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Le jeu – Chapitre 1

Le jeu - Chapitre 1



D’où j’étais placé j’avais une vue imprenable sur deux cuisses entrouvertes sous une mini-jupe qui n’avait d’autre rôle que de rendre excitante la fille qui la portait. Je me suis toujours demandé si les nanas portant ce genre de vêtement étaient conscientes de l’effet qu’elles produisaient sur la gent masculine. Si tel n’était pas le cas elles étaient parfaitement inconscientes. Dans le cas contraire ce sont de jolies salopes dont le jeu consiste à faire bander les hommes.

Celle-la ne savait pas que j’étais en mesure de dire la couleur de sa petite culotte, pas plus qu’elle ne savait que j’avais une trique pas possible à la vue de ce qu’elle montrait. J’avais déjà une main dans la poche et je caressais doucement mon sexe dur et tendu à l’extrême. Que faire? Bouger de mon poste d’observation c’était me priver du plaisir de mater mais ce n’est pas en restant sur place que je pourrais tenter ma chance. Je pris la décision de tenter ma chance.

Je me mis en mouvement vers elle ne sachant comment nouer le contact. Mon imper sur mon bras cachait ma bandaison plus que voyante sous le tissus du pantalon. Arrivé devant elle je clamais ’salut Patou’… elle abandonna la lecture d’un magazine et leva les yeux vers moi avec un air étonné, les yeux ronds. ’Oh, excusez-moi, je vous avais pris pour une ancienne collègue, la ressemblance est frappante’. A partir de ce subterfuge la conversation s’engagea, suivie d’un verre puis du diner à la suite duquel nous nous retrouvâmes en boîte. Dans un recoin sombre, loin de l’agitation, j’entrepris de la ’baratiner’. Elle avait beaucoup d’esprit et répondait de façon amusante à mes propos. Enfin j’entrepris de lui raconter comment j’en étais venu à lui adresser la parole. Loin de se mettre en colère elle rit et se penchant vers moi me prit la bouche en un baiser voluptueux. Puis elle s’excusa en se levant pour se rendre aux toilettes. Quand elle revint elle plaça devant moi sur la table sa petite culotte, accompagnant son geste d’un sourire plus que prometteur. Je la pris et la respirai avant de la mettre dans ma poche. A partir de là je me sentais autorisé à lui poser la question habituelle:

’Chez toi ou chez moi?’ elle me répondit que son studio n’était pas loin et que si j’acceptais de la suivre…. Accepter de la suivre? Mais c’était demander à un affamé s’il voulait manger. Le studio en question était une vraie bonbonnière dénotant un goût raffiné et un certain standing. Elle me servit un verre avant de disparaître. Quand elle revint j’eus un coup au coeur, imaginez une lolita en nuisette dont la transparence permettait de constater qu’elle ne se rasait pas le triangle qu’elle avait très épais et très brun. Un régal pour mes yeux amateurs de la toison féminine, devenue chose rare, hélas.

’Tu as vu le résultat?’ lui demandai-je en pointant mon index vers mon bas-ventre. Je bandais comme un fou, et c’était plus que visible. Elle s’approcha et, se mettant à genoux, elle posa sa joue sur la protubérance, preuve de mon désir. Puis, en un lent mouvement, sa main caressa ma virilité à travers le pantalon. Je lui pris le poignet pour arrêter son mouvement, j’étais au bord de l’explosion, ce qu’elle comprit car elle fit glisser le zip de ma braguette, plongea sa main dans mon slip et extirpa tant bien que mal ma verge tendue comme jamais. Elle entreprit alors de me déchausser, m’enleva les chaussettes puis, s’accroupissant, elle promena son sexe humide sur mes orteils tout en me masturbant en douceur. C’était fabuleux. Elle fit tant et si bien que l’un de mes gros orteils se trouva dans son intimité détrempée. Je sentais sa sécrétion chaude couler le long de mon pied; A nouveau je dus arrêter le mouvement de sa main, ce qui provoqua cette question ’tu n’aimes pas?’. Je lui fit savoir que c’était trop bon et que j’étais sur le point d’éjaculer.

A ma grande stupéfaction elle me dit qu’elle souhaitait me voir gicler tout en se masturbant avec mes orteils mais en ajoutant que cela ne constituait qu’un début dont elle avait besoin pour débuter une nuit d’amour. Nous étions nus, allongés sur un épais tapis devant un feu de cheminée. Sa vulve absorbait mon gros orteil tandis que sa main me branlait merveilleusement. Je ne pus me retenir. Je jouis comme rarement, mes jets saccadés étaient expulsés avec force, s’élevant très haut avant de retomber sur elle et sur moi. C’est alors que, continuant à me caresser la verge, elle émit des petits cris, puis un véritable feulement avant de s’écrouler sur le côté non sans m’avoir trempé le pied.

La suite vaut d’être racontée car c’est une merveilleuse amante. Mais ce sera pour une autre fois…. De vous conter cela me fait bander. Il va falloir remédier à cela!

Roger

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