Je m’appelle Jean, j’habite Orléans je suis hétéro mais je deviens de plus en plus bi. J’ai 60 ans, 1m71 80 kilos, poilu des jambes et du pubis. Une belle queue épaisse qui en érection mesure 20 centimètres
A force de mater des vidéos pornos depuis quelque temps je m’attarde plus sur les vidéos de travestis et de trans, j’ai un fantasme, sucer une bite et me faire pénétrer.
En consultant les petites annonces je tombe sur un site donnant des adresses de lieux de rencontre. Un de ces lieux se trouve à quelques minutes de chez moi dans un petit bois à la périphérie de la ville.
Je décide donc d’essayer de réaliser mon fantasme et de prospecter.
Arrivé sur les lieux, d’abord en curieux, je me promène à la recherche de la faune particulière.
Apparemment, quelques hommes, pas de travesti.
Au détour d’un chemin, dans un endroit retiré un homme seul d’une cinquantaine d’années probablement, bien bâti vêtu d’un léger trois quarts assez long, semble faire tranquillement les cent pas. Je le croise en le regardant fixement lui aussi me fixe.
Je prends mon courage à deux mains et le questionne :
« Bonjour, vous cherchez quelque chose ? »
« Et vous ? »
« Peut-être la même chose »
« Mais encore ? »
Je me lance :
« Je cherche une queue à branler et à sucer si elle est propre et si possible me faire prendre »
« Vous m’excitez »
« Vous bandez ? »
Je m’approche de lui, j’écarte les pans de son manteau, il est pratiquement nu juste un pantalon. Sa carrure fait qu’il a des seins bien formés comme un athlète il a déjà la queue sortie de sa braguette et effectivement il bande dure.
« Elle vous plaît ? »
« Ma foi, c’est un beau calibre »
« Et vous ? »
« En voyant votre bite, je bande aussi »
J’ouvre ma braguette et ma queue émerge d’un seul coup car je n’ai pas de slip.
« Bel engin aussi, je peux sucer ? »
Nos deux queues se rapprochent et nous nous frottons tendrement.
« Caresse-moi les tétons, ça m’excite. »
Je voudrais bien les sucer mais je n’ai pas l’habitude sur un homme.
Il se penche, me caresse les couilles prend ma bite à pleine bouche et commence à pomper en entourant mon gland de sa langue avec de petits mouvements circulaires.
« C’est bon, tu suces merveilleusement »
En même temps, il a passé sa main sous mes couilles et entreprend de me caresser le cul.
« Si tu me mouilles bien, tu dois pouvoir m’enculer, j’ai vraiment envie, suce-moi le cul »
Je sens sa langue faire le tour de ma rondelle et pénétrer progressivement. Il me mouille abondamment avec sa salive et vient le moment où il présente sa queue à l’entrée.
« Va doucement, même si je me gode avec de gros calibres, il faut que je me dilate »
Il entre lentement et dès les sphincters passés, je sens tout son membre m’envahir.
« Vas-y, c’est bon ! Baise-moi, encore, plus fort, j’étais telle ment excité de voir ta queue que je me sens monter, je vais jouir du cul ; oui c’est, c’est bon ahh »
« A moi, je vais partir à mon tour »
« Non, ne jouis pas dans mon cul, vient déverser ton foutre sur les poils de ma queue »
Il se retire et se retourne vers moi, je prends sa bite à pleine main et le masturbe près de mon pubis, il ne tarde pas à éclater dans un puissant jet de sperme qui me crépit la toison et les couilles. Sans prévenir, il se baisse et me nettoie en léchant complètement son foutre. J’aimerais bien goûter ce jus mais je n’ai pas l’habitude d’embrasser les hommes.
« Crache-moi le reste de ton jus dans la bouche, je veux le goûter. »
J’ouvre grand la bouche et il s’empresse de coller ses lèvres sur les miennes en introduisant sa langue. Je ne résiste pas et il me roule une pelle d’enfer. Nos langues s’entrelacent dans un mélange de sperme et de salive. Je recommence à bander, il le sent et me masturbe vivement, je ne tarde pas à éjaculer mais tout tombe par terre.
« Dommage, j’aurais moi aussi voulu goûter ton jus mais ce sera peut-être pour une prochaine fois. Je t’inviterai chez moi et te ferai une surprise. Mon prénom est André et toi ?»
« Jean »
Nous échangeons nos numéros de téléphone et nous séparons avec chacun une caresse au niveau de nos sexes.
Pour une première, c’est réussi ! Jamais je n’aurais pensé me laisser aller comme cela à part dans mes rêves fantasmiques. Je pense avoir envie de recommencer.
Quelque temps après, n’y tenant plus, j’ai envie de recommencer l’expérience avec André.
Je l’appelle :
« Allô André bonjour c’est jean tu te souviens dans le bois ? Comment vas-tu ?»
« Oui Bonjour, je vais bien et toi »
« Moi aussi, tu m’avais dit que peut-être nous pourrions nous rencontrer à nouveau chez toi, qu’en penses-tu ? »
« Je suis libre ce soir si ça te convient, j’habite 50 rue des Petites Tours au n° 52 du 5e étage. Si tu peux venir vers 19h ce serait bien »
« OK, j’y serai, à plus »
A l’heure dite, je sonne à la porte qui s’entrebâille laissant apparaître une forte femme en petite tenue. Le courant d’air provoqué par la porte ouverte soulève son déshabillé laissant apparaître furtivement un entrejambe pourvu d’une abondante toison brune. La dame ne s’en offusque pas.
« Oh, excusez-moi madame, j’ai dû me tromper, je venais voir un monsieur prénommé André. »
« C’est bien ici, vous êtes Jean ? Je suis Marie, sa femme. Il vous attend dans la chambre, je l’ai mis en condition. Ma tenue vous plaît ? »
Un peu décontenancé, je me souviens de ces paroles « je te ferai une surprise »
En m’annonçant la « mise en conditions », Marie pose ses mains sur mon pantalon comme pour me caresser la queue.
« Je suis surpris mais c’est très agréable, votre imposante poitrine me fait beaucoup d’effets. Jean a de la chance »
« Mais vous allez avoir aussi cette chance, il n’y a pas qu’André qui vous attend, nous avons projeté une partie à trois. Il m’a raconté votre rencontre et ça m’a beaucoup excitée. »
Puis Marie me conduit à la chambre.
Cette femme assez dodue, a une énorme poitrine qui danse au gré de ses pas et un gros cul de salope qu’on a envie de caresser. Que nous réserve-t-elle ?
A l’arrivée dans la chambre aux lumières tamisées, je comprends la mise en condition.
André est allongé sur le lit, sur le dos, à poil, les jambes écartées. Et son gros calibre raide comme un gourdin émerge d’un string de femme. Ses jambes sont gainées de bas noirs tenus par un porte-jarretelles. Je trouve cela très excitant.
Marie se rapproche de moi.
« Je vais te déshabiller, ça m’excite, vous me baiserez tous les deux et après vous pourrez recommencer votre petit jeu entre vous »