Grande amatrice de l’univers de Tolkien, j’attendais depuis longtemps la sortie du film Bilbo le Hobbit. Mon mari n’ayant pas le cinéma dans ses loisirs favoris, me voilà donc partie seule au centre ville en fin d’après-midi.
Le rush des premiers jours étant passé, je me disais qu’en allant à la séance de 17h00, il n’y aurait pas trop de monde. Comme de fait, la salle était loin d’être remplie, je m’installe dans une rangée vide en milieu de salle.
Une dizaine de minutes après le début du film, quelqu’un s’installe à côté de moi, déjà absorbée, je n’y fais pas plus attention que ça. Le film continue, je sens une main m’effleurer le genou (je portais une jupe juste sous le genou, remontée un peu de par la position assise), je ne réagis pas, me disant qu’il s’agissait d’un frôlement banal en faisant un mouvement.
Quelques instants plus tard, nouveau contact du dos de la main, un peu plus lent cette fois. Je tourne mon visage, constate quil sagît dun homme, la quarantaine, lair absorbé par le film lui aussi. Je ne réagis pas plus, ne voyant pas malice à ce geste sans doute involontaire.
Soudainement, mon cur fait un bond dans ma poitrine : il vient de poser sa main sur mon genou. Je suis tétaniséemême si jadore le sexe, je nai jamais essayé daguicher quelqu’un, personne ne ma jamais fait davance directe.
Assez timide, réservée, je ne me vois pas faire un esclandre. Il y a du monde, il ne peut pas marriver grand-chose me dis-je Encouragé par mon absence de réaction, sa main remonte à mi- cuisse, la caresse lentement. Mon cur bat la chamade….sa main arrive maintenant sur ma culotte.
Je ne sais pas pourquoi (je ne vais pas dire instinctivement), jécarte les jambes, pour lui laisser libre cours. Après avoir longuement caressé mon sexe à travers le tissu, voila qu’il glisse sous ma culotte, caressant un peu ma toison, avant darriver à ma chatte maintenant humide.
De sa main libre, il prend la mienne et lattire vers lui, la pose sur son sexe en érection qu’il avait déjà sorti, sans doute avant même de commencer son approche. Excitée par la situation, je referme ma main sur sa queue et commence à la caresser lentement. Il me pénètre avec deux doigts, les fait aller et venir en moi, de plus en plus vitenous nous masturbons lun lautre.
Je jouis. Je coule comme une fontaine, en arrivant tant bien que mal à taire mon plaisirIl jouit aussi, je sens sa sève chaude couler sur ma main. Après un moment à reprendre notre souffle, il retire sa main dentre mes cuisses, je récupère la mienne. En gentleman ( ?), il me donne un mouchoir en papier afin que je puisse essuyer la semence déposée sur ma mainAvant de le faire, je donne un petit coup de langue sur le dos de ma main pour « le » goûter (peut-être pour comparer avec le goût de mon mari, que jadore avaler).
Quelques minutes plus tard, il sest relevé et est sorti. Je ne lai pas revu.