Le soir venu alors que le coucher de soleil fait rougeoyer la mer, nous gagnons l’appartement de Kate et de Sven, ces Allemands que nous avons rencontrés sur la plage au cours de l’après-midi… Et avec lesquels nous avons batifolé dans les dunes.
Dorothée s’est mise en frais… Elle porte une robe blanche en tissu léger qui masque son corps bronzé par le soleil et lorsqu’elle l’a enfilée devant moi, j’ai vu qu’elle ne portait qu’un mini string blanc en dentelle. Sa robe est en fait un bustier très ajusté qui tient que grâce au relief des seins ronds et fermes de ma compagne. Il s’évase ensuite sur ses hanches et les pans de la jupe s’ouvrent pratiquement jusqu’au pubis.
— Tu crois que tu vas garder ton string longtemps ?
— Non, c’est juste pour traverser le village !
— Bof… Tu sais, ici personne n’y fait attention !
— Ah NON… Il y a trop de « textiles » qui rodent le soir pour nous mater !
— Comme tu veux… Mais je me doute que nous n’allons pas nous contenter de prendre l’apéro… J’ai bien vu que Sven n’en avait pas fin i avec toi !
— Tu peux parler ! C’est la poitrine de Kate qui te fait fantasmer ?
— Oh oui… et elle sait s’en servir ! Ce qui est dommage, c’est que j’ai terminé entre ses seins…
— Tu aurais bien voulu y commencer… n’est-ce pas grand coquin !
— Ouiii… et lui prendre le cul ensuite !
Voilà la teneur de la conversation avec Dorothée pendant qu’elle achevait de se préparer : maquillage un peu forcé, lèvres carmin foncé, khôl sur les paupières…
De mon côté, après un rasage barbe et pubis et le corps enduit d’onguent parfumé, j’opte pour une tenue des plus décontractée… un polo blanc et un pantalon assorti sans rien dessous… C’est inutile et c’est un peu une habitude que je conserve au long de l’année… J’aime bien sentir mon « service trois-pièces » libre de ses mouvements quand je marche… et les pieds chaussés de sandalettes…
En plus, cela m’excite car Dorothée m’a dit un jour qu’elle marchait derrière moi qu’on voyait bien le dessin de mes fesses !
C’est Kate qui nous ouvre la porte… Elle est splendide, elle porte un paréo aux couleurs chatoyantes qui ne tient juste pas une broche qui noue le tissu au milieu de sa poitrine qui est libre en dessous puisque je distingue la pointe de ses seins.
— Entrez vite… Nous attendions vous !
Et Kate me tend ses lèvres maquillées de rose et je m’empresse de lui rendre son baiser. Sa langue fouille ma bouche et je sens une main malaxer doucement les couilles au travers de mon pantalon.
C’est bien parti !
— Oh le petite français bande déjà ! Schön…
Sven ne porte qu’un string qui a bien du mal à maintenir son sexe… Je remarque à nouveau sa musculature avantageuse parfaitement hâlée…
Il accueille Dorothée un peu de la même manière ace des effusions coquines… Pour l’embrasser à pleine bouche, il passe une main dans ses cheveux courts pour la plaquer contre lui et certainement lui faire sentir la turgescence son sexe.
Quand il se dégage de cette étreinte, il se tourne vers nous en disant :
— Cet après-midi, nous pas assez de temps… Ce soir nous allons faire mieux ! Nous faire connaissance !
Kate poursuit :
— Venez… apéritif sur la terrasse !
— Excuse l’expression… mais avec le cul que tu as je te suivrais bien plus loin !
— Oh… coquin !
Et elle nous précède en tortillant outrageusement des hanches !
— Ça ne te déplaît pas de te taper un « petit français » comme tu dis !
— Vous avez réputation être bon amant !
— Wait and see !
Après avoir traversé la salle de séjour, nous arrivons sur la terrasse… Et quelle terrasse ! Elle domine le lotissement et notre terrain de camping et on aperçoit la mer au loin… Dans un angle il y a un jacuzzi qui bouillonne doucement alors que dans l’autre, il y a deux grands lits de repos de part et d’autre d’une table basse abondamment garnie de mets venant d’un traiteur et plusieurs bouteilles d’alcool dont un magnum de champagne qui rafraîchit dans un seau plein de glaçons !
L’air est doux dans le soir tombant…
Dorothée s’installe à côté de Sven… Cette dernière, toujours un peu « exhib’ » et provocatrice étale les pans de sa robe autour d’elle et montre à qui veut le voir, qu’elle ne porte qu’un mini string qui couvre à peine son sexe… puis elle rabat le devant de sa robe et découvre ses petits seins bien ronds et bien fermes pour les offrir aux caresses de l’homme.
J’ignore si c’est la fin proche de notre séjour au Cap ou l’intermède dans les dunes qui la rendent aussi provocatrice. Je sais qu’elle aime être regardée, que de temps à autre, elle accentue le balancement de ses hanches comme pour dire qu’elle maîtrise la situation… Depuis notre rencontre à Djerba je sais qu’elle m’a été fidèle tout comme moi, je lui ai été fidèle…
Ce séjour nous a ouvert les portes de la coquinerie… partagée bien sûr !
Je vois Sven se pencher sur la poitrine de Dorothée pour l’embrasser… Je sais qu’elle aime et que les bourgeons de ses seins ne tarderont pas à sortir…
Mais j’ai bien mieux à faire…
Kate va chercher ma bite dans mon pantalon et d’un seul trait, elle l’avale au fond de sa gorge où elle la fait grossir et se développer… Bientôt elle m’offre une gorge profonde qui achève de m’exciter lorsque j’enlève son paréo sous lequel elle est intégralement nue !
Penchée sur moi, je vois sa poitrine opulente balancer doucement et je repense à l’après-midi quand j’ai aspergé ses seins de mon foutre.
— Bon… Toi bien raide… Tu vas me baiser bien fort !
Décidément cette Allemande est bien gourmande… C’est déjà elle qui a amorcé la partie carrée dans les dunes… mais puisque c’est parti ainsi, je ne vais pas me priver de sauter cette belle Walkyrie aux formes juste un peu opulentes mais avec une paire de loche de compét’.
Elle s’allonge sur le lit où elle s’étire, ouvrant ses cuisses largement et en me tendant les bras, elle me répète de bien la baiser, de la faire reluire, de cracher mon jus en elle, qu’elle a envie de sentir à nouveau ma queue lui ramoner la chatte…
Les lèvres vaginales de l’Allemande sont bien ouvertes et je distingue son clitoris développé à demi caché par le capuchon… Elles sont pleines d’une cyprine abondante qui semble s’écouler le long du périnée…
Je n’en peux plus… Je bande comme un cerf en rut et j’approche mon gland de son orifice… Dès que je sens la chaleur intime, je pénètre Kate avec vigueur et faisant claquer mon pubis contre le sien.
— Tiens… Voilà comme un Français baise une salope comme toi !
— OUI… Moi grand salope… Toujours envie de baiser… Tu es quatrième aujourd’hui !
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— Oui, moi baiser avec livreur épicerie ce matin et ce soir encore avec Sven et un copain retour de la plage !
— T’es vraiment une SALOPE !
J’insiste sur le terme et elle me répond :
— Nous… venir Cap d’Agde pour baiser ! Tous les jours autres amants ! Pareil pour Sven… Beaucoup nanas pour lui… Moi pas jalouse !
Je vais et je viens dans cette chatte accueillante et je fais jouit Kate une première fois… Elle est déchaînée, s’agit sous moi comme une possédée, nous ses jambes sur mon dos pour me maintenir en elle.
— Baise-moi encore… Je veux ton jus en moi !
Libéré de ses jambes, je me redresse et la domine… Ses seins partent un peu sur les côtés tandis que je redouble mon va-et-vient dans sa chatte qui déborde de cyprine !
Quand nous jouissons en même temps, Kate pousse un hurlement qui a dû s’entendre loin…
— Oui… Vide bien tes couilles… J’espère tu as réserves !
— OUI, je vais t’en mettre plein où tu veux !
— OUI… Mon cul envie ta bitte au fond !
En reprenant contact avec la réalité, je découvre l’autre couple… Sven est adossé à la paroi du jacuzzi et il baise Dorothée dans une position acrobatique… Elle a passé ses bras derrière la nuque de son amant et noué ses jambes autour de ses hanches… Je vois le sexe mâle entrer et sortir de celui de mon amie de plus en plus vite jusqu’au moment où il décharge dans le vide quand Dorothée jouit !
Après cette première joute, nous prenons l’apéritif… Champagne pour tout le monde et nourritures solides dont nous avons besoin. Nous bavardons quelques minutes de choses et d’autres puis Kate se tourne vers moi en me tendant les lèvres…
C’est reparti !
— Toi… baise-moi en levrette… après tu me prendras le cul… pas besoin de capote, j’ai mis du gel !
C’est vrai qu’elle s’était absentée quelques instants…
Je ne vous fais pas de dessin… Quelle cavalcade… Chaque fois que mon pubis s’écrasait de plus en plus violemment contre les fesses de Kate, elle poussait un cri et m’encourageait à y aller encore plus fort… J’avais les mains crochées dans ses hanches pour nous maintenir en équilibre puis presque sans changer de position, j’ai approché mon gland de son sphincter qui s’est entrouvert. En fait, c’est Kate qui s’est sodomisée elle-même en reculant pour faire entrer mon sexe dans son boyau étroit…
Pas si étroit que cela… Il avait dû voir passer quelques beaux membres ! Il était chaud et gluant de gel…
Soudain, j’ai entendu Dorothée s’écrier :
— NON, T’es pas malade ! J’ai jamais donné mon cul ! C’est pas toi le premier qui va y passer ! T’es trop gros !
— OK… Tu avales ?
— Oui… çà… je veux bien !
C’est ainsi que jai vu Dorothée gratifier Sven d’une fellation d’anthologie, suçant et léchant ce membre au gland proéminent, l’absorbant jusqu’au plus profond de sa gorge jusqu’à l’éclatement final dans sa bouche ouverte, langue en avant pendant que Sven masturbait son sexe pour en extraire les dernières gouttes.
De mon côté, j’avais copieusement arrosé le sphincter de Kate…
C’est heureux et satisfaits de notre soirée que nous avons regagné notre bungalow pour quelques heures de sommeil avant de reprendre la route…
Ce final, nous ouvrait des perspectives…