Le samedi d’après nous avions décidé de retourner en club libertin avec ma mère. Notre dernière sortie avait été particulièrement agréable et nous nous sentions assez excités à l’idée de nous retrouver dans ce lieu où il régnait une atmosphère d’un érotisme torride.
Mais surtout, nous aimions cet endroit où il était possible de vivre notre histoire au grand jour sans être jugés, nous le couple incestueux, heureux de pouvoir nous livrer devant tout le monde à toutes les caresses, des plus tendres aux plus osées.
Dès la fin d’après-midi nous avions commencé à nous préparer. Je repassais une chemise et un pantalon dans la chambre et ma mère, dans la salle de bain, était en train de se faire belle. J’entendais l’eau couler depuis un moment, signe qu’elle devait se laver les cheveux. Depuis que j’étais enfant j’avais appris à reconnaître ces bruits familiers, témoins des moments où elle s’occupait d’elle. Puis ce fut le silence. Sans doute devait-elle se concentrer sur une autre activité, sur laquelle elle était restée plus discrète jusqu’à une période récente : s’épiler la chatte.
Elle accordait une attention particulière à ce genre de soin intime, surtout maintenant, car elle savait que les jeunes hommes de mon âge étaient habitués aux vulves bien lisses. Lorsqu’elle eut terminé, elle sortit de la salle de bain avec sa serviette de bain nouée autour de la taille et vint me retrouver dans la chambre. Elle attrapa ma main et la glissa sous la serviette, à l’endroit de son entrejambe.
— C’est doux ? Ca te va comme ça mon chéri ?
Je ne voyais pas ma main sous la serviette mais je sentais tout du bout des doigts. Sa vulve était en effet d’une douceur remarquable.
— Superbe, c’est du satin. Je pourrais passer des heures à te caresser à cet endroit, maman.
— Tu te rappelles la première fois où je t’ai laissé me caresser ? Ca fait quelques années maintenant. On était à la plage et ce jour-là je n’avais pas mis de maillot de bain. Tu n’arrêtais pas de me regarder, alors j’ai voulu te faire un peu plaisir.
— Oui. Je te trouvais tellement belle. J’étais fasciné par ta chatte.
— Elle était bien poilue, pourtant.
— Oui mais tes poils étaient si doux ! J’ai trouvé ça vraiment excitant. Tu le sais que j’aime bien que tu sois un peu poilue entre les jambes.
— Merci mon chéri. Mais actuellement les jeunes filles de ton âge s’épilent toutes. Je veux que ma chatte soit aussi belle et douce que la leur, et lorsque tu mets ta bouche dedans je veux que ça ne soit que du plaisir. Et puis je préfère ça, moi aussi, être toute lisse entre les jambes !
Je promenai mes doigts sur ses lèvres, puis glissai au milieu, à l’entrée du vagin.
— Mmmh, arrête, tu vas me donner envie ! Il faut que tu gardes ton énergie pour la soirée, que ton érection soit celle d’un taureau. Tu dois être en mesure de baiser plein de filles. Et surtout tu dois me baiser moi ! Je veux que ta queue soit bien dure !
— Ma queue est toujours bien dure quand il s’agit d’entrer en toi, maman, tu le sais bien !
— Tu es gentil, mon chéri. Mais voyons maintenant quelle robe je vais mettre pour la soirée.
— La robe longue noire avec le filet sur les seins ?
— Bonne idée.
Il s’agissait d’une belle robe noire, très légère, longue, échancrée sur le côté, dont le tissu au niveau des seins consistait en un simple filet à maille larges qui ne cachait pas grand-chose. Ma mère avait enfilé la robe sans soutien-gorge, et ses tétons pointaient à travers le filet. J’adorais ! Avec ses longs cheveux blonds elle était magnifique. Une paire de chaussures à talons hauts achevèrent de la rendre irrésistible.
Après tous nos préparatifs, nous sommes allés manger dans un bon restaurant, comme deux amoureux, puis sur le coup des 23h nous nous sommes dirigés vers le club. Il y avait encore peu de monde lorsque nous sommes arrivés, juste quelques couples qui attendaient que la soirée s’anime. Après avoir fait une bise à la patronne qui nous connaissait bien, nous nous sommes dirigés vers la pièce principale du club, là où se trouvait la piste de danse.
Il y avait là une sorte de cage, une petite plateforme ronde d’un mètre entourée de barreaux qui permettait les plus torrides figures de pole dance. Nombreuses étaient les filles qui aimaient s’y exhiber. Dans la cage, une femme d’une quarantaine d’années se dandinait langoureusement. Elle était brune, cheveux longs, des seins volumineux, habillée d’une petite robe très courte avec un tablier blanc, sorte de déguisement de soubrette. Ma mère semblait très intéressée par cette femme.
— Elle est jolie cette fille. Tu penses qu’elle a quel âge ?
— A peu près ton âge, 45 ans, je dirai, maman.
— Je vais un peu danser avec elle. Tu restes là, mon chéri ?
— Mmmh OK…
Ma mère se dirigea vers la piste de danse et pénétra directement dans la cage. Elle fut accueillie avec chaleur par la femme, visiblement toute disposée à partager cet espace. Elles se mirent à danser toutes les deux, de façon lascive et sensuelle. Tout en dansant, leurs lèvres se rencontrèrent et elles échangèrent un long baiser, puis elles laissèrent leurs mains explorer leurs corps réciproques, leurs seins, leurs fesses.
Je trouvais toujours très beau à regarder deux femmes entre elles. C’était doux mais aussi très érotique. Les caresses prirent d’ailleurs rapidement une tournure très sexuelle, puisque la femme avait retiré sa culotte et ma mère était descendue pour lui lécher la chatte. Elle se régalait visiblement de lécher cette vulve que la femme lui offrait avec plaisir.
Dans sa vie d’avant, lorsqu’elle était avec mon père, ma mère était une bourgeoise bon chic bon genre, épouse et maman modèle. A cette époque il aurait été hors de question pour elle d’imaginer avoir ce genre de contacts intimes avec une autre femme, brouter sa chatte sur une piste de danse de club libertin, jouir du goût, avaler avec délice l’abondante cyprine qui ne tarda pas à s’écouler de ce sexe.
Ma mère et sa copine se remirent ensuite à danser un moment, puis elles quittèrent la piste de danse et vinrent me rejoindre dans un des confortables canapés du club.
— Je te présente Martine, m’annonça ma mère. Et tu sais quoi ? Elle est venue accompagnée de son fils, elle aussi. Il est là.
Le jeune homme assis à côté, que je n’avais pas remarqué jusqu’alors, se leva et se présenta à nous avec un grand sourire.
— Bonsoir, moi c’est Hugo.
Une autre maman et son fils ? C’était une surprise sans en être une. Dans ce genre de lieu où la tolérance est reine, la pratique du sexe entre membres d’une même famille était plus fréquente que ce qu’on imagine.
Nous avons donc commencé à discuter de façon fort agréable avec le couple, abordant les genres de sujet assez commun dans ce genre d’endroit.
" Vous venez souvent ?", "Vous connaissez d’autres clubs sympas pour les couples comme nous ?".
Puis après un moment de plaisante discussion, Martine posa la question que nous attendions tous :
— Ca vous dirait si on montait tous les quatre, à l’étage, se trouver un petit coin tranquille ?
— Bonne idée !
Nous voilà donc en train de monter dans les coins câlins, pour choisir un lit assez grand et confortable pour nos ébats.
En traversant le club, puis en me déshabillant, j’avais bien regardé Martine et son fils. Ils étaient très beaux, l’un comme l’autre. La maman qui avait déjà 50 ans faisait très jeune. Elle était un peu ronde mais ses formes généreuses étaient vraiment appétissantes, avec des gros seins dont je pus apprécier la beauté lorsqu’elle enleva son soutien-gorge. Quant à son fils, c’était un beau gosse, très bien fait. J’en eus la confirmation lorsquà son tour il se déshabilla et retira son caleçon. Il était doté d’un très bel engin, d’une taille impressionnante. Ma mère adorait les jeunes hommes bien montés. A la vue de son sexe, ses yeux s’allumèrent. Martine remarqua le trouble de ma mère.
— Ha ha ! Alors ? Pas mal mon petit, non ?
— Superbe ! s’extasia ma mère. Je comprends pourquoi tu l’aimes tant ! Tu l’as bien réussi, ton garçon !
— N’est-ce pas ? J’avoue avoir résisté pendant des années à toucher sa queue, mais un jour j’ai craqué… Et je ne regrette rien. Elle est superbe, je l’adore !
Ma mère regardait avec gourmandise ce sexe qui déjà commençait à prendre du volume.
— Je peux ? demanda ma mère, presque timidement.
— Mais bien sûr ma chère ! Fais comme chez toi !
Ma mère attrapa l’engin de Hugo et commença à le masturber.
— Mmmh et en plus il grossit bien !
— Maman tu vas bien t’amuser je crois !
— Hé hé, oui je crois…
Sans plus de discussion elle et Hugo échangèrent un doux et langoureux baiser, puis ma mère mit la queue du garçon dans sa bouche. Elle adorait ça, sucer des beaux sexes de jeunes hommes. Le garçon, de son côté, sembla apprécier ce traitement : les yeux fermés il laissait cette maman déguster sa queue avec délice. Je savais très bien ce qu’il devait ressentir : ma mère était extraordinairement douée en fellation.
De son côté Martine s’était aussi mise à me sucer, de fort plaisante façon aussi. Elle était ravie que ma mère s’occupe si bien de son fils et avait bien l’intention de me rendre la pareille.
Quel plaisir de regarder ces deux mamans s’activer avec énergie sur nos deux queues, avec leurs deux grosses poitrines qui remuaient presque en même temps.
Je passai alors tête-bêche avec Martine et m’installai la bouche entre ses jambes. Une bonne grosse chatte de maman qui mouille, quel bonheur ! Je me mis à la lécher avec gourmandise, le nez enfoui au milieu des plis de son sexe, léchant et avalant goulûment son jus de plus en plus abondant. C’était délicieux.
Hugo fit de même avec ma mère.
Au bout d’un moment de ce traitement, ma mère attrapa deux préservatifs.
— Allez, les enfants, au boulot ! C’est pas tout, ça, mais Martine et moi on a super envie de se prendre vos queues, n’est-ce pas ma chère ?
L’autre maman acquiesça.
— Tout à fait !
Elle et ma mère s’installèrent à quatre pattes l’une à côté de l’autre et attendirent notre bon vouloir. Heureusement nous n’étions pas du genre à faire attendre les dames.
Hugo passa derrière ma mère, et moi derrière la sienne. Après avoir enfilé chacun notre préservatif, nous pénétrâmes ces magnifiques vulves qui nous avaient donné naissance. Quel plaisir d’entamer va-et-vient dans ces vagins faits pour l’amour. Martine était, tout comme ma mère, une amatrice de belles queues et aimait se faire prendre fort. Heureusement pour moi je sentais qu’elle était tout à fait satisfaite par mon début de prestation. De son côté, mon voisin défonçait ma mère avec un savoir-faire évident. Sa queue était vraiment énorme et ma mère gémissait de plaisir, tout entière absorbée par le bonheur d’être aussi bien prise par ce jeune homme vigoureux.
— Ho oui, que c’est bon !
Hugo avait mouillé un doigt, et tout en baisant ma mère avait doucement introduit un doigt dans son anus.
Celle-ci semblait tout à fait apprécier le traitement. Je regardais ça avec fascination. Depuis quelques années maintenant que nous étions amants avec ma mère, j’adorais voir toutes sortes d’objets pénétrer ses orifices : doigts, queues ou autres objets variés que ma mère aimait utiliser pour son plaisir personnel, et dont parfois, à la maison, elle m’offrait le spectacle.
— Tu crois que je peux l’enculer ? me demanda Hugo poliment.
— Oui, vas-y. Mais fais doucement, elle est grosse ta queue.
— OK, t’en fais pas j’ai l’habitude.
Avec délicatesse Hugo positionna sa bite vers l’anus de ma mère et poussa doucement. J’observais avec intérêt la queue pénétrer doucement par paliers, dans le fondement maternel. Ma mère, loin de subir cet assaut, avait visiblement pris le parti d’en profiter. Au début un peu anxieuse elle se laissa aller et Hugo entama une série de lents va-et-vient qui la ravirent.
— Tu aimes ça ? demandai-je à ma mère.
— Mmmh c’est fort mais c’est bon ! soupira-t-elle.
Les deux femmes prirent par la suite l’initiative de changer de position. Elles sallongèrent l’une à côté de l’autre et commencèrent à s’embrasser, mêlant leurs langues avec gourmandise. Quelque chose me disait que ce n’était pas la dernière fois qu’elles feraient l’amour ensemble. Hugo et moi étions venus sur elles pour les prendre à nouveau.
— Elle est bonne, ta mère, me lança Hugo, visiblement satisfait.
— La tienne aussi ! J’adore la baiser !
Nous étions aux anges, nos mamans aussi. A nouveau lancés dans des va-et-vient délicieux, improvisant différentes positions plus ou moins acrobatiques, nous avions à cur de combler nos mères. Elles gémissaient, criaient de plaisir.
— Mon Dieu comme c’est bon !
Nous avons ainsi fait longuement l’amour jusqu’à nous laisser tous déborder par le plaisir et la jouissance.
— Ha c’est bon ! Je viens ! cria ma mère.
Moi-même je ne pus me retenir plus longtemps et j’explosai dans les entrailles de Martine.
Nous décidâmes alors de faire une pause bien méritée.
— Nous avons des fils formidables ! se réjouit ma mère.
— Oui, quel bonheur ! Quelle chance nous avons ! Toutes les mamans n’ont pas cette chance ! répondit Martine.
— On va prendre un verre, mes chéris ?
— Volontiers !
Nous nous sommes alors rhabillés et nous sommes descendus dans la salle principale du club où la soirée battait son plein. Maintenant il y avait beaucoup de monde, des couples, des filles dénudées qui dansaient de façon incroyablement sensuelle.
Après avoir bu un verre bien mérité, ma mère me chuchota à l’oreille :
— T’as pas envie de me prendre, mon chéri ? J’aime me faire baiser par d’autres hommes mais tu sais que c’est toi qui me donnes toujours le plus de plaisir. Ton corps et ta queue me manquent ! J’ai envie de te sentir tout au fond de moi.
— Bien sûr maman ! Moi aussi j’ai toujours tellement envie de toi ! On remonte ?
— Non j’ai envie de faire ça ici, pour que tout le monde puisse voir comme c’est beau un fils qui fait l’amour à sa mère. Il y a un lit juste là, viens !
Ce lit se trouvait juste à quelques mètres de la piste de danse, mais cela ne nous a pas empêchés de nous déshabiller et nous y installer, nus.
C’était quelque chose d’absolument impossible dans une boîte de nuit classique : deux personnes qui décident de satisfaire immédiatement leurs pulsions sexuelles, et cela ne choque personne, bien au contraire.
Ma mère se tourna vers moi, écarta les jambes, me présentant sa fantastique chatte, déjà bien élargie par le gros sexe d’Hugo.
— Fais-moi l’amour mon chéri ! Tout de suite !
Je rentrai mon sexe à l’intérieur d’elle. J’étais à la maison, c’était le paradis !