Mes premières aventures sexuelles.
Mon père a eu 11 enfants il lui était impossible de nous faire vivres tous ensembles avec un minable salaire de fonctionnaire au bas de l’échelle, il avait décidé que moi l’ainé que je devais être chez mon oncle paternel. lui il n’avait pas d’enfants. En plus le lycée était juste à coté. Mon oncle était veilleur de nuit dans une usine. J’avais à peine 16 ou 17 ans.
Un soir ou il était en congé de récupération, il me demanda de l’accompagner au bain â more en compagnie du concierge de l’immeuble et qui était aussi un prof de français au lycée.
A cet age là je n’avais aucune idée des relations sexuelles.
Dans le bain more tous ce passa normalement à un détail près. Mon oncle ne pouvant pas supporter la chaleur se lava très vite et sortit, je suis resté avec le voisin, il n’y avait pas beaucoup de monde, il me demanda de lui frotter le dos ce que je fis tout de suite, après c’était son tour de me frotter, il le fait avec une très grande délicatesse, le dos puis la poitrine il était assis par terre, il me mit sur le dos avec ma tête sur sa cuisse droite, il me frottait très doucement en allant de plus en plus bas vers le seul habit que je portais: le slip. Sa main allait de plus en plus bas au point ou à un certain moment sa main se glissa sous l’élastique du slip.
Et de plus en plus vers le bas.
Je commençais à bander dès qu’il me frôlait le bas ventre et approchait sa main de plus en plus vers ma bitte, de plus en plus je ne pouvais le regarder dans les yeux, après de douces caresses sur ma partie génitale il me demanda de me lever et que c’était fini. A ce jours, après que cette histoire ce passa, il a près de 40 ans je la vis toujours.
J’avais un peu honte de moi le lendemain, dans la cour du lycée, ce jours là j’avais essayé de ne pas le croiser, ce prof de français de malheur mais au fond de moi ce n’étais que le contraire de ce que je pensais.
Quelques jours plus tard mon bulletin de note atterri dans les mains de mon oncle: nul et très nul en français il me criait au point de l’entendre de très loin, il m’ordonna d’aller illico-presto chez le prof de français, que je vais le nommer FF et mon oncle LL, pour prendre des cours du soir chez lui.
La première semaine sans encombre ni embrouille mais je n’osais pas le regarder dans les yeux.
La semaine suivante, assis tous les deux par terre accoudés à une table basse "ronde (meida)" il commença à me poser des questions indiscrètes et enfin la question fatidique: as tu aimé ce que je t’ai fait au hammam »
J’ai répondus par un minuscule « oui monsieur.»
Il mit sa main sur ma partie HOMME, je ne pouvais resté inerte.
Il alla tellement loin, au point ou sa main droite me masturba.
Je ne pouvais en rester là je déboutonnais mon pantalon pour lui donner champs libre mais sans aucunes paroles.
Il m’a sucé comme s’il trayait une vache, je ne tarderais pas à lui en mettre plein la bouche. Je ne sais pas s’il avait avalé ma semence ou bien recraché, je ne me rappelle pas de ce détail, j’étais dans un état second "au ANGE".
Depuis ce jours je me pressais d’aller chez lui le soir vers 18 heures, sa femme était généralement avec la femme de mon oncle et sa fille qui travaillait comme dactylographe dans une banque, prenait des cours de sténo. Dans une école à coté du théâtre nationale. Elle ne rentrait que vers 21 heures accompagnée par son fiancé. Moi je me régalais de plaisir tous les jours avec FF.
Je prenais un énorme plaisir au point ou je me disais bien "(et avec une femme le plaisir serait encore plus grande)"
Je décidais ce jours là d’essayer de voir le corps de la femme de mon oncle. Puisque mon oncle travaillait le soir, je couche dans la même chambre avec cette femme, mais pas dans le même lit) mais par terre sur un matelas. Habituellement c’est à moi d’éteindre la lumière de la chambre, mais ce soir là je lui es dit que jâété très fatigués par le sport du lycée©e et que j’avais sommeil. Elle me prépara le matelas comme d’habitude, je me suis couché très vite et fais semblant de dormir comme un ours polaire. Tout en gardant l’oeil vif je savais qu’elle allait se déshabiller après s’être assurée de mon sommeil profond, elle se déshabilla et là je découvris pour la première fois le corps d’une femme nue. Des nichons à vous couper le souffle, un corps EXTRAORDINAIRE, j’en bavais: une vraie femme de 40 ans. Une sosie de URSLA ANDRESS (grande actrice hollywoodienne). J’ai gardé cette image toute ma vie et pourtant j’ai toujours eu un grand respect pour cette femme.
Bref des semaines passent et se ressemblent, toujours mes aventures amoureuses avec FF, je le pénétrais au moins 2 fois par semaine, les autres jours il me suçait seulement. Tout dépens à quelle heure, le début de notre relation jusqu’au jours ou ses deux mains commencent à se balader vers mes fesses, par-dessous il commença par me tripoter les couilles et avança ses mains vers mes fesses, je pris goût, il m’a demandé gentiment.
— FF- tu ne veux pas de mes mains là ou elles sont.
— MOI- ça ne me dérange pas.
— FF- tu vas aimer ça à la longue
— MOI- comme ça?
— FF- tu vas jouir plus vite que d’habitude.
— MOI- alors là je le voudrais bien ne t’arrêtes pas
— FF- même si je vais plus loin
— MOI- ça veut dire quoi plus loin
– FF- tu verras, laisses toi aller
Il me chatouilla l’anus avec ses doigts et commença à les enfoncer doucement sans douleur.
Je commençais à gémir OUIIIIIIIIIIII
— FF- tu vois c’est très bon.
— MOI- oui mais ça me fait plus mal.( prétexte)
Il me demanda alors
— FF- tu veux autres choses?
— MOI- quoi donc?
Il prit ma main et la posa sur sa tour de PISE
— FF- caresse moi doucement.
— MOI- hummmmmmm.
— FF- ne va pas trop vite
— MOI- oui?
— FF- et comme ça je ne te fait pas mal
— MOI- non
— FF- c’est bon?
— MOI- oui
Ce jours là il a joui avant moi
Puis c’est devenue presque systématique notre relation en plus de mes très bonnes notes en français qu’il m’attribuait en guise de remerciement ou autres et que mon bulletin de note a grimpé majestueusement au point ou le proviseur m’a personnellement félicité de mes efforts cette année là.
C’est la fin de l’année scolaire l’été approche à grand pas ainsi que les préparatifs du mariage de la fille de FF, ça se passera à la fin de juillet de cette année une fête modeste à l’algéroise avec tous le rituel, coutumes et traditions, mes aventures avec FF n’ont plus raison d’être puisque je passe en classe de terminal avec mention, en plus chez lui c’est plein de monde, la famille du bled qui est là, 1 mois avant la fête pour la préparation du couscous et tout le reste.
La fête se passa très bien, la mariée malgré des kilos d’ingrédients de maquillage, je ne la trouve pas jolie, ni belle, la femme de mon oncle plus âgée qu’elle de plus de deux décennies était largement plus belle qu’elle.
Après que le cortège nuptiale eut quitté le domicile de FF, mon oncle en congé annuel me demanda de rester avec lui et FF afin qu’ils donnent des boissons alcoolisées. Moi j’avais droit à la bande dessinée jusqu’à tard dans la nuit. Je suis parti me coucher mort de fatigue mais sur le lit de mon oncle, je portais tricot de corps et pyjama, il faisait très chaud cette nuit, je dormis très vite, à un certain moment j’entendis mon oncle rentrer complètement saoul, pour ne pas qu’il me dérange je fis semblant de dormir. Il faisait attention de ne pas me réveiller il ne dormait qu’avec son slip, le seul et unique linge sur sa peau. Je ne fis aucune attention, mais 1 heure plus tard je sentais un gros engins entre mes fesses, il m’avait déculotté et me frottait le dit engin sur mes fesses, je faisais toujours semblant de dormir, il avait un truc ENORME, un monstre, le salaud il voulait me baiser mais au fond je le voulais bien. Quelle dommage il ne m’a pas pénétré.
Le matin petit café comme d’habitude sans aucune remarque de ce qui c’est passé hier soir et la semaine passa merveilleusement puisque pendant tous les nuits je rêvais de mon oncle.
Pendant le week-end prochain le début du mois d’août, nous somme partis à la plage, moi, l’oncle et FF. Ce jours là il faisait gris au point ou après quelques heures de la matinée le soleil se dissimula pour une averse, nous nous somme très vite précipités dans le cabanon à la MADRAGE actuelle DJAMILA, à l’est d’Alger, sur le littoral, je suis resté sur le seuil de la porte pour ne pas voir mes deux adultes se donner au vins. Après un long moment je décidais de rentrer, mais j’entendis des gémissements curieux, comme je suis,je fais le tour de la baraque pour voir par un hublot ce qui se passe.
Je suis stupéfié devant une scène.
FF se faisait baiser par mon oncle.
Je voulais raller mais je me suis abstenu, je voulais quelque chose mais quoi!!!!!
Je retournais à la plage sans dire un mot.
Nous rentrâmes chez nous sans faire d’allusion à ce que j’ai vu
Ils me déposèrent chez mon père pour quelques temps, ils devaient peindre l’appartement.