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La Gestionnaire – Chapitre 14

La Gestionnaire - Chapitre 14



Après avoir pris quelques rafraîchissements, le groupe remet de l’ordre dans les tenues de chacun. Des dames ont préféré se mettre à l’aise et se promènent parmi nous, vêtue seulement de leurs bas et porte-jarretelles et de leurs chaussures à talons hauts. D’autres sont torse nu et montrent leur poitrine orgueilleuse à tous. Vu les seins présentés, je suis sûr que certains seins ne sont pas l’uvre unique de Dame Nature, mais qu’ils ont été aidés par quelques praticiens esthétiques, bien connus… d’autres ont oublié leurs jupes et se promènent le cul à l’air…

Pour récupérer de la séance avec Carole, je me suis installé dans un fauteuil. Nancy est à mes petits soins. Elle est allée me chercher du champagne et une assiette de petits gâteaux. Andréa profite de l’absence de sa copine. Elle s’installe entre mes jambes, ouvre mon pantalon à la recherche de mon sexe. Elle le découvre et l’avale. Elle me pratique une fellation de grande qualité… Carole est toujours là, derrière moi. Elle est toujours nue et attend.

— Carole, qu’attends-tu ?

— J’attends votre bon vouloir, mon bon Maître…

Je la laisse dans son monde. Elle est complètement partie. Elle aurait fumé trois à quatre pétards de cannabis, elle ne serait pas plus absente…

Pierre-Arnaud nous invite à regagner la salle des réjouissances. La salle a été nettoyée. La climatisation a changé l’air. Il fait bon… Notre hôte monte sur l’estrade et prend la parole.

— Mes chers amis, nous avons eu une première surprise dans la première séance. La deuxième séance va être aussi un moment fort, étonnant surprenant, rare…

L’assistance, devant cet exposé, se tait et boit littéralement les paroles du bonimenteur de service.

— Nous allons assister à une vente aux enchères publiques.

La salle murmure.

— De nombreux amis sont dans la salle pour cet évènement. Ils espèrent pouvoir acheter le lot de cette vente. Je ne vais pas vous dévoiler le détail du lot. On va vous le faire. Les enchères seront de 500 euros. Le lot sera attribué pour une période donnée définie. Mes amis, je vais chercher le lot mis aux enchères.

Pierre-Arnaud s’éclipse derrière le grand rideau de velours rouge. La lumière d’ambiance s’est doucement estompée. Un mouvement agite la tenture. Je peux distinguer une forme sur l’estrade. Les spots éclairent brutalement la scène. Au centre de l’estrade, un personnage est vêtu d’une longue cape noire. Un capuchon couvre sa tête. Pierre-Arnaud reprend la parole.

— Voici le lot mis aux enchères. Etonnant… vous voudriez bien connaître qui se cache sous ce capuchon et savoir pourquoi une mise aux enchères… Je ne vais pas dévoiler le secret de la personne qui est cachée sous ce vêtement. Cette personne a décidé de faire elle-même sa vente… mais au lieu de parler, je vais lui demander de commencer la mise en vente aux enchères publiques… je serais le commissaire-priseur…

Pierre Arnaud se retire sur le côté de la scène pour ne pas gêner la visibilité. Tous les regards se sont posés sur la forme noire installée au milieu de l’estrade. Une voix claire retentit. La personne est équipée d’un micro HF. Nous entendons parfaitement son souffle. Elle est émue…

— Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, vous devez être particulièrement étonnés de cette vente. Je vais vous en donner les explications. J’ai rencontré, il y a quelques mois, par hasard, un homme merveilleux. Amant, aimant, j’ai découvert avec lui le bonheur, le plaisir… La vie… il m’a conduit dans des découvertes étonnantes sur moi-même, sur mon corps, sur mes envies… il m’a initié aux plaisirs de toute nature… simple comme une nuit d’amour à deux dans un lit, plus complexe à trois, très complexe comme me mettre à la disposition d’un groupe d’hommes toute une soirée. Avec lui, j’ai découvert le plaisir de la soumission, de l’obéissance. Un peu comme Carole l’a trouvé dans la précédente séance. J’ai connu tous ces plaisirs et le plaisir de rendre heureux un homme, de le satisfaire dans tous ses désirs, dans toutes ses envies… Alors me direz-vous pourquoi quitter un tel homme ?… c’est très simple… nous ne sommes pas mariés et nous ne voulons pas l’être… nous avons chacun notre travail… Malheureusement, mon merveilleux amant doit s’absenter de France pour des raisons professionnelles pendant une année… si je décide de le suivre, je perds mon travail que j’aime et mon indépendance… si je reste, je vais être très malheureuse… alors pour résoudre cette équation, j’ai pensé à une solution.

Elle n’est pas parfaite, mais elle aura le mérite de faire savoir à mon amant que je serais dans des mains amies, que je l’attendrais avec patience chez un nouveau Maître, un Maître par intérim… Je précise que les enchères n’ont pas de limites. Elles s’arrêteront d’elle-même faute de combattants. La durée de ce mandat sera d’une année à compter de ce soir. Y a-t-il des questions dans l’assistance ?

Pierre-Arnaud remarque une main qui se lève :

— Monsieur, une question ?

C’est un homme d’une quarantaine d’années qui se lève du fauteuil.

— Mais que souhaitez-vous exactement pendant cette année ?

Le capuchon noir répond.

— Je souhaite garder le niveau de soumission que j’ai atteint avec mon ami. Mais si vous pensez pouvoir me faire progresser dans ce monde, je demanderai à mon Maître s’il m’autorise dans cette nouvelle voie… ai-je répondu à votre question, Monsieur ?

— Une autre question ?

— Que se passe-t-il en cas de non-respect du contrat ??

— Vous voulez dire, si je ne respecte pas le contrat ?

— Oui, c’est cela…

— Je devrais rembourser le montant du contrat et payé 10% d’intérêts de dédommagement…

— Très bien…

— Les enchères peuvent-elles commencer ?

Un silence de recueillement couvre la pièce… Pierre-Arnaud attaque les enchères…

— Les enchères sont de 500 euros et elles commencent à 1000 euros…

— 1.500…

— 2.000…

— 2.500…

Pierre-Arnaud arrête les enchères

— Vous ne souhaitez pas découvrir la personne qui se cache sous le capuchon…

Des rumeurs courent dans la salle… Le lot parle…

— Je vais ôter mon capuchon.

— Deux mains sortent de la cape noire. Elles sont gainées de noir. Le capuchon tombe sur les épaules. C’est une femme… les cheveux sont châtain clair, presque blonds. Ils sont mi-longs et effleurent les épaules… c’est Charlotte, j’en suis sûr. L’histoire me disait déjà quelque chose, mais la vision de la chevelure me prouve que le lot mis aux enchères est mon amie, ma soumise… Elle porte un masque de cuir noir très fin qui lui masque le visage. Seuls ses yeux verts jettent des éclairs…

Les enchères repartent de plus belle…

— 5.000…

— 6.000…

— 10.000 euros…

La salle se tourne vers la personne qui à surenchérir… Charlotte décroche le clip qui tient la cape. Celle-ci tombe au sol. Elle est vêtue d’un tailleur noir. La veste est très décolletée et laisse apercevoir les dômes de ses seins. Sa jupe est courte, très courte. On peut deviner la bande élastique du haut des bas. Elle est perchée sur ses talons très hauts. Je reconnais les escarpins que je lui ai offerts…

— 15.000…

— 20.000…

— 30.000…

Charlotte vante la marchandise…

— Je vous rappelle que cette enchère représente ma disponibilité totale pendant une année…

— 50.000…

— 75.000 euros…

— 100.000 euros…

Charlotte ne bouge plus. Pierre-Arnaud se propose de l’aider. Il approche doucement derrière elle. Il passe ses mains sur le buste et défait, un à un les boutons de la veste. Il l’ôte. Charlotte apparaît avec un soutien-seins. Comme à chaque fois que je les vois, ses seins m’ont toujours fait bander. Ils sont ronds, fermes et opulents. Mais surtout, chose étonnante pour des seins d’une telle taille, ils ne tombent pas. Ils restent haut perchés. La fraise qui les surmonte est tendue. La situation l’excite.

— 125.000…

— 200.000…

— 300.000…

Pierre-Arnaud dégrafe le fragile sous-vêtement. Les seins ne bougent pas, preuve s’il en était besoin que ses seins tiennent seuls…

— 400.000…

— 450.000…

La salle est aux aguets. Tous les acheteurs potentiels misent et souhaitent emporter le gros lot…

Pierre-Arnaud passe ses mains sur les pointes de seins de Charlotte. Ils les pincent entre pouce et index et malaxent la boule fripée. Je vois le sang irriguer cette partie de chair maltraitée. Il présente les seins en passant ses mains en coupe sous chaque demi-melon.

— 500.000…

— 600.000…

Pierre-Arnaud lâche la poitrine de Charlotte. Il cherche la fermeture de la jupe. Je connais la fermeture. Le zip résonne. En tirant en bas à fond, la jupe se coupe en deux. Notre hôte a trouvé. La jupe se sépare. Pierre-Arnaud tient le tissu devant Charlotte. Il le laisse tomber au sol.

— 750.000…

— 800.000…

— 900.000…

Charlotte arbore un porte-jarretelles noir. De longues jarretelles courent sur ses cuisses pour tendre ses bas. Son sexe est nu, épilé de frais. Les spectateurs devinent les lèvres humides de l’abricot doré.

— 1.000.000…

Pierre-Arnaud demande à Charlotte de se retourner. Elle monte son cul haut placé. Les fesses fermes ne tremblent pas. La cellulite ne connaît pas ce cul-là.

— 1.100.000…

— 1.500.000…

— 2.000.000…

Les acheteurs n’hésitent pas. Et pourtant, s’ils savaient le potentiel de Charlotte.

Pierre-Arnaud annonce que Charlotte va leur expliquer ses possibilités, leur donner des détails sur ses aptitudes.

— Je suis une salope. Je suce toutes les queues et j’avale le sperme sans me poser de questions. Mon sexe est prêt à prendre toutes les bittes qui se présentent. Mon cul a été défoncé par mon ami. Vu comme il est monté, je peux prendre n’importe qui par cette voie-là. J’obéis à tout ordre sans refuser. Mon Maître m’a offerte à une bande de jeunes beurs. J’ai été prise simultanément par la bouche, par le sexe et par le cul et cela onze fois de suite… Ensuite, ils m’ont pissé dessus…

— 2.500.000…

— 3.000.000…

— Si mon Maître me l’ordonne, je peux être nue sous mon manteau dans la rue. Je porte un plug dans le cul à sa demande. Pour mon sexe, je suis restée une journée avec un gode planté bien au fond de moi et maintenu par ma culotte. Je suis restée aussi toute une journée avec une ceinture de chasteté.

— 3.500.000…

— 4.000.000…

— Mon Maître m’a appris à être attachée. Je porte s’il le désire, un collier de cuir noir avec sa laisse métallique. Je possède des poignets et des chevillères de cuir noir. Ceux-ci sont munis de mousquetons facilitant l’attache à des systèmes d’immobilisation.

— 4 500 000…

— 4 750 000…

— Il m’a corrigé à de nombreuses reprises. Je supporte toutes sortes de punitions… fessées manuelles, corrections au martinet, à la cravache, au fouet…

— 5.000.000…

— 5.100.000…

— Je vais vous donner la règle que vous devrez impérativement suivre. Un contrat de prêt sera signé et l’acquéreur devra s’y conformer :

— Mon nouveau Maître aura ma propriété pendant une année.

— Mon ancien Maître aura toujours le droit de fixer certaines nouvelles règles.

— Il est interdit de me marquer de manière indélébile. Tatouage, et piercings sont rigoureusement interdits.

— Les corrections sont autorisées et les marques sont acceptées.

— Tous les rapports devront être protégés.

— Mon nouveau Maître pourra m’initier à de nouvelles pratiques. Il pourra demander à mon ancien Maître l’autorisation si bon lui semble.

— 5.200.000…

— 5.500.000…

Les enchères commencent à s’essouffler. Pierre-Arnaud demande à Charlotte de s’allonger sur la table basse située sur l’estrade. Charlotte se plie à l’ordre de notre hôte. Charlotte a les jambes serrées.

— Posez les pieds sur la table et écartez les jambes, s’il vous plaît…

Les genoux de Charlotte se séparent.

— Ecartez aussi les pieds, largement… les acheteurs ont droit de savoir ce qu’ils peuvent acquérir…

Charlotte dispose un pied de chaque côté de la table. Ses genoux écartés, elle dévoile largement son intimité à tous les spectateurs. Pierre-Arnaud s’approche et se penche sur l’entrejambe de Charlotte. D’une main il saisit les lèvres du sexe féminin et l’ouvre comme s’il pelait une banane.

— 6.000.000…

Pierre-Arnaud demande à Charlotte de se relever et de se disposer à genoux sur la table. Elle obtempère.

— Posez vos coudes sur le plateau. Cambrez-vous bien et écartez largement vos fesses…

L’anus épilé, la raie des fesses nette de toute pilosité est à la vue de tous.

— 10.000.000…

Un silence glace la salle. La somme astronomique a soufflé tout le monde. Pierre-Arnaud est surpris de cette annonce.

— Êtes-vous sûr de l’offre ?

Un "oui" sonore est émis d’un des coins de la salle.

— Avancez, Monsieur… quel est votre nom ?

— François-Xavier de B… mais appelez-moi FXB… j’ai été invité par votre ami Monsieur de P…

— Veuillez monter sur l’estrade, FXB…

FXB approche. Il est grand et brun frisé. Un sourire barre son visage bronzé. Monté sur l’estrade, il examine Charlotte.

— Je crois que j’ai fait un bon investissement… mais avant de poursuivre, je souhaite rencontrer le Maître actuel de cette merveilleuse petite chose…

Pierre-Arnaud m’appelle :

— Jérôme veuillez venir sur l’estrade…

Je monte à côté de FXB et de Charlotte. FXB m’adresse la parole.

— Mon cher Jérôme, je suis confus de vous emprunter votre soumise pendant une année… je vous jure devant tous les témoins ici présents que je tiendrais parole et respecterais mes engagements.

— Je vous félicite de votre action… nous signerons demain le contrat de prêt de soumise… Vous demanderez à Charlotte de vous conduire chez moi, disons vers 14 heures…

— OK ! Mais je pense qu’elle n’est pas parée de tous ses atours…

FXB me regarde avec un regard étonné…

— Charlotte !…

— Oui Maître…

— Je suis sûr que tu as apporté ton sac d’accessoires…

— Oui Maître…

— Donne-le-moi…

— Elle se retourne et se penche vers le bas de l’estrade. Elle remonte un sac de cuir noir et me le tend. Je fouille et ressors divers objets.

— Approche-toi !

Charlotte me fait face. Je l’équipe de son large collier de cuir noir. Dans la lumière des spots, le cloutage scintille. Je fixe le mousqueton de la laisse métallique. Un silence s’est étendu sur l’assistance. Charlotte se redresse sur ses talons. Elle est fière de son statut de soumise. Du sac je prends les poignets de cuir. Elle me tend ses poignets. Je l’harnache. Sans que je ne dise quoi que ce soit, elle se retourne et me tend de nouveau ses poignets. Je relie les anneaux des bracelets par un maillon rapide.

— Te voilà équipée, ma belle esclave… comment la trouvez-vous, FXB ?…

— Magnifique…

— Ecarte tes cuisses… FXB, vous pouvez constater qu’elle est très ouverte…

FXB lui caresse la joue… sa main descend, épouse son sein gauche. Charlotte gonfle sa poitrine. FXB pince le téton. Le bout de ses doigts blanchis sous la pression exercée… Charlotte se mord les lèvres devant cette douleur inattendue. La main laisse le sein et plonge entre ses cuisses. Deux doigts fouillent sans ménagement son sexe humide. Une grimace déforme le visage serein de la jeune femme. Cette main est inquisitrice et écarte les lèvres. Elle remonte et débusque le clitoris caché sous son capuchon. Les mêmes doigts attrapent la tétine de chair qui se dresse en haut du sexe. Un traitement identique est appliqué à la chair sensible. Charlotte étouffe un cri de douleur…

— Jérôme, elle me semble douillette… je devrais l’éduquer à supporter mieux que cela la douleur…

— Vous ferez comme bon vous semble, FXB…

FXB saisit Charlotte par son collier. Plus grand qu’elle, il tire vers le haut. Il amène le visage de Charlotte en face de son visage. Elle est en équilibre sur la pointe de ses chaussures. Les mains liées dans le dos, elle ne peut assurer une assise correcte. Elle s’effondre. Il s’adresse à Charlotte :

— Charlotte, il faudra apprendre à me remercier à chaque fois que je vous ferai bénéficier de traitements divers…

— Oui Maître…

— Embrasse-moi, chienne…

Charlotte tend ses lèvres. Curieuse sensation de voir son amie embrasser un inconnu, sans mon consentement… Il prend la laisse et tire Charlotte. Ils descendent de l’estrade. Il annonce à la cantonade:

— Nous allons traverser la salle pour partir… ceux qui veulent en profiter, ne vous gênez pas…

Ils traversent la salle, lentement. FXB s’arrête très régulièrement pour permettre à chaque personne de profiter du corps de Charlotte. Elle est palpée, tâtée. Ses seins sont soupesés, les pointes pincées. Des doigts plus rapides pénètrent, fouillent rapidement son sexe. Son cul est violé à deux reprises. Malgré sa bonne volonté, l’introduction sans préparation lui procure quelques désagréments. Près de la porte, les appariteurs attendent la sortie du couple. FXB arrête Charlotte devant l’un deux.

— Suce-le, il l’a mérité…

L’appariteur extrait son sexe de son pantalon. C’est un vrai bâton de gendarme. Il sort un préservatif de sa poche et l’enfile sur son sexe. FXB tire la laisse vers le bas pour intimer l’ordre de se baisser à Charlotte. Elle s’accroupit, les genoux largement écartés. Elle avance le visage vers le sexe érigé. Elle lèche le gland. Le sexe tressaute. Elle gobe le champignon et l’aspire. Le visage de l’homme change de couleur.

— Nom de Dieu, on ne m’a jamais sucé aussi bien que cela… putain la purée monte…

FXB tire la laisse en arrière. Il arrache le préservatif. Malgré cette interruption l’excitation de l’homme n’est pas retombée. Le plaisir arrive brusquement. Il tient son sexe face au visage de Charlotte. Il éjacule en plusieurs saccades de sperme blanchâtre, épais et odorant. Il essuie sa verge sur les joues de Charlotte. Il se retourne vers l’autre appariteur.

— A ton tour…

L’homme se défait. Il ne veut pas être sucé. Il se prend en main et très vite atteint une taille respectable. La soirée a dû être dure pour lui. Il éjacule au bout de quelques secondes. Le visage de Charlotte est souillé de traînées blanches. Elle a du sperme dans les cheveux, dans les yeux. Il dégouline sur ses joues, dans son cou, sur ses seins. Charlotte se relève. Elle est toujours aussi fière et arrogante. Je ne suis pas sûr que cela plaise à FXB.

— Dis merci à ces braves gens… et baisse un peu les yeux… je n’aime pas ton arrogante et ta fierté. Je vais te mater…

Charlotte baisse le regard et dit

— Merci messieurs d’avoir accepté de vous servir de moi comme vide couilles…

— Je vois que tu comprends vite…

— Je vais dans la salle de réception et vous attends…

Pierre-Arnaud annonce que la soirée est terminée pour la plupart des convives. Seule, une petite poignée d’initiés va continuer à s’amuser. Marc, l’ami de Carole tente un esclandre. Il veut rester avec Carole. Pierre-Arnaud l’éconduit.

Une fois les conviés partis, Pierre-Arnaud nous emmène dans une nouvelle salle. Un buffet royal est servi dans un coin de la pièce. Les extras sont en tenue particulière. Les jeunes femmes sont habillées d’un serre-taille et de longues jarretelles tendent des bas résille. Elles sont chaussées à talons hauts. Pour les hommes, ils sont vêtus d’un pourpoint noir. Leurs attributs sexuels sont libres d’accès. Mes deux accompagnatrices n’en croient pas leurs yeux.

FXB tire Charlotte par sa laisse. Il la conduit au centre de la pièce. Un socle recouvert de velours rouge trône. Il fait monter Charlotte.

— Monte et prends la position d’attente à genoux…

Charlotte se met à genoux. Elle les écarte largement. Elle pose ses fesses sur ses talons. Elle se cambre pour faire admirer sa poitrine. Son collier de cuir l’oblige à garder la tête levée. Elle montre sa soumission en gardant les yeux. La laisse métallique pend entre ses seins. La poignée traîne sur le velours rouge. FXB prend l’extrémité et l’approche de son visage.

— Ouvre ta bouche ! …

Charlotte remonte les yeux. Je peux lire une lueur d’inquiétude dans son regard. Mais elle obéit. FXB pose la poignée de la laisse dans la bouche de Charlotte.

— Tiens ta laisse, chienne !…

Charlotte ferme des mâchoires sur le métal. La poignée de cuir pend le long de sa joue. Des larmes perlent au coin de ses yeux. Elle qui souhaitait être humiliée, découvre la condition d’une véritable soumise et non d’une soumise de jeux amoureux comme elle l’était avec moi. FXB essuie de l’index la larme qui coule sur la joue. Son index continue dans le cou, puis sur le sein. L’index et le pouce se referment sur la pointe granuleuse. La pointe est massée, malaxée, triturée… Puis la pression augmente. Encore une fois les phalanges de FXB blanchissent. Charlotte se mord les lèvres. La pression est maintenue. L’extrémité du téton fonce et devient rouge sombre. Les larmes coulent sur les deux joues. Charlotte ne dit rien, elle serre les dents. La lèvre inférieure se fend sous la pression de la mâchoire supérieure. Le sang coule sur le menton. FXB arrête brutalement. Charlotte gémit. Le retour de la circulation sanguine est douloureux.

— Tu es une douillette… tu ne supportes rien… il va falloir sérieusement te dresser et t’endurcir…

Tout en regardant sa nouvelle esclave, il gifle l’autre sein. Charlotte ne peut maîtriser un cri. La main droite d’FXB passe entre les cuisses béantes. Sans aucune précaution, sans aucune lubrification, deux doigts violent le sexe. Charlotte contient mal un autre cri. FXB retire ces doigts. Il fait le tour du socle. Il libère les poignets entravés.

— Mets-toi sur les coudes.

Charlotte appuie ses avant-bras sur le velours. Les fesses hautes sont la proie du regard due de FXB. Le bras se lève et la main ferme et tendue claque le cul offert. Charlotte pose sa tête sur ses bras. Des hoquets de sanglots la font tressauter. FXB ne s’arrête pas là. Au contraire, c’est une volée de claques sonores qui rythment la correction. Charlotte pleure à chaudes larmes. Elle ne se retient pas. FXB regarde sans aucune humanité cette femme qu’il ne respecte pas. Son regard est dur. Charlotte qui ne savait pas ce qu’était la soumission, va changer d’avis. Elle regrette peut-être déjà cette aventure. Pourquoi est-elle mise en vente comme une vulgaire marchandise ? Aura-t-elle le courage de tenir ou bien jettera-t-elle l’éponge avant la fin de son contrat ? Comment pourrait-elle sortir 10.000 000 euros de sa trésorerie ? Perdu dans mes interrogations, je n’ai pas entendu la question de FXB :

— Cher ami, vous êtes distrait… je vous demande si cette chienne a eu des relations avec d’autres femelles ?

— Veuillez m’excuser, cette jeune femme n’a pas, à ma connaissance eu de relations lesbiennes… mais le meilleur moyen est de lui demander directement…

— Chienne as-tu baisé avec une femelle de ton espèce ?

Charlotte ravale sa salive et ses larmes…

— Non Maître je n’ai jamais pratiqué avec une autre femme…

— Bien tu vas essayer tout de suite…

FXB se tourne vers moi et m’interroge :

— Jérôme, mon ami, si vous me prêtiez votre jolie accompagnatrice brune pour voir…

— FXB, le meilleur moyen, c’est de demander poliment à l’intéressée…

— Toi, la brunette, ôte la guenille qui te couvre et viens présenter ton sexe à la langue de cette salope…

Andréa me questionne du regard… Je lui donne mon accord d’un signe de tête… Elle se débarrasse de son vêtement et avance vers l’estrade. FXB a approché un tabouret haut.

— Pose ton cul là-dessus… Ecarte les cuisses… Assois-toi sur le bout de tes fesses…

Andréa obéit… Son sexe est à cinq centimètres de la bouche de Charlotte. Andréa ne peut pas nier son excitation. Son sexe baille de désir. Sa fleur est ouverte et les pétales intimes sont brillants de sa mouille. Elle pousse en avant son bassin pour permettre à Charlotte d’être confortable pour commencer son gouinage. Charlotte ouvre la bouche. Sa langue darde vers le sexe d’Andréa. La langue s’avance et vient lécher le pourtour du sexe. La réaction d’Andréa est immédiate. Un spasme lui fait projeter son sexe plus en avant. Charlotte est surprise de la réaction engendrée par ses caresses. Pour une première, elle est heureuse de constater les résultats de ses caresses. Ses yeux fixent le plaisir montant sur le visage de la jeune femme. Elle insiste et sa langue se fait plus dure, plus pressante. Elle découvre et parcourt les lèvres poisseuses. Elle visite la grotte intime. Elle fait sa langue dure et se promène sur l’extérieur du sexe. Les lèvres courtes s’entrouvrent pour laisser paraître l’orée du sexe.

La langue inquisitrice trouve l’entrée. Elle longe les lèvres et remonte vers le haut de la fente. Elle débusque sous son capuchon un petit pois injecté de sang. La langue joue avec le clitoris. Léché, sucer, titillé du bout de la langue, il se dresse et sort de sa cachette. Andréa est appuyée sur le dossier du tabouret. Elle passe ses mains sous ses genoux et remonte ses cuisses contre son buste. Charlotte la force à écarter ses jambes. Les genoux d’Andréa se placent sous ses aisselles. Elle se retrouve comme un papillon épinglé. Elle offre son bas-ventre aux caresses de Charlotte et aux vues de toute l’assistance. Mais elle n’a que faire des regards libidineux. Elle prend un plaisir réel aux caresses féminines. Charlotte repart à la conquête de sa grotte intime. Sa langue pénètre au plus profond de la grotte, ressort et s’attardant sur les lèvres si sensibles, remonte au clitoris. La langue de Charlotte qui l’avait laissé quelques instants prendre du répit, recommence son manège excitant.

Charlotte s’aide de la main. Son index, elle effectue des petits ronds sur le sommet du clitoris. Elle le repousse de la langue dans ses chairs intimes et le laisse réapparaître de nouveau. Andréa commence à geindre. Elle laisse tomber sa tête en arrière. La bouche grande ouverte, elle recherche l’air. Mais elle ne résiste pas au manège langoureux de la langue de Charlotte. Un cri sort de sa gorge. Charlotte ne cesse pas la gentille torture du clitoris. Connaissant les manques de la jouissance féminine, Charlotte introduit deux doigts dans le vagin béant et lubrifié à souhait. Charlotte est surprise du plaisir qu’elle donne à Andréa. Mais le sourire qui éclaire son visage indique qu’elle prend elle aussi un plaisir saphique. Elle poursuit ses caresses sur ce sexe féminin entièrement épilé sauf un triangle de duvet blond surplombant la fente. Elle revient sur le clitoris, le roule entre ses doigts imprégnés de sa liqueur. Le corps d’Andréa est agité de tremblements. Sa tête bat d’un côté de l’autre.

Elle pousse son sexe au-devant de cette langue infernale. Toute l’assistance constate l’arrivée, la naissance de son orgasme. Il arrive avec une brutalité et une violence qui terrasse la jeune femme. Ses cuisses se ferment et s’ouvrent convulsivement, sur la tête de sa douce tortionnaire. Au sommet du plaisir, les cuisses fermes se resserrent et bloquent la tête de Charlotte tout le temps de sa jouissance. Andréa jouit pour la seconde fois sous les caresses de mon ex-amie.

FXB claque une nouvelle fois le cul rebondi de Charlotte.

— Salope, je ne veux pas que tu jouisses sans mon autorisation…

Il s’adresse à moi

— Jérôme, la petite salope que vous avez corrigée en début de soirée ne pourrait-elle pas se gouiner avec cette chienne ?

Je me retourne vers Carole… Elle est fascinée par le spectacle qu’elle vient de voir. Je lui pose la question.

— Carole, qu’en penses-tu ?

— Si mon Maître le veut je suis prête…

— As-tu déjà pratiqué des relations homosexuelles ?

— Quelques attouchements avec des copines de pension, mais jamais jusqu’au bout…

— Alors, il faut que tu connaisses ce plaisir…

Carole contourne mon fauteuil et avance vers le socle. FXB prend la laisse de Charlotte et tire en arrière. Charlotte se relève. Carole se couche sur le dos et glisse sa tête entre les cuisses. FXB relâche la laisse. Charlotte repose ses coudes de chaque côté des cuisses de Carole. Elles sont ravissantes dans la position de la bête à deux dos… Carole me jette un regard inquiet. Je la sens un peu angoissée à l’idée de lécher une chatte, mais terriblement excitée par le traitement qu’a subi Andréa. FXB saisit Carole par les cheveux pour lui glisser un coussin sous la tête. Charlotte s’accroupit un peu plus. Carole commence à poser sa bouche sur la chatte nue et offerte. Elle sort sa langue et suce le clito. Elle est étonnée de la taille du clitoris de Charlotte. Je sais qu’il est énorme. La langue de Carole s’aventure à l’entrée du vagin. Elle passe sa main et titille le clito avec ses doigts. Elle pousse sa langue au plus profond. Je peux voir les muscles du cou de Carole se tendent. Elle essaie d’aller encore plus loin dans le ventre de Charlotte.

Cette dernière commence à ruer du cul. Il échappe aux coups de langue de Carole. Charlotte est une jouisseuse. Elle ne peut pas se retenir. Cette découverte a l’air de beaucoup lui plaire. Pour Carole, ce n’a pas l’air d’être repoussant, bien au contraire, j’ai la certitude qu’elle trouve cela plutôt agréable. Ne voulant pas être en reste vis-à-vis de Carole, Charlotte pince fortement entre ses lèvres le clitoris d’Andréa, arrachant à sa co-soumise, un cri de jouissance. Les spectateurs mâles admirent les prouesses des deux femmes. Elles ne s’arrêtent pas en bon chemin. La main de Charlotte glisse le long des cuisses largement ouvertes de Carole. D’un même mouvement, elle embrasse ses seins. Elle saisit entre ses lèvres, ses tétons. Elle continue vers les cuisses. Carole continue de son côté la découverte du corps féminin qui s’offre à elle. Elles se picorent mutuellement de mille petits baisers. Une odeur de femelle en chaleur flotte dans la pièce. Les langues explorent les sexes respectifs.

C’est à celle qui sera la plus osée, la plus salope, la plus chienne. Elles se mangent le sexe, débusquent les clitoris, fouillent en profondeur les muqueuses enfiévrées. Chacune à son tour, elles s’attrapent le clitoris entre leurs lèvres brûlantes. Les tétines de chair sont mordues, malaxées, tirées, sucées et mordillées. C’est Carole qui se jette dans la bataille la première. Deux doigts pénètrent le vagin de Charlotte. Cette dernière s’abandonne aux doigts curieux. Sa respiration s’accélère et Charlotte lâche le sexe de Carole. Elle écarte les grandes lèvres. Elle lèche à grands coups de langue le sexe humide. Elle masse le sexe sur toute sa longueur et s’arrête sur le clitoris. Elle le roule, le pétrit entre ses doigts. Elle le lâche pour revenir sur la vulve chaude. De nouveau des doigts entrent dans le vagin. Elle sait reconnaître la texture particulière de la paroi du sexe au niveau du fameux point G. Elle fait jouer ses doigts. Elle sent que Charlotte est partie vers l’ascension vertigineuse.

Carole est une vicieuse. Tout en continuant à agacer le point G de Charlotte, son autre main monte sur les rondeurs des fesses de Charlotte. Elle flatte la croupe majestueuse. Après avoir caressé les dômes joufflus, la main rencontre la vallée du cul. L’index trouve la rondelle fripée. Il masse quelques secondes la pastille brune et s’aventure dans ce puits. Charlotte, surprise, serre les fesses, puis se détend, ouvrant son cul à la pénétration vicieuse. Tout en continuant l’agréable massage de l’anus, elle reprend le léchage du sexe de Charlotte. Elle s’affaire entre les lèvres, s’occupe du clitoris pour finir en pénétrant le sexe humide et demandeur. De la langue, elle flatte les lèvres et tente de caresser le point G. Charlotte feule comme une louve. Elle relève la tête et se retrouve dans la position de la femelle qui hurle son plaisir. Elle ne peut pas se retenir. Son cri est long et ne semble jamais s’arrêter. Le plaisir de l’orgasme est là, il monte. Ses flancs sont crispés. Le visage de Carole est inondé de la liqueur d’amour de Charlotte.

FXB laisse quelques secondes aux deux protagonistes pour reprendre leur souffle. Il s’adresse à Carole:

— Toi, petite salope, tu vas continuer à te gouiner avec cette chienne. Messieurs, vous êtes invités à venir défoncer le cul de cette chienne ou à vous faire sucer, comme vous le souhaitez…

Charlotte, à genoux attend. Un convive s’approche et sort de son pantalon son sexe en pleine érection. Charlotte, voyant ce sexe de très belle taille tendu face à sa bouche, comprend ce qu’il attend d’elle. Connaissant son nouveau Maître, elle sait que sa fellation doit être parfaite. Elle décalotte le gland doucement. Tirant sa langue au maximum, elle commence à lécher le gland comme elle le ferait d’un cornet de glace. C’est seulement plus chaud… Elle arrondit sa bouche et délicatement, elle embouche le gland. Elle le recrache pour mieux l’avaler de nouveau. Elle ne s’arrête pas au gland. Tout le sexe est avalé. Il bute contre sa luette lui imprimant des haut-le-cur. Charlotte est une très bonne suceuse. Elle sait faire dans le cas de sexe volumineux. A chaque fois que l’imposant bâton de chair investit sa bouche, elle prend sa respiration comme un plongeur sous-marin. Quand elle recrache, elle reprend son souffle. Charlotte sent des mains se poser sur ses fesses. Elles écartent les deux hémisphères.

Elle comprend que la période de plaisirs doux de femmes est terminée. Elle connaît la suite de son supplice. Un gland se pose sur sa rondelle. L’anneau ne cède pas. La queue recule et descend vers le vagin humide. Il le pénètre sans ménagement. Il ressort et plonge dans la bouche de Carole qui lèche le sexe féminin. Humecté à souhait, il remonte la raie du cul et retrouve le sphincter. Il appuie sur cette rondelle qui ne veut pas céder. La poussée est brutale. L’anneau lâche et offre le passage à un membre qui semble démesuré à Charlotte. Il lui brûle l’anus et les entrailles. Elle veut avancer pour fuir la douleur. Mais à cet instant, le propriétaire de la queue qu’elle suce, avance. Coincée entre les deux membres, elle ne peut que céder aux intromissions simultanées. Elle ne peut pas se dérober et les deux sexes la violent au plus profond. Malgré le sexe qui lui obstrue la bouche, elle grogne sa douleur. Chacun des deux visiteurs se vide en même temps, dans les orifices de Charlotte.

Elle peine à avaler le sperme de violeur de bouche. Le surplus qu’elle ne peut avaler lui ressort par le nez. Elle tousse, crache. Pour son cul, l’homme pousse durement son sexe au fond de son ventre à chaque jet de sperme. Il se libère des fesses féminines. Le sperme coule de son anus et dégouline dans son sexe. Carole lèche toujours le sexe. Elle nettoie et avale la semence du violeur de l’anus de Charlotte. Les différents convives se vident tour à tour soit dans les reins, soit dans la bouche de Charlotte. Elle supporte bien les sodomies profondes et les fellations, par les caresses et léchages de Carole. FXB me demande si je veux profiter une dernière fois de Charlotte.

— Non merci, je la préfère propre…

Il reprend la laisse et la tire hors du socle. Dans un coin de la pièce, deux anneaux au sol sont scellés. Il positionne Charlotte entre les anneaux. Une barre métallique descend du plafond. Charlotte comprend. Avant que la demande fuse, elle tend ses poignets. FXB attache les bracelets aux mousquetons fixés aux extrémités. Les bracelets de chevilles sont accrochés aux anneaux scellés. La barre est remontée vers le plafond. Charlotte est en extension. Mains et pieds écartés, elle offre tout son corps. Ce dernier est disponible. Charlotte tourne le dos à l’assistance. Un spot au plafond l’éclaire. Elle ne peut pas savoir ce qui se trame dans son dos. FXB prend un fouet à chiens souple. Il lève le bras et cingle le corps offert. Charlotte surprise ne peut retenir un cri de douleur. FXB continue. Il ne s’arrête pas à ces considérations. Il a envie de corriger Charlotte, alors il le fait. Les coups pleuvent sans discontinuer. Le cri de douleur est maintenant continu. Mais rien ne vient minimiser la punition.

Quelques minutes plus tard, Charlotte pleure à chaudes larmes. Son visage est couvert de sueur et ses cheveux sont collés sur son front. FXB fatigue et cesse les coups. Charlotte se relâche et pend comme un pantin désarticulé à la barre métallique. FXB parle à l’oreille de Charlotte:

— Nous allons partir, chienne… relève-toi…

Charlotte fait un effort pour se relever. Elle reprend appui sur ses talons hauts. FXB la libère de ses attaches. Mais il verrouille ses poignets dans son dos. Il reprend la laisse et conduit Charlotte vers la sortie. Il jette la pèlerine sur ses épaules. Se retournant vers l’assistance, il nous lance un " au revoir " tonitruant. Il sort en tirant sur la laisse de Charlotte. La porte d’entrée se referme sur le nouveau couple. Pierre-Arnaud se retourne vers moi et mes trois compagnes.

— Pauvre Charlotte, elle va connaître la douleur…

— Elle l’a voulu… c’est elle et vous qui avez organisé cette soirée et cette année… il lui faudra s’endurcir et admettre qu’elle l’a cherché…

Je m’adresse à mes trois accompagnatrices:

— Bien, les filles, il est temps de se coucher… Andréa et Nancy, vous couchez où ?

— Nous ne savons pas, il nous faut trouver un taxi pour rentrer en banlieue…

— Je vous emmène chez moi… OK ?…

Andréa répond la première:

— Oui nous voulons bien…

J’interroge Carole…

— Que fais-tu, Carole ?…

— Je vous suis Maître… si vous voulez de moi…

— Tu ne vas pas rester chez notre hôte… Pierre-Arnaud, pouvez-vous nous commander un taxi ?

— Avec plaisir, Jérôme…

— Quelques minutes plus tard, nous roulons tous les quatre vers mon appartement.

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