Alors que le soleil était déjà haut dans le ciel bleu du sud de la France, mes paupières me semblaient tellement lourdes. Les événements de la veille me revinrent en mémoire lentement, comme des souvenirs lointains que l’on remet peu à peu à bout. Comment en étions-nous arrivés là ? Mais je conçois qu’il vous soit compliqué de suivre mon raisonnement. Je me présente tout d’abord.
Je me nomme Alexis. Ma mère m’a mis au monde le 9 novembre 1989. Les férus d’histoire auront fait le lien avec la nuit de la chute du Mur de Berlin. Je mesure 1m79 et je dois avoisiner les 90 kilos. Je suis donc un peu enrobé, mais je suis également assez baraqué. Ce qui signifie que je suis dans la moyenne nationale au niveau de la morphologie. Je ne serai jamais mannequin, mais le sport entretient ma forme physique. J’ai les cheveux noirs. Mais ce qui, selon mes copines et les femmes en général, fait mon charme, ce sont mes yeux. J’ai un regard bleu azur. Et, paraît-il, assez hypnotique. Mais je ne l’ai jamais réellement remarqué. Quoiquà présent…
Je suis en vacances dans une villa du sud de la France, louée par mes parents pour la période des vacances. Le mois de juillet est caniculaire et, fort heureusement, la piscine est en état de recevoir les baigneurs de la famille.
Mon père, Pierre, est avocat et nous rejoindra dans quelques jours. Il travaille encore et toujours. Ses affaires et ses procès lui prennent un temps trop long, ce qui chagrine chaque membre de notre famille, car il est souvent loin de nous. Mais comme il assure par son travail un train de vie des plus agréables, personne ne le lui reproche de trop. Il sait qu’il est trop absent et fait toujours pour un mieux afin de passer du temps avec nous.
Ma mère, Sandrine, est juriste dans une grande entreprise. Elle gère une partie de ce secteur. Par contrat, elle a droit à 20 jours de congé annuel afin de passer du temps auprès des siens en plus des congés traditionnels. C’est une femme merveilleuse, attentionnée et parfaite mère de famille. Elle est grande, blonde aux yeux verts. Ce qui vous intéresse est certainement ailleurs. Elle a un corps un peu fatigué par ses grossesses, mais qu’elle entretient régulièrement par du fitness au sein même de sa boîte. Sa poitrine est assez volumineuse, mais pas au point de faire se retourner les têtes dans la rue. Je dirais que la taille de ses sous-vêtements doit avoisiner les 95C et se fesses sont plutôt musclées.
Ma sur, Caroline, est étudiante en droit également. On ne se refait pas. Elle est en dernière année d’études et elle sait déjà qu’elle aura le choix dans ses propositions d’embauche. Elle est majeure de sa promotion depuis le début de ses études. Elle est aussi jolie que sa mère. Elles se ressemblent énormément si ce n’est que ma sur est brune et que ses seins sont un peu plus gros que ceux de ma mère. Je pense à un 95D pour que vous ayez une idée de ce dont je parle. Elle est assez menue et ne mesure qu’1m72. Ce qui vous donne une image plutôt agréable à contempler. Elle a eu quelques flirts durant ses études, mais rien de sérieux. Comme elle le dit, cela lui permet de " nourrir les besoins naturels ". Elle est assez libre en effet, mais ne veut rien de sérieux durant ses études. Je pense aussi qu’elle nous cache pas mal de choses. Mais c’est sa vie et ce sont ses choix. Je n’ai rien à lui dire.
Personnellement, je n’ai pas suivi le cursus familial.
Je suis historien. J’ai toujours eu une passion pour cette discipline et j’en ai fait mon métier. Je suis enseignant depuis quelques années. Vous allez me dire, que fait-il encore en vacances avec ses parents à cet âge ? Eh bien, tout s’explique. En réalité, j’étais, il y a encore quelques jours, fiancé à une charmante jeune femme. Mais celle-ci a préféré mettre un coup de canif dans notre futur contrat en s’envoyant en l’air avec l’un de ses potes lors d’une soirée où je n’étais pas présent. C’est mon meilleur ami qui, découvrant la belle dans une posture ne laissant aucune place au doute, en a pris une photo qu’il m’a envoyée de suite. Vive la technologie. Le coup de téléphone qui s’ensuivit fut aussi rapide que si un puceau venait de découvrir votre fantasme absolu nu devant lui. Imaginer la scène. Rapide et efficace. En quelques mots, je l’ai envoyé balader avec son pote et je n’ai plus de nouvelles depuis.
Ce qui explique ma présence avec ma famille. Ma mère a refusé de me laisser seul dans mon appartement à Paris et a exigé ma présence auprès d’elle et de ma sur. N’ayant rien d’autre de prévu lors de ces congés scolaires, j’ai accepté.
Le début des vacances s’est parfaitement déroulé. Apéros, baignades, séances de bronzage pour les femmes, un peu pour moi, lectures diverses et variées. Bref, le farniente. Je dois avouer qu’il est facile pour un homme comme moi de profiter de ce qui m’entoure. J’aime la fête. J’aime boire un coup. J’aime beaucoup être avec ma famille. J’aime regarder ce qui est beau. Alors tout est parfait.
Ma mère et ma sur sont d’ailleurs magnifiques dans leurs différents bikinis. Mais je n’ai jamais eu la moindre pensée déplacée. Je les regarde comme je regarderais une peinture ou une sculpture. Avec un il regardant… bref. Je m’égare.
C’est lors d’une séance de bronzette que tout a commencé. Ma sur a dégrafé son soutien-gorge et s’est couchée sur son essuie. Une attitude banale. Elle et ma mère aiment bronzer sans marque.
Alexis, tu peux me passer un peu de crème sur le dos, s’il te plaît ? Je ne veux pas prendre de risque de brûler.
Ce n’est pourtant pas la première fois qu’elle me fait cette demande, mais je pense que je venais d’abuser du pastis.
Bien sûr !
Mes doigts, couverts de la crème protectrice, se sont mis à courir sur sa peau chauffée par le soleil. Mais, pourquoi cette fois, mes doigts se faisaient légers et caressaient plus qu’autre chose, le corps de ma sur. Le soupir d’aise de ma sur alerta alors ma mère
Je vous dérange peut-être ? dit-elle d’un air courroucé. Alexis, je te rappelle qu’il s’agit de ta sur. Arrête immédiatement ce manège !
Je retirais alors prestement mes doigts et me dirigeais, ennuyé, vers mon transat. Ce n’est pourtant pas la première fois que je passe de la crème à ma sur. Pourquoi réagit-elle ainsi ?
Maman, ce n’est tout de même pas grave. Personnellement, j’ai bien aimé. Il a des mains assez douces. Ne vois donc pas le mal partout.
Ma petite sur venait à ma rescousse. Tout en discutant avec ma mère de ce qui venait de se passer, elle se positionna sur ses coudes, sa jeune poitrine pendue sous son corps surélevé. C’en était trop pour moi, embrumé par l’alcool et le soleil. Je me levais pour rentrer et prendre une douche froide qui devait me remettre les idées en place. De longues minutes après, l’eau fraîche me ramena à la raison. J’allais sortir et redescendre m’excuser auprès de ma sur et de ma mère lorsqu’un mouvement attira mon attention dans le miroir. Je vis ma mère me regarder dans ma douche, cachée derrière la porte. Elle m’épiait depuis un certain temps visiblement.
Je coupais alors l’eau et elle disparut dans le noir du couloir. Avais-je rêvé ou ma mère venait de m’espionner prenant une douche alors qu’elle venait de me faire une remarque étant juste en train de passer de la crème sur le dos de ma sur ? Je me rendis rapidement dans ma chambre pour passer un short et un tee-shirt lorsqu’un bruit attira mon attention. Un bruit peu audible, mais reconnaissable entre mille. Un soupir. En sortant de ma chambre, un second bruit, étouffé, se fit entendre. Il venait du fond du couloir, là où se trouvent les chambres de ma mère et de ma sur. Avançant à pas de loup, la moquette et mes pieds nus me permettant de ne faire aucun bruit, je parviens face à la porte entrouverte de ma mère. Le spectacle se figea sur place.
Ma mère était couchée sur son lit, jambes serrées. Une main passant sur sa poitrine dénudée, l’autre emprisonnée dans la fourche de ses cuisses. Ma mère se masturbe. Pour un fils, une mère n’a pas ce genre d’activité. Elle est cette femme inaccessible, parfaite, attentive et surtout sérieuse. Elle a cette image virginale alors que tout fils sait que sa mère a une activité sexuelle. Cette assez ambiguïté est d’ailleurs amusante.
J’espionne ma mère et je constate qu’elle a une technique particulière, mais visiblement efficace. Ses doigts étiraient ses tétons et caressaient la peau fine de ses seins. De son autre main, elle passait un doigt dans sa fente serrée par ses jambes tout en titillant son bouton caché avec son pouce.
Ses soupirs se rapprochaient et visiblement, elle était sur le point de jouir lorsqu’un autre bruit attira mon attention. Ma sur venait d’ouvrir sa porte et sortit dans le couloir sombre, habillée d’une robe d’été. Elle comprit immédiatement la situation, me voyant épier ma mère.
Elle eut alors une attitude à laquelle je ne m’attendais pas. Elle me sourit. D’un sourire bienveillant. Absolument pas moqueur. Puis elle tourna les talons. Je la vis disparaître au bout du couloir alors que ma mère expulsa un dernier soupir d’aise avant de se calmer. Je reculais alors dans l’ombre du couloir pour prendre le même chemin que ma sur, déboussolé par la tournure des événements.