Je m’appelle Ludovic, j’ai 23 ans et cette histoire s’est passée il y a 6 ans lorsque j’en avais encore 17.
J’étais partis en vacance en Italie avec mes parents et ma sur dans notre résidence secondaire comme tout les ans pendant les vacances d’été. Mais cette fois-ci j’étais partis avec Mathilde, ma meilleure amie que je connaissais depuis mes 3 ans. Mathilde m’a toujours plu avec ses longs cheveux blonds, ses yeux bleus verts qui changeaient de couleur en fonction du temps. Elle était grande et avait des petit seins et était très fine mais elle avait un petit fessier bien rebondit très appréciable.
La maison ne comportant que 3 chambres, ma sur avait le droit a sa chambre pour elle toute seule ce qui n’était pas le cas de Mathilde et moi, à mon plus grand plaisir. J’avais déjà dormis chez Mathilde mais toujours dans des chambres séparées ça allait donc être différent.
Dès le premier soir, je l’a vis en pyjama et pas n’importe quel pyjama : shorty bleu marine très court qui mettait en valeur ses petites fesses et qui me permettais de voir ses grandes et magnifiques jambes, et un débardeur blanc moulant. Devant un tel spectacle je bandais comme un taureau ce que ma meilleure amie remarqua. Au début elle était un peu gênée puis elle brisa le silence :
-Et bien je te fais te l’effet, dit-elle en rigolant.
Je me mis à rougir et répondis :
-Euh c’est sur, tu es très jolie mais désolé.
-Désolé de quoi ?
-De ma réaction, c’est pas normal de bander comme un cheval devant sa meilleure amie.
-Mais si c’est la nature et puis c’est flatteur.
— Oui mais bon..
Depuis qu’on parlait elle arrêtait pas de regardait mon érection ce qui n’arrangeait rien a mon cas.
— Je peux toucher ?
Très surpris de cette demande je bafouilla :
— Euh je euh je sais pas trop..
— Je pense que tu en as très envie, dit-elle en rigolant.
Elle se retourna ferma la porte à clef revient vers moi, m’asseya sur mon lit, et prit ma queue dans mon short. Elle me regarda dans les yeux et vit que j’appréciais son geste puis elle sortit ma queue de mon short.
— Waow tu n’as pas à te plaindre toi dis donc !
— Merci, mais c’est un peu égoïste d’être le seul à poil.
— C’est vrai.
Sur ces paroles elle enleva son débardeur et son shorty. Elle était a présent entièrement nue et surtout magnifique, je leva mon t-shirt pour qu’on soit à égalité : tout les deux nus.
— Je l’ai jamais fais.
— Il y a un début à tout, lui dis-je en prenant ses cheveux pour diriger sa bouche vers ma bite.
Elle entama alors une fellation divine, surtout pour une première, en me faisant des gorges bien profondes et en me regardant dans le blanc des yeux. Elle me lécha et me goba même les couilles, je l’avais jamais imaginé comme ça moi qui l’a connais depuis la maternelle, quelle salope.
— A ton tour, me dit elle en désignant sa chatte entièrement rasée, il n’y avait pas un poil.
Je commença par boire son délicieux nectar puis glissa quelques léchouilles. Elle lança quelques gémissements pendant que je commençais à me lacer de ces préliminaires, je voulais vraiment la baiser surtout que c’était ma première fois à moi aussi. Je retira ma bouche et dirigea mon sexe vers son minou.
— Pas trop fort s’il te plaît.
— T’inquiètes pas, puis je rentra tranquillement et facilement vu comme elle mouillée.
— Mhmm, a ce bruit je compris qu’elle aimait ça et je lui dis d’être plus discrète et lui rappela qui y’avait ma famille juste à côté
— Pas grave, prends moi fort !
— Pas de soucis ! Tout bien réfléchis je m’en foutais vu l’état dans lequel j’étais.
Je lui assénais a présent de violent coup de boutoir avec mon jolie engin de 22 sur 5 cm.
Plus j’allais vite plus elle hurlait, elle ne jouissait pas elle étais en transe !
Je lui demanda de se mettre à quatre pattes, puis je commença la première levrette de ma vie, et commença a m’intéresser à son autre trou.
— Ah non pas là ta bite ne rentrera jamais !
— Mais si ne sois pas si pessimiste, sur ces paroles je lui mis deux doigts dans les fesses tout en défonçant sa chatte. Ça rentrait comme dans du beurre, je rajouta deux autres doigts, même résulta. Je retira alors ma queue et me dirigea vers son anus.
— Écartes bien ton cul !
— Encules moi ! Elle avait apparemment changer d’avis la chienne. Son cul était vraiment parfait et ne demander qu’une chose comme elle : se faire sodomiser.
Après un peu de résistance j’étais libre de faire des vas et viens rapides.
Il ne me fallut plus bien longtemps avant de cracher toutes la semence de mes couilles dans son cul.
— Je me sens toute remplie dit-elle toute joyeuse.
— La prochaine fois dans la bouche, lui dis-je en souriant.
— Ah ben oui !
La famille avait tout entendu, à suivre..
