ai absolument pas l’intention de lutter et je me laisse embarquer dans ce voyage si plaisant, si sensuel. Le temps n’a plus vraiment d’importance et nous flottons sur un nuage bien rose.
Puis leur duo marque le pas et Elodie vient m’embrasser et se coller à moi, nos langues entament un ballet endiablé, ses mains me serrent très fort quand elle stoppe soudain, recule son visage, me regarde avec un sourire complice puis tourne la tête vers la gauche où je sens la présence de ma femme. Je me tourne et la regarde aussi. Debout devant nous, les yeux brillants, son corps frémit et son sourire coquin est mâtiné d’un peu d’anxiété. Elle m’apparaît comme une amazone, sans doute l’effet du gode-ceinture dont elle s’est harnachée. La fausse queue de plastique rose translucide pointe vers nous. Je sens le regard des filles sur moi et je ne me dégonfle pas en en attrapant les fesses d’Aline pour la tirer vers moi et prendre l’engin en bouche.
— Putain tu m’excites ! Lâche-t-elle dans un souffle pendant que moi aussi je la fixe dans les yeux en faisant coulisser ma bouche sur le gode. Je l’ai assez vu faire et surtout assez savouré pour savoir comment on fait et j’en rajoute en me reculant avant de cracher dessus, de lui sortir " elle est bonne ta queue " et de la reprendre en bouche.
Aline lâche un gémissement sourd et Elodie qui n’y tient plus vient me rejoindre pour une pipe à deux. Dans ma tête, l’excitation est surtout mentale, je suis heureux de lui ; de leur offrir ce spectacle, de lui offrir de l’excitation, dautant plus que je sais que la base du gode vient toucher, appuyer sur son clitoris ultrasensible.
Je sais aussi la sensation de dominer la situation, d’être sucé, surtout par deux bouches et les yeux qu’elle fait m’éclairent sur ce qu’elle ressent.
Elodie et moi salivons sur la fausse bite, échangeant quelques baisers, puis reprenant notre ouvrage, on fait bien bouger l’engin, renforçant les tensions sur le petit bouton de ma douce qui gémit doucement.
— Vous me faites mouiller à me sucer si bien, je vais me régaler avec toi mon chéri.
Je me doute évidemment de ce qu’elle a en tête, ses caresses orientées me l’ont fait comprendre depuis longtemps. Je suis un peu anxieux mais elle m’a tant donné que cela me semble naturel de tout lui donner aussi.
Notre complice stoppe et vient tout naturellement se positionner tête-bêche sur moi, m’offrant sa douce petite chatte à déguster. Je plonge immédiatement ma langue dans ce coquillage nacré si joliment offert. Elle est aussi trempée que moi je suis tendu et doit se faire la même réflexion puisque sa bouche chaude a englouti ma queue.
Mes mains caressent son dos, ses fesses musclées et pourtant si douces, pendant qu’elle me rend la pareille. Ces seins lourds s’écrasent sur mon torse et je savoure son pois sur moi, ce contact fort et excitant.
Mes genoux dépassent le bout du lit et je m’apprête à remonter un peu pour être mieux étalé, mais ma femme me bloque rapidement en me disant que je suis juste bien ainsi.
Elle a dû se mettre à genoux au bout du lit car je sens deux langues déguster ma queue puis une bouche s’attaquer à mes testicules qui se retrouvent au chaud l’espace d’un instant. C’est doux, humide et fait évidemment encore monter ma tension.
Puis mes jambes sont un peu relevées, écartées et une langue agile vient titiller mon intimité la plus secrète. Une chaleur monte en moi sous l’effet de cette langue diabolique sur mon anus, rapidement c’est un doigt humide qui vient s’introduire en moi, de petits va-et-vient rajoutent à une excitation déjà décuplée par la fellation dont je suis gratifié, savoir que les deux coquines voient tout de près rajoute à l’ambiance générale.
Je sais ce quil va se passer, et si je l’ignorais encore les mots de ma femme sont clairs:
— Maintenant c’est à mon tour de te prendre mon chéri, j’ai trop envie.
— Je te fais confiance mon amour.
— Elodie suce le bien qu’il soit détendu pendant que je le prends
Un borborygme lui répond, pendant que je me détends, la sensation de s’offrir totalement à sa femme de se dévoiler entièrement et ce devant une complice bien coquine est tout simplement très intense.
Elle a mis encore un peu de lubrifiant sur ses doigts car je sens l’effet sur le bout du gode quand elle me touche avant de l’introduire petit à petit en moi. C’est un peu douloureux, le temps qu’elle pousse et passe l’anneau, je me détends du mieux que je peux, puis je sens ses coups de reins devenir plus fort, plus profond, j’ai l’impression d’être rempli, de ne plus pouvoir respirer et elle ne bouge plus pendant que je reprends doucement, si doucement mon souffle.
Je sens un dernier coup et l’entends dire
— Ça y est tu es tout à moi, je te prends entièrement mon chéri
— Comme c’est excitant rajoute ma suceuse entre deux léchouilles, comme vous êtes beaux, si complices.
— Je vais y aller un peu plus fort mon chéri.
Elle avance puis recule, tout doucement, puis plus fort, heureusement c’est bien lubrifié et son rythme, doucement me fait passer d’une espèce de sensation diffuse à une excitation non plus intellectuelle mais physique.
— Il bande plus fort, tu peux y aller Aline !
— Oh ça m’excite de te prendre, je t’adore si offert, Axel, tu me fais mouiller à tout me donner.
— Vas-y Aline, il s’excite de plus en plus !
— Silence, suce-le petite salope.
Aline est repartie dans son trip de meneuse du jeu et j’aime cela.
Elle a amplifié ses coups de reins, et je suis de plus en plus tendu, l’excitation me rend fou et j’émets moi aussi des gémissements.
— Tu savoures mon chéri, hein, je te prends, je te prends, oh c’est bon…
Signe qu’elle se lâche plus en plus, son langage change, passant de Oh que c’est bon de te sodomiser à Puutain j’encule mon mec, prends salaud, tu bandes de te faire enculer, je te bourre, c’est booon !
Je sens la jouissance monter, cela vient du plus profond de moi, je donne des coups de reins, je perds le contrôle, je ne sais plus ce qui arrive, je sens mon foutre bouillonner, j’entends Aline gémir sans cesser d’aspirer, sens vaguement un mouvement car elle se branle la coquine et soudain, je crie, je me sens volcan et puis c’est une explosion de plaisir énorme.
J’ai l’impression de flotter, j’ai pris un pied terrible à me donner à ma femme qui m’a fait jouir, m’a regardé jouir dans la bouche de notre complice. Je ne sens presque pas la sortie du gode encore pris dans un tourbillon de plaisir, je sens vaguement une autre bouche se poser sur ma queue et j’entends des bruits qui clairement m’indiquent qu’elles se roulent une pelle avec ma semence.
Quand je récupère un peu et que j’arrive à me redresser, elles sont encore occupées à s’embrasser à grands coups de langue humides. Je regarde cela d’un peu loin, comme distancié, c’est excitant mais physiquement, il faut que je récupère un peu !
Le temps suspend son vol, j’ai dû avoir une petite absence et, quand je reprends pied, je me sens plus vaillant. Mes deux délurées sont allongées l’un contre l’autre dans un demi-sommeil, comme enchevêtrées et la lumière allumée compose un savant jeu d’ombres qui dessine, souligne leurs corps si beaux. Je les contemple, ravi et une partie de moi reprend du bois de la bête.
Aline, sans doute mue par un sixième sens (ou moins fatiguée, mais c’est moins romantique !) ouvre les yeux et me regarde. Nous partageons notre amour, notre tendresse durant un long instant de regards échangés dans lesquels notre complicité se raffermit encore et encore.
Elle bascule Elodie sur le ventre, ses fesses surélevées par l’oreiller et m’invite à me rapprocher. Nous nous embrassons au-dessus du petit fessier tentateur et le parcourons de nos langues en de doux baisers. Une espèce de ronronnement émane de notre amie qui doit être dans un demi-sommeil (ou alors elle fait très bien semblant !)
Je me rapproche de ma femme et accroupi derrière Elodie tend ma queue vers sa bouche, elle la happe, me procurant rapidement la dureté souhaitée, puis obéissant à mes gestes, écarte les deux globes charnus des fesses d’Elodie, me dévoilant son petit anneau brun, crache sur le petit trou et me lance un regard vicieux.
J’avance ma queue, elle positionne le gland et, bien lubrifié, je pousse doucement ma verge dans le doux fourreau. Elodie a un soubresaut, mais ne résiste absolument pas, se contentant d’un " Oooh, " puis d’un " Faites de moi ce que vous voulez" qui nous échauffe le sang.
Ayant franchi avec succès l’anneau culier, je pousse encore et encore sans à-coups et finalement me retrouve enfoncé jusqu’à la garde dans son petit fessier. Aline m’a saisi les fesses et tire vers elle, achevant l’introduction totale de mon sexe.
Elodie gémit continuellement, son rauque qui monte dans les aigus quand je commence à la pistonner régulièrement puis plus fort.
Entre temps, Aline s’est levée et s’est collée derrière moi je sens ses seins s’écraser sur mon dos, son corps imbriqué et, passant ses bras autour de moi, elle m’accompagne dans ma saisie des hanches d’Elodie. Ayant déjà joui plusieurs fois, je suis dur pour un moment. Heureusement car ma femme me mordille dans le cou et me donne des conseils dans un langage fleuri.
— Bourre-la bien, vas-y ; encule-la bien cette petite chienne allez Axel va y vas y, tu l’entends elle en veut, défonce-lui son petit cul, j’adore, elle adore, oui, oui. Encore, plus fort
Une de ses mains est descendue et je la sens se branler comme une fois en même temps que ses paroles sont de plus en plus décousues…. Elodie gémit de plus en plus, se mettant à l’unisson et je crois bien que c’est ma voix que j’entends en train de crier mon plaisir. Je donne de bons coups de reins, la pénétrant profondément et je pars quand je me fais mordre l’épaule par ma petite chérie, déclenchant un grand cri de la jolie jeune femme sous moi.
Ma femme me fait ensuite me retirer, glisse sa main plus bas, recueille ma jouissance dans le creux de sa main et va la faire lécher à Elodie dans un geste de soumission. Je suis out, et si ce spectacle me fait halluciner par sa perversité, je suis trop las pour bander à nouveau.
La suite vient trop rapidement, une nouvelle douche ultra rapide car nous sommes vraiment justes, une dernière embrassade avec une Elodie déjà dans un demi-sommeil et que nous reverrons bientôt, les bagages, la remise des clés à la réception, le bus, la longue attente à moitié somnolente dans l’aérogare, le passage de la douane et un sommeil qui nous saisit dès le départ de l’avion.
Et cette fois, accolés l’un contre l’autre, partis dans des rêves ou plutôt des rappels de la réalité des superbes vacances que nous avons vécus, nous n’avons senti aucune turbulence !
Merci d’avoir suivi nos aventures. Dans les îles
Place au retour en France