Quelques années ont passées où nous avons vécus des moments merveilleux avec nos enfants. Ils ont grandis, Isabelle a vingt ans et Claude dix huit, il sont toujours avec nous et sortent de temps en temps avec des amis. Isabelle semble amoureuse d’un copain et voudrait nous le présenter pour savoir si il mérite de faire partie de notre cercle très très ambig?.
La date a été fixée pour le samedi prochain ou nous l’accueillerons pour diner et d’un commun accord, nous le chatouillerons un peu pour voir la couleur de son parti (sexuel).
Vingt heures, nous sommes tous les quatre à attendre le bien-aimé dans le salon avec chacun un verre, quand Isabelle va ouvrir la porte pour faire entrer Robert, légèrement timide avec son bouquet de fleurs, très beau garçon, vingt cinq ans environ, grand et mince, brin, élégant avec une chevelure plutôt longue mais bien coiffée, un visage doux et clair. Les présentations se poursuivent en buvant quelques apéros puis nous passons à table. Le repas se déroule le plus normalement par des phrases banales et habituelles dans ce genre de circonstances, les vins defilent sans trop s’en rendre compte, l’humour salé prend place aux histoires sages.
Robert nous séduit par son charme, son calme à raconter ses blagues corsées, il a l’esprit vif et se sent de plus en plus à l’aise.
Isabelle me donne un coup d’oeil, on se regarde tous les quatre puis nous fixons Robert en se disant qu’il faut commencer la soirée. Isabelle se lève de table et propose un jeu (que nous avons mis au point entre nous) elle explique les règles comme si il n’y a qu’elle à connaitre ce jeu qui consiste à faire passer une personne sous la table pour faire ce qu’elle veut à un convive afin de le faire bouger pour que les autres convives s’en aperçoivent, c’est la personne qui aura bouger qui ira remplacer la première. C’est Isabelle qui se propose de faire la chatouilleuse la première, elle passe sous la table et la conversation continue sur la suite des boutades comme si rien n’était. Tout les quatre se regardons pour voir qui va bouger le premier, aprés cinq ou six minutes, c’est manifestement Claude qui a remué le premier, Isabelle reprend sa place et Claude passe sous la table, il s’aperçoit que le pantalon de Robert est ouvert, Isabelle a du le taquiner un peu, Claude s’attaque à sa maman, il pense que ce serait une bonne idée qu’elle vienne faire un tour là-dessous, Claude est sûr qu’elle tatera Robert. Il est difficile de voir ou en est Claude, personne remue, encore cinq minutes pour que ce soit Irène qui se déchaine dans un fou rire ne pouvant plus résister aux suplices de son fils.
Elle bois une gorgée de Champagne et s’exécute pendant que Claude emmerge, sous la table, mon épouse regarde avec qui elle va jouer, son choix bien évidemment est fixé sur Robert, l’occasion est trop belle, le travail est tout tracé avec ce pantalon ouvert à la ceinture, elle caresse les molets puis monte entre les cuisses couvertes par le vêtement, audacieuse elle met une main dans la braguette ouverte pour tenter d’atteindre les parties intimes et avec une douceur extrême pour faire durer le plaisir. Tous les trois on sait très bien où est Irène, on regarde Robert qui devient moite, muet, le regard dans le fond de son verre, il est terriblement gèné dans ce mauvais rêve, la mère de sa chérie lui caresse le sexe juste à coté de sa fille, nous savons que Isabelle lui a donné quelques renseignements sur notre façon de vivre, mais il est loin de tout savoir.
Robert ne tient plus, Isabelle le délivre de cette situation insoutenable en se plaçant derrière lui, le prend par le cou pour l’étreindre et lui dit assez haut pour qu’on entende:
— Rassures-toi mon chéri, ce n’est qu’un jeu, notre vilaine maman t’a bien fait souffrir, c’est fini.
Irène regagne sa chaise en demandant à notre invité:
— Ca va Robert, vous êtes très carressant et agréable au touché.
Isabelle regarde le pantalon de son amant et s’écrie:
— Et bien maman tu l’as mis dans un drôle d’état mon Robert, en le tirant en arrière pour que l’on voit la braguette ouverte.
Isabelle écarte davantage le vêtement pour palper le verge presque raide. On se met tous à rire sauf notre invité qui tente de refermer son fusal mais sa chérie l’en empèche en le forçant à se lever; Obliger d’écouter sa promise il est dans sa famille, il se lève et le pantalon tombe laissant apparaitre le slip noir gonfflé par la verge. Robert ne sait plus où se mettre, Isabelle le réconforte pas des baisers. J’en profite pour dire:
— Mes compliments Isabelle , Tu as très bon gout, ce garçon est le plus charmant que je connaisse, il est intelligent et en plus très beau.
Isabelle tire le sous vêtement vers le bas, elle libère un membre moyen à demi bandé, recouvert de poils frisés noirs, on a tous un sifflet d’admiration, Isabelle placée derrière Robert nous le présente comme une marchandise, il reprend lentement ses esprits, son charme et son humour sont sufisament fort pour ne pas se laisser avoir et de lui mème il sort son pantalon et son slip puis fait un tour sur lui-mème en disant:
— Vous êtes satsfaits, le produit vous convient ?
— On voudrait voir le reste rétorque Irène.
Robert a pris le sens de la rigolade, il sort ce qui lui reste de vêtements soit une chemise et des chaussettes. Il se trouve nu comme un ver devant nous, on applaudi d’admiration le strip. Isabelle qui est le maitre d’oeuvre prend l’appareil sexuel en main, caresse les parties en les présentant aux voyeurs. Les gestes deviennent différents, plus doux, plus chauds, plus amoureux, elle cherche à nous exciter par sa prestation. Je crois que Robert a bien compris notre stratagème, il marche dans notre jeu, il ferme les yeux pour se concentrer sur les caresses de sa belle.
Irène qui ne perd pas une miette est juste à quelques centimètres du couple, le charme de ce garçon, sa jeunesse, la chaleur que ce corps dégage, elle ne tient plus, elle doit entrer dans ce jeu interactif, elle me regarde, je lui fais un signe des yeux, elle pose une main sur la chute de reins en se collant derriere Robert, elle prend la verge et la présente à sa fille. Avec une certaine grâce qu’elle prend l’objet entre ses lèvres tenus par les doigts de sa maman. Les deux femmes se donnent à coeur joie en massant, palpant, caressant, lêchant tout le corps de ce nouveau venu dans notre clan.
Claude décide de rentrer en scène, il dénude sa maman tranquillement pendant qu’elle continue son ouvrage, puis c’est le tour de sa soeur et enfin il se met à poil lui aussi. Je deviens excité comme un jeune gamin, pour faire comme tout le monde, je quitte mes vêtements et m’installe confortablement dans le canapé comme pour regarder un grand spéctacle. Je masturbe mon membre déjà raide. Mes quatre artistes sont venus sur l’épais tapis, il ont couchés Robert , Irène lui met les bras en croix, le tête coincée entre ses genoux, Isabelle s’installe sur la verge dressée de son chéri, Claude s’est placé derrière sa mère et la serre dans ses bras en palpant la poitrine. La bête pénêtre d’un seul coup la chatte de ma fille qui chevauche le corps en tenant sa mère par les épaules. Sans demander sa permission, Irène frotte sa chatte sur la bouche de Robert qui est obligé de déguster ce nouveau plat inconnu au menu. Les deux femmes s’étreignent, Claude s’est mis sur le coté pour laisser opérer les femmes déchainées, il se contente de placer quelques caresses et bises par ci et par là, les trois corps sont soudés, l’orgasme arrive de bon train, les femmes crient leur bonheur. Claude caresse le frond de Robert en guise de remerciement, pendant que les deux femmes se ressaisissent, Isabelle voit son frère prendre quelques liberté avec Robert, elle reprend la verge toujours bandée, très luisante de mouille, elle la manipule un peu puis la présente à son frère, pas bêcheur et ne dit jamais non dans ces cas, il prend la trique à pleine main, le masturbe comme il sait bien le faire, sous l’oeil amusé des deux femmes, puis il le gobe avec beaucoup d’application. Evidemment je ne suis plus surpris par mes enfants, c’est devenu courant chez nous, je crois que Robert aura du mal à se remettre de sa soirée.
Je rejoins le groupe dévergondé pour profiter moi aussi de ses quatre personnes, je m’installe entre mon épouse et ma fille, une main sur chaque épaule pour les attirer contre moi, on assiste Claude dans sa pipe sur notre ami qui reste passif. Isabelle rejoint Caude et tous les deux sucent le play boy, il est endurant le bougre. Je bande trop pour rester dans cet état, je présente ma verge à mon épouse qui prend son pied sur la bouche de Robert, elle l’avale immédiatement en gémissant. Enfin Robert est à bout, il envoie sa semence aux deux chérubins qui continuent de s’acharner sur le membre, à mon tour je me déverse dans la bouche de ma chérie, nous avons pris un plaisir immense.
Aprés une douche, on se délasse, en sirotant quelques sodas. Les premières déclarations de Robert sont touchantes:
— Je me suis cru dans un autre monde, vous êtes une famille extraordinaire, unique, je suis prêt à faire n’importe quoi pour rester avec vous.
Le fiancé d’Isabelle s’est bien intégré dans notre milieu, ce garçon est irréprochable, il partage toutes nos idées, chaque fois qu’il vient c’est une fête à la maison. Quand il arrive, il passe la nuit avec Isabelle, puis le lendemain c’est le délire.
On commence toujours avec une musique douce où le jeune couple se donne en spéctacle devant mon épouse mon fils et moi, assis dans le canapé, Claude entre sa mère et moi, nous nous lassons pas de regarder les deux mignons tendrement enlassés qui au bout d’un moment font voler leurs vêtements pour continuer nus leur slow. Les deux derrières bien ronds nous émoustillent, ne pouvant voir leur sexes, nous les imaginons en pleine chaleur. Claude a posé une main sur la cuisse de sa mère et l’autre sur ma cuisse qu’il caresse à travers le tissus, je sens ma verge durcir, claude déshabille sa maman, puis c’est mon tour, il siffle lorsqu’il voit que j’ai la trique, à son tour de mettre nu, je manque pas de lui faire remarquer que lui aussi est en érection, il continue ses petites agaceries sur ses parents pour finir par plonger dans la poitrine de sa maman ce qui amène sa verge au contact de la mienne, j’ai sous la main son petit cul rond et appétissant qui m’attire, je malaxe, triture les deux globes avec une joie immense de pouvoir disposer de ces belles choses, mes doigts effleurent l’oeillet ce qui lui fait remonter les fesses et remuer sa verge sur la mienne, Claude descend au bas ventre de sa maman, ce qui me donne plus d’aisance pour aller plus loin dans cette aventure. A genoux sur le canapé la tête dans la forêt poilue de sa mère, son cul est bien à ma portée, je me saisis de son pieux ou un filet de mouille s’étend, je le masturbe en malaxant les couilles tout en regardant les danseurs. Irène s’est étendue pour mieux s’offrir à la bouche suceuse de son fils.
Aprés quelques instants les danseurs viennent nous rejoindre en s’installant devant nous sur la tapis, il se mettent en soixante neuf pour se dévorer l’un à l’autre. Surexciter par tout ce mélange, je plonge mon visage entre les fesses de mon fils, c’est chaud , c’est divin, c’est trop bon, ma langue parcourt le sillon duveté, j’écarte les deux globes et lèchicote la rondelle plissée qui s’ouvre sous ma langue. Sentant qu’il ne peut plus résister, Claude change de position, il décide d’aller voir sa soeur chérie déjà bien occupée, il donne quelques caresses aux deux amoureux, Irène très excitée elle aussi va vers le cul de Robert enfuit son visage entre les cuisse qui s’écartent d’elles mème pour donner main forte à sa fille, Claude se met derrière sa maman et enfonce sa verge qui rentre sans broncher, je n’ai que l’embarras du choix, je me retrouve sous mon épouse , la quequette au plafond, je caresse les deux sexes emboités l’un dans l’autre, je ne peut me rassasier d’un tel spéctacle, je suce le clito et donne des coups de langue sur la verge luisante de mon fils, je prends cette friandise chaude super bandée et l’avale, je savoure les mélanges des deux sexes, c’est quelque chose d’indescriptible, je replonge la tige de mon fils dans sa maman, il jouit de suite, Irène explose en suivant. Claude se dégage doucement du sexe maternel, je suce encore cette jeune verge qui se ramolie, puis je prends la place de mon fils, ma pénétration est brutale, mon épouse accuse par un HA, l’écrin de chair est bien graissé, je m’active comme un fou sur ce cul que je connais bien. Irène fourrage toujours le derrière de Robert en compagnie de sa fille. Claude est venu derrière moi, à son tour il me bouffe le cul, sa langue force mon anus, il ne m’en faut pas plus pour que je parte immédiatement, mon épouse réagit par des secousses qu’elle retransmet aux deux amoureux qui jouissent à leur tour.
On se détend langoureusement tous les cinq, on s’aime, Robert est à ma gauche, Claude à ma droite, Isabelle qui n’est jamais fatiguée nous caresse tous les trois sous l’oeil amusé de sa mère, les mains sont remplacées par ses lèvres, la température remonte vite, elle a le vice dans la peau cette gamine et elle adore jouer, Claude et Robert on déjà le bambou, cette petite garce nous fait mettre de façon que l’on se suce tous les trois et voyant sa maman se réjouir de cette nouvelle exécution elle insiste encore plus. Donc Robert se retrouve le visage entre les cuisses de Claude qui se met entre les miennes, ainsi j’ai la verge de Robert sous mon nez. C’est une autre affaire , je regarde mon épouse qui se caresse mollement la chatte en riant de nous voir ainsi. Je prends donc la verge de Robert entre mes lèvres selon l’ordre de ma fille, Claude et Robert sont déjà en plein accomplissement, mon fils s’acharne sur mon organe, finalement on se suce tous les trois sous le regard attentif de nos joyeuses spéctactrices. Il faut dire que le plaisir est nouveau et bien présent, je pompe cette verge très dure en caressant l’intérieur des fesses, la raie est un peu plus velue que mon fiston, je laisse le mandrin pour gouter ce magnifique cul, il est aussi beau qu’un cul de femme, Robert semble apprécier mon entreprise, il écarte ses fesses, j’arrive à pénétrer ma langue dans son petit trou, c’est délicieux, je le masturbe en mème temps, mon claude me fait la mème chose, je suis très prêt de l’orgasme, je reprends la verge en bouche, notre jouissance se retransmet des uns aux autres, Claude est parti le premier. Les deux femmes crient également leur bonheur, en effet elles sont tête-bêche à se gougnotter.
C’est ainsi que passe la majorité de nos week-ends avec la compagnie de celui qui sera forcément mon gendre.