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Les animaux de Priape – Chapitre 1

Les animaux de Priape - Chapitre 1



Nous étions mariés depuis quatre ans, en couple depuis huit et nous n’avions toujours pas d’enfants. Ma femme, Clara, et moi ne savions plus à quel saint nous vouer. Nous avions passé tous les examens médicaux possibles et imaginables. Ma femme était on ne peut plus normale, quant à moi, mon spermogramme indiquait une semence abondante et très fertile. Et pour tant, rien…

Nous avions évoqué l’adoption mais elle nous paraissait idiote puisque l’un et l’autre nous pouvions procréer. Il n’y avait pas d’explication.

Nous baisions souvent, abondamment. Nous aimons le sexe tous les deux et nos corps sont plutôt bien foutus. La chevelure rousse de ma femme et sa toison entretenue, ses seins ronds et fermes à l’aréole large et au téton épais, sa taille fine et sa croupe ronde et musclée, tout me fait bander chez elle. Mon corps athlétique (je suis très sportif) et ma bite de 18 cm par 15 de circonférence lui font aussi un effet immédiat. Nous forniquons presque quotidiennemnt et même plusieurs fois par jour à l’occasion, y compris quand elle a ses règles. Son orifice anal est très accueillant et elle aime le goût de mon foutre.

Malgré cela, nous n’avons pas d’enfants. Rien n’y fait.

De guerre lasse, Clara se résolut à aller voir un "guérisseur". Mon esprit cartésien s’y refusait. Je ne crois pas à ces trucs là. Je lui disais que c’était du temps perdu, qu’un charlatan de la pire espèce nous piquerait notre pognon mais elle s’en foutait. Elle voulait tout tenter. Si cela ne marchait pas, il nous resterait l’adoption. Nous avions les moyens quand même de consulter, au pire on perdrait quelques centaines d’euros. Et puis au fond cela m’amusait de démasquer un escroc et de me foutre même carrément de sa gueule. Tant pis pour le prix.

C’est un petit carton publicitaire dans notre boîte aux lettres qui nous aida à franchir le pas. Il était rédigé à l’enseigne du "Professeur Pacôme Ejja-Kampleman, grand guérisseur, magnétiseur, médium etc… qui règle tous vos problèmes, fortune, santé, retour d’affection etc aussi… : paiement après résultats". Il y avait l’adresse. Nous nous y rendîmes.

C’était dans un pavillon qui ne payait pas de mine. Le "professeur "nous accueillit. C’était un grand type noir à l’âge indéfinissable, vêtu d’une sorte de boubou multicolore entrouvert sur un torse très musclé. Il était plutôt beau et et je me dis qu’il aurait mieux fait de tenter le mannequinat plutôt que la voyance.

Il nous fit asseoir et nous demanda nos noms et prénoms qu’il écrivit sur une fiche puis, avant que nous ayons dit autre chose, il entra dans le vif du sujet.

"Bien ! Vous ne pouvez donc pas avoir d’enfant et voila quelques années que vous essayez".

Nous restâmes interdits. Je reconnus qu’il avait marqué un point tout en me disant que ce devait être la même chose pour tous les couples qui venaient le voir ensemble.

Il reprit : "Je sais aussi que vous pouvez en avoir… du moins je veux dire physiquement".

— Comment savez-vous cela ?

— Je le sais, c’est tout.

— Et vous pouvez nous expliquer pourquoi nous n’en avons pas alors ?

— Oui. Vous êtes l’objet d’une malédiction. Il faut la lever.

— Ah oui ? Et on fait comment ? dis-je septique .

— Moi, je ne peux rien faire mais je connais quelqu’un qui sait comment lever la malédiction.

Je pensais qu’il allait nous envoyer vers un de ses collègues ou complices qui allait nous pomper encore plus de fric. "Vous pouvez nous l’indiquer "?

— Oui, bien sûr, mais lever la malédiction exige de grands épreuves, surtout pour la femme. Il faut être bien sûr de ce que l’on veut

— Bah! On peut toujours essayer.

— Attention, c’est tellement spécial que beaucoup reculent. Il faudrait peut-être reconsidérer vos projets d’adoption.

— Vous savez-cela aussi ?

— Je sais cela aussi.

Nous réfléchîmes un instant. Je me disais qu’il était doué mais que les grandes épreuves qui nous attendaient seraient surtout pour mon portefeuille.

"Bien, on peut prendre le risque. Vous pouvez nous expliquer" ? dit Clara

— Non, je suis bien sûr initié, mais seul le grand-prêtre peut vous expliquer la démarche.

— Ah ! Il y a un grand-prêtre ! Vous pouvez nous le présenter votre chef de secte ?

— Oui… et ce n’est pas une secte. On ne vous demandera pas un centime et vous arrêtez quand vous voulez, sans besoin de vous justifier. Vous signez juste une charte de confidentialité.

A moitié rassurés, nous fixâmes donc rendez-vous avec lui et le grand prêtre, joint par téléphone. Au jour convenu, on vint nous chercher pour un premier rendez-vous. On nous fit monter dans un véhicule, puis on nous conduit, les yeux bandés au "temple".

Nous étions dans une sorte d’abbaye en ruines au milieu de nulle part. On nous fit asseoir dans une jolie petite cellule et  le grand maître se présenta à nous.

" Bonjour. Je suis Aldéric, grand prêtre du culte du Dieu Priape".

— Putain, qu’est-ce que c’est que ces conneries ? Priape carrément ?

— Si vous êtes incrédules, partez me répondit Aldéric d’un ton d’autorité.

C’était un homme de soixante-cinq à soixante-dix ans aux cheveux gris bouclés avec un léger collier de barbe de la même couleur soigneusement entretenu. Il portait une sorte de dalmatique blanche, ouverte sur les jambes, très transparente, qui laissait voir une musculature plus qu’avantageuse pour un homme de son âge et des cuisses de taureau très poilues. Les pieds, puissants, étaient chaussés dans des sandales dont les courroies de cuir remontaient en dessous du genou et dessinaient des mollets magnifiques.

Son regard d’un bleu sombre, très intense me foudroya alors qu’il avait parlé de la voix la plus douce du monde. Il avait un grand charisme. Je me tus, honteux et gêné, en baissant le regard.

Il reprit : "Priape est un Dieu exigeant. Il veut de vous un sacrifice et, après, s’il est content, il vous donnera ce que vous voudrez".

"Je vous fiche mon billet qu’il ne sera pas content" dis- goguenard. Un coup d’il fulgurant m’imposa à nouveau le silence. Décidément, ce mec avait une autorité innée.

 Clara demanda : "Que faudra-t-il faire ?"

— Venez !

Il nous invita à le suivre dans une crypte gigantesque et magnifique aux voutes d’ogives portées par des piliers massif. Au fond de cette pièce se dressaient face à face deux énormes statues ithyphalliques derrière lesquelles étaient un rideau. Il y avait juste assez d’espace entre les deux sexes de pierre pour qu’une personne put en tenir chaque extrémité d’une main en écartant totalement ses deux bras.

La première sculpture, à gauche, était celle d’un faune aux énormes pattes de boucs très poilues, aux bras dont les muscles étaient gigantesques, aux pectoraux saillants, au visage barbu traversé par un sourire plein de vice. Sa bite monstrueuse était très courbée et terminée par un gland gigantesque magnifiquement ourlé.

L’autre statue était celle d’un monstre que je ne connaissais pas. Le socle portait le nom de Méfistophallos. Le corps était celui d’un homme mais les épaules étaient recouvertes d’une épaisse fourrure qui descendait en dessous des omoplates. On retrouvait une même densité pileuse à ses coudes, son pubis et à la base des mollets et, en guise de pieds, il avait des sabots comme ceux d’un cheval. La tête était chauve, couronnée de deux petites cornes et cernées de deux énormes oreilles très pointues. Ses globes oculaires étaient grands, son nez rond et petit et ses pommettes très prononcées. Il n’avait quasiment pas de lèvre supérieure alors que l’antagoniste était très volumineuse. Sa langue, qui se terminait en pointe pendait longue Il promenait derrière lui une queue fourchue comme celle du diable et son sexe terriblement gros et veiné se dressait comme une comète au dessus de ses pectoraux. Ses couilles étaient d’une rondeur parfaite, très pendantes et exactement symétriques.

Derrière le  rideau, quand il fut ouvert,  on découvrit une étroite chapelle en cul de four, endroit regorgeant de godes de toutes tailles et toutes matières avec une idole lubrique  dotée d’un vit colossal qui n’était autre que Priape.

"C’est ici que cela se passera. Il y aura peut-être  trois séances".

— lesquelles ?

— A la première, vous serez mise nue devant votre mari, Pacôme et moi. Vous devrez accomplir les rites suivant.

Et il ouvrit un ordinateur pour nous montrer des images. Elles défilaient. C’était des photos prises lors de l’initiation d’un autre couple. Elle me faisaient bander jusqu’à ce que soudain l’une nous choque.

"Au non pas cela… on dirait que ce… chien va… non ? dit Clara.

— Il le faudra pourtant.

— Et après je tombe enceinte ?

— Si Priape est satisfait, oui, sinon, il faudra une deuxième étape, voire une troisième.

— Et que se passera-t-il si je ne suis toujours pas enceinte.

— Vous le serez. Sinon il faut une quatrième  mais cela ne s’est jamais produit, pas plus que la cinquième phase  où le dieu permet enfin que vous soyez  fécondée.

— Et elles se déroulent comment ces quatrièmes et cinquièmes étapes ?

— Je n’ y ai jamais assisté ni aucun initié avant moi depuis au moins deux siècles. Ce ne sont que des on-dit… Priape les réserves aux femmes qu’il aime le plus.

Je pensais in petto que c’était des conneries et je me demandais comment il pouvait y avoir des gogos pour croire ces âneries.

"Vous pouvez rire Hadrien, ce ne sont pas des conneries. Priape me laisse lire vos pensées".

J’étais soufflé. C’était un véritable mentaliste ce mec. Il lisait dans mon cerveau. Bon, mais après tout, n’importe qui un temps soit peu rationnel devait penser comme moi. Il avait juste eu du pot en employant les mots exacts qui m’étaient venus à l’esprit.

"Venez après-demain soir"!

— Et si je refuse ?

— Votre femme a dit oui. Je l’ai lu en elle.

En effet, sa résolution était prise. Elle était prête à tout tenter. Je dus m’incliner mais à contrecur. Je lui fis promettre cependant de ne rien accepter qu’elle ne veuille vraiment et de détaler dès qu’elle le voudrait ou que je le voudrais aussi. Elle accepta sans barguigner.

Nous vînmes donc, amenés encore par Pacôme.

On nous fit mettre nus, puis ma femme fut recouverte d’une cape blanche, comme Pacôme et Aldéric. On me fit monter sur une sorte de chaise qui, vu sa hauteur, aurait pu être celle d’un arbitre de tennis n’eût-elle été beaucoup plus massive et entièrement sculptée de phallus en érection. De là je dominais un gigantesque matelas écarlate posé sur le sol et une sorte d’autel dont la base formait une cage et le plateau était recouvert d’un tapis aux angles duquel se dressait un gode en érection. Je voyais aussi le fond de la pièce dont les rideaux avaient été tirés. Je fus ensuite sanglé avec des liens solides.

Aldéric fit des incantations en grec puis ma femme reçut l’ordre de caresser les sexes des statues de  Méfistophallos et du faune. On l’attacha ensuite au sexe de Priape, les mains autour de la hampe nouée par les poignets mais pouvant coulisser le long du monstre. Les deux mecs laissèrent tomber leur cape. Ils bandaient tous les deux avec des bites grosses d’une bonne vingtaine de centimètres et des couilles imposantes. Elle dut sucer la statue du Dieu mais le sexe de pierre était si gros qu’elle ne pouvait avaler le gland. A genou, les jambes écartées, elle fut d’abord pénétrée par Aldéric. Au moment où il l’enfilait, on entendit une sorte d’aboiement. Je me souvins de l’image avec le chien entrevue sur l’écran de l’ordinateur.

 

Aldéric leva les bras au ciel : "Le chien de Priape. Priape est avec nous". Et Pacôme reprit la même phrase.

Ils étaient dans une sorte d’extase. Aldéric tronchait ma femme avec une ardeur sauvage tandis qu’elle masturbait la colonne pénienne en pierre.  Pacôme se branlait au dessus d’elle. Elle semblait apprécier. C’était la première fois, depuis que nous étions ensemble, qu’elle se faisait sauter par un autre mec que moi et devant moi en plus… et elle ne paraissait pas plus dérangée que cela.

Sur ma chaise, je bouillais d’impatience. Je regardais ces deux mecs en train de tirer ma femme et je me disais qu’on était en train de se faire superbement arnaquer. Je me disais que j’étais vraiment trop con pour m’être fait avoir par ces deux charlatans, peut-être un peu hypnotiseurs, qui allaient l’un ou l’autre finir par la foutre enceinte à ma place. Comme j’étais en train de penser à cela et que la colère montait en moi, Aldéric me cria que je n’avais rien à craindre et que si Priape le voulait c’est de ma semence qu’elle serait fécondée.

Je me fis la réflexion que, décidément, même en train de forniquer, ce mec était capable de lire en moi comme dans un livre ouvert.

Puis Aldéric se retira et laissa la place à Pacôme. Le chien aboyait toujours, à la fois proche et lointain, mais ses aboiements étaient bizarres comme une sorte de mélopée.

Pendant que Pacôme s’agitait, avec un contentement visible, dans la chatte de ma femme ,Aldéric s’était planté devant la statue de Priape, les jambes arquées, bandant comme un diable, les bras levés au ciel et murmurant des incantations auxquelles répondaient les aboiements du chien quand Aldéric s’interrompait. Puis il y eut un hurlement plus soutenu du chien à la fin duquel  Pacôme se dégagea  et Aldéric termina ses incantations. Puis il délièrent Clara du sexe de Priape pour l’attacher par chaque bras aux zobs tendus du faune et de Méfistophallos.

Quand elle fut bien liée, de derrière la statue de Priape, sortant d’une trappe où de je ne sais où, apparut le chien.

Je n’avais jamais vu un chien pareil. Il était énorme, beaucoup plus gros me semblait-il que sur les images, les membres très musclés, le poil presque inexistant, un long coup et une tête très noire avec un museau très court et une expression très douce sur sa gueule. Ses pattes avaient quelques chose de spécial que je ne savais pas expliquer.

Il se campa devant Clara qui s’agitait et priait qu’on la détache et j’en fis autant, mais les deux mecs, placés de part et d’autre de ma femme, les bras croisés, les sexes en l’air, ne bougèrent pas.

Puis le chien commença à lécher la chatte. Il se mit à bander. Je ne pouvait pas distinguer nettement son sexe, juste une énorme excroissance rouge que j’apercevais. En quelques coups de langue il arracha un premier orgasme. Au moment ou elle l’atteint, les liens qui la maintenaient aux statues se dénouèrent comme par magie. Le chien émit un grognement assez doux auquel ma femme sembla obéir en se plaquant contre le mur. Alors le chien se dressa sur ses pattes arrière, comme s’il avait été un homme, il plaqua ses membres antérieurs contre le mur dans une position tellement facile qu’aucun canidé ne peut faire cela. Ainsi debout, je pus voir l’intégralité de son sexe.

Je ne suis pas spécialiste en sexe canin mais il ne ressemblait à rien de connu. Son extrémité était faite comme s’il avait eu un gland sur la partie supérieure et inférieure du membre, en face à face, soudés par le haut et divisés à hauteur de la colerette. Par contre il avait une énorme boule rouge à la base du pénis et ses couilles, très grosses et très rondes pendaient terriblement.

Ainsi campé, il enfila ma femme. Sa queue disparut intégralement le knot y compris. Puis il la palocha, exactement. Je ne sais d’ailleurs pas comment il s’y prit, mais cela était la réalité. Je n’en revenais pas et, pour tout dire, la scène m’excitait au plus haut point. Du coup, mon sexe qui était resté bien sage pendant qu’elle se faisait mettre par les deux mecs, se développa dans ses plus belles proportions.

Le chien donnait de grands coups de pine qui soulevaient la pauvre Clara et progressivement, je vis s’écouler le long des cuisses deux minces filets blancs qui s’épaissirent peu à peu.

Enfin le chien se retira, tout en se maintenant appuyé contre le mur. Il grogna et ma femme se mit à genoux pour sucer le gros pieu qui lançait sans interruption de petites giclettes. Son menton très vite se couvrit d’un crémeux nappage qui s’épancha dans le cou avant de recouvrir les seins et de trouver un chemin jusqu’au pubis. Quand elle fut inondée, le chien de recula, donna un ordre d’un nouveau grognement. Alors elle se releva, fit demi-tour sur elle-même et s’appuya les deux mains contre le mur, le dos cambré, les fesses tendues, les jambes ouvertes.

Il la pénétra. Je le vis poser ses pattes avant sur les épaules et la maintenir comme pour la bourrer bien fort, puis ces mêmes pattes, qui n’étaient décidément pas des pattes de chien ordinaire, lui enserrèrent les nichons. Il me sembla voir quelques gouttes de sang perler sous les griffes. Pourtant ma femme se régalait de la vigueur de ce rut animal qui la percutait comme jamais. Je vis tout à coup en flot énorme de sperme qui s’échappait du vagin en éclaboussures provoquées par les coups de piston qui ne cessaient pas pendant cette formidable éjaculation. Le chien avait basculé sa tête en arrière, le museau pointé vers le ciel, les pattes écrasant les nibards. Puis il se détacha, la femme quitta le mur et vint devant l’autel

Comme si elle avait spontanément compris ce qu’on attendait d’elle, elle se pencha dessus, en travers, les jambes bien écartées. Le chien la grimpa par derrière en appuyant ses pattes antérieures sur le tapis. Aldéric et Pacôme vinrent se faire sucer alternativement.

Le chien la bourrait avec aisance comme un homme l’eût fait. Elle appréciait vraiment. Ses seins ballotaient au rythme des coups de bite. Enfin, les mecs se masturbèrent et lui éjaculèrent au visage.

Quand cela fut fait, le chien se dégagea et Clara vint se mettre en levrette sur le matelas. Le chien lui força l’anus sans lui arracher le moindre gémissement et pourtant il la secouait sans ménagement. La bête remuait de tout son corps et ses muscles roulaient formidablement. De ma position surplombante je la voyais recouvrir entièrement sa proie consentante qui gémissait de plaisir et j’apercevais le large balancement des couilles qui oscillaient à une vitesse folle impulsée par les mouvements très rapides des reins.

Quand le chien en décida ainsi il se retira, se dressa sur ses pattes arrières, et, debout comme un homme, envoya un fantastique tir de sperme qui inonda le dos de ma femme. Ce fut un véritable douche. A ce moment mes liens se dénouèrent. Je descendis de ma chaise et je saillis ma femme brutalement. J’avais tellement d’excitation en moi que j’éjaculai très vite.

Puis je m’écroulai. Quand le calme revint , Pacôme et Aldéric avait remis leurs vêtements.

Ils nous expliquèrent ce qui allait se passer.  Soit ma femme allait tomber enceinte, en cas contraire, dès le lendemain, son corps se modifierait. Son clito et ses grandes lèvres s’agrandiraient et ses seins prendraient deux tailles dans les deux jours ce qui prouverait l’envie du Dieu de la revoir. Il faudrait alors revenir la semaine prochaine… si nous voulions car cela signifierait que le Dieu la désirait encore avant de permettre qu’elle fût fécondée. Si elle n’était pas enceinte et que le Dieu ne désirait pas qu’elle le devînt, le ventre se couvrirait dès le lendemain de marbrures rouges qui disparaîtraient en trois jours.

Nous remîmes nos vêtements, on nous rebanda les yeux et Pacôme nous raccompagna.

A suivre

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