Au début du mois d’octobre de cette année 2010, je suis allé passer une semaine sur l’ile d’Ibiza… Je voulais faire provision de soleil avant l’hiver et profiter des plages et faire un peu de plongée lors des deux ou trois sorties qui étaient prévues au sein d’un club qui fournissait l’équipement pour une sortie en groupe (tout en restant prudent, car à mon âge, je dois faire attention…).
Le premier jour, un samedi, après un voyage un peu bousculé en avion avec deux changements à Paris et Madrid, j’étais enfin installé à l’hôtel. Après un dîner tardif comme partout en Espagne, je suis allé me dégourdir les jambes sur le bord de mer où malgré une saison avancée, il y avait pas mal de touristes dont beaucoup de couples jeunes et d’autres dans la tranche des 45/55 ans… L’ambiance était joyeuse et bruyante comme elle l’est dans beaucoup de lieux de villégiature.
Le dimanche, je suis sorti en fin de matinée pour aller au supermarché proche de mon hôtel… Je voulais acheter divers articles que je n’avais pas pris dans mes bagages, et trouver quelques menus cadeaux à rapporter. Soudain dans le rayon opposé, j’ai entendu deux femmes parlant en français éclater de rire :
Oh ! Regarde cette bougie ! Qu’elle est belle !
Je ne voyais pas trop ce qu’une bougie pouvait avoir de beau… mais enfin, chacun ses goûts. Mais comme je suis curieux de nature, j’ai contourné la tête de gondole et j’ai découvert ces deux femmes : une blonde à la silhouette longiligne avec des cheveux mi-longs et une brune aux cheveux longs ondulés qui me faisait face. Toutes les deux étaient assez court vêtues… La blonde que je voyais de dos portait une minirobe en coton qui lui arrivait à mi-cuisse alors que la brune était vêtue du short ultra-mini, qui lui moulait l’entrejambe au plus près, et un t-shirt largement échancré au point que sa poitrine opulente manquait de sortir quand elle bougeait son buste.
Je me suis approché d’elles en disant :
Salut les miss ! Qu’a-t-elle de si extraordinaire cette bougie ?
Vois un peu la forme qu’elle a ! N’est-elle pas belle ?
D’emblée, le tutoiement a semblé de rigueur ! C’était la brune qui me répondait alors que la blonde tenait la bougie dans sa main gauche et faisait coulisser la droite le long du cylindre de cire… C’est là que j’ai découvert que la bougie imitait un sexe masculin de bonne taille… J’étais tombé sans chercher sur deux jolies coquines… et soudain, j’ai eu comme une sorte de flash ! Je les reconnaissais ! Il s’agissait de Naomi et d’Annette que j’avais vues dans un film X. (Mes vacances sans mon mari chez Dorcel) quelques mois plus tôt ! Quant à Naomi, je la connaissais depuis quelques années déjà pour l’avoir reconnue sur un site coquin sur lequel il lui arrivait de s’exhiber… Je l’avais même découverte sur une plage du Cap d’Agde quand elle faisait une gâterie à son homme…
Comme cela semble son habitude, Naomi avait la poitrine libre sous sa robe, car je voyais ses tétons pointer sous le tissu… Elle semblait bien excitée à la vue de cette « bougie-sexe » qu’elle manipulait avec envie… Elle n’a d’ailleurs pas tardé à la porter à ses lèvres pour miner une fellation pendant qu’Annette pelotait ses seins en ayant passé ses mains dans l’emmanchure de son t-shirt.
A voir ces deux femelles en rut n’ont pas tardé à faire de l’effet dans mon boxer… Je commençais à bander comme un taureau… Pour faire plus ample connaissance, je leur ai offert de prendre un pot tous les trois à la terrasse la plus proche. Une fois nos achats payés, nous sommes sortis dans la rue et c’est un bras passé autour de la taille de Naomi et d’Annette que nous avons parcouru la centaine de mètres nous séparant du bistrot… Elles n’avaient rien dit… donc j’ai maintenu ma prise !
Tout en buvant notre verre, nous avons bavardé de longues minutes pour faire connaissance… J’avais déjà croisé Naomi sur son site coquin, mais la voir en vrai, c’était vraiment TOP, car c’est vraiment une belle fille de 40 ans, à la poitrine certes menue, mais bien dessinée et de longues jambes fines qu’elle n’arrêtait pas de croiser et de décroiser en face de moi. Si bien que je n’ai pas tardé à me rendre compte qu’elle avait la chatte nue avec un bijou intime… Et cette vision a de nouveau fait dresser mon sexe dans mon boxer.
C’est au cours de la conversation que j’ai appris qu’elles séjournaient depuis une semaine dans l’hôtel club libertin « Le Liberty Loft ». Naomi avec son mari Nico, et Annette avec son copain Jean-Pierre… partageaient un appartement. Elles me dirent alors que le soir même, il y avait la fête d’accueil des nouveaux arrivants et elles m’ont invité à les rejoindre vers 21 heures. Annette a alors précisé que l’ambiance coquine devrait me plaire. Elle n’avait sans doute pas manqué de voir que tout en bavardant avec Naomi, je reluquais sa poitrine que je trouvais fort à mon goût !
A l’heure dite, je me suis présenté à l’entrée de l’établissement, et après que le cerbère se soit assuré que j’étais bien invité, j’ai rejoint les deux couples qui occupaient un grand appartement donnant sur une terrasse bordant la piscine. La nuit était déjà tombée, mais des éclairages disséminés un peu partout permettaient de remarquer que l’ambiance était chaude autour de la piscine où tout le monde flirtait outrageusement… à moitié à poil ! D’ailleurs, la température est tellement douce que cela ne gênait pas…
Naomi portait un ensemble des plus réduits noir avec une garniture en tissu écossais qui laissait voir la quasi-totalité de son anatomie au hâle agréablement doré et Annette était vêtue d’un soutif noir qui relevait outrageusement ses seins opulents au point que lorsqu’elle se penchait, on aurait pu croire qu’ils allaient sortir des bonnets et une courte jupe plissée arrivant au ras de la fourche des cuisses. Les deux hommes ne portaient qu’un boxer…
Pendant que les femmes préparaient les boissons, j’ai bavardé avec les deux hommes… Nico est un bel athlète bronzé avec une musculature bien dessinée et dans son boxer, un sexe de belle taille semblait prêt à bondir. Le copain d’Annette, tout en étant un beau gosse, était plus quelconque, mais également bronzé. Tous les quatre avaient passé deux semaines en été au Cap d’Agde où Nico et Naomi possèdent un appartement. Je leur dis que je connaissais bien le Cap, que j’y avais passé des vacances naturistes à plusieurs reprises dans les années 80/90.
Après quelques Mojitos bien tassés, l’ambiance est devenue progressivement de plus en plus chaude ! Les deux filles ont commencé à s’embrasser et à se caresser sous notre regard intéressé après quelques échanges orientés « sexe ». Les soutifs n’ont pas tardé à tomber et les caresses et embrassades goulues se sont poursuivies jusqu’au moment où les deux femmes ont quitté l’immense canapé d’angle pour s’allonger tête-bêche sur l’épaisse moquette ! Avec un bel ensemble, Nico et Jean-Pierre se sont écriés :
Profitez-en bien, vous allez voir ce que vous allez prendre ensuite !
Le reste des vêtements n’a pas tardé à voler et j’ai reçu la jupette d’Annette sur les genoux… Etait-ce une invitation ? Il est bien évident que si les deux filles m’avaient invité à partager leur soirée, ce n’était pas pour que je sois simplement un spectateur… Mon choix était donc fait !
Des soupirs de plus en plus forts n’ont pas manqué de s’élever du 6 9 lesbien qui se déroulait sous nos yeux… Si j’avais pu voir que Naomi était entièrement nue, j’ai découvert qu’Annette n’avait qu’une petite touffe brune bien fournie et taillée en ticket de métro ! Tout comme moi, Nico et Jean-Pierre bandaient ferme, entretenant cet état en caressant le devant de leur boxer qui avait bien du mal à contenir leur membre en érection pendant que les filles roulaient l’une sur l’autre.
Tantôt c’était Naomi qui était dessus, tantôt c’était l’inverse, et elles ne jouaient pas qu’avec la langue : Annette s’était emparée d’un gode vibrant qu’elle passait sur la vulve de Naomi, cherchant à la faire jouir sous nos yeux… En fait, elles sont parties en même temps dans un feulement de satisfaction. La soirée semblait bien partie… quand Naomi s’est écriée :
Il nous manque une femme ! Ce n’est pas juste ! Nous avons un invité !
Là-dessus, elle s’est emparée de son portable, et après une brève conversation, elle a raccroché en disant qu’elle avait trouvé une fille qui allait nous plaire. Moins de cinq minutes plus tard, une magnifique fille noire est arrivée en passant par la terrasse. Tout aussi canon que Naomi et Annette, elle avait le crâne rasé, la bouche aux lèvres légèrement proéminentes fardées de mauve. Mais ce que j’ai remarqué immédiatement, ce sont ses seins pas très volumineux, mais en forme de demi-citron au téton très développé et muni d’une petite barrette dorée. Elle ne portait qu’un mini-string doré, et lorsqu’elle s’est tournée, nous avons pu admirer ses fesses rondes au-dessous d’une taille mince et très cambrée.
Noami a fait les présentations :
Voici Rachel ! Elle va s’occuper de Nico. Jean-Pierre, toi, tu prends la caméra pour nous filmer, on s’occupera de toi ensuite. Nous, nous allons nous amuser avec notre invité !
Le programme me convenait tout à fait. Elles se sont approchées de moi… Naomi a entrepris de faire glisser mon boxer pendant qu’Annette ôtait ma chemisette en balançant sa poitrine devant mes yeux qui n’en pouvaient plus. Je pense que les deux filles s’étaient entendues, car Noami n’ignorait pas que j’étais un fan des poitrines rondes et généreuses, alors qu’elle m’a qu’une jolie petite paire de seins en forme de demi-citron…
Annette m’offrait ses seins et sa bouche que j’embrassais à tour de rôle, mordillant ses tétons qui pointaient de plus en plus, et Naomi avait embouché mon sexe turgescent entre ses lèvres, et après l’avoir copieusement enduit de salive, elle me gratifiait d’une gorge profonde sublime. Cette coquine savait y faire, car elle ne travaillait qu’avec ses joues qu’elle gonflait et dégonflait pour m’aspirer et faire monter la sève.
D’une main, je caressais la vulve d’Annette qui était trempée de mouille… résultat de ce qu’elle avait fait précédemment avec Naomi, mais aussi certainement par l’excitation de la situation. Lorsque j’ai voulu introduire plusieurs doigts dans sa chatte, elle s’est appuyée sur ma main pour que j’entre au maximum. Aussitôt, elle s’est mise à onduler du bassin, faisant entrer et sortir les trois doigts qui la fouillaient. Elle était chaude comme la braise.
Soudain, Naomi a dit :
Il est prêt ! Annette, mets-toi en levrette, tu verras, il aime ça !
Oui, c’est vrai, j’aime prendre une femme en levrette… Nous en avions parlé à plusieurs reprises lors de nos échanges sur le site de Naomi. A plusieurs reprises, elle s’était livrée ainsi en se pénétrant avec un beau gode souple…
Je trouve cette position très excitante et elle permet facilement de titiller l’anneau plissé du bout des doigts pendant que le sexe coulisse dans la chatte…
Sitôt dit, sitôt fait ! Annette s’est placée à genoux sur le divan, les bras en appui sur le dossier, offrant la vision de ses fesses largement fendues avec des lèvres rouge vif, tant elles étaient gorgées de sang. Pendant ce temps, Naomi avait couvert ma bite d’une capote en me disant qu’ainsi, je pourrais passer d’une entrée à l’autre si je le voulais…
J’ai pris la taille d’Annette entre mes mains et je me suis approché d’elle… Quelques aller-retour rapides à l’entrée de sa vulve pour achever de l’exciter et la faire languir un peu, et je me suis introduit lentement, mais d’une seule poussée dans cette chatte qui n’attendait que cela ! Dès que j’ai entrepris de la pistonner, Annette a relevé la tête et a poussé un râle de contentement qui s’est prolongé quand Naomi a commencé à nous caresser tour à tour, faisant rouler mes couilles dans les bourses et titillant le bourgeon d’amour d’Annette.
J’étais vraiment tombé sur deux baiseuses de premier ordre, et je comprenais mieux pourquoi ce matin, elles s’extasiaient devant cette bougie en forme de sexe masculin… Pendant presque tout le temps, Jean-Pierre nous filmait ainsi que Nico et Rachel. Cette dernière, pour autant que j’aie pu voir, chevauchait Nico en amazone, montant et descendant sur le sexe surdimensionné de Nico, la tête rejetée en arrière, elle semblait en transe.
Avec le traitement que Naomi me faisait et l’excitation de baiser cette belle brune d’Annette, je n’ai pas tardé à gicler dans la capote, d’autant que ma partenaire travaillait ma bite de ses muscles internes lorsque j’étais au fond de sa chatte. J’étais un peu essoufflé, mais qu’est-ce que ça avait été bon ! A bientôt 60 ans, baiser une jeunette d’une trentaine d’années, c’était le pied ! Pour récupérer un peu, j’ai pris Annette dans mes bras, et allongés côte à côte, nous avons regardé Naomi entreprendre Jean-Pierre qui tenait toujours la caméra… Lorsque Naomi a englouti le sexe de Jean-Pierre dans sa bouche, il a continué à filmer quelques minutes, puis c’est Annette qui a pris le relais pour voir son copain baiser Naomi…
Vers deux heures du matin, j’ai pris congé de mes hôtes pour regagner mon hôtel… La partouze a dû continuer jusqu’au matin !
Quelques jours plus tard, Naomi est venue me retrouver dans ma chambre à l’heure de la sieste… Elle avait avec elle un souvenir qui m’était destiné : Un DVD de notre soirée ! Bien sûr, pour la remercier, je lui ai fait l’amour avec beaucoup de tendresse…