Le club photo
William. Président du comité des élèves au lycée de Gréement. Un poids plume de 55 kilos, et une taille moyenne. Des yeux vert intense, et une chevelure brune magnifique. Un sourire enjôleur qui faisait craquer toutes les filles. Un gentleman pacifiste. En plus de défendre les intérêts des élèves, il était membre du club de photographie et du club de défense des animaux. Déjà 18 ans, et aucune copine à son actif. Ni aucun mec d’ailleurs. Tout le monde se posait des questions sur son orientation sexuelle. Mais il suffisait juste de faire attention pour le découvrir. Ses regards intermittents sur les entrejambes de ses copains de classe, son rougissement suspect à chaque fois qu’un mec lui demandait de venir à une rencontre, son bégaiement excessif à chaque fois qu’un élève canon lui adressait la parole. C’était clair comme de l’eau de roche. William était gay. Et Lucas s’en rendait bien compte. Il avait même opéré plusieurs tests, et il était sûr de lui. Lucas était un mec de 18 ans, élancé, cheveux noirs, yeux noisettes, belle gueule, lui aussi en terminales.
Et il tenait un genre de journal de bord sur le petit président. On pouvait même dire qu’il était fasciné par le beau brun. Et il s’était arrangé pour faire partie du club photo, juste pour se rapprocher. Ça n’a pas trop marché. Car le Président était très occupé, et très souvent absent. Mais un jour banal, alors que Lucas, en compagnie d’une camarade, rangeait les appareils photo, la porte du club s’ouvrit et un joli minois se fit voir.
— Ohvous avez déjà terminéj’ai encore manqué une séance, désolé.
William entra à pas lents et vint s’asseoir sur une chaise. Gisèle, la rousse du club, vint lui caresser les cheveux.
— Ce n’est pas grave, Willy. Tu es très occupé, on le saitpersonne ne t’en veut.
Le brun sourit, et se tourna vers Lucas, avec un sourire gêné.
— Euhsalut
— Salutalors, tu vas bien ?
— Ouije vais bien, dit-il, rougissant.
William avait les yeux rivés sur la petite bosse qui trônait constamment au niveau de l’entrejambe de Lucas. Il se pinça la lèvre inférieure et gémit légèrement, discrètement. Gisèle épousseta un de ses appareils et le déposa dans l’armoire du fond. Elle ramassa son sac et embrassa William sur la joue.
— N’oublie pas, ce soir, mes parents organisent un diner. Dis à Jennifer de ne pas être en retard. Et salue tes parents de ma part. OK ?
— Oui, d’accord. Bye.
La jeune fille se faufila vers la sortie et sourit à Lucas avant de s’éclipser complètement. William avait l’air plus perdu que jamais. Il était 17 heuresil songeait à rentrer chez lui maisil avait enfin l’occasion de parler à ce Lucasle plus beau du club d’après ses observations personnelles. Lucas, lui, se demandait non seulement pourquoi le jeune président restait là, silencieux, regardant le sol, mais aussi s’il y avait quelque chose entre lui et Gisèle. William serait-il bisexuel finalement ? Il devait en avoir le cur net.
— Euh, William
— Appelle-moi Liam. Jepréfère ce surnom
— OK Liam
Le soleil projetait une lumière rouge et orangée, et ses rayons teintaient les yeux de Lucas d’une couleur grise sur les bords William le regardait avec admiration.
— Dis-moitoi et Gisèle vous avez l’air de bien vous entendreet à ce qu’elle a dit, vos parents se connaissent alors, je me demandaisest-ce que tu
— Je ne sors pas avec elle !, dit le jeune brun, un peu trop rapidement. Il s’en rendit compte et rougit face au sourire contenté de Lucas.
— OKc’estbon à savoir
— On est juste amis d’enfance, elle et moi
— Je vois.
Lucas discutait sans arrêter d’astiquer son appareil photo. William le regardait, curieux de voir ce que cachait l’appareil.
— Dis-moitu as pris de beaux clichés aujourd’hui ?je peuxje peux regarder ?
— Euhnon, non il n’y a rien d’intéressant, je t’assure.
— Allezjuste pour cette fois
William venait de s’approcher dangereusementet Lucas se résigna. Il lui tendit l’appareil, et se dirigea vers la fenêtrerougissant. Il savait ce qui allait se passer. William allait voir ses clichés.
Le jeune président alluma l’appareil, et chercha dans la galerie d’images. Il fut très surprisvraiment surpris. Sur les images, pour la plupart, il n’y avait que des photos d’un garçonbrun aux yeux vertstantôt dans les couloirs, tantôt dans la cour de l’école, tantôt à la cantine. William rougit en voyant toutes ces images de luiil se retourna vers la fenêtre pour voir Lucas, se grattant la tête, terriblement gêné.
— Ne le prend pas malen fait, c’est quele club t’a pris pour modèle et on a tous pris des photos de toien cachette.
— Ah oui ? maisil y en a presque une trentaineet elles n’ont pas été prises le même jour.
Lucas se retourna, prit son appareil photo, le plaça dans le placard qu’il ferma à double tour, et il se dirigea vers la sortie.
— Tu pars déjà ? Mais je
— J’ai des trucs à faire.
— Je m’étais dit queen faiton
— Désolé, je n’ai pas le temps. T’as surement des amis avec qui discuterà plus.
Et c’est ainsi que le jeune homme canon quitta la pièce. William s’écroula sur une chaise, et regarda le soleil se coucher lentement. Il était dégouté. Maintenant, il était sûr que Lucas en pinçait pour lui. Mais ce n’est apparemment pas si facile de lui faire comprendre discrètement que pour lui, c’était pareil. Il se leva, et frappa le mur tout doucement avec son front.
— Je suis vraiment nulun vrai nigaudpourquoi je lui ai fait la remarque des photos ?
Lucas, de son côté, faisait route vers sa demeure. Il s’arrêta devant sa maison, après quelques minutes passées sur sa moto. Il ouvrit son sac. Il chercha pendant longtemps mais ne trouva pas la clé. Misère. Il se souvint les avoir placés dans le placard du club. Résigné, il donna un grand coup sur la porte d’entrée et retourna vers sa moto. Il prit la route, et après environs 20 minutes, il se retrouva devant le Lycée. Déjà 19 heures. L’obscurité enveloppait la ville. Quelques lumières éclairaient le Lycée. Lucas se faufila discrètement, de peur d’attirer l’attention des gardiens. Il parvint à entrer, heureusement, et se dirigea rapidement vers la salle photo. À l’intérieur, il semblait n’y avoir aucune lumière. Il entra en ouvrant le porte violemment. Il entendit un petit cri. Il sursauta lui aussi. Une lumière violette se faisait voir sur les murs, et quelques photos restaient trempées dans un liquide. D’autres trônaient, perchés sur des fils, et séchaient. William était au centre de la pièce.
Il se leva et courut fermer la porte, avant que la lumière extérieure de gâche ses photos. Lucas restait bouche bée face au jeune homme, les cheveux attachés, les yeux brillants de curiosité.
— Qu’est-ce que tu fais là ? Demanda William, caché derrière une chaise.
— Toi, qu’est-ce que tu fous icià cette heure ?
— Je développe des clichéset j’ai le droit de rester tard icialors que toi
— J’ai oublié mes clés. T’inquiète, je les récupère et je disparais, monsieur le président.
Lucas avait l’air vexé. Il se dirigea vers le placard des appareils photo et récupéra sa clé. Puis il s’apprêtait à partir, quand une petite main lui saisit le bras droit.
— Attends Lucas
— Quoi ?
Lucas se retourna. Et il se retrouva à peine 15 centimètres du Brun. Il ne s’était pas rendu compte qu’il fût si près. William ne lâcha pas son bras, et d’un simple mouvement, il se pencha en avant, et leurs lèvres fusionnèrent en un baiser fougueux. Lucas plaça ses mains autour de la taille de William, pour renforcer sa poigne, et l’empêcher de s’éloigner de lui. Mais bientôt, ils manquèrent d’air, et s’éloignèrent avec regret pour reprendre leur souffle. William était émerveilléil avait osé le faireson premier baiser. Lucas, lui, restait enchanté, découvrant que le jeune président en pinçait carrément pour lui. Il le regarda dans les yeux et pris son menton, qu’il rapprocha de lui.
— Liamt’es tout chaudet tu transpiresc’est moi qui te fais cela ?
— Désoléje suisjusteexcité
Lucas arrêta de parler. Il ne voulait pas discuter. Il voulait profiter. Maintenant. Doucement, dans l’obscurité partielle de la salle, il prit la main de William, et la posa sur son entrejambe. Il frotta tout doucement son entrejambe contre la main de William, qui avait l’air super excité. Il aimait cela. Lucas passa au niveau supérieur, et déboutonna son jean. Il posa la main de William autour de sa bite, et fit des vas et viens. Il lâcha prise. Willy continuait les vas et viens, sans arrêter de regarder Lucas droit dans les yeux. Ils respiraient bruyamment. C’était génial. Lucas chuchota à son partenaire de se déshabiller. Il s’exécuta. Puis se positionna à genoux. C’était la première fois qu’il allait faire cela. Mais il en avait très envie. William suça tout doucement le gland de Lucas. Mais lui il n’avait pas l’air d’accord. Il enfonça toute sa bite dans la bouche chaude et humide du brun. Celui-ci avait 19 centimètres dans la bouche, et avait du mal à respirer. Mais il s’en fichait.
C’était trop bon. Lucas enfonçait sa bite de plus en plus profondément à chaque fois, en tenant fermement la tête de son petit soumis.
— Alors, monsieur le présidentsi tu savais combien de fois j’ai rêvé de te défoncer comme cela partout. Et t’aimes. Dis-moi que t’aimes.
William ne pouvait évidemment pas répondre. Après quelques secondes, Lucas poussa un râle viril, en déversant son sperme dans la bouche du brun. Celui-ci avala tout, et sourit, rougissant.
— C’est un peu saléj’adore le gout.
— Content que cela te plaise.
William rampa doucement jusqu’à monsieur belle gueule, et l’embrassa langoureusement, en le branlant, et en le caressant. Après quelques minutes, la bite de Lucas était à nouveau opérationnelle. Il se leva, et demanda au brun de se mettre à quatre pattes. Le soumis s’exécuta à nouveau. Il fut surpris, car à peine avait-il mis les mains au sol qu’il sentit quelque chose de chaud et d’un peu gluant se faufiler dans son anus petit à petit. Lucas lui bouffait le cul. Ils restèrent ainsi quelques minutes. Puis Lucas y alla avec ses doigts, d’abord tout doucement. William gémissaitil avait un peu mal au début, et la sensation était étrange, mais cela devenait de plus en plus excitant. Mais sans prévenir, Lucas retira ses doigts et enfonça d’un coup sa grosse bite dans l’anus du brun. Il plaça sa main sur la bouche du soumis. Celui-ci gémissait de douleur. Quelques larmes inondèrent ses jolis yeux verts.
— Calme-toije vais y aller petit à petittu vas voir, tu vas adorer avoir ma bite totalement enfouie dans ton beau cul.
Lucas faisait ces mouvements, d’abord tout doucement, puis de plus en plus vite. Il y allait carrément à fond, trop excité pour s’arrêter. William gémit et cria. Il ressentait une excitation insoutenable, en même temps qu’une douleur intense. Soudain, il entendit du bruit dans les couloirs à l’extérieur. Il essaya de se relever, mais Lucas le retint au sol et continua à lui labourer le cul, en gémissant de plus en plus fort, et de plus en plus vite.
— Lucas, je crois qu’il y a quelqu’un. Arrête.
— Attendjuste quelques minutesj’arrive.
William ressentait une chaleur intense qui l’envahissait. La sensation des couilles froides de Lucas qui s’écrasaient sur ses fesses à chaque coup lui faisait ressentir une douce excitation. Il adorait cela. Mais il n’était pas rassuré. Lucas continuait à pilonner. Sa bite sortait et rentrait rapidement. Il avait les yeux fermés, et les deux mains placées sur les hanches du soumis, afin de le dominer, et de s’enfoncer complètement à l’intérieur de son cul si serré. Si chaud, et tellement serré. Il sentait que la jouissance approchait. Il pilonna plus fort, plus vite. Ses couilles s’écrasaient sur les fesses du soumis en faisant un léger bruit répétitif. Des bruits de pas se firent entendre.
— Lucas, arrête, quelqu’un arrive. Lâche-moi.
— T’adores te faire défoncer comme ça ? Je sais que t’aimes ça.
Lucas n’avait pas l’air d’y prêter attention. Il continuait de faire son affaire en retenant William au plus près de sa bite.
— Je m’en fichec’est trop bon
La porte s’ouvrit tout à coup. Au même moment, Lucas poussa un cri de satisfaction. Il se déversait dans le cul de William, et tout ça devant le professeur de sciences, qui venait d’entrer dans la salle photo. Lucas se retira du cul de son soumis et s’écroula sur le sol. William, lui, face au professeur, à quatre pattes, du sperme entre les fesses, se demandait ce qui l’avait pris de faireça. Ici. Le professeur le regardait perplexe. Et une bosse se fit voir sur son pantalon.
— Alors, les jeunes, on joue ?