Depuis dix ans que je travaille ici, j’en ai vu passer des stagiaires ! Elles sont toutes très mignonnes mais Fiona les surpasse et de loin. Je crois que personne ne reste de marbre en la voyant. Depuis son arrivée, tous mes collègues masculins l’observent avec la plus grande attention. Ils n’ont d’yeux que pour sa poitrine affriolante et son charmant popotin !
Jérémie est sans doute celui qui la regarde avec le plus d’envie : c’est un jeune collègue, il n’a que 18 ans, le même âge que Fiona. Il a toutes ses chances avec elle, son seul défaut c’est sa timidité.
Quant à moi, même si j’ai 15 ans de plus, mes chances ne sont pas nulles. J’ai même élaboré un plan machiavélique : je vais pousser Jérémie à courtiser Fiona et lorsqu’il sera en bons termes avec elle, je n’aurai plus qu’à en profiter !
Un matin, je m’approche de Jérémie, je lui propose de l’aider et il accepte d’écouter mes conseils :
Le plus important, c’est de lui sourire tout le temps ! Et tu dois lui faire des compliments sur son physique ! Ensuite tu pourras l’embrasser !
Jérémie écoute attentivement mes paroles. Je suis impatient de le voir à l’uvre.
Je n’ai pas longtemps à attendre. Je l’ai à peine quitté que Fiona arrive justement à la hauteur de son bureau. Ils se parlent sans que je puisse entendre le contenu de leurs propos. J’ai l’impression que Fiona a rougi…
Je dois absolument savoir ce qu’il lui a dit. Dès que Fiona passe devant moi, je l’appelle et je lui lance :
Il est sympa ce petit Jérémie !
Je le trouve très gentil et très beau ! Et puis… tu ne devineras jamais ce qu’il m’a dit.
Il t’a fait un compliment ?
Oui ! Il m’a dit que j’avais une belle paire de nichons !
Puis Fiona s’éloigne de mon bureau en rougissant.
Je vois avec plaisir que mes conseils commencent à porter leurs fruits. Jérémie semble être de plus en plus proche de Fiona. Il lui parle dès qu’elle s’approche de son bureau. Désormais, ils sont inséparables pendant les pauses-café, serrés l’un contre l’autre.
Un soir, Jérémie emmène Fiona vers la salle de pause, déserte à cette heure tardive. Ils sont assis dans un canapé, leurs lèvres collées. Ils s’embrassent en se caressant.
Cinq minutes après, je constate avec surprise qu’ils en sont toujours au même point ! Jérémie m’a vu entrer, il se lève et il me glisse à l’oreille :
Je ne sais pas comment faire. Ici, c’est risqué ! N’importe qui pourrait nous surprendre !
Pas de problème ! Je vais rester ici et je fermerai la porte à clé.
Jérémie retourne auprès de Fiona tandis que je verrouille la serrure. Il continue à la caresser. Il titille même ses jolis tétons roses, il passe une main entre ses cuisses.
Fiona se laisse faire, elle a l’air très émoustillée. Jérémie lui lèche les tétons, il ose même lécher Fiona entre les cuisses. Ça devient vraiment chaud mais ce n’est rien à côté de la scène torride qui se prépare.
Jérémie approche son imposant phallus de son objectif, il s’introduit tout en douceur.
L’étreinte est forte entre Jérémie et Fiona, ils crient sans retenue tout en accélérant le rythme par moments.
C’est alors que Fiona me fait signe de m’approcher. Elle saisit mon pénis sans que j’aie le temps de réagir.
Elle le pétrit entre ses doigts puis elle m’attire vers sa bouche et me suce le gland.
Ce qui m’arrive est complètement inattendu ! Fiona continue à faire l’amour avec Jérémie pendant que ses lèvres descendent sur ma tige durcie, puis remontent lentement !
Un instant, je me demande si je rêve tant cela dépasse mes espérances. Fiona est tout près de moi, elle est sur le point de jouir intensément ! Car Jérémie s’y prend comme un chef, il sait lui donner le plaisir suprême !
Fiona semble être une experte en fellation, sa langue continue à me lécher délicatement, ses lèvres à me sucer goulûment. Finalement elle me fait jouir moi aussi. Nous sommes tous les trois unis dans la jouissance, Jérémie, Fiona et moi !
C’est tellement fort que nous voudrions que cela ne s’arrête jamais…
Et quand Jérémie se retire, j’ai envie de poursuivre son uvre. Fiona s’offre à moi lascivement : ses deux seins sont gros comme des melons, et son abricot est ravissant ! D’abord je lèche son petit bouton d’amour. Sous ma langue, Fiona ressent un plaisir renouvelé, ses cris aigus reprennent. Je continue encore un peu avant de passer à la suite.
Avec le gland, j’écarte les parois de sa fente et je rentre tout en douceur. Je lui caresse doucement les seins, tout en posant mes lèvres sur ses lèvres.
Et Fiona accueille avec délice et ma langue et mon membre. L’une explore sa bouche, l’autre son intimité de jeune fille. C’est une union intense entre nous. Je voudrais que ça dure encore, je rentre et je sors très lentement, sans hâte.
Puis j’accélère progressivement. Enfin je donne l’estocade finale.
Et soudain c’est comme une explosion, c’est l’orgasme tant attendu : Fiona se cambre et se déhanche comme un pantin tandis que ma sève se répand dans son antre ! Elle hurle comme pour signifier que sa jouissance est à son apogée !
Je reste encore longtemps, enlacé avec Fiona, à savourer ce moment de bonheur. Jérémie a disparu, laissant la porte ouverte. On pourrait nous surprendre mais je n’en ai cure : je suis tellement bien avec Fiona.
Nous nous levons et nous regagnons nos bureaux, où malgré l’heure tardive quelques collègues sont encore présents.
Leurs regards en disent long. Ils ont tout entendu de nos bruyants ébats ! Parmi eux, une jeune collègue me regarde avec envie. Je lui souris comme pour lui dire : "Patience, ton tour viendra !"
