L` appartement consistait en une pièce d’une soixantaine de mètres carrés auquel se greffait une cuisine et une salle de bain.
En réalité, l’ appartement était un loft. Il y avait de larges fenêtres où l’on pouvait voir le soleil déclinant sur les mansardes voisines typiques de la France.
Il y avait un grand lit situé au milieu, surmonté de deux couettes, des lampes halogènes, une décoration sobre mais de mauvais goût. Elle fureta partout de ses yeux verts aux mille reflets bleus, regarda les murs et apprécia les meubles. Il y flottait une ambiance cool dans une atmosphère douce et rougeoyant sans rien d’ostentatoire. Bref, elle se sentait en confiance dans une ambiance assez cosy et chaude.
Evidement, elle avait ses doutes. Qu?auriez-vous pensé à place ? Des doutes sur lui, sur quoi ? Il vous invite la joie de vivre avant d’avoir la fouille au corps. Au risque de s?ennuyer une nouvelle fois. Comme il est poli, alors il lui demanda :
— Que désire-tu boire ?
— Gin, s’il te plait.
— Ok, donne-moi ton manteau, tu vas mourir de chaud ici.
— Ce n’est pas si sur ! Dit-elle mutine. Que tu es beau ! Vraiment ! Tout cela pour moi ? Et moi, comment me trouves-tu ?
Il ne répondit pas, souriant en coin.
Elle était merveilleuse. Elle avait son visage allongé qu’il ne devait voir que des traits tendus mais souriants, ses yeux vifs et délicats, la larme figée sur sa joue d’un grain de beauté discret, comme la touche personnelle d’un tableau baroque et une fabuleuse aura de bonheur.
— Pas trop mal, répondit-il dans un reniflement.
Elle garda son manteau. Il ne cherche plus à comprendre, quoique ! Il lui tendit son verre qu’elle vida aussitôt. Une fois de plus, elle l’étonna, parce que du gin, ce n’était pas de la limonade. Ils dérivaient de plus en plus vers les détails de leur vie amoureuse. La discussion était difficile mais son regard et son sourire en disaient long sur ses envies…….. elle mettait un glaçon dans la bouche et le suçait doucement, elle se léchait les lèvres sans arrêt… Hélas pour lui, il avait eu la politesse naturelle de lui renvoyer la question, et elle l’écoutait avec un enthousiasme malicieux :
— Je vois que tout est prêt. Et toi, es-tu prêt ?
Elle posa son sac sur le lit et d’un geste, elle ouvrit son manteau qui tomba à ses pieds : elle était entièrement nue, nue et offerte. Bien qu?il ait déjà pu apprécier la nudité de plusieurs femmes, avec elle, il pouvait rester des heures à la contempler, l’admirer.
— Fais-moi l’amour.
Deux choses en lui fit un bond. Son cerveau était en ébullition, il ne comprenait plus grand chose de ce qui ce passé maintenant. Il y avait quelque chose de différent en elle et ça le perturbait un maximum : son cour pulsait entre 150 et 200 et ce qu’il y avait dans son pantalon quelque chose qui ne pouvait pas prendre tout son ampleur à cause de sa braguette. Il s’approcha d’elle lentement. Voyant son trouble, elle accentua son rôle de femme coquine pour l?amant de charme, elle baissa ses lunettes noires sur son nez et le dévisagea du coin de l’oil en promenant son doigt sur ses lèvres. Il fallait qu?il se fasse à l’idée… Ca l’amusait. Il se montrait compréhensif, doux et patient. Il ne pouvait tomber mieux ! Elle avait chaud partout, elle sentait qu?elle allait commettre une folie, elle se sentit envahir de désir pour ce mâle puissant et viril. Il la plaqua contre le mur et se mis à la couvrir de baisers, tout en lui caressant les seins. Elle était déjà envoûtée. Quand leurs bouches se joignirent à nouveau, il posa sa main dans son entrejambe. Il était plein d’énergie et de passion, créatif et tendre. Sa bouche la couvrait de baisers, sa langue la léchait et la fouillait partout. Ses caresses parcouraient son corps et l’excita au plus haut point. Il fondait, il coulait de plaisir.
Il lui murmura sa satisfaction sans rien précipiter.
Il ne voulait rien imposer. D’un petit sourire, elle désigna sa lingerie et il décida de commencer logiquement par le porte-jarretelles avant les bas. Il se mit à genoux devant elle, il enveloppa sa taille de la bande de tissus. Il embrassa son ventre légèrement bombé. Elle émit un son désapprobateur, visiblement : pas touche ! N’empêche qu’il tricha un peu en plaquant ses mains sur le porte-jarretelles afin de mieux le positionner, il pouvait sentir à travers le tissu la douceur et le volume de son ventre. Elle posa à présent son pied sur la table afin qu?il puisse enfiler le premier bas.
Positionné comme il était, il ne voyait pas grand-chose (et ce n’était pas plus mal). Ses mignons orteils s’engouffrèrent délicatement en frôlant juste ce qu’il fallait, sa jambe maintenant posée au sol, il remonta millimètre par millimètre vers sa cuisse. Il en frissonna de désir, elle aussi. Arrivé en haut, il plaça correctement la bande sombre autour de sa cuisse galbée, ce qui lui offrit une occasion inespérée de la palper.
Sa peau était douce et sa cuisse fraîche, rien que du tentant et de l’excitant. Il accrocha, un peu balourd, la brettelle à son bas. Pas évident, ce truc. Il était vrai qu?il était plus doué pour dévêtir les femmes que de les habiller.
Sans dire un mot, tout en la dévisageant, il passa à 200 pulsations au bas mot ! Cette fois-ci, il eut une vision directe avec sa chatte dorée, si peu fournie qu’elle en paraissait translucide, une chatte légèrement luisante, à la fente délicate, aux lèvres charnues, un abricot de tout premier choix.
Sans quitter des yeux ce spectacle enchanteur, il plaça l’autre bas, ses mains glissèrent sans vergogne à même la peau en une longue caresse. Il sentit sous ses doigts qu’elle tremblait un peu. La brettelle fixée, il resta hypnotisé par sa chatte dans laquelle il irait volontiers plonger tout entier. Soudain, quelque chose se balança sous son nez : son soutien-gorge qu’elle laissa choir. Elle désirait qu’il passe à la suite et se retourna.
Waow ! Il avait une vue magnifique sur ses fesses, il en mangerait, il mordrait voluptueusement dedans. Des fesses rebondies comme il fallait, un sillon tentateur et plus bas, quelques poils discrets qui encadraient sa chatte pêcheuse. Sans parler de toute cette chair dorée à la lisière des bas noirs ! C’était un spectacle dont il se souviendrait toute sa vie, il le savait. Son sang était en train de bouillir dans ses veines et Fred se sentit prêt à la violer sur place.
Michèle s’était fait avoir à son propre jeu. Elle était complètement excitée, elle le désirait au plus au point, elle se retourna et lui dit en le suppliant :
— Donne-la-moi, s’il te plaît !!!!! …..Laisse-moi la sucer !!
Elle lui défit le bouton et la fermeture éclair de son pantalon et le baissa d’un coup sec en emmenant son caleçon. A la vus de son bel engin, elle fut complètement fascinée, elle ne tarda pas à flatter son pénis en l’embrassant. Tout en lui caressant les bourses, elle engloutit son sexe dans sa bouche. Il était aux anges. La fellation qu’elle lui offrait était divine. Jouant avec sa langue et ses dents, elle savait précisément ce qu’il fallait faire pour l’amener au nirvana. Il dut se concentrer pour ne pas éclater dans sa bouche mais il voulait la prendre et la faire jouir. Il avait tellement rêvé de ce moment !
Ils avaient fait l’amour durant trois heures, dans toutes les positions imaginables. Il l’avait chevauché, il l’avait sodomisée (pour la première fois de sa vie), il l’avait prise en levrette. On ne comptait plus les capotes. Au souvenir de cet épisode, un éclair jaillit dans l’esprit brumeux de Michèle. Ce, qui toutefois resta gravé dans sa mémoire, c’est quand il la pénétra en levrette, sa queue limant son vagin à lui faire mourir de plaisir. Ses coups de reins faisaient glisser sa merveilleuse bite en elle, ses mains sur ses hanches, son ventre tapant ses fesses à chaque va-et-vient.
— Oh ! Dieu qu’il est gros ! Oh !! Quel morceau… Tu vas me tuer !!!
Ooooohhhh !!!… C’est booon… Mon Dieu, que c’est bon… OOOhhhhhhhh…
Il la labourait pendant très longtemps et elle n’était plus à son premier orgasme. Le plaisir montait, montait et ses gémissements répondaient en écho aux clapotis venant de son sexe. Elle pouvait sentir qu’il allait jouir et il accéléra de plus en plus pour venir lui aussi. Tout d’un coup, il la saisit par les seins à pleines mains tout en lui perforant de toutes ses forces et il cria son nom. Sa semence jaillit dans sa chatte et une vague de plaisir la submergea. Maintenant et seulement maintenant, elle comprit la petitesse du pénis, sa délicatesse, sa réticence de bourgeon ; et un petit cri d’émerveillement et de douleur lui échappa encore ; le cri de son cour de femme émerveillé par la délicate fragilité de ce qui avait été la puissance.
-Que c’est beau ! Gémit-elle. Que c’est bon !
Maintenant, tout son corps s’accrocha avec un tendre amour à l’homme inconnu et aveuglément, au pénis défaillant qui tendrement, faiblement, sans le savoir, se retirait, après le furieux assaut de sa puissance. Comme il se retirait, chose secrète et sensible, il abandonna son corps, elle poussa un cri inconscient, un cri de pure perte et elle essaya de le remettre. Cela avait été si parfait ! Elle en avait eu tant de joie !
Ils étaient effondrés sur le lit, en sueur et ils étaient restés comme ça, lui, enlacé de ses jambes, immobile pendant quelques minutes, leurs cours battaient à toute vitesse. De toute sa vie elle n’avait jamais eu un tel amant. Ses cris de plaisir l’avaient excitée comme jamais et il voulait tellement lui donner encore plus de plaisir.
A suivre……
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Auteur: Ivan Ribeiro Lagos écrivez-moi sur,[email protected]