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Gougnote dominatrice – Chapitre 3

Gougnote dominatrice - Chapitre 3



Salut c’est votre folle de lycra.

Voilà comment après tant de temps que nous nous connaissions, je commençais à découvrir le corps de Marie. Mine de rien en plus d’être beau à regarder son corps était agréable à caresser; je prenais aussi grand plaisir à embrasser Marie car au fond de moi c’est une chose dont j’avais envie depuis très longtemps. Sophie poussait maintenant le vice jusqu’à aller caresser le minou de Marie puis déposer les sécrétions récupérées sur mon sexe. Il n’y a pas à dire Sophie en plus d’être gougnote était une experte en bisexualité; elle savait nous donner du plaisir et nous exciter comme personne. Mon petit doigt me disait que Sophie avait envie que je pénètre Marie devant ses yeux. Pendant que j’ai embrassé Marie je la voyais se tortiller de plaisir sous les caresses de sa partenaire.

De mon côté Sophie me tenait par le sexe et je donnais des coups de reins pour essayer d’aller plus loin dans sa masturbation qui était déjà très bonne. Puis Sophie a dit à Marie qu’il serait bien que je la pénètre histoire que je lui fasse enfin du bien depuis le temps que nous nous connaissons. J’étais impressionné car Marie était 100 % obéissante à ce que lui disait sa partenaire, moi je l’écoutais aussi mais c’était plus mon sexe qui obéissait. Sophie m’a dit que j’étais une bonne soumise et le fait qu’elle me parle au féminin m’a beaucoup excité même si cela me gênait beaucoup que Marie entende tout cela. Alors que j’étais confortablement assis dans le canapé Sophie m’a fait lever quelques secondes le temps de me défaire de mon pantalon puis elle a invité Marie à venir se mettre face à moi; à cheval sur mes cuisses. Sophie a saisi mon sexe pour caresser le minou de Marie,

J’entendais cette dernière soupirer dans mon cou et mon petit doigt me disait que c’était du désir. Je savais que dans sa jeunesse Marie me désirait; mais je ne pensais pas une seconde que nous finirions par faire ça au bout de 30 ans, surtout dans de telles circonstances. Manifestement le frottement de mon sexe faisait beaucoup de bien à ma partenaire mais il y avait une énorme réciprocité dans les sensations. Puis Sophie a présenté plus fermement mon sexe à l’entrée du vagin de Marie et cette dernière c’est littéralement emboîtée dessus. Pour la première fois de ma vie je pénétrai mon amie d’enfance et ça n’avait pas l’air si désagréable. Vue l’étroitesse de son conduit mon petit doigt me dit qu’elle ne devait pas avoir beaucoup de relations avec des hommes. J’ai aussi été agréablement impressionné par la capacité de contraction du vagin de Marie. J’ai pris un plaisir monstrueux à pénétrer mon amie d’enfance, cela a commencé à être merveilleux quand elle s’est mise à monter et descendre sur mon sexe.

Qu’il soit d’homme ou de femme, il n’y a pas à dire; Sophie savait y faire avec un sexe. Puis à ma grande surprise, pendant que ma partenaire montait et descendait sur mon sexe; elle s’est mise à embrasser Sophie de façon aussi délicieuse qu’avec moi. Elle c’est surtout mise à la caresser de façon on ne peut plus érotique, j’étais assez étonné que cela vienne de la part de Marie. Au fond de moi je me disais que Sophie avait une sacrée emprise sur elle, tout comme elle en avait une sur moi. Entre les caresses et la vue de ces deux femmes s’embrassant, mon excitation était à son maximum ce qui fit que je suis parti assez rapidement dans le vagin de mon amie d’enfance. J’ai dû lui déposer une grosse quantité de semence car elle a senti cette dernière arriver en elle. Pendant ce temps Sophie est restée imperturbable et continuait à nous exciter nos petits trous.

Marie a continué à aller et venir sur mon sexe quelques instants car elle aussi a pris son pied et ce ne fut pas la même paire de manche que moi. Elle s’est mise à pousser des cris à m’en faire mal aux oreilles et je n’ai pu la faire taire qu’en l’embrassant fermement. Elle m’a serré très fort contre elle et m’a un petit peu planté ses ongles dans le dos avant de commencer à se relâcher et se décrisper. Marie et moi étions quelques peu fatigués par ce que nous venions de vivre, Sophie nous a fait lever et nous a dit que nous allions aller nous coucher histoire de reprendre un peu des forces. Là devant Marie, Sophie m’a dit que vu que j’aimais maintenant mettre des petites culottes; je pourrais aussi enfiler une nuisette pour aller me coucher. Nous serions plus entre femmes a-t-elle rajouté. Compte tenu du fait que nous étions tous les trois à peu près de la même taille Marie est partie me chercher une nuisette très longue.

C’était la première fois que j’enfilais ça, mais c’était sacrément doux et dans les secondes qui suivirent je me retrouvais avec une grosse érection. C’est mon amie d’enfance qui s’est permis de toucher mon sexe dissimulé sous cette musette en me disant que manifestement cela me faisait beaucoup d’effet. Sophie en a rajouté une couche en disant que de toute façon, cela se sentait à plein nez que j’étais une grosse cochonne. Sophie me trouvant très belle ainsi a demandé à Marie si elle n’avait pas un collant fendu à me donner à enfiler. Cette dernière est revenue avec un collant hyper opaque fendu à l’entrejambe, on ne peut plus provoquant. Sophie me l’a donné à enfiler en me disant que j’allais me transformer en copine d’enfance de Marie… J’étais vraiment très étonné de découvrir que Marie portait de tels vêtements, mais j’ai appris ensuite que c’était depuis qu’elle fréquentait Sophie.

J’étais en train de réaliser qu’à ce rythme-là, elles allaient faire de moi une petite femme bien bandante. À ma grande surprise j’ai découvert que Sophie avait prévu le coup car elle avait amené chez Marie quelques jours auparavant une boîte contenant des cuissardes parfaitement à ma pointure. Ces dernières me montaient jusqu’à mi-cuisse et je peux vous garantir que c’était vraiment excitant d’enfiler ça; bref il ne me manquait plus qu’un long ciré rouge et j’étais bonne pour aller tapiner. Sophie m’a aidé à marcher ainsi chaussée et je m’en suis rapidement bien sorti à ma grande surprise. C’est ainsi que j’ai passé la soirée complètement habillé en femme chez Marie avec Sophie. Je n’osais pas vraiment leur dire mais je commençais vraiment à prendre goût à m’habiller ainsi devant elles. Voilà quelques instants nous étions partis pour aller nous coucher et nous étions maintenant repartis dans nos délires vestimentaires.

Je ne sais pas pourquoi mais ainsi habillé je me sentais vraiment femme et même mes idées devenaient féminines. Je m’imaginais ainsi vêtu offert un homme, je m’imaginais ainsi vêtu faisant du bien à un homme, je m’imaginais ainsi vêtu en train de draguer un homme… Bref cette tenue féminine que je portais était vraiment en train de me tourner la tête. Puis Sophie nous a dit qu’elle avait une idée elle est partie dans la chambre de Marie puis est revenue avec un gros gode ceinture. Là je me suis dit elle ne va quand même pas pénétrer mon amie devant moi, sincèrement cela me dérangerait de voir mon amie d’enfance se faire pénétrer par une femme. Grande fut ma frayeur quand j’ai compris que se gode n’était pas prévu pour Marie mais pour moi, Sophie à essayer de me rassurer en me disant que elle irait en douceur histoire que je ne prenne que du plaisir.

Quand Marie est venue me voir entre quatre yeux avec projet de me convaincre d’accepter, je ne savais pas quoi répondre. Sophie m’a expliqué que quand on s’habillait ainsi en femme il fallait assumer son rôle de femme jusqu’au bout, en gros il fallait que je comprenne qu’une fois habillé ainsi il fallait que je me fasse prendre par un sexe d’homme. Son raisonnement n’était pas stupide. Sophie s’est mise à parler d’autre chose et est venue s’asseoir sur le lit en écartant bien les jambes en m’invitant à venir lui faire une petite toilette intime. À ma grande surprise ce coup-ci c’est Marie qui m’a littéralement obligé à m’agenouiller face à son amie. Je découvrais un visage de Marie qui m’était totalement inconnu, une femme directive voire dominante. Dans les secondes qui suivirent et j’avais le visage plein de cyprine de notre maîtresse. Et là je n’ai rien vu venir c’est encore Marie qui m’a laissé bête dans son initiative de m’attacher les bras dans le dos avec un foulard.

Il m’était totalement impossible de me libérée sans leur aide et c’est ainsi que Marie a changé de rôle avec Sophie et je me suis retrouvé le nez dans le minou de Marie. Il ne m’a pas fallu bien longtemps pour comprendre l’opération, à savoir que Sophie allait pouvoir ainsi me prendre par-derrière un peu à mon insu. Elle s’est harnachée en quelques secondes et je me suis retrouvé à sucer le gode, histoire de bien le préparer à la pénétration. Pendant que j’avais la bouche pleine de silicone, Sophie était en train de me balancer plein de salive sur mon petit trou avec projet de me le préparer à la pénétration. Au début je ne me laissais pas faire et pas un seul doigt ne rentrait, mais au fur à mesure d’insistance; elle a carrément réussi à me glisser 3 doigts pour mon plus grand plaisir à mon grand étonnement. J’avais la bouche occupée à donner du plaisir à Marie et en même temps je soupirais tellement Sophie me faisait du bien maintenant.

Et si c’est Sophie qui avait raison quand elle me traitait de grosse cochonne refoulée, quand elle me disait qu’il y avait une chienne en chaleur refoulée en moi. Bref j’étais en train de me poser plein de questions quant à ma réceptivité de ses caresses quand même inavouables. Le moment est arrivé où Sophie a décidé que j’étais prêt à me faire prendre, elle a dit à Marie de se retirer pour que j’ai la tête dans le canapé pour pouvoir crier si besoin était. En fait maintenant j’avais tellement peur que j’avais la tête dans les oreillers et que je ne voyais plus rien. J’ai dû attendre encore quelques minutes avant de sentir ce sexe factice venir se positionner à l’entrée de ma rondelle. Puis les mains se sont délicatement posées sur mes hanches, le gland de silicone a commencé sa pénétration. Bizarrement Le bon quart d’heure de préliminaires fit que je ne sentais pas grand-chose, cela faisait limite du bien. Le sexe de belle taille commençait à progresser en moi et je m’amusais à contracter mon rectum pour mieux le sentir évoluer dans mes entrailles.

Il rentrait de 2 cm sortait d’un centimètre, rentrait de 3 cm sur sortait de 1 en fait j’étais en train de me faire déflorer tout en douceur. Cela a pris au moins 7 ou 8 minutes avant que le gode soit entièrement entré en moi. Je la sentais rajouter régulièrement de la salive pour que cela coulisse le mieux possible. Une fois le sexe arrivé en butée elle s’est mise à aller et venir de façon plus marquée en moi. Et là je peux vous garantir que j’ai commencé à prendre du plaisir, en même temps il m’a était en train de me caresser le sexe et les boules. Et moi j’étais en train de soupirer très fort, il m’arrive même maintenant de pousser des petits cris. Les mains me caressaient à travers ma nuisette et c’était vraiment très agréable. Je commençais maintenant à comprendre pourquoi les femmes s’habillaient avec de si douces parures car quand on sent une caresse à travers la douceur de ses vêtements c’est vraiment formidable.

Et la terreur… j’entends Sophie qui vient me parler à l’oreille, mais qui est donc en train de me sodomiser. En quelques instants j’ai réalisé que c’était Marie qui était en train de me prendre, tel un homme le ferait avec sa belle. Mon amie d’enfance, ma collègue de travail était en train de me prendre énergiquement et surtout de me donner du plaisir par un endroit que je ne connaissais pas encore. Sophie avait bien manigancé son coup, elle avait donné le gode à sa chérie pendant que je me mettais la tête dans l’oreiller. Maintenant Marie tout comme Sophie ne me regarderait plus comme avant, j’étais en train de devenir leur soumise et qui sait même peut-être leur petite chienne. Sophie s’est mise à me masturber énergiquement et, compte tenu de l’encouragement en règles que j’avais par derrière, je n’ai pas été bien long à éjaculer. Quand Sophie a réalisé que j’étais en train de partir, à la première giclée elle m’a dit: "bienvenue dans le club des salopes, tu vas y prendre goût avec le temps". Elle m’a expliqué qu’elle venait de réveiller mon côté féminin et qu’elle n’était pas prête de le laisser se rendormir.

Marie a continué encore un petit peu à me défoncer le fion au point de réussir à me faire pousser des cris de plaisir. J’étais vraiment honteux d’être à ce point tombé si bas. Marie n’a pas été bien longue à prendre son pied après moi grâce au gode qu’il y avait de l’autre côté du mien. Elle s’est ensuite débarrassée de l’artifice pour venir s’allonger mes côtés, j’étais en train de vivre un petit moment de douceur dans les bras de la femme qui venait de me dépuceler par derrière; tout cela sous les yeux de sa chérie.

En espérant que ce chapitre numéro 3 vous ait un peu plus plu que le chapitre numéro 2

Bisous à vous

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