Je mappelle Karim (lailatvx sur le net), je suis étudiant à la Fac et j’ai une piaule dans une cité universitaire à Rabat (Maroc). Au début de l’année, j’ai eu la visite d’un voisin super gentil, très amusant, qui frappe à la porte et me demande si je peux lui prêter un peu de shampooing qu’il a oublié d’acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon demandé.
Une demi-heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu’il reviendrait le même soir, et j’étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les polycopies du jour.
Ouah ! Me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s’assoit face à moi. Son short est court mais je devine qu’il est nu dessous… Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l’entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j’ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l’échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j’essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
-Tu as vu dans quel état tu m’as mis, me dit-il
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
— Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son pénis pointant face à lui. Magnifique !
Je m’assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son pénis. Je sortis ma langue et je commençai à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat… Puis j’ouvris grand la bouche et happai d’abord son gland entre mes lèvres, et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va-et-vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu’il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer…j’enfournai le maximum de son sexe dans ma bouche et le retins par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu’à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.
— Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t’ai vu.
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu’il ne disparaisse par la porte.
J’étais heureux d’avoir sucé cette belle queue et d’avoir goûté son bon jus, mais je restai sur ma faim car je bandais toujours… Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l’étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j’eus la visite d’un autre étudiant habitant l’immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j’étais susceptible d’avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d’un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s’était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant pis, je repasserais".
Je me rassis sur mon lit, désolé de n’avoir pas pu lui rendre service et, quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s’en détacher. Il resta immobile, sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d’un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt’ et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençai à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu’il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt’, me remercia du plaisir donné et, après m’avoir salué, sortit de ma chambre.
Le soir d’après, un autre étudiant, un Africain cette fois, frappa à ma porte, J’ouvris, lui demandant ce qu’il voulait et il me dit "je voudrais te parler".
Je le fis entrer et il m’avoua qu’il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu’il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m’assieds sur mon lit, l’invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s’asseoir il dégrafa son jeans et sortit son sexe d’ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n’avais jamais vu ça, mais j’admirais… je finis par le sucer jusqu’à ce qu’il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l’en faire déborder. Je le vidais complètement, le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j’étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien, petit blanc".
J’étais devenu la petite pute de ce trio où venait s’accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et, à peine entrés, ils me soumettaient leur sexe que je faisais jouir avec délice.