Cette histoire se passe à mes 16 ans. C’est ma première expérience gay avec quelqu’un, de surcroît mon frère. J’espère qu’elle vous plaira.
Je marchais sur le chemin du retour des cours, pour rentrer chez moi, mes parents étant mort, mon grand frère, Nathan avait ma garde. D’ailleurs, après avoir passer mon anniversaire de mes dix-sept ans, je voulais lui demander une chose, mais je n’osait pas, je savais que de toute façon, mon frère ne voudrait pas, et puis c’était contre la loi…
Je pinçai les lèvres, le cur battant et ouvrit la porte de la maison.
— Nathan ! C’est moi ! prévins-je en élevant la voix une fois à l’intérieur.
— Je suis dans la cuisine ! répondit mon frère.
Je posa son sac, mon manteau et retirai mes chaussures pour le rejoindre. Je m’’assit en hauteur, sur la table de la cuisine, où mon frère préparait le repas. Nathan était dos à moi, face à l’évier.
— Alors? Comment s’est passée ta journée?
— Bah… j’ai fais des maths, du français et de l’anglais. La routine quoi. Que je lui réponds en regardant mes pieds se balancer devant moi.
— Toujours aussi froid envers moi hein? me taquine mon frère en se tournant vers moi, s’appuyant au plan de travail.
Je poussai un grognement, c’était un jeu pour lui de dire que j’étais froid car je n’étais pas très expressif. Je souhaitais lui demander mais mes mots restais coincé en travers de ma gorge; non je ne pouvait décidément pas lui demander. Mon cur rata un battement lorsque Nathan posa sa main sur mon épaule.
— Tu vas bien ?
— M’oui… Je… Je suis juste fatigué. Que je lui ai répondu.
Il fronça les sourcils et se recula d’un pas pour me laisser sortir de la pièce. Je m’arrêtai avant de passer les portes et relevai enfin la tête pour fixer le regard de Nathan.
— J’aurai voulu te demander une chose… commençais-je, le reste resta coincé. Je…
mon regard repartit vers le carrelage noir et blanc sous Mes pieds.
— Non, en fait laisse tombé… et je parti m’installer sur le canapé dans la pièce d’à côté.
J’aurais tellement voulu savoir ce qu’était la sensation dont m’avait parlé Jonathan mon meilleur ami avant mon anniversaire; la sensation de se faire prendre… J’avais aussitôt pensé à mon frère; pourquoi lui ? Allez savoir…
Jonathan m’avait raconté dans les moindres détails ses premiers ébats avec Marco, son petit ami. Et me sachant gay j’ai tout de suite voulu essayer. Je m’endormis sans m’en rendre compte.
— Ethan, réveille toi, on va passer à table, fit Nathan en me secouant légèrement pour me réveiller.
Je hochai la tête et me levai pour rejoindre mon frère autour de la table.
Le repas commença en silence, moi jouant avec ma nourriture, et lui finissait son assiette.
— Qu’est ce qu’il y a petit frère ?Me demanda Nathan en posant sa fourchette.
Je haussai les épaules.
— Dis moi ! insista -t-il.
— C’est rien, t’inquiète pas grand-frère.
En moins de tant qu’il faut pour le dire, Nathan se retrouva à côté de me et le plaqua contre le mur le plus proche.
— Qu’est ce qu’il y a, Ethan!
Je détournai les yeux de mon frère, se qui nattisa que sa colère
— Et regarde moi quand je te parle!
La voix de Nathan était devenue froide d’un coup. Je laissai échapper une larme; je voulais tout lui dire, mais j’avais honte.
— Ethan!
— Rien ! Il n’y a rien ! Tout va bien ! que je lui réponds sur le même ton, après avoir relevé le regard vers celui de mon frère; il était froid, très froid, glacial même.
Sur le coup, Il me lâcha, plutôt impressionné par mon assurance, il sourit.
— Excuse-moi, que je lui dis en me rasseyant sur ma chaise.
Il fit la même chose, sans perdre son sourire, ni me lâcher du regard.
— C’est Jonathan… que je lui déclare.
Je fit un long monologue de ma matinée passée avec Jonathan, mais je ne lui dit pas une chose; l’homme à qui j’ai pensé lorsqu’il ma parler de coucher avec quelqu’un.
Mon frère m’attrapa une main et la serra, releva de son autre main mon visage pour me parler en face.
— Alors c’est ça qui te perturbe? Et j’imagine que tu veux réellement essayer et passer à l’acte avec quelqu’un ?
Je rougit et hocha la tête en pinçant les lèvres. Il se leva et s’approcha de moi.
— Ça peut se faire… me souffla-t-il à l’oreille et en me mordant le lobe.
Il me porta jusque dans ma chambre et me jeta sur le lit.
— La manière douce ou la manière forte ? susurra-t-il.
Je ne répondit pas, me contentant de rougir de gêne. Il attrapa mes poignets et les fixa aux barreaux se ma tête de lit.
— C’est vraiment ce que tu veux ? demanda Nathan en se mettant au dessus de moi.
Je hochai la tête, ne desserrant pas les lèvres.
Il m’arracha mon haut pour découvrir mon torse aussi pâle que la neige, il retira aussi le sien; nos peau se confondaient, tellement elles se ressemblaient. Il m’embrassa lentement au niveau du cou, me faisant au passage un magnifique suçon rouge sang. Il descendit sa bouche sur un de mes tétons et le mordilla légèrement. Je gémit en me cambrant un peu.
Mon frère descendit encore sa bouche jusqu’à la boucle de mon pantalon; une bosse s’était déjà formée à ce niveau là. Il appuya le bout de son index dessus, me faisant gémir et cambrer, il sourit à cette vue.
— Nathan… S’il te plaît… soupirais-je.
— Oui
— Dé… Dépêche toi…
— Me dépêcher de faire quoi ?
Je grognai de mécontentement; je savais mon frère joueur et sadique, mais là…
— Hum… gémis-je lorsque je sentis sa main enlever ma ceinture et baisser na braguette. Oui… Ça… Comme ça…
Il massa légèrement mon sexe pour le faire gonfler un peu plus avant de baisser mon boxer. D’ailleurs lorsqu’il le retira, il fut étonné de la longueur qui se dressait devant lui.
— Tu retiens de moi plus que je ne le pensais petit frère, plaisanta-t-il.
Je rougis et grimaçai. Il attaqua directement des vas et vient rapides sur ma virilité, qui me fit m’arquer à m’en faire mal au dos.
— C’est que tu aimes ça on dirait.
Il appuya sa langue sur mon gland et je me libéra immédiatement dans sa bouche. Je tentai de reprendre une respiration normale.
— Dé… Désolé.
Il haussa une épaule, ne répondant pas la bouche pleine et enfourna trois de ses doigts dans se bouche pour les ressortir recouverts de spermes et de salive, il me les montra avant d’aller caresser mon intimité, tout en écartant mes cuisses. Il y enfonça lentement un doigt, je gémit, sentant une fine douleur s’emparer de moi. Les vas et vient dans mon intimité me calmèrent, Nathan mit deux autres doigts en même temps, faisant s’agrandir mon anneau de chair serré. Je poussa un cri sous la surprise.
— Nathan! Magne toi le cul putain! hurlais-je en tirant sur la corde qui me retenait au lit et écartant les cuisses le plus que je pu.
Il ne fit pas attention à ma demande et continua ses entrées et sorties en moi avec sa main; il toucha un point sensible qui me fit crier d’extase. Il les retira enfin pour se préparer à me pénétrer. Il plaça son propre gland contre mon anus et força un peu.
Je me mordit la lèvre inférieur, pour empêcher des cris de s’échapper, mais quelques larmes de douleur me trahirent. Nathan ne bougea plus, commençant à s’inquiéter pour moi.
— Ethan? Si ça va pas je m’arrête!
— No… Non, con… Continues, dépêche-toi !
Nathan sortit de mon intimité et y remit ses doigts à la place; il ne voulait pas me blesser… Il baissa sa tête et vint lécher mon membre durcit sur toute sa longueur, passa sa langue sur mes bourses et enfin la fit légèrement entrer dans mon intimité pour la ré-humidifier un peu. Il se replaça enfin pour commencer à me pénétrer. Il fit un coup de reins bestial, faisant entrer son sexe complètement en moi, touchant directement ma prostate.
Jamais je n’avais hurler aussi fort. Mes poumons me brûlaient et ma gorge aussi. Nathan ne bougea pas, me laissant s’habituer à sa présence. Je me cambrai un peu, faisant onduler un peu mes hanches et incitai mon frère à commencer ses vas et vient en moi. Je gémis, soupirai, criai sous les coups de butoir qui martelaient ma prostate. Jusqu’à ce que mon frère se libère en moi. Je le suivi de peu. Il attendit quelques minutes avant de se retirer.
Le bruit de nos respiration emplit la pièce.
— Mer… Merci grand-frère… souffla en fermant les yeux, épuisé.
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Alors voilà c’est finis j’espère que sa vous aura plu et à bientôt pour d’autres histoires.