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Chroniques villageoise – Chapitre 4

Chroniques villageoise - Chapitre 4



4 histoire de Justine la fille de Marie

Le mardi, Marie reprenait son service auprès du curé. Elle sexcusa de son absence de la veille prétextant une légère indisposition. Vu sa mine fatiguée, le curé la crut volontiers. Elle ne pouvait pas entrer dans les détails du pourquoi de cette fatigue et repris ses occupations habituelles auprès de la bite du curé mais avec moins dentrain car le nombre important dorgasmes quelle avait eu, lui avait vidé sa libido. Néanmoins elle le fit éjaculer 2 ou 3 fois (elle navait pas lesprit à compter) mais, cette fois, sans demander de contrepartie. Le curé, tout à son plaisir, ne fit aucune remarque. Elle savait que dès le lendemain, Justine étant absente le reste de la semaine, elle aurait le temps de se refaire une santé.

Ce même Mardi Justine, pour son stage, dut assurer 4 matinées à lhôpital. Pour elle aussi la succession dorgasme quelle avait eu ce week-end avec sa mère et malgré les facultés de récupération que sa jeunesse lui permettait, elle se sentait fatiguée et savait par avance quelle mettrait moins dempressement auprès de ses patients si lun deux ou lune delles venait à lui demander une petite gâterie.

Par contre ce qui ne larrangeait pas cest que les après-midi, elle devra se rendre au château pour soccuper de Madame la baronne mère qui, par comparaison, lui fit repenser de nouveau à la sienne et surtout à ce quelles venaient de faire ensemble. Une bouffée de chaleur irradia son corps. Elle devait chasser rapidement ces images de sa tête pour ne pas être de nouveau en proie à une excitation incontrôlée. Bien sur Marie savait que sa fille se rendait régulièrement au château mais Justine ne lui avait jamais dit que la majeure partie de ce temps plutôt bien rémunéré quelle passait avec la baronne mère était consacrée à lui rendre des services difficilement avouables. Justine se demanda dailleurs, maintenant que les relations filiales avaient beaucoup évoluées sil fallait en parler et que, peut-êtreMais attendons, laissons venir les choses, on avisera le moment venu se dit-elle.

Il y a 1 an de cela, Justine, qui était en quête de petits boulots pour se faire de largent de poche, se souvenait très bien de la première fois quelle se rendit au château sur les conseils de sa mère qui avait appris que la baronne Blanche de Merteuil cherchait, pour sa mère, une aide-soignante et surtout une dame de compagnie. Elle se présenta et après un bref entretien, elle suivit Blanche jusquaux appartements de Jeanne, sa mère. Elle fit une brève présentation et quitta la pièce.

Jeanne de Merteuil, assise dans un fauteuil, était une femme dallure frêle, vêtue dune robe à fleur, peignée et maquillée avec soin et, malgré son âge avancé (elle devait avoir un peu plus de 70 ans), elle avait ce port majestueux que possédaient encore les représentantes de notre basse noblesse Française. Elle la fit asseoir dans le fauteuil lui faisant face, sonna sa domestique pour quelle leur serve le thé et les petits gâteaux. Elles ont papoté jusquà ce que le gouter soit servi. Elle renvoya sa domestique lui signifiant quelle ne voulait plus être dérangée.

— Ma chère Justine, vous permettez que je vous appelle par votre prénom ? Oui ! Alors ma Chère Justine vos attributions sont simples. Très peu de travail juste une présence en vérité. Jaime la jeunesse qui me rappelle la mienne. Vous aurez à écouter les récits dune vieille dame qui ne vit plus que dans ses souvenirs. De votre côté vous me parlerez de votre jeunesse bien différente, je suppose, de celle que jai vécu et de ce qui se passe à lextérieur du château que je ne quitte pratiquement plus.

— Madame, répondit Justine un peu intimidée, croyez bien que je ferais tout pour vous être agréable.

— Pour ce qui peut mêtre agréable nous en parlerons la prochaine fois. Je sens en vous la volonté de bien faire, de tout faire (elle insista sur le mot TOUT) et soyez sure que je saurais vous récompenser à la hauteur de votre dévouement.

Justine sut bien vite ce que le « tout » voulait dire.

Dés ses premières visites au Château Justine dut écouter lhistoire de la famille de Merteuil. Elle pensa quil faudrait faire au moins leffort de sy intéresser pour mériter son salaire mais les qualités de conteuse de Jeanne firent quelle lécoutât avec grand intérêt. Les anecdotes sur ses aïeux et aïeules mettaient du piment dans ses récits et elle remarquait quils avaient souvent une connotation sexuelle. A son époque les hommes aimaient le libertinage et fréquentaient volontiers les maisons de tolérance, quant aux femmes cétait entre elles, surs et cousines et parfois avec laide de quelques adultes dévoués comme la femme de chambre et la cuisinière quelles faisaient leur éducation. Quand le récit de Jeanne arriva à lépoque de sa propre jeunesse, les détails devinrent plus précis surtout sur ceux concernant sa sexualité.

Elle avoua avoir eu très tôt un fort tempérament et nhésita pas à parler de ses premiers émois. Sur ce sujet il était facile de midentifier à elle et quand elle avoua, me regardant malicieusement, guettant mes réactions, quelle fut, très jeune, obligée de chercher le moyen de calmer les besoins que son corps réclamait et que ce moyen elle le trouva seule.

— Vous avez deviné de quel moyen ? Oui, bien sur. Ne rougissez pas. Mais le faire seule manquait de piquant aussi, avec mes cousines, nous avons échangé des caresses. Durant cette période de découvertes ce ne fut faite que de relations saphique bien quentre nous nous parlions souvent des garçons mais étions bien trop timorées pour les adjoindre à nos jeux. Javoue que même plus tard jai toujours gardé cette préférence pour les amours féminines.

Justine sétait complètement retrouvée dans cette autobiographie. Elle avait de plus en plus chaud. Jeanne reprit mais avec des termes plus directs.

— Et vous Justine ! Vous êtes-vous masturbée dans votre jeunesse. Cétait hier pour vous. Peut-être le faites-vous encore car vous mavez dit ne pas avoir damoureux nest-ce pas?

Voilà, se dit Justine, nous y sommes. Elle avait senti que chez cette dame, sous des aspects austères, se cachait une grande amoureuse, que sous la glace un volcan couvait. Ce comportement nétait pas pour lui déplaire. Elle avait remarqué que Jeanne de Merteuil, depuis quelque temps, mettait des tenues plus négligées et avait tendance à laisser plus longtemps que nécessaires sa robe découvrir ses cuisses qui, au demeurant, étaient encore très belles pour une femme de son âge ou bailler son décolleté sur une poitrine sans soutien mais qui, par contre, en aurait eu besoin.

Justement, aujourdhui, jour où le rôle de Justine se précisait, elle navait quune robe de chambre dont les pas écartés laissaient ses jambes dénudées.

La question posée était directe, sans détours. Justine ne voulut pas se laisser désarçonnée et décida de répondre avec un ton tout aussi direct montrant ainsi que parler sexe ne la dérangeait pas.

— Oui je me suis masturbée tôt et que je continue encore maintenant. Je nai aucune honte non plus de vous confirmer, bien que vous nayez pas posé cette question, que jaime ça ! Je ne sais pas où cette conversation va nous mener mais si votre souhait est que lon reste sur ce sujet, je ny vois là aucun inconvénients à la poursuivre sur ce terrain. Permettez-moi simplement dajouter que vous devez posséder un fort tempérament que vous avez du mal à contenir. Vous pensiez quavec lâge les désirs sestomperaient, que vos envies disparaîtraient mais ils sont encore là nest-ce pas ? Et nayez pas peur de me dire en quoi ma présence vous sera utile

— Vous avez fait des études en psychologie répliqua Jeanne ? Vous avez deviné exactement ce quil marrive. Je ne peux me résoudre à ne plus avoir de jouissance et les plaisirs solitaires, en solitaire, ne me permettent plus datteindre le même degré de plaisir que javais connu. Jai essayé dans un premier temps de me servir de ma vieille domestique, oui celle qui nous sert le thé, pour quelle me regarde tandis que je me caresse espérant que par mimétisme quelle pourrait maccompagner mais elle se contenta que de regarder, statique, indifférente, sans éprouver la moindre émotion. Ma fille qui mavait un jour surprise en pleine séance de masturbation devant la domestique, mavait laissé entendre et je nen fus pas étonnée et connaissant son tempérament, quelle serait partante pour avoir avec moi des rapports incestueux qui nous satisferaient toutes les deux mais jai refusé. Par contre je me permis de lui demander conseil, sur ce dont je pouvais prétendre pour agrémenter mes journées. Elle ma proposé encore une fois ses services que jai de nouveau refusés car linceste est une barrière que je refuse de franchir.

Justine, à cet instant de la conversation ne savait pas encore que linceste elle le vivrait 1 an plus tard avec sa mère.

— Et cest ma fille, continua Jeanne, qui eu lidée de me choisir une jeune femme pour me tenir compagnie. Je lui ai fait remarquer quune dame de compagnie était facile à trouver mais en avoir une qui accepterait de me rendre les services dont je viens de parler serait plus difficile. Sur ce, Blanche ajouta : « Je ne me fais aucun souci de ce côté-là, te connaissant tu sauras très bien te débrouiller pour la décider à entrer dans tes délires ». Avez-t-elle eu raison questionna Jeanne ? En me regardant, sourire aux lèvres et jambes écartées.

Sa question était superflue. Depuis un bon moment déjà javais devant les yeux le spectacle de la chatte de Jeanne et javais, moi aussi, adopté une position similaire c’est-à-dire jambes ouvertes mais, en plus, ma main sétait logée instinctivement entre elles.

Un silence sinstalla. Justine savait que les festivités allaient commencer.

  – Vous mouillez me demanda madame de Merteuil mère ?

— Je suis trempée répondit-elle.

— Alors quattendez-vous ?

— Votre permission Madame.

Cette dernière phrase parut contenter la vieille dame. Elle comprit quelle avait pris lascendant sur moi et que je serais la proie idéale pour lui faire passer dagréables moments.

— Allez-y ma chère branlez-vous ! Branlez-vous franchement ! Noubliez pas que je suis spectatrice, pour linstant bien entendu, et que je veux vous voir, voir votre chatte dans tous ses détails.

Justine sexécuta. Elle aurait préféré que Jeanne de Merteuil le fasse en même temps mais cette dernière en avait décidé autrement. Toutefois elle savait que cétait reculer pour mieux sauter, que la baronne mère sexciterait en la regardant et plus elle se contiendrait, plus sa jouissance serait intense. La baronne employait des mots crus pour commenter la masturbation de Justine.

— Ne vous retenez pas ma petite Justine, montrez-vous, oui comme-ça, cest beau une femme qui se branle, laissez entendre votre montée du plaisir, ça vient nest-ce pas ? Criez ! Ah, le rythme saccélère, vous ne quittez plus votre clito, il nest pas très gros mais vous êtes jeune, il grossira encore. Vous verrez il deviendra comme le mien, celui dune vraie branleuse.

En finissant sa phrase, Jeanne écarta toute grande ses cuisses, projeta son bassin en avant et, ouvrant sa moule baveuse, exposa son clito qui ressemblait à une petite bite. A la vue de cet organe, Justine se mit à jouir longuement, une jouissance qui ne semblait plus pouvoir sarrêter. Des tremblements convulsifs lagitèrent de longues minutes encore. Jeanne la félicita et la remercia de lui avoir offert un spectacle à la hauteur de ses espérances.

Les cris que Justine avaient poussés sétaient entendus dans les pièces voisines car la porte du salon souvrit et la domestique fit son apparition, lair affolé.

— Ce nest rien Berthe, depuis le temps tu devrais thabituer ! cet vrai quaujourdhui cétait un peu plus sonore.

Le regard de Berthe allait de la chatte de Justine à celle de Jeanne que toute deux continuaient à se montrer. La domestique sapprêtait à faire demi-tour mais la baronne la stoppa.

— Restez Berthe, je nai pas encore joui moi ! Ainsi vous naurez pas à revenir en entendant mes cris.

La domestique se figea. Jeanne se leva, sapprocha au plus prés de Justine et sadonna à un simulacre dorgasme.

— Voilà ma pauvre Berthe, vous pouvez aller raconter ce que vous avez vu à ma fille Blanche car cest elle qui vous envoie nest-ce pas ?

La domestique ne répondit pas et repartit. De nouveau seules, Jeanne se remit dans son fauteuil.

— Bien ! Maintenant, ma chère Justine, passons aux choses sérieuses.

Cette fois Jeanne se fit jouir. Elle déploya toute sa technique qui laissait supposer de longues années de pratique. Justine compris aussi pourquoi le siège était recouvert dun tissu éponge car, au moment de son orgasme, un flot de mouille jaillit de sa chatte. Une femme fontaine se dit-elle. Justine savait que cela existait mais maintenant elle avait vu et avait été impressionnée.

— Ce nest pas toujours comme cela, sexcusa Jeanne. Il y a bien longtemps que cela ne métait pas arrivé. Merci Justine.

Justine acquiesça. Les deux femmes avaient besoin de recharger leurs batteries aussi Justine en profita pour questionner la baronne mère sur ce quelle avait dit à sa domestique au sujet de sa fille.

— Cela a éveillé votre curiosité Justine ? Ce nest pas un secret, tout le monde sait que ma fille Blanche est une vraie obsédée du cul. Ceci-dit moi aussi je lai été et encore maintenant pensez-vous ? Oui cest vrai, vous avez pu vous en rendre compte mais je suis plus discrète. Au temps où mon fils et sa femme organisaient des soirées libertines, ma fille pouvait y participer et quand ces soirées ont cessées dexister elle sest senti seule. Elle a essayé de sinfiltrer, sans succès, dans la liaison que jentretenais avec Constance, une jeune fille dont jétais tombé follement amoureuse. Et oui Justine vous avez lair surprise que jai pu vivre une aventure homosexuelle ? Ce fut la période la plus heureuse de ma vie. Vous lui ressemblez beaucoup Justine peut-être est-ce la raison pour laquelle jai joui si fort tout à lheure. Bien revenons à Blanche qui essayait de savoir ce que je faisais par le truchement de ma domestique qui était chargée de mespionner. Mais Berthe était agent double et me tenait aussi au courant des agissements de ma fille. Par exemple aujourdhui le spectacle que nous lui avons offert va être répété à Blanche qui va sempresser de se masturber en la questionnant, lui demandant moult détails et même, chose que je nai jamais voulu imposer à ma domestique, elle va lui demander de la lécher. Berthe à pratiquement élevée Blanche et très tôt, ma fille, à cause dune hypersexualité, sest servie delle pour apaiser ses envies. Cest peut-être la raison qui rend Berthe pratiquement asexuée.

Justine aurait aimé questionner encore Jeanne sur ce qui se passait au château mais la baronne mère avait préféré reprendre les jeux de main qui, après tout nétaient pas désagréables. Justine quitta le château deux heures plus tard avec, dans son sac, lemploi du temps pour les prochaines visites accompagné dun chèque. Justine estimait avoir de la chance car, si certaines femmes pouvaient gagner de largent en donnant du plaisir, elle en connaissait très peu qui, comme elle, pouvait en gagner en en prenant.

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