Lenoir engagea sa voiture dans l’allée de la maison de Freddy. Il ouvrit le coffre ; malgré la pluie battante et le vent glacial, il prit un instant pour contempler les trois femmes recroquevillées, membres enchevêtrés. Il les avait bâillonnées avant de les enfermer, pour les empêcher de communiquer. Le colosse les souleva l’une après l’autre pour les poser debout sur le sol puis il les guida lentement vers la porte d’entrée, les obligeant à se déplacer à tout petits pas à cause des chaînes à leurs chevilles.
Il sonna et ouvrit la porte sans attendre, ne voulant pas qu’une de ses petites protégées attrape la crève. Freddy arriva, suivi de Don. Ils rigolèrent en constatant la tenue des femmes.
Salut les gars. On en porte une chacun ; je prends la plus légère
Il souleva sa fille et la plia sur son épaule, jambes en avant. Freddy choisit Sandrine et laissa Mélanie à Don qui la décolla du sol sans effort. Il faut dire qu’elle ne pesait guère que cinquante kilos. Freddy se rendit dans le pool-house où se trouvaient tous ses invités, certains dans la piscine, d’autres une bière à la main. Particularité : ils étaient tous nus. Les trois hommes reposèrent leurs fardeaux sur leurs pieds.
Les gars, voici nos invités. Mon ami Arnaud et ses trois soumises. Sandrine, c’est la petite tatouée 36. La plus grande, c’est Mélanie, tatouée 32. Et la plus petite, sans tatouage, c’est Anita.
Bonsoir vous tous, enchaîna Lenoir. Les esclaves 32 et 36 sont à vous jusqu’à minuit, mais Anita restera avec vous cette nuit, tout demain et la nuit prochaine. Je la récupérerai vendredi matin. Vous pouvez commencer : leurs culs vous attendent, ainsi que les chattes de 36 et d’Anita.
En un tournemain, les trois femmes se retrouvèrent à genoux et le visage sur le sol. Elles poussèrent pratiquement en même temps un cri de surprise et de douleur quand trois queues épaisses et bien raides les sodomisèrent à grands coups de reins.
Anita en particulier était prise par Michael Neass, un Noir musculeux dont la bite phénoménale lui distendait tellement l’anus qu’elle croyait éclater. Heureusement qu’elle était bien lubrifiée, sinon il l’aurait déchirée. La pauvre jeune fille mordait son bâillon et bavait, secouée par les coups de boutoir réguliers et profonds qui lui ramonaient sans pitié les reins.
À côté d’elle, Sandrine n’était pas à la fête. Marc Surm la sodomisait avec la délicatesse d’un bûcheron sous amphétamines. Son mandrin surpuissant pilonnait son pauvre anus à la vitesse d’un marteau-piqueur. L’infortunée blonde gémissait et pleurait tellement son conduit était mis à l’épreuve par son suborneur. D’ailleurs, après plusieurs minutes de défonce frénétique, le Black se retira et abandonna un orifice béant qui ne se refermait plus. Il intervertit avec Don qui enculait Mélanie et repartit à la même cadence folle.
Enlevez les bâillons, Messieurs : leurs bouches peuvent servir ! lança Lenoir en se déshabillant.
Il s’agenouilla devant Sandrine et ôta la boule qui écartelait sa bouche, puis aussitôt la remplaça par sa bite gonflée à éclater. Il ne savait pas si elle l’avait reconnu, mais sa compagne l’absorba jusqu’aux couilles, commençant à le pomper comme si sa vie en dépendait. Il vit deux hommes faire de même à Mélanie et Anita qui ne rechignèrent pas à sucer en profondeur.
Les femmes restèrent enchaînées pendant deux heures encore ; ça ne gênait aucunement les hommes pour profiter de leurs différents orifices. Puis Freddy proposa de manger quelque chose. Montrant l’exemple, Lenoir libéra Sandrine. Quand il lui enleva la cagoule elle plissa les yeux, gênée par la lumière après des heures d’obscurité. Le visage rouge, les yeux gonflés et injectés de sang, elle sourit timidement à son compagnon avant de se jeter dans ses bras.
Alors, ça va ?
Maintenant, oui. J’ai bien cru que le premier à me prendre voulait me casser en deux. Mais ensuite c’était plus supportable.
Tu as faim ?
Pas trop ; mais j’ai soif. Et si Freddy avait la bonne idée d’avoir du champagne Bon, vous libérez mes filles maintenant ? lança-t-elle aux Américains qui continuaient leur entreprise de démolition.
Une fois libérée, Anita resta à genoux, les mains sur les cuisses ; tête basse, elle respirait profondément, essayant de remettre ses idées en ordre. Mélanie s’approcha et l’enlaça, lui posant un baiser sur le front.
Comment tu te sens, surette ?
Un peu comme un hérisson qui vient de passer sous une voiture. Un instant j’ai eu l’idée d’arrêter tout, puis j’ai ri intérieurement en me demandant comment prononcer le mot de sécurité en étant bâillonnée ou avec une grosse bite jusqu’aux amygdales.
Comment, il ne t’a rien dit ? Tu tapes du pied trois ou quatre fois et c’est fini !
En colère, Mélanie se releva et son regard courroucé transperça Lenoir, qui avait tout entendu car il était à deux mètres de là, Sandrine lovée contre lui. Il répondit avec un sourire contrit :
Tu as raison, Mélanie : j’ai merdé. Je suis désolé, Anita ; j’aurais dû m’assurer que tu savais comment faire. Si tu veux rentrer avec nous, on partira à minuit.
Mais non, je n’ai pas eu envie d’arrêter, papa. Mais avoue que dans ma situation, j’aurais eu du mal à le faire ! Je veux rester, j’ai tellement de choses à apprendre sur moi Je pense que Freddy et ses amis me permettront de mieux connaître mes besoins et mes envies. Et de toute manière, si j’en ai marre à un moment ou un autre, je trouverai bien un moyen d’arrêter tout.
Freddy avait dressé un buffet froid avec l’aide de ses amis dans un joyeux brouhaha pendant que Lenoir devisait avec ses femmes. Voyant cela, elles filèrent ensemble sous la douche, suivies d’Arnaud béat d’admiration de voir tous ces petits culs se dandiner devant ses yeux. Plus tard, une coupe de champagne à la main, tout le monde discutait en grignotant des toasts. Ils étaient restés nus ; certains profitaient de la piscine entre deux coupes. Après avoir vidé une troisième ou quatrième, elle ne savait plus coupe, Mélanie tapa plusieurs fois sur le cristal avec un couteau.
Messieurs, non pas que je m’ennuie, mais il est presque onze heures. Je pars à minuit, et j’aimerais que d’ici là vous profitiez de mes orifices disponibles (elle saisit le cadenas et le mit en évidence) ; j’aimerais donc que vous défonciez mon petit cul et j’aimerais boire quelques bonnes rasades de sperme. Est-ce trop vous demander ?
La réponse ne se fit pas attendre : dix secondes plus tard, elle était à genoux et embrochée sans pitié par une épaisse queue d’ébène qui lui démolissait l’anus. Adoptant d’emblée une cadence infernale, le gigantesque Black pistonnait les reins de la jeune femme qui criait sans retenue. Souffrance et plaisir mêlés tant la pénétration attendue avait été éprouvante, elle feulait et encourageait son cavalier à aller plus vite, plus profond. Un autre homme la fit taire en lui imposant son rostre jusqu’aux couilles. Dès lors il prit son sophage comme un sexe, à grands assauts qui mirent à mal la gorge investie si rudement.
Pour Sandrine et Anita, ce fut le signal de l’assaut. Des mains autoritaires les disposèrent ; des membres raides et gorgés de sang les investirent par toutes les voies disponibles, à leur grande joie. Comme il y avait onze mâles, ils prirent chaque fille à trois à la fois, une queue dans chacun des orifices disponibles. Mélanie, ne disposant que de sa bouche et son anus, eut droit à une double anale qui eut raison d’elle : elle éclata en sanglots avant de succomber à une suite d’orgasmes qui la laissèrent complètement inconsciente.
Elle reprit corps à la réalité lentement ; ouvrant des yeux embrumés, elle reconnut Lenoir qui tapotait ses joues. La jeune femme était emmitouflée dans une épaisse et moelleuse sortie de bain ; Don l’avait prise sur ses genoux et caressait sa blonde chevelure emmêlée et poisseuse de semence.
Alors, ma douce, on nous fait des frayeurs ?
Heu Je
Quelle éloquence, Votre Honneur ! Sérieux, tu m’as fait peur ; tu nous as fait peur !
Mélanie réalisa alors que tout le monde la regardait : Sandrine était agenouillée près d’elle, les joues baignées de larmes ; Anita s’était blottie contre Lenoir, le visage marqué par l’inquiétude. Puis elle pouffa en considérant la dizaine de mâles nus et luisants de sueur : ils affichaient des mines soucieuses qui contrastaient furieusement avec leurs flamberges dressées.
Bon, les gars, je ne suis pas morte. J’ai des journées difficiles, et là, j’ai eu un coup de chaud, c’est tout !
D’ailleurs on s’en va, ajouta Lenoir. Il est presque minuit, de toute façon.
Malgré les dénégations de Mélanie, Don se leva, la portant aussi aisément qu’une paille. Il la posa avec précaution dans un coin douche, s’assurant qu’elle tenait fermement sur ses jambes.
Ça va aller ? Tu veux que je t’aide à te laver ?
Ce n’est pas nécessaire, mais ce sera un plaisir, merci.
Coquine !
Bien sûr, le lavage dura bien plus longtemps que si Mélanie avait été seule et consomma bien plus d’eau. Après avoir rincé le corps las de la petite blonde, Don versa généreusement du shampoing et frictionna longuement les fins cheveux dorés. Tournée vers lui, Mélanie avait posé les mains sur son torse et le caressait lentement ; elle ne pouvait ignorer le rostre tendu qui frôlait son ventre de sa pointe érigée. Don rinça soigneusement sa chevelure avant de prendre le gel douche parfumé aux agrumes qu’elle affectionnait. Il savonna et massa lentement de ses doigts puissants, n’épargnant aucun recoin intime, attentif aux soupirs de son amante et amie dont la respiration devenait oppressée. Puis la jeune femme se retourna et lui présenta son dos. Cambrée à l’extrême, elle lui offrit son délicieux postérieur.
Viens, prends-moi l’invita-t-elle d’une voix rendue rauque par le désir.
Il combla son désir en la pénétrant lentement, s’enfonçant avec précaution dans l’orifice distendu par la sauvage double pénétration subie un peu plus tôt. Mélanie soupira d’aise en accueillant son membre redoutable au tréfonds de son ventre puis elle se mit à onduler du bassin en coulissant souplement sur le mandrin bien raide. Ses soupirs se muèrent en gémissements alors que Don prenait les commandes.
Saisissant les hanches pleines de la jolie blonde, il imposa un rythme plus soutenu, plus ample aussi : sa verge sortait complètement de l’anus béant pour revenir se loger jusqu’aux couilles d’une poussée vigoureuse. Poussées que Mélanie accompagnait de cris rauques et comblés qui rendaient fou son amant ; il ne résista pas longtemps et se vida dans le ventre accueillant de la jeune femme qui succomba à son tour à un orgasme libérateur. Ils se désaccouplèrent alors et finirent de se doucher en reprenant leur souffle.
Merci, Don ; tu as été parfait, comme d’habitude.
Quel dommage que tu sois prise, Mél. Tu es tout ce que je cherche ; pour toi, j’arrêterais ce boulot à la con et deviendrais un gars sérieux.
Je sais, Don. Je suis désolée ; j’espère que tu rencontreras un jour la femme de tes rêves. En attendant, je te charge de surveiller Anita. Si elle reste avec vous, je ne veux pas que tes amis abusent de la situation. J’ai appris à mon corps défendant qu’ils ne pensent qu’à assouvir leurs désirs sans trop se préoccuper de la fille à leur disposition.
T’en fais pas, Mél. Je ferai attention.