Il est vendredi, 15h, je sors de la fac. Enfin le week-end, mais pas de plan cul en vue. Trois semaines bientôt que je n’ai pas eu l’opportunité de sucer une belle queue. Et cela commence à me manquer grave. Faut dire que je deviens de plus en plus accro.
Depuis que j’ai 15ans, je me suis mis à fantasmer sur les bites d’hommes virils et maintenant que j’y ai goûté l’année de mes 18 ans, j’ai de plus en plus de mal à m’en passer.
Il n’aura pas fallu longtemps pour que j’essaye d’assouvir mes pulsions, car une fois le bac en poche et les études à la fac, j’ai eu plus de liberté et j’en ai profité pour écrire une annonce sur Vivastreet.
Minet imberbe débutant adore sucer voire plus, de belle tige bien dure et bien formée. Disponible en semaine après la fac secteur Sorbonne ou le week-end sur la ligne A du RER côté ouest. Les hommes virils et de + de 40 ans ont ma préférence.
Malheureusement, beaucoup de faux plans ou de réponses qui ne correspondent pas à ma recherche. Et ce ne sont pas les quelques rencontres qui m’ont satisfaite, car il y de tout, des bandes molles, des petites bites et j’en passe. Je veux du lourd, quelque chose de gourmand et massif. Du coup, on ne peut pas dire que j’ai connu beaucoup de bites 7 en deux ans alors que j’ai le désir d’en sucer une presque toutes les semaines.
En rentrant donc chez moi sur Chatou par le RER, je repense à cette première fois qui fut une révélation. Je sentais au fond de moi être homo, car je regardais souvent du porno gay et quand c’était hétéro, je faisais une fixation sur la queue des acteurs et m’imaginais à la place des filles.
Sophie la fille de mon beau-père est mon aînée de 4 ans et connaissait mon penchant homo m’ayant surpris en pleine masturbation regardant du porno gay sur l’ordinateur. Sans me faire du chantage, elle se jouait de ce petit secret en me taquinant parfois assez crûment jusqu’au jour où pour réviser ses partielles, elle avait invité trois camarades de promo réviser un samedi après-midi.
Il y avait Franck, son copain du moment, Thomas et Pauline, deux amis de promos. Alors qu’ils révisaient dans le jardin pour profiter du soleil, je suis tombé sur Thomas dans la cuisine, il était grand, fin, assez beau gosse, dans un short bleu pâle, un t-shirt moulant avec un large col en V découvrant un torse épilé. En se retournant vers moi après avoir pris une bière du frigo, mon regard fut attiré par la bosse au niveau de son entrejambe. Ce n’est pas qu’il était super équipé, mais son short très serré à l’entrejambe faisait bien ressortir son attribut masculin. Il le remarqua et je me suis mis à rougir.
Salut, moi c’est Thomas, me dit-il en me tendant la main.
Bonjour Nicolas, dis-je en balbutiant.
Penaud, je remontais dans ma chambre d’où je pouvais les observer dans le jardin. J’ai été pris de panique quand je vis Sophie pointer du doigt la fenêtre de ma chambre, et Thomas qui se retourna pour regarder dans ma direction. Je me suis caché, mais trop tard, je suis sûr qu’ils m’ont vu les observer. Du coup, je n’osais plus me montrer et décidais de jouer à la Playstation. Quelques minutes après, un SMS arriva Thomas a craqué sur ton petit cul… Sophie
J’étais rouge pivoine et ne savais plus où me mettre, mais le fait de plaire à quelqu’un m’avait excité et je sentais mon pénis grossir.
Toc Toc Toc.
Je sursaute. La porte s’ouvre et je vois Thomas entrer dans la chambre.
Je cherche les toilettes.
Je reste silencieux, surpris par cette question. Les w. c. étant au rez-de-chaussée.
Tu joues à quoi ?
Je n’ai pas le temps de répondre qu’il s’assoit à côté de moi. Je n’arrive pas à le quitter du regard. Surtout son entrejambe.
C’est moi qui te fais cet effet dit-il en pointant du doigt la bosse au niveau de ma braguette.
Heu oui, non, je ne sais…
Je sens son doigt venir au contact de ma bosse. Il se met à me caresser le sexe au travers de mon jeans avec le bout de son majeur. L’effet est immédiat, je sens mon sexe grossir et l’excitation monter. Tétanisé non pas de peur, mais d’envie, je me laisse complètement faire.
Il approche sa bouche de mon oreille et me dit d’une voix douce :
Sophie m’a dit que tu es intéressé par les garçons, et moi je ne crache pas dans la soupe quand je vois un beau jeune homme.
A peine a-t-il terminé qu’il m’embrasse à pleine bouche. Même si je n’apprécie pas ce baiser qui sent fort la bière, je me laisse faire, envoûté par son charme.
Tout en continuant de m’embrasser, Thomas prend ma main et la dirige vers son entrejambe, je suis aux anges, me voilà en train de caresser un sexe. Même si ce n’est qu’à travers un bout de tissu, mon excitation est à son comble. Et je peux sentir son sexe grossir sous mes caresses.
Thomas arrête son baiser tout en m’invitant à me mettre sur les genoux, il se lève face à moi et déboutonne son short.
Il me dit d’une voix douce et ferme en même temps :
Baisse mon short.
Je suis incapable de bouger. Je sais qu’à partir de ce moment, tout peut basculer. Au mieux, je lui fais une fellation, au pire, je lui offre mon cul vierge. Mais est-ce le pire ? N’est-ce pas ce que je veux depuis toutes ces années où je regarde du porno et m’imagine à la place de la femme ou du passif ?
Ce qui m’étonne, c’est ma passivité la plus totale. Impossible pour moi de repousser ses avances ni même d’y répondre favorablement. Je me sens vide de l’intérieur comme si mon esprit avait quitté mon corps et attendais que Thomas décide de la suite.
Tu te décides !! dit-il de façon autoritaire.
Mes mains ne me répondent plus. Elles attrapent le short et le font tomber à ses pieds pour découvrir un boxer noir distendu par un pénis à moitié bandé.
Je suis à quelques centimètres de l’objet de mes rêves, quand Thomas enlève le dernier bout de tissu qui masque sa virilité. Son sexe jaillit et vient se poser sur ma joue.
Surpris, j’ai eu un mouvement de recul. J’avais son pénis à quelques centimètres de mon visage, il était magnifique de taille moyenne, mais bien sculpté.
Branle-moi, suce-moi ! ordonna mon initiateur.
J’attendais ce moment depuis tellement longtemps que je n’ai pas hésité un seul instant, ma main se mit à caresser le sexe dressé devant moi. La sensation était exquise, le contact était doux et chaud. Je ne pus résister d’y goûter du bout de la langue tel un enfant qui teste une glace dont il ne connaît pas le parfum. Ce premier contact trop rapide n’a pas été désagréable bien au contraire, alors cette fois-ci, je me suis mis à lécher son pénis du bas de la hampe jusqu’au gland la langue bien en contact avec le pieu de chair comme pour éviter qu’une glace ne fonde sur les doigts.
Arrivé en haut, c’est la bouche ouverte que j’engloutis doucement la verge, et que je commence des légers va-et-vient. Hummm c’est bon, doux, et chaud. Je savoure cette gourmandise et mon étalon semble très heureux de la prestation au vu de ses gémissements. Son gland se met à perler des gouttes de méat qui apporte une petite touche salée dans ma bouche.
J’adore ton goût, c’est trop bon de sucer, lui dis-je droit dans les yeux.
Et je recommence ma fellation avec délectation.
Putain, t’es vraiment un chaud. C’est la meilleure pipe que l’on m’a faite.
Je léchouille cette bite de tout côté, aucun bout de peau n’est oublié. Je me sens soulagé d’avoir enfin réalisé ce fantasme. D’autant que cela se fait en douceur.
Le sexe de Thomas est dans la moyenne, une taille idéale pour une première expérience, car il ne me fait pas peur, bien au contraire, j’en ai une envie folle, et même dans mon cul.
Arrête, sinon je vais jouir.
Je le regarde avec envie, car justement, j’aurais voulu connaître la satisfaction de faire jouir un homme.
Ne t’en fais pas, je n’en ai pas fini. Ce soir, tu seras un nouvel homme ou plutôt une petite tapette.
Je suis surpris de ces derniers mots, je ne m’attendais pas à ça et je commence à vouloir me relever pour le laisser partir.
Qu’est que tu fais, tu veux que je m’en aille parce que je te dis que tu vas devenir une tapette. Rassure-toi, vu comment tu aimes sucer, tu fais déjà partie des tapettes. Hein petit pédé !!
Je n’en revenais pas de la manière dont il me parlait.
Il m’attrapa le visage avec sa main droite et me bouge la tête pour me faire acquiescer.
Ne t’en fais pas, tu as du potentiel, et je vais te le montrer. Je vois que tu aimes déjà la bite, mais tu ne l’as pas encore complètement digéré. Bientôt, tu seras accro.
Thomas approcha son visage de moi pour m’embrasser, et je n’ai même pas détourné la tête. Je savais qu’il avait raison.
Enlève tes fringues et mets-toi à quatre pattes sur le lit.
D’accord…
C’est bien, j’aime les garçons obéissants. Je sens en toi un futur soumis.
Il m’aida à me relever et à retirer mes vêtements. Thomas en profite pour me caresser le torse, ce qui me donne des frissons. Jamais on ne m’avait caressé ainsi.
J’aime ton corps imberbe. Allez, à quatre pattes sur le lit maintenant.
Thomas était redevenu plus doux. Il m’invita à m’installer. J’étais maintenant sur mon lit, mon postérieur bien en vue. Sa main se posa sur ma fesse gauche et il se mit à me les caresser ainsi que le bas du dos. La sensation est délicieuse, je lui tends encore plus ma croupe et me pose ma tête sur le matelas afin de profiter pleinement de ce moment de douceur. Il a raison, je me sens soumis au plaisir qu’il me donne.
Tu as un très joli derrière, difficile de résister à une croupe pareille.
Je reçus une petite fessée qui me fit lâcher un petit cri de surprise.
Tu t’es déjà fait prendre ?
Non, tu es le premier, répond-il.
Humm tu vas voir. Tu vas prendre beaucoup de plaisir. Cambre-toi bien et détends-toi. Abandonne-toi à moi.
Je sens son autre main qui caresse ma fente, et je reçois une décharge lorsqu’il vient effleurer mon illet. Je n’en peux plus, je suis follement excité, à tel point que mon sexe est tendu, laissant échapper un filet de mea.
Tu aimes ça, coquine. Je ne m’étais pas trompé sur toi.
Thomas continua le massage de ma raie en s’attardant de temps en temps sur mon anus. Je sentis son souffle chaud sur mes fesses et quelque chose d’humide toucher mon illet. Thomas était en train de me prodiguer une feuille de rosé. La sensation est divine et je me laissais aller à ses coups de langue.
Je sentais mon anus se détendre doucement.
C’est bien ma chérie, tu te laisses faire.
En même temps que sa langue agile, un doigt se présenta à la porte de mon trou et exerça des légères pressions suffisantes pour que je le sente, mais pas assez pour forcer mon intimité. J’étais au paradis, mon anus se détendait et plus son doigt poussait, plus il s’enfonçait quand au bout d’un moment, il passa à travers mon illet.
Je poussai un petit cri de surprise.
C’est que tu commences à bien t’assouplir.
Thomas fit des va-et-vient avec son doigt, je sentais mon anus se faire à sa présence, la sensation était divine, tout comme le fait de ne pas contrôler la situation.
Thomas continua ses mouvements de doigts et me mit un deuxième doigt. Ce fut un peu plus douloureux.
Ta sur m’a donné du lubrifiant, je vais t’en mettre un peu, ça va aider.
Quelle salope, je suis sûr qu’elle avait tout prévu.
Je sentis le froid du lubrifiant que Thomas m’appliquait, et il reprit le travail de mon anus avec ses doigts. Je gémissais de plaisir et il voyait bien que ça me plaisait vu comment je dandinais des fesses pour mieux sentir ses doigts en moi. En très peu de temps, il m’insérera trois de ses doigts.
J’étais fou de désir et n’avais plus qu’une envie en tête, qu’il me prenne tout de suite. Je me sentais complètement offert à lui.
C’est bien ma petite, tu es suffisamment préparé. Je vais te prendre comme un bon petit lope.
Encule-moi, je t’en supplie, j’en meurs d’envie.
Je n’en revenais pas des mots qui sont sortis de la bouche.
C’est que tu comprends maintenant qui tu es. Laisse-toi faire petite salope.
Thomas retira ses doigts, ce qui le fit bizarre de ne plus rien avoir dans mon cul, mais je sentis très vite son gland contre mon anus.
Sa bite forçait l’entrée en douceur et rentra centimètre par centimètre en moi.
Je n’avais pas mal, mais je sentais bien sa bite qui ouvrait mon anus. La sensation est divine.
C’est bien ma belle, je suis complètement rentré maintenant. Je vais te prendre comme j’ai pris ta sur la première fois que je l’ai rencontrée. Bien au fond, entre ses reins.
Thomas commença ses va-et-vient, à cet instant, j’ai compris que j’aimais la bite. Je me sentais possédé et c’était bon.
Son coup de bite est délicieux et je ressens chacun des mouvements.
Ton cul est même meilleur que ta frangine.
Sa comparaison avec la sur m’encourage et me voilà à bouger mon cul à la rencontre de sa bite. Le rythme s’accélère, je sens mon cul chauffé, j’ai l’impression qu’il ne m’appartient plus.
Quelle salope tu es ! Pour quelqu’un qui se fait prendre la première fois. Putain, je vais jouir.
Il sortit de mon cul brutalement, alors que j’avais encore envie de son chibre dans mon fion. Je sentis un vide en moi, comme si une partie de moi n’était plus là.
Allez, retourne-toi, on va voir si tu aimes autant le foutre que ta sur.
Ses paroles m’excitent. Et instinctivement, j’ouvre la bouche quand il s’approche de moi, la bite à la main.
Bien, la pute, ouvre grand.
Son foutre sortit par jet et j’en reçus plein le visage, sur la bouche, le front les yeux. Je devais ressembler à une vraie actrice porno après une belle faciale.
Viens nettoyer.
Il me prit la tête par-derrière pour enfoncer son sexe gluant dans la bouche. Du sperme sortait encore un peu de son gland. Le goût n’était pas désagréable, la texture un peu bizarre.
T’es pire que ta sur. Déjà qu’elle passe pour la traînée de la fac, mais toi, c’est un autre niveau. Elle va être contente de savoir que son petit frère est une belle lopette à foutre.
Je restais bouche bée pas ses derniers mots. Je savais que ma sur n’était pas une sainte-nitouche, mais de là à être une traînée, je ne l’imaginais pas.
Chao petit pédé peut-être à une prochaine.
Thomas se rhabilla et partit
Je n’avais pas bougé, un timide au revoir sortit de ma bouche.
Je ne savais plus où j’étais, qui j’étais, ni même comment tout ça a pu arriver. Mais je me sentais bien détendu, heureux.
Je voulais savourer le moment, alors je me suis allongé de côté sur le lit, machinalement, ma main est allée titiller mon anus qui était encore ouvert et je continuais à le caresser en y rentrant de temps en temps un doigt.
Je revins à la réalité quand ma sur entra dans ma chambre sans frapper. Depuis qu’elle m’avait surpris nu en me branlant, elle ne se gênait plus pour entrer quand elle le voulait.
Alors petit cochon, il paraît que t’es plus salope que moi. Thomas m’a tout raconté.
J’étais mort de honte. Quel salaud !
C’était bien apparemment.
Sophie s’approcha de moi et vint s’asseoir sur le lit.
Mais ma salope, c’est vrai que t’es pire que moi, tu as gardé son foutre sur ton visage.
Sophie ramassa une traînée de sperme avec son index et l’amena à sa bouche et avala. Cela me surprit et elle dut le voir sur mon visage.
Il a un sperme divin, tu sais. Faut pas le gâcher. Tu verras, je suis sûr que tu en goûteras beaucoup d’autres maintenant que tu as franchi le cap.
Elle recommença à récupérer le foutre avec son doigt, mais cette fois me le donna à lécher.
A toi maintenant !
J’ouvris la bouche et avala, et j’ai aimé. Encore une fois, je me suis senti soumis, mais cette fois-ci à ma sur et je me laissais faire. Elle nettoya mon visage et donna à chaque fois son doigt à nettoyer.
Alors, tu vois, c’est bon !
Tu as raison.
Je sens que tu feras un bon soumis, Thomas ne s’est pas trompé.
Je crois que j’aime bien me laisser faire ! répondis-je.
C’est bien ça ! Je sens que nous allons bien nous amuser tous les deux maintenant. Et la bite, le foutre tu aimes ?
J’ai honte, mais j’ai adoré sucer et me faire prendre. Sentir me faire posséder.
Et les hommes, tu as aimé quand Thomas t’a embrassé par exemple.
Bof pas trop je préfère un sexe d’homme et un peu le sperme.
C’est bien petit frère tu es un bon lope comme Thomas m’a dit. Un vrai bitophile. Tu vas voir, je vais t’apprendre à aimer le sperme encore plus. Tu pourras plus t’en passer. Pour la bite, faudra te débrouiller seul bien que je peux te dépanner avec mes jouets.
Mon téléphone vibre et je sors de mes rêveries, j’ai une forte érection qui ne m’ont pas aidé à me faire passer mon envie de bite.
Je vois que j’ai reçu un mail de réponse à mon annonce.
" Salut j’apprécie les jeunes minets dans ton genre. Je suis dispo samedi en fin de journée début de soirée pour me faire sucer.
J’habite à Rueil-Malmaison. Pas loin de RER.
Réponds-moi par mail au plus vite avec si possible quelques photos.
Bisous
Mamadou."
Super une réponse et apparemment un black, je vais pouvoir vérifier si l’on dit vrai.
J’arrive à la station Chatou, plus quelques minutes et je suis à la maison.
Je rentre, personne. Je me dépêche d’aller dans chambre pour répondre à ma convoitise du samedi soir.