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Vers la Réunion – Chapitre 2

Vers la Réunion - Chapitre 2



Le retour de la Réunion se fait après un séjour sur place de 2 mois. Jai retrouvé rapidement mon amant « volant ». Chez lui, jai pu me faire baiser selon mes goûts. Jadmirais sa généreuse queue toujours prête à baiser. Quand il était seul, il passait un coup de fil. Comme une chienne en chaleur, je me précipitais vers lui, la vulve déjà humide. Je suis même allée le voir sans quil me le dise. Cétait deux ou trois jours avant de revenir. Bien sûr il était absent. Seule une fille inconnue était chez lui. Je pensais que cétait une petite amie. Je la toisais avec des yeux jaloux. Javais tort. Cétait sa sur. Nous avons vite fait connaissance.

Lorsquun peu plus tard nous étions à notre commun rendez-vous, jai trouvé quelle était fort sympathique, elle me trouvait à croquer. Ce nétait pas une pomme, juste une fille. Je navais jamais eu de rapports comme nous avons eus. Cétait différent, meilleur, souvent sans a priori. Je me suis donnée directement comme elle a voulu. Jen garde encore un souvenir magnifique. Quelle fille, que de plaisirs échangés ! Dans ce petit coin de paradis au bord du Pacifique, elle ma séduite rapidement en me disant que je lui plaisais, que je devais bien baiser les filles ; moi qui ny connaissais rien. Elle ma donné envie de savoir ce quétaient les amours saphiques. Jai été servie :

Elle ma embrassée sur la bouche. Je ne sais pourquoi ni comment jai donné ma langue, lhabitude dembrasser sur la bouche. Sa main sest posée comme celle de son frère sur le genou, à croire quils en avaient parlé ensemble. Elle na pas monté la main, elle ma simplement frôlé les seins. Allez résister quand vous êtes en simple monokini ? Bien sûr elle a vu que mes tétons de redressaient. Elle les a caressés aussitôt. Je me suis laissée tomber sur le sable. Nous étions presque seules. Naturellement sa main est passée entre mes jambes que jouvrais dans un mouvement de désir. Elle écartait mon slip, passait un seul doigt entre ma chair et le vêtement. Elle me touchait à peine le bouton. Javais envie quelle aille jusquau bout, que je jouisse.

Elle devait être sur un coude, sa tête près de la mienne. Et sa main, sa bonne main sur moi, sur ma chatte. Quand elle a commencé à aller et venir dans la moule, jétais prête à mourir plutôt quelle narrête. Jai obéi quand elle ma demandé de venir m’asseoir sur sa figure. Javais sucé son frère, je pouvais être sucée par elle.

Sa tête fichée entre les cuisses, mon clitoris bien mis sur elle, jappréciais sa langue sur moi. Elle me léchait admirablement bien, comme les filles qui aiment les filles. Je devais couler sur elle avant de jouir comme une dingue. Je ne voulais plus la quitter. Je ne protestai pas quand elle ma demandé de me mettre sur le dos. Elle sest mise nue, ma donné sa chatte. Quelle sentait bon, que ma bouche se régalait de son goût extraordinaire que je ne connaissais pas du tout. Je fouillais tout ce qui tombait à hauteur de mes lèvres. Les lèvres intimes me semblaient de velours. Je trouvais au fond de sa moule des choses extraordinaires, comme un léger renflement dans son con que je titillais. Encouragée pas ses soupirs je mettais mes doigts juste sur le cul. Jentrais doucement, je faisais aller et venir mes doigts. Elle bougeait en cadence, me montrant même la vitesse de mes doigts.

Enfin elle sest mise sur moi, ses seins contre mon ventre. Ils étaient durs, comme les miens sans doute. Elle ma pris les cuisses dans sa main, ma approché pour venir embrasser le centre de mon être : mon vagin, puis juste en haut. Elle aspirait avec « métier » le bouton. Visiblement je nétais pas sa première. Je naurais pas été étonnée si une bite était venue la baiser. Jaurais aimé la voir se faire baiser par un homme. Cétait moi seule qui devait la faire jouir. Je my employais avec ardeur. Jy réussissais assez. Je ne lai plus revue jusquau moment de monter dans lavion de retour.

Lhôtesse nous accueille à bord, nous nous asseyons côte à côte. Encore une fois mon siège est à larrière. Sous les couvertures nos mains font à nouveau connaissance. Javais envie de recommencer notre jeu. Mes mains à peine sur sa jambe, elle cherche la mienne. Heureusement que nous sommes un peu cachées par les couvertures. Nous ne nous embrassons pas pour ne pas nous découvrir. Seule lhôtesse soupçonne ce que nous faisons. Elle nous regarde en souriant.

— Nayez crainte, je sais ce que vous allez faire. Changez de place, juste derrière vous les sièges sont plus larges. Je vous aiderai si vous le voulez.

Ainsi lhôtesse est complice. Elle voudrait se joindre à nous ? Elle aime les filles, comme nous ? Nous déménageons rapidement. Je suis contre le hublot, mon corps vers la travée. Les mains sont sur moi, elles reprennent les caresses intimes. Je me tends au moment dun orgasme. Jallais rendre les caresses quand je vois lhôtesse se pencher sur la foufoune de mon amie. Elle la lèche comme je laurais fait.

Mon regard fait comprendre à lhôtesse que jai envie delle. Nous allons ensemble aux toilettes. Les fesses contre le petit lavabo, elle soulève sa robe duniforme, écarte les cuisses : elle est nue dessous. Ma langue la lèche partout, surtout sur le bouton. Elle tient ma tête comme pour que je ne bouge pas. Jai le bonheur de la sentir jouir. A mon tour de mettre mes fesses sur le lavabo. Là, directement sans un seul regard de tendresse, elle donne le plaisir que jattends.

Mon amante est presque endormie. Je la laisse un instant en paix avant davoir envie de la faire partir au paradis des lesbiennes. Nous avons tout le temps de vol dici Roissy.

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