Une forte douleur au bas-ventre et mon fondement me réveille.
Je m’assieds et j’ai des vagues souvenirs de ma journée d’hier. Surpris de me voir avec mes bas, je sens mon anus me faire mal, le plug me fait mal et mon pénis se sent à l’étroit dans cette cage qui lui a empêché son érection matinale.
Je me dirige vers la salle de bain afin de le libérer ainsi que mon anus.
Je retire mon plug et sens mon fondement béant, une sensation de vide s’installe en moi. Je retire mes bas et mon t-shirt et prends une douche.
Je retourne dans la chambre ranger mes bas, mon t-shirt de nuit, remet ma cage de chasteté et reprendre mon téléphone.
Un message de « Mon homme » et affiché. Je m’assieds pour prendre connaissance de son contenu.
Il me salue, toujours en me parlant au féminin et m’appelant tour à tour Aïcha et chérie, m’informe qu’il a rêvé de moi et qu’il a la trique. Il me demande si je n’ai pas trop de douleurs, comment c’est passer ma nuit et de bien prendre mon traitement avant de lui écrire ce matin.
Me rappelant mon traitement je file prendre un grand verre d’eau pour m’aider à avaler les pilules avant de récupérer un tube de crème.
Je retourne dans la salle de bain me faire une petite toilette et appliquer la crème aux zones demandées. Puis je retourne à mon téléphone dans la chambre pour lui répondre.
Je m’applique dans la rédaction du message en le ponctuant de « chérie » et en m’exprimant au féminin, je lui parle des douleurs avant de le lui envoyer.
Je me lève afin de me préparer un petit déjeuner.
À la fin de ma matinée je reçois un message de sa part.
Il m’expliquant que les douleurs passeront et qu’à force d’entraînement ma chatte et mon bas-ventre ne me feront moins mal.
Que je viens juste de me faire dépuceler ce qui est normal concernant ses fortes douleurs ce matin. Il me demande d’aller acheter une nuisette, du rouge à lèvres et du mascara. Il ajoute de ne pas oublier d’entretenir ma chatte comme il se doit et de garder le plug toute la journée et la nuit sauf si nécessité absolue de le retirer.
Il me demande mon adresse en précisant qu’il ne viendrait pas mais à un cadeau pour moi.
Je reste perplexe à la lecture de ce message et le relire plusieurs fois.
Je me rappelle alors qu’il m’avait dit que je suis à lui et qu’il me l’avait fait répéter à de nombreuses reprises. Je décide de lui donner mon adresse et d’aller au plus vite faire les achats demandés car il y a moins de monde le matin que plus tard dans la journée.
J’effectue mon lavement, me nettoie, nettoie le plug avant de me l’insérer en moi, ajuste ma cage dans mon caleçon et fini de m’habiller. Je prends mes clefs et file acheter ce qu’il attend de moi.
J’ai choisi une nuisette satinée violette en promotion, du mascara noir qui allonge les cils, un rouge à l’être rouge ne laissant pas de marque. À mon grand étonnement le plug est certes gênant mais moins douloureux. Je rentre chez moi et en profite pour lancer une machine avec ma lingerie fraîchement acquise.
Je lui indique mes achats du jour par message. La journée se passe et je ne cesse de repenser à sa qui s’est passé et cela me semble irréel. Il m’envoie des messages m’indiquant qu’il bande, qu’il me désire, qu’il m’aime, qu’il aimerait être avec moi. Il m’écrit qu’il aime mes seins et qu’il a hâte de me les téter. À la fin de ses messages il y a toujours écrit ma chérie et il écrit exclusivement au féminin m’appelant Aïcha.
À force d’échange je lui réponds en parlant de moi au féminin, en l’appelant mon chéri à tel point que cela commence à devenir systématique.
Le soir venu il me demande de me prendre en photo en tenue de nuit. J’en profite pour prendre mon traitement et appliquer ma crème puis m’habille. Je prends un certain plaisir à les faire et lui envoyer.
Il m’appelle. Je décroche, il me félicite et m’indique qu’il bande dur. Il m’informe qu’as chaque fois il se branle à cause de moi et qu’il a hâte de me revoir. Il me demande si je me doigte en pensant à lui. Ne sachant quoi répondre je lui mens et lui dis que oui cela m’est arrivé. Il me demande alors de me doigter avec force et le plus de doigts possible sans oublier de me caresser les seins vus que j’aime cela. Il finit par me faire répéter que je suis Aïcha sa future femme et sa propriété et qu’il est mon homme avant de raccrocher.
Un message contenant une photo de son sexe arrive et même si j’étais choqué au début je commence à l’observer voir à l’admirer. Ses paroles me reviennent en tête ainsi que nos ébats ce qui augmente mon excitation. Mon sexe étant inaccessible je commence à jouer avec mon plug et très vite je le retire pour jouer avec ma rondelle et me donner du plaisir avec trois doigts. Je gémis de plaisir et lâche des encouragements fictifs à mon mari l’imaginant me pilonner. J’accélère et deviens plus dur dans mon pilonnage attrapant mon « sein » au passage. Je me caresse de plus en plus et finis par gémir des « oh oui » sentant un certain plaisir venir.
À mon grand étonnement j’ai cette sensation de chaleur qui monte et mon anus qui est humide comme jamais. J’insiste fortement et finis par avoir plus d’humidité dans mon anus un tel point que les doigts sont couverts de ce liquide qui m’est inconnu. La chaleur irradie mon ventre et d’un coup je me sens chaud et faible. Je m’écroule sur le côté vider de mes forces. Après un moment je me traîne à la salle de bains me nettoyer et retourne sur mon lit.
J’ose demander à mon homme ce qui s’est passé. Ce dernier me félicite car, pour lui, je viens de jouir. Je reste sans voix et perplexe à cette annonce. Il m’explique alors que ce plaisir ne m’est pas encore familier mais il s’agit bel et bien d’une jouissance via mon véritable sexe. Je le remercie de cette explication et lui avoue que je pense à lui et le vois quand je me donne du plaisir. Heureux de mon aveu il m’indique que je n’ai pas à le remercier et qu’il est heureux de la confiance que je lui apporte, qu’il sera toujours là pour moi.
Nous nous souhaitons bonne nuit et je recherche sur mon téléphone les jouissances anales avant de m’endormir.
Dès le lendemain et les jours qui suivirent cela devint une routine.
Je me lève, retire mon plug, le nettoie, effectue mon lavement, retire ma cage de chasteté, la nettoie, prend une douche en me doigtant copieusement même si je me caresse les seins de plus en plus je l’avoue, réinsère le plug, remet ma cage de chasteté, applique la crème, enfile mes bas, m’habille, prend mes pilules durant le petit déjeuner et file au travail.
Les journées sont ponctuées d’échange avec mon homme plus ou moins coquin mais je me sens de plus en plus à l’aise. Je me suis à la fois habitué et attaché à lui, à nos échanges mais aussi j’ai plus de facilité à m’ouvrir à lui, lui parler de mes pensées, ressentis mais aussi de mes sentiments. Parler de moi au féminin et l’appeler mon homme ou mon chéri ne me dérange plus voir devient systématique.
Le soir venu je prépare mon dîner, fais une toilette, effectue un lavement, nettoie mon plug et ma cage avant de prendre mon traitement et ma crème. Je me mets en nuisette et Bas et dîne devant la télévision. La soirée se passe à ponctuer d’échange avec mon homme.
Quand il m’appelle je suis plus à l’aise, l’appel volontiers mon chéri. Mais sa voix m’excite de plus en plus et provoque une autre séance de doitage plus appuyée me fessant « jouir » presque à chaque coup.
Puis viens la nuit et mes rêves érotiques également.
Le quatrième jour, pendant mon petit déjeuner on sonne à ma porte. Pris de panique et mon cur battant à tout rompre j’ouvre et aperçois le facteur. Il m’indique qu’il a un colis pour Aïcha. Je suis encore plus paniqué et gêné et lui dis que je le prends et lui donnerai.
La porte refermée et la peur passée j’ouvre le colis. Un gode large et long s’y trouve ainsi qu’une petite bouteille de lubrifiant et une enveloppe.
Dans l’enveloppe se trouve un mot de mon homme m’indiquant que le gode est à la dimension de sa bite que j’aime tant. Ainsi je pourrais la sentir en moi à ma guise, me donner du plaisir avec et pourrais m’entrainer à le recevoir en moi sans préparation, sans douleur pour ne prendre que du plaisir et en jouir. Il est aussi écrit que je dois me rendre compte que je suis vraiment et définitivement Aïcha, que dans un avenir proche mon vrai prénom sera écrit partout, que je serais appelé ainsi dans la vie de tous les jours également.
Le calme revenu j’inspecte se gode. Il est énorme et me semble démesuré. Le gland est imposant et doux tandis que le reste est nervuré de veine. Les bourses à sa base sont démesurées également finissantes à la base par une ventouse. Je prends conscience que c’est ça qui m’a dépucelé et fait jouir pour la première fois de ma vie. Ce membre démesuré qui a pris possession de mon corps me pénétrant jusqu’à la garde. Je reste émerveillé sur ce gode et l’imagine faire sa place dans mon corps.
Je décide de le laver et je me rends compte que le toucher m’excite.
J’envoie un message à mon homme pour le remercier du présent, que je l’essaierai ce soir. Il me répond qu’il est heureux que cela me plaise.
Je réfléchis au fait je viens pour la première fois d’entendre ce prénom de la bouche d’une autre personne. Cela m’a fait peur mais aussi un mélange d’excitation et de petite joie intérieures m’envahit. De l’exhibitionnisme ? L’envie et le désir que tous sachent qui je suis en train de devenir. Ne trouvant réponse à cette question je la laisse en suspens, découpe soigneusement l’étiquette ou est inscrite Aïcha et décide de reprendre ma routine quotidienne.
Le soir avant de prendre ma douche prise par l’excitation j’applique du lubrifiant sur le gode et tente de me l’insérer. La douleur du passage du gland est trop forte alors je le retire.
Excité j’attends un peu que la douleur passe et retente l’expérience. Il passe et sa progression me fait mal mais je me force à l’enfoncer et à rester en moi et là douleurs commencent peu à peu à ce dissipé. J’entame des vas et viens qui reste très douloureux avant eux aussi de s’évanouir. Me voilà en train de me goder lentement et d’avoir du plaisir. Je me gode de plus en plus violemment car le plaisir augmente jusqu’à en avoir une jouissance ravageante. Après que cette chaleur diminue et que mon esprit soit revenu je le ressors et reste sans voix.
Je viens de le forcer à entrer en moi, de me goder, de jouir et j’aime ça. Suis-je devenue une nymphomane ou l’étais-je déjà et avoir un homme coquin et vicieux m’a libéré? A-t-il ouvert une boîte de pandore ?
Ses questions restant sans réponse je nettoie le tout et reprends ma douche, ma routine.
Le soir au téléphone je lui demande ce qui me passer, de mes masturbations, de ses désirs sexuels. Il prend le temps de m’expliquer que je découvre un autre univers où je suis plus épanouie sexuellement qu’avec mon pénis. Il est normal d’éprouver certaines choses et de se poser des questions mais que je devrais juste prendre conscience de ce qui me donne du plaisir et de me laisser aller. Moins réfléchir et plus profiter. Il me remercie de lui avoir parlé, me félicite et me rassure. Il finit par me dire que nous sommes deux et qu’il sera toujours là pour moi et donc que je n’ai pas à m’en faire.
Nous finissons notre discussion par la bonne nuit et la phrase rituelle.
Durant la nuit ma poitrine me démange de l’intérieur. Je masse mes seins, les caresses mais cela finit par m’exciter. Je cherche le gode pour me donner encore du plaisir. Dans la salle de bain je prends la décision de me goder régulièrement car j’ai envie que mon homme me prenne sans que je souffre et qu’il puisse me donner du plaisir et en avoir, de me sentir ouverte à lui. Je retourne au lit et la jouissance est tellement libératrice que je m’endorme facilement à peine le plug remis en place.
Les jours suivants passent et j’ai inclus, à mon grand plaisir, une bonne séance de godage tous les soirs avant de m’endormir.
Mes seins me picotent de plus en plus mais mon plug et ma cage ne me dérangent plus.
Arrive enfin le jour de notre rendez-vous. Je me gode copieusement sous la douche, remet mon plug, ma cage, prend mon traitement et ma crème, met dans mon sac le rouge à lèvres et le mascara et enfile ma combinaison nylon. Je finis de me préparer et sors de chez moi pour me diriger chez mon homme plus à l’aise que la dernière fois et avec une certaine excitation.
Une fois à sa porte il m’ouvre mais ne me regarde pas. Il m’indique du doigt le bac. Je comprends alors et me rappelle qu’il n’aime pas me voir en homme. Je profite de son absence pour retirer mes vêtements et le rejoins dans le salon où il est assis sur le canapé.
Heureuse de le revoir je m’assoie sur ses genoux pour l’embrasser. Il me rend mon baiser et je sens ses mains parcourir mon corps et me tripoter ce qui m’excite graduellement. Il me demande ensuite comment je vais. Je lui parle de mes seins et à cela il m’indique que c’est normal et de ne pas m’en soucier.
Il me demande de le suivre de déposer dans la salle de bain et d’y déposer le rouge à lèvres et le mascara puis de l’attendre dans la chambre, de retirer ma combinaison afin d’être nue.
Je m’exécute, prennent les accessoires beautés achetées et me dirigent vers la salle de bain. Je suis surpris d’y voir deux serviettes roses de grande taille, une brosse à dents roses, un dentifrice spécial femme, un flacon de lotion de soin intime féminin ainsi qu’une brosse à cheveux rose et noir. Je suis étonné et me demande si finalement il n’est pas mariéet une fois finit de déposer mes accessoires sur le rebord du lavabo je file dans la chambre.
Mon excitation retombe quand je vois une chaise, des cordes, des bougies allumées et des sacs. Avant même que ma curiosité soit satisfaite il entre dans la pièce, ferme la porte à clef et m’indique qu’il est l’heure de m’entraîner. Mon cur bat fort. Je me hâte de me dévêtir. Il me met le collier autour du cou et me demande de lui faire confiance et que c’est pour mon bien.
Il sort un plug noir immense qu’il badigeonne de lubrifiant. Il me demande de me tourner puis me l’enfonce lentement dans ma chatte anale mais je le sens trop gros pour mon anus me fessant mal. Il force le passage et me l’enfonce fortement ignorant mes plaintes. Je le sens coincé en moi l’écartement intérieur me donnant l’impression d’avoir détruit mes entrailles. J’ai même l’impression de le sentir lorsque je touche mon ventre.
Il me dirige vers la chaise, m’y fait assoir appuyant sur mes épaules. La douleur est insoutenable. Il prend alors la corde et l’enroule de manière à me plaquer les fesses sur l’assise jambe légèrement écartée et l’attache. Je suis plaqué sur la chaise dans l’incapacité de bouger, le plug me fait mal.
Je m’en plains mais il continue de m’expliquer que c’est pour mon bien et qu’en plus m’entendre me plaindre l’excitait. Il retire la cage de chasteté, m’attache les mains dans le dos de la chaise et sort du sac des pompes à tétons, à seins, un martinet et un entonnoir.
Il sort également un Tupperware qu’il dépose derrière moi. Il place la pompe à tétons sur les miens, les dévisse aspirant mon téton ce qui me provoque une vive douleur et ne s’arrêtant que lorsqu’il n’est plus possible de visser plus.
Mes larmes coulent. Il renouvelle la chose sur mon autre téton et j’ose lui demander pourquoi il fait cela. Il m’explique qu’il m’aide à mon développement. Qu’il va me faire de beaux seins et des tétons appétissants. Puis il me sourit et ajoute qu’il faut souffrir pour être belle.
Il prend la pompe à seins et m’explique que le plug c’est pour que ma chatte puisse accueillir toutes bites me désirant.
Je lui indique que je lui serais fidèle et donc que je nen ai pas besoin. Il me répond alors qu’il le sait et qu’il ne le sera pas forcément, que je suis son unique femme et amour mais qu’il me faudra rembourser les achats et subventionner ma transition. Il ajoute qu’il organisera en sa présence des rendez-vous où je sucerai et me ferais prendre par qui il désire, qu’il en récoltera les bénéfices cela financera le tout, que je n’ai pas mon mot à dire car cela se fera soit libre de mon corps soit contrainte.
Il finit par m’expliquer que cela me formera, m’entraînera et me donnera de l’expérience indispensable à ma vie de femme soumise. Et que de plus cela m’aidera à comprendre ma place, mon rôle et le fait que je suis qu’une femme.
Tout en me parlant, il place la pompe à seins et commence, à l’aide de la poire prévue à cet effet, à aspirer l’air ce qui a pour effets de tirer mes seins me provoquant une atroce douleur. Je pleure beaucoup et lui dit que cela fait mal.
Ignorant mes pleurs il continue jusqu’à ce qu’il ne puisse plus. Il prend ensuite le martinet et se place à côté de moi, me demande alors qui suis-je.
Entre deux sanglots je lui réponds que je suis Aïcha sa future femme.
Et là un coup s’abat sur mon ventre. Je hurle de douleur et il vient me dire à l’oreille que je suis sa femme.
Il enchaîne en me demandant ce que je suis. Je lui réponds sa femme soumise. Un autre coup tombe alors. J’étouffe mon crié dans la gorge et me sens trembler. Il me dit froidement « mauvaise réponse ». Il me dit à l’oreille que je ne suis rien.
Un autre coup s’abattit alors qu’il me dit que mon sexe est femelle, encore un coup en me disant que ma raison de vivre et mon obéissance à mon homme, encore un cou et il me dit que je dois le satisfaire ses envies, un coup, ses fantasmes, un coup, ses désirs, un coup à lui et à tous ceux qu’il décide et conclus par trois coups.
Je pleure à chaudes larmes le suppliant d’arrêter alternant avec des excuses pour mes réponses. Il me regarde et pris par les douleurs et la peur je lui dis « Pardon mon homme, oui mon homme je suis Aïcha ta femme et je ne suis rien.».
Il sourit et me félicite, passe derrière moi. Mon ventre me fait extrêmement mal. Il tire mon menton et m’ouvre la bouche, enfonce l’entonnoir dans ma bouche, je ne me rebelle plus de peur de recevoir des coups. Il vide le Tupperware dans l’entonnoir me gavant. C’est du sperme que j’essaie d’avaler au plus vite pour ne pas m’étouffer.
Il me dit alors que ce sperme était le sien, collecter sur une semaine à chaque fois qu’il se branlait en pensant à moi. Qu’ainsi il m’aidera à aimer le goût du sperme et m’imprègne.
Une fois fini il vida un peu d’eau dans l’entonnoir pour faire descendre les traces de sperme et je me sens pleine et gavée.
Il vient devant moi avec une bougie, m’indiqua du doigt mon pénis et me demanda ce que c’est. Larmoyant, souffrant et ne réfléchissant plus je lui dis que c’est mon pénis. À ses mots il versa de la cire chaude de bougie dessus, la brûlure et la douleur sont atroces mais étant lié je ne peux l’éviter. Je hurle des douleurs mais il m’ordonne de me taire et de ne parler qu’à sa demande.
Je retiens au maximum mais crié et les étouffe dans ma gorge.
Il part chercher une autre bougie, me redemande alors ce que c’est. Je lui dis que c’est mon clitoris. Il vida la cire chaude en m’expliquant que c’est ni un clito ni un pénis, que c’est juste une erreur de la nature qu’il faut rectifier et dont je dois avoir honte.
Il repart chercher la dernière bougie, me regarde et me demande ce que c’est toujours en montrant mon pénis. Je lui dis en pleurant que c’est une erreur, que c’est ma honte en y rajoutant mon homme. Il me demanda alors ou était mon vrai sexé. Je lui réponds alors que ma chatte est en train d’être formée par ses soins actuellement.
Visiblement satisfait de ma réponse il repose la bougie et l’éteint. Il me félicite, m’explique que tout cela est nécessaire. Il me met alors un casque sur les oreilles et lance une lecture avant de partir. Il m’annonce avant que cela commence qu’il va revenir une fois le fichier audio terminé.
Il éteint la lumière me laissant dans le noir. Je souffre atrocement. J’entends sa voix dans le casque. C’est un enregistrement ou il répète en boucle :
-« tu es Aïcha. Une femme qui aime plus que tout son homme, qui vénère sa bite et qui la désire que ce soit dans sa bouche, sa main ou son sexe constamment et sans retenue. Tu es avide de sexe, de sperme, tu aimes en avaler et en être pleine. Tu aimes faire naître le désir chez les autres. Tu es une aguicheuse, une salope qui aime être regardée, tripotée et entendre des obscénités. Tu ne vis que pour le sexe, servir ton homme te faisait baiser par toute personne qu’il décidera. Tu es bisexuelle. Tu aimes brouter des chattes et voir une femme te faire l’amour te défoncer avec son gode ceinture.
Aïcha tu es une femme qui a l’intérieur reste en tenue légère et sexy, toujours le sexe et les seins accessibles afin d’être disponible même pendant tes tâches ménagères. À l’extérieur tu aimes porter des tenues sexy et provocatrice afin d’attirer les regards. Te faire baiser en public ne te dérange pas tu aimes le sexe sous toutes ses formes. Le soir tu aimes être en nuisette et Bas, les seins à l’air toujours prête à te faire prendre toute la nuit et en redemander.
Aïcha tu aimes le sperme. Sa texture, son odeur, son goût et tu n’aimes pas le gâcher. Les métiers que tu aimeras faire son secrétaire, hôtesse d’accueil, caissière, escorte girls car tu aimes rencontrer des gens et voir naitre le désir que tu provoques en eux.
Oui Aïcha tu es une salope, une nymphomane mais ma propriété. Tu es ma chienne soumise qui ne fait qu’obéir à mes ordres. Tu es à moi corps et âme.
Je choisirai ta poitrine, ta chatte et une fois ta transition achever tu m’épouseras devenant ma femme officielle. Tu porteras mon nom et ta vie sera comblée. »
Et le message se répète encore et encore me faisant perdre toute notion de temps. Les douleurs s’amenuisent je sens des fourmillements dans mes jambes. Je me suis relâché et me sens juste comme une chose inerte sans volonté empaler et écarter de l’intérieur, commençant à connaître par cur ses phrases qui résonnent en boucle dans ma tête. Mon estomac gargouille. Signe de digestion de son sperme. Mon bas-ventre ne me fait déjà plus mal, mon anus est immense et à épouser la forme du plug. J’ai des fourmillements dans mes bras, mes jambes, mes fesses, mes tétons et mes seins. Ses derniers me tirent toujours énormément.
Une sensation bizarre venant de mon ventre me mon ventre ainsi qu’une étrange chaleur dans mon fondement me fond m’interroger sur ce qui se passe en moi. Je ne sens plus mes jambes ni mes bras. D’un coup il entre dans la pièce me fessant sursauter et ouvrir les yeux. Il coupe le son, me retire le casque, libère mes bras, mes jambes ainsi que mes seins et mes tétons. Tout cela sans rien dire.
D’un coup, brisant le silence, il me demande si je peux me lever d’une manière très douce. Je lui fais signe que oui de la tête. Il me tend la main, je l’ai saisie et me lève mais mes jambes se dérobent et je tombe sur le sol. Il me demande de me tourner afin de retirer le plug et me rassure quant au faite que les sensations dans mes jambes et mes bras vont vite revenir.
Son retrait ne se fait pas sans douleur, je me sens complètement vide à l’intérieur de moi. Une place immense reste vacante et la sensation est déplaisante.
Il me caresse la tête et me félicite d’être docile et que cela facilitera et accélèrera ma transformation. Il se met à m’expliquer qu’il m’aime et que c’est pour cela qu’il fait ce qu’il a fait. Que c’est pour mon bien et notre futur, afin que je sois heureuse, épanouie, bien dans ma tête, dans mon corps et libre sexuellement. Il m’explique ensuite que les séances ne dureront pas et finiront plus rapidement dès lors où je ne réfléchirais plus et que j’obéirai aveuglément.
Je sens des sensations revenir dans mes jambes et mes bras. Il continue de me caresser le visage. Il me demande de ne plus réfléchir, de me laisser aller et de me laisser faire car dorénavant je n’ai plus qu’à me soucier de lui plaire, prendre du plaisir quand je lui en donne, me réjouir de le voir me baiser et féconder, de suivre à la lettre mon traitement, de subir sans mot mes séances d’éducation et de transformation, de remplir mes devoirs et de l’aimer. Que pour le reste mon cerveau et mes pensées ne servent plus à rien.
Je ne comprends pas tout. Je sais juste que j’aime cet instant de tendresse. Il m’annonce que cela fait une semaine que je prends et applique des produits qui remplacent mes fausses hormones mâles par celles qui conviennent. Mais cela je m’en doutais.
Il ajoute que comme promis depuis qu’il a pris procession de moi, qu’il m’a imprégné de sa semence mon destin est sellé et qu’un retour en arrière est impossible désormais. Cette annonce ne me choc bizarrement pas mais quelques larmes coulent. Il les remarque et les essuie de ses doigts.
Je me sens envahi par plein de sensations contradictoires. J’ai mal à mes seins, mes tétons, mon fondement et mon sexe mais j’aime ses caresses et me sens bien ainsi. J’ai peur de lui et à la fois j’ai envie d’être à ses côtés et aime la manière dont il est avec moi. J’ai peur de ce qui se passera dans l’avenir vis-à-vis de mon corps mais j’ai envie d’être femme avec lui… je n’arrive plus à réfléchir ni même à comprendre quoi que ce soit. Je suis perdu. Je me demande s’il n’a pas raison et que mes souffrances et questionnements prendront fin si je m’abandonne à lui Et si lui m’abandonnait.
Comme s’il lisait dans mes pensées il me rassure en me disant qu’il sera toujours avec moi et que je serai à lui à jamais. Il me répète que je n’ai pas à réfléchir mais juste à me laisser faire, me laisser aller, de suivre ses instructions, d’être honnête avec mes sentiments et mes envies mais de ne surtout pas écouter mon cerveau et de bloquer toutes réflexions.
Seul doivent rester les envies et désirs. Il conclut en m’expliquant que mon corps se transforme déjà, qu’à un moment donné j’aurais des difficultés à le cacher compromettant cette vie d’homme mensonger, que me travestir en hommes deviendra beaucoup trop compliqué.
Alors quand ce jour arrivera il me demande de venir chez lui-même sans prévenir et qu’il m’accueillera et m’aidera à ce moment-là. Qu’en vue de ce jour il a déjà acheté ce qu’il faut pour vivre ensemble.
Ne comprenant pas tout je le regarde perplexe. Il se penche et m’embrasse tendrement, puis me demande si je peux me lever. J’acquiesce de la tête.
Mes jambes vont mieux et je réussis à me lever. Il me demande de nettoyer et de ranger tout cela proprement avant d’aller prendre une douche. Il m’indique qu’après il y aura une crème à mettre sur mes seins, mon bas-ventre pour calmer les douleurs.
Le voyant quitter la pièce je me mets à tout ranger. Enroulant les cordes, plaçant sur le côté les pompes, l’entonnoir, le Tupperware afin de les laver ainsi que le plug. En le voyant je me rends compte qu’il est plus large que ma main à tel point que je dois le tenir de mes deux mains. Il est presque aussi haut que mon avant-bras. C’est un immense plug démesuré.
Je remets la chaise dans un coin, remettent les bougies sur la commode, mettent les sacs pleins en ordre sur le côté et plie les sacs vides. Mon regard s’arrête car je remarque un cadre photo vide sur la deuxième table basse ainsi qu’une fausse fleure dans une jolie vase. Je me reconcentre sur ma tâche. Je mets les cordes et martinets dans un sac. Je me dirige vers la salle de bain avec les objets à nettoyer.
Je nettoie les ustensiles, sont essuie et les mets à finir de sécher sur des morceaux de papier absorbant au sol.
Je me regarde dans le miroir et constate que mes tétons sont très pointus et tendus. Je les touche et remarque qu’ils sont encore plus sensibles que d’habitude et plus longs qu’avant les rendant beaucoup plus semblables à des tétons de femme.
Mes seins sont moulés et me paraissent plus présents, plus marqués, différents malgré la marque des pompes. Mais leurs formes et apparences me plaisent beaucoup.
Mon ventre est rouge et chaud. J’ai l’impression qu’il rayonne de chaleur.
Mon pénis est tout petit et pleine de cire cette dernière l’ayant recouvert presque complètement.
Je me tourne et observe mon anus. C’est juste un immense trou ouvert que je vois quand j’écarte mes fesses rouges.
Je continue de m’observer sous toutes les coutures et constate que mon corps est légèrement différent mais je ne sais pas en quoi. Ce qui est sûr c’est qu’avec des tétons dardés me donne l’air d’avoir de beaux seins et ainsi je me sens plus féminine. C’est bête à dire mais j’aime cela.
Je monte dans la baignoire et passe de l’eau sur mon corps. Cela me fait du bien et je libère mon pénis de la cire pour constater qu’il est rouge, tout petit et peu sensible.
Je me lave méticuleusement. Je me sèche et retourne dans la chambre.
La combinaison nylon, les poignets, le collier, la cage de chasteté ainsi qu’une jupette noire très courte m’y attendent déposer sur le lit.
Je m’habille donc et ajuste bien ma tenue. La jupe ne couvre que là moutier de mes fesses. M’habiller ainsi m’excite et me remonte le moral et la vue de mes tétons ainsi pointus à peine caché par le nylon noir me rend fière de ma poitrine.
Je me dirige vers la salle de bains et lorsque je me vois dans le miroir je m’arrête un instant.
Je me trouve plus sexy. Je me demande alors ce que je suis en train de faire et de devenir.
Je vois alors mes produits de beauté et mets du rouge à lèvres et du mascara.
Je me regarde et me plais. Puis je me demande si je vais plaire ainsi à mon homme.
Je réfléchis un instant et me demande d’où vient cette idée… je repense à la dernière fois qu’il m’a fait l’amour et me rappelle ses paroles me demandant de suivre mes envies. J’ai envie de lui plaire et qu’il me fasse l’amour. Je me dis alors que je réfléchirais plus tard car je suis venu pour avoir du plaisir avec mon homme.
Je me dirige vers le salon. Il est assis sur le canapé ne portant qu’un peignoir. La bouteille de whisky est posée sur la table ainsi que deux verres face à lui. Je me présente devant lui mais ne sachant pourquoi alors que j’étais enthousiaste me voilà redevenue timide.
Il me regarde, sourit puis se lève et tend sa main ver moi. Je lui donne la mienne instinctivement. Me fessant tourner sur moi-même il me complimente et me dit qu’il aime me voir ainsi, qu’il me trouve magnifique.
Je me sens gêné et c’est alors qu’il me tire à lui me retrouvant à quelques centimètres de son visage. Le regardant dans les yeux je me vois perdre toute réflexion et volonté et une envie terrible de l’embrasser me vient en lorsque mon regard se pose sur ses lèvres.
Sans contrôler je me sens lentement avancer mes lèvres comme attiré à la rencontre des siennes.
À peine le temps de le remercier et de lui dire que je suis heureuse de lui plaire, en rajoutant mon homme, que me voilà l’embrassant. Sentant une ouverture entre ses lèvres j’y insère ma langue et nous voilà nous embrassant goulûment. Je pose mes mains sur son torse et le sens me serrer fort contre lui.
Le temps n’a plus d’emprise et ce baiser me fait tout oublier. J’aime cet instant.
Sa main descend le long de mon corps, maintenant la pression contre lui, atteignant mes fesses. Il caresse ses dernières, les malaxe j’en profite alors pour passer mes bras autour de son cou. Sa deuxième main rejoint la première et malaxe à son tour les fesses. Je continue de l’embrasser et d’apprécier ce moment.
Sa main descend et de manière machinale je lève la cuisse contre lui. Il l’attrape et je sens l’autre main titiller mon trou béant. Je sens son sexe grossir augmentant mon envie.
Il lâche ma jambe et me fait lui tourner le dos d’un coup, me plaque mes fesses contre son membre. Bizarrement j’ai aimé sa démonstration virile de force et en plus de sentir sa bite entre mes fesses je me sens humide du fondement et je le désire ardemment.
Il me tient les hanches, embrasse mon cou et je me laisse faire mes mains sur ses hanches appréciant ce moment encore plus intense. Son bassin imprime des petits va et viens me fessant lâcher des petits gémissements de plaisir. Ses mains remontent et attrapent mes seins. Je suis excité comme jamais et plaque mon basin contre le sien, mes mains tenant les siennes sur mes seins alors qu’ils les malaxent.
Mon plaisir est immense et mon désir pour lui insondable. Me voilà gémissante, gesticulante est en trans face à ce moment délicieux. Ma main cherche à attraper son sexe et c’est alors que je constate qu’il est dur et bien bandé. C’est alors qu’il vient à mon oreille me dire que je suis une bonne petite salope maintenant ajoute de continuer ainsi je suis sur la bonne voie sur ce chemin sans retour. De mon autre main je lui caresse les cheveux et lui répond lascivement « oui mon homme ».
D’un coup il arrête tout, recule et me tape la fesse je reste sur place incapable de comprendre ce qui sa passe. Il sourit, me tient le menton et me fait un petit baiser avant de me demander de le servir. Je me sens frustrée et excitée. Je lui réponds « oui mon homme » et vais pour lui remplir le verre. Je me mets à genoux à ses côtés ensuite alors qu’il s’est assis jambes légèrement écarter son sexe à l’air et toujours bandant. Il me serre mon verre à son tour et le remplit plus que de raison.
Il me félicite de savoir où et ma place et me demande de boire mon verre. Il allume alors la télévision et lance un film pornographique ou un Afro-américain sodomise une belle blonde sexy à souhait.
Cela maintient mon excitation et je bois mon verre sans m’en rendre compte. Je regarde alors sa bite et la désire encore plus. Il me dit alors qu’il aimerait bien me voir avec une grosse bite ou deux en moi comme une pute me ravageant ma chatte et hurlant mon plaisir.
Sans y réfléchir je lui réponds que je suis à lui et que je ferais selon ses ordres en y ajoutant toujours ce « mon homme » qui est devenu définitivement la conclusion de toutes mes phrases et ceux systématiquement.
Il me regarde et me félicite. D’un coup il me dit :
-« Aïsha lâches-toi je t’y autorise. Fais ce que tu veux maintenant. Si tu souhaites partir, rester, me sucer, te changer bref fait ce que tu veux vraiment mais sache que ton choix définira qui tu es et ainsi tu te devras de vivre à jamais les conséquences de ce choix. »
Ne cherchant pas à comprendre et trop excité je m’avance et saisis son sexe que je suce. Je l’entends rire mais n’y prête pas attention. Il m’encourage et ne cesse de répéter d’y aller franchement et de me lâcher.
Je le suce et mon désir engloutit mon bon sens. Je me lève, lui tourne le dos et m’empale d’une traite sur son membre dur qui a ma grande surprise et mon plus grand plaisir rentre d’un coup sans douleur.
Me voilà contre lui fessant des va-et-vient frénétiques fessant claquer mes fesses sur son bas-ventre, me tripotant les seins, tirant sur mes tétons, gémissant plus fort que la blonde à la télévision et prenant un plaisir indescriptible.
Je continue ainsi et l’entente me féliciter et m’indiquer que je suis une salope nymphomane.
Que je suis sa propriété et qu’il m’aime et qu’il finira de faire ressortir la femme que je suis et que j’ai moi-même choisi cette voie. Il me demande alors qui je suis. Je lui réponds que je suis sa femme Aïcha salope et nymphomane.
Il me demande ce que je fais et lui répond que je le désire alors je me baise comme une salope sur sa belle bite d’homme. Il me demande enfin qui il est pour moi. Je lui réponds qu’il est tout pour moi, que je l’aime, qu’il est mon mari, mon propriétaire, mon Maître et la personne que je désire le plus au monde.
À ses mots il me félicite et me retient les hanches. Il me demande de finir son verre et d’aller dans la chambre. Je m’empresse de boire son verre et file à toutes jambes dans la chambre. Il me suit de près et à peine entrer il retire son peignoir se trouvant nue et entre dans le lit il m’invite à l’y rejoindre.
Je retire ma jupette et m’allonge à ses côtés.
Il rabat la couverture sur moi.
Je me rapproche de lui et l’embrasse.
Il me prend dans ses bras et me rend mon baiser.
De ma main je cherche son sexe et commence à le branler. Il se met sur le dos et me laisse faire tout en m’embrassant. Il m’encourage et m’appelle sa chérie. Excité par ce moment je passe sous la couverture pour gober son sexe et le sucer. Pour la première fois je l’entends gémir de plaisir entrecouper de mon prénom Aïcha me caressant la tête.
Je le suce goulûment ayant du plaisir à l’entendre gémir ainsi. Puis il me demande de me mettre sur le dos. J’arrête donc et m’exécute et c’est à son tour de passer sous la couverture. Il relève mes jambes et mon basin et je sens sa langue sur ma chatte anale. Adorant cette sensation je tiens mes jambes pour lui dégager la voie et prends énormément de plaisir à le sentir me fouiller méticuleusement mon « sexe ».
Je gémis de plaisir et ne le cache pas, je lâche régulièrement des sollicitations à continuer ponctuer de « mon chéri, mon homme, mon amour » jusqu’à ne plus pouvoir retenir mon désir de sentir son sexe au plus profond de moi et le lui dit.
Il s’arrête, et se redresse, le voyant faire je le regarde droit dans les yeux et accentue encore plus l’écartement de mes jambes.
Il me dit alors que je suis une bonne salope à marier avant de présenter son gland à l’entrée de mon « sexe ». Il s’y engouffre sans difficulté me fessant poussé un long gémissement de bonheur. Il attrape mes cuisses et commence de long et profond va et viens en moi.
Je suis aux anges! La sensation et délicieuse et le voir se rapprocher de moi pour l’embrasser me donne un plaisir extrême. Sentir sa langue fouiller ma bouche pendant que son sexe fait ses allers-retours en moi me donne un plaisir immense. Il se redresse et commence à me pilonner de plus en plus fort.
Je gémis de plus en plus fort et à chaque coup de butoir je lâche des « oui » encourageants, emplis de désirs de poursuite et de plaisirs décomplexer. Je le vois sourire alors que je serre les draps cela me comble de le voir ainsi et je délecte ce moment.
D’un coup il sort de mon « sexe » et me tend la main. Je ne comprends pas où il veut m’amener mais décide de lui donner la mienne. Il me tire et m’annonce qu’il va me montrer quelque chose.
Nous nous dirigeons vers la salle de bain où il me place face au lavabo et donc devant le miroir. Je le regarde par le biais de son reflet sur ce dernier et le vois tenir son sexe. Je me tiens au meuble tandis qu’il se fraye un chemin jusqu’à me pénétrer d’un coup sec jusqu’à la garde, m’arrachant un cri de plaisir et me fessant me mettre sur la pointe des pieds.
Décidément je commence à aimer cette démonstration de puissance, de virilité et de sentir son membre si large m’envahir puissamment jusqu’au bout me fait fondu et tombé dans un état de bien-être et de plaisir intense.
Il me demande de regarder dans le miroir. Il me pilonne avec force et alors que mon plaisir se trouve amoindri par-là vus depuis le miroir qui accapare toute mon attention.
Je me vois en combinaison nylon, agrippant le meuble de salle de bain, remuant au rythme des coups de bassin de mon homme juste derrière moi mes jambes écarter, mes tétons darder tirant et déformant légèrement le nylon qui les voilent à peine, le haut de mon torse remuant plus que mon corps laissant l’impression de petits seins de femme remuante lors du coït, le visage maquillé et légèrement rougis par les efforts et les plaisirs que j’ai, gémissante de plaisir, tenu par des mains sur mon basin qui me tire avec force pour finir plaqué sur ont bas-ventre, ses couilles me frappant avant de légèrement me repousser pour mieux recommencer
Je réalise bêtement à ce moment-là que je suis différé d’avant. Quelque chose d’imperceptible à changer en moi mais plus surprenant la vision m’excite, me plaît, me rend heureux. Malgré tout je me vois plus féminine mais chose plus frappante le contraste entre moi et mon homme montre l’écart entre un homme véritable et ce que je suis vraiment. Mais plus important je réalise vraiment que je me fais baiser comme une femme par un homme.
C’est alors qu’il me demande ce que je vois coupant mon introspection. Je lui réponds que je le vois me baiser. Il me répond d’être plus précise. Je lui dis alors que je ne comprends pas ce qu’il veut dire.
Il me pilonne plus fortement, me tenant pas les seins et me demande ce que je vois.
Je lui dis alors que je le vois me défoncer la chatte anale. Il m’encourage à continuer sur ma lancée. Je lui dis que je vois une salope se faire baiser par son mari. À ses mots mon plaisir est renouvelé voire décupler. Il me félicite et m’annonce qu’effectivement il baise sa femme devant le miroir.
Qu’il n’y a qu’un homme ici et c’est lui tandis que moi comme je peux le voir je suis debout à me faire prendre comme une chienne que je suis et prendre du plaisir, gémir comme la petite salope que je suis. Il me répète que je suis une femme et qu’il n’y a jamais eu d’homme en moi. Juste une erreur qu’est-ce clito difforme. Qu’il est en train de rectifier mon corps et me désapprendre les mensonges acquis tout ce temps sur mon identité. Qu’une fois achevées nous nous unirons pour vivre heureux en tant que mari et femme à jamais.
Plus se taisant, ses coups de butoir son plus violent. Je gémis comme une folle et mon plaisir et à son paroxysme.
Je me vois ainsi et je dois avouer que cela m’excite de me voir ainsi en plus des sensations délicieuses que je ressens. Mais cela est coupé par mon homme qui sort encore une fois de moi et me tire par le bras. Il me ramette sur le lit, me pousse à plat ventre et avant même que je ne fasse quoi que ce soit m’écartent les cuisses et me pénètrent sans ménagement. Je lâche prise et me laisse faire car au final j’aime ce qui se passe.
L’une de ses mains caresse mon sein tandis que l’autre saisit ma gorge. J’aime cette sensation de puissance et de mes mains je tiens sa tête contre moi tandis que de l’autre je me caresse l’autre sein. Son souffle dans mon cou m’excite et je me cambre plus encore afin de bien le sentir au fond de moi.
Je gémis au rythme de ses va-et-vient en moi qui suis de plus insistant, profond et intense.
Je sens ses mains quitter leur placent pour serrer mes hanches et me tirer à lui, il se redresse me tirant avec lui me mettant en position de levrette. Il me dit alors que je l’excite et que je suis « bonne ».
À ses mots je me sens heureuse et lui répond qu’il me baise bien, qu’il me rend dingue et que je suis à lui. Il redouble d’efforts à ce moment-là et je sens monter en moi cette étrange chaleur qu’il m’avait déjà fait ressentir.
Elle monte et brûle mon ventre me laissant hurler des « oui » de plaisir de plus en plus fortement. Quelque chose se produit et je sens quelque chose comme exploser en moi, mon anus est humide et j’ai la même sensation de bien-être, de plénitude semblable à lorsque je me masturbais avec mon pénis.
Je me sens sans force et n’entends que mes fesses claquer sur son bas-ventre. Il m’annonce que je viens de jouir et m’insulte de salope en m’en félicitant. Puis resserre son étreinte. Ses mouvements deviennent plus frénétiques et me laissent imaginer qu’il va jouir à son tour.
Il me tient fortement contre lui, je sens son sexe buter en moi et dans un long râle je sens son sperme gicler au fond de mes entrailles me donnant un surcroît de plaisir et me provoquant une sensation de jouissance indescriptible et différente.
Ne sachant pourquoi je le remercie et m’écroule épuisé. Il se retire de moi, viens m’embrasser amoureusement, me félicitant d’être sa petite femme salope et sans réfléchir, instinctivement je l’embrasse, lui dit que je suis à lui, que j’aime être sa femme et que je l’aime. Lorsque j’entends ses mots sortir de ma bouche je suis surprise, mets ma main sur ma bouche et me sens rougir. J’ai honte de moi mais il retire ma main, m’embrasse, me dit également qu’il m’aime et que je n’ai pas à être gêné car c’est la vraie moi qui me suis exprimé et que je ne dois en aucun cas refréner ce que je suis réellement.
Il va vers la table de chevet plus proche de moi, ouvre un tiroir et sort un tampon de femme, il me l’insérait dans ma chatte anale, me remonte dans le lit posant ma tête sur l’oreiller et s’allongea à mes côtés.
Je me blottis contre lui, caresse son torse alors qu’il nous couvre. La fatigue l’emporte et sans m’en rendre compte je m’endors dans ses bras.
J’entends sa voix devenir lointaine à mesure que je m’endors. Il me répétait que je suis Aïcha sa femme, que je suis bonne et délicieuse à baiser, que je suis une petite salope sexy, que je suis soumise docile et serviable, que j’aime le sexe et le sperme, que ma vie sera comblée lorsque je vivrai avec mon mari l’aimant profondément et profitant de son sexe, me fessant baiser et remplir de sperme chaud à chaque instant
Je me vois avec des seins grossissants, lorsque je regarde mon pénis il disparaît puis-je ne le vois plus. Je me revois dans le miroir en train de me faire prendre et j’entends sa voix qui me demande de regarder qui je suis vraiment. Il me répète que je suis Aïcha, qu’il est mon mari et que je suis sa femme et ceux à jamais. D’un coup je me vois une bague annuaire gauche, je regarde dans le miroir et j’ai des gros seins, les cheveux longs et noirs, je suis en bas noir et porte-jarretelles, à mes pieds j’ai des escarpins noirs, la main de mon homme sur mon pubis alors qu’il me pilonne la chatte anale me faisant ressentir une drôle de sensation puis amenant cette même main à ma bouche et me faisant lécher ses doigts contenant un liquide inconnu. Lorsque je comprends qu’il s’agit de liquide venant de ma véritable chatte je me réveille d’un coup.
Je suis seul dans le lit. Il n’est pas à mes côtés. Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Mon maquillage tient encore et ma chatte anale a toujours le tampon. Je m’observe un instant dans le