Je me réveillai à l’hôpital, j’avais un plâtre de la main gauche jusqu’au coude, un autre à mon poignet droit, et un troisième à ma jambe gauche qui s’étendait de mon pied jusqu’à mon genou. Dans la chambre, il y avait un docteur et une infirmière, ils remarquèrent que j’ouvrais mes yeux et le docteur commença à me parler :
— Comment allez-vous ?
Je n’arrivais pas à parler alors je fis oui de la tête.
— Vous avez eu de la chance, vous n’avez que quelques fractures mais vous aurez ces plâtres pendant quelques jours.
Il partit aussitôt et ce fut ma seule visite de la journée. Le lendemain, j’arrivais à parler, il revint avec la même infirmière et il recommença à me parler :
— Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?
A : J’ai un peu mal mais sinon ça va. Depuis combien de temps je suis ici ?
— Ça fait deux jours.
A : Pourquoi suis-je à l’hôpital ?
— Vous avez été percuté par une voiture. Mais comme je vous l’ai dit hier, vous avez eu de la chance. Je vais vous laisser.
Il partit mais l’infirmière resta, elle me dit :
V : Bonjour, je m’appelle Valentina. Je vais m’occuper de vous pendant votre séjour, à moins que vous ne soyez gêné que je vous fasse la toilette ?
A : Non, c’est bon, ça ira.
La veille, j’étais encore un peu étourdi et je n’avais pas remarqué que c’était une jeune infirmière (elle devait avoir dans les 25 ans), d’origine italienne ; vu son prénom et son léger accent. Elle avait de jolis yeux bleus à peine maquillés de noir et des cheveux noirs, coiffés en queue-de-cheval, encadraient son doux visage. Elle avait des jambes finement musclées et des seins ni trop gros ni trop petits. Sa blouse blanche n’était pas entièrement boutonnée ce qui laissait apercevoir un liseré de dentelle de son soutien-gorge. L’infirmière ferma la porte à clé et revint vers moi :
V : Je vais vous aider à vous lever.
Elle releva le haut du lit grâce à un petit boîtier puis me prit sur son bras et on se dirigea vers la salle de bain de la chambre. Elle m’ôta la chemise, prit un gant de toilette et commença à me laver. Elle passa sur tout le corps et fini par mon sexe. J’ai ressenti le début d’une érection mais son nettoyage ne me permit pas de bander. Il y avait un sac à côté d’elle, elle en sortit un t-shirt et un short. Elle cherchait encore quelque chose à l’intérieur ; sûrement un boxer mais elle n’a rien sorti. Elle m’enfila mes habits et me ramena dans le lit puis elle sortit. Durant l’après-midi, ma sur et ma mère me rendirent visite. Elles restèrent pendant une demi-heure et me ramenèrent mon téléphone, mon ordinateur portable et mes oreillettes. Lorsqu’elles furent parties, je regardai mes messages de mon téléphone, Éléana m’en avait laissé une bonne vingtaine. Je lui envoyai, par SMS, que j’étais à l’hôpital depuis deux jours et lui demandai si elle pouvait venir aujourd’hui. Elle ne me répondit pas.
Le lendemain, Valentina revint pour me faire ma toilette. Elle fit comme hier mais je trouvais qu’elle s’était un peu plus attardée sur mon sexe. Ma bite avait commencé à bander quand elle s’arrêta. Elle me remit des affaires après m’avoir séché et me ramena dans le lit. L’après-midi, je ne reçus pas de visites et je passai tout mon temps à écouter de la musique. Le jour suivant, c’est de nouveau Valentina qui fit ma toilette mais, avant de commencer, elle déboutonna sa blouse. Elle ne portait pas de soutien-gorge donc j’avais une libre vue sur sa magnifique poitrine. Elle se positionna en face de moi et commença à me masturber. C’était une experte en la matière et il ne lui fallut pas longtemps pour que de longues giclées de sperme atterrissent sur sa poitrine. Après mon éjaculation, elle enleva chaussures, chaussettes, pantalon, string et blouse. Ma semence coulait entre ses seins et quand elle eut fini de se déshabiller, elle étala mon liquide blanc et crémeux sur ses montagnes jumelles. Elle recula dans la cabine de douche et me dit :
V : Je viens de passer une nuit de garde et j’ai besoin d’une petite douche. Mon petit jeu avec ta queue est une raison de plus pour que j’en prenne une.
Elle ne ferma pas la cabine de douche, prit le pommeau de la douche et fit couler l’eau. Elle se rinça grossièrement la poitrine. Les gouttelettes d’eau ruisselaient doucement sur ces monts ce qui mit une note d’érotisme à cette toilette. Elle prit le savon (c’est un savon liquide) et commença à se laver. Sans avoir fini de se doucher, elle sortit de la cabine et débuta ma toilette. Elle déversa beaucoup de savon sur ses seins et me l’étala en se servant de sa poitrine comme d’un gant de toilette. Ses tétons étaient turgescents mais c’était très doux. Lorsqu’elle eut fini de me nettoyer le dos et le ventre de cette manière, elle s’attarda sur mon sexe, et surtout sur les parties que cache mon prépuce, et n’hésitait pas à utiliser une bonne dose de savon prétextant que ça faisait, au moins, depuis mon arrivée à l’hôpital que cette partie de mon anatomie n’avait pas été lavée. Elle finit de faire ma toilette dix minutes plus tard et rajouta qu’elle envisageait de refaire ce qu’elle avait fait aujourd’hui les prochaines fois.
Durant l’après-midi, pendant que j’écoutais de la musique, je vis la porte de ma chambre s’ouvrir. J’enlevai mes oreillettes et j’entendis << SURPRISE !!!>>. À ce moment-là, Éléana entra dans la chambre :
É : Salut ! Ça va ?
A : Ça peut aller. Et toi ?
É : Ça va. Je suis désolée pour les messages que je t’ai envoyés.
A : Ne t’inquiète pas pour ça je ne les ai même pas tous lus.
É : Mais je t’ai traité comme le pire des salauds alors que t’étais ici.
A : Ce n’est pas grave tu ne pouvais pas deviner que j’étais ici.
É : Je ne te mérite pas…
A : Arrête de dire des conneries !
Elle commença à pleurer, je lui dis de venir sur le lit et elle s’exécuta. Elle fit attention à mes plâtres et posa sa tête sur mon épaule. Quelques minutes après, ses pleurs avaient cessé. Elle se positionna à califourchon sur moi et planta son regard dans le mien. Ses yeux avaient une étincelle que je ne reconnus que trop bien.
É : Il y a quelque chose que je peux faire pour me pardonner ?
A : Je ne sais pas. Qu’est-ce que tu me proposes ?
É : Eh bien… Je pourrai m’occuper de…
Tout en parlant, les doigts d’Éléana se déplacèrent pour finir au niveau de l’élastique de mon short qu’elle agrippa et descendit jusqu’à mes genoux. Elle prit en main mon sexe encore flaccide et commença de petits mouvements comme un massage pour me faire durcir. Plus mon sexe durcissait, plus ses mouvements se rapprochaient d’une masturbation. Lorsque mon sexe fut pleinement en érection, Éléana était étendue sur mon flanc droit et regardait sa main qui coulissait sur mon sexe, s’amusant à me décalotter et recalotter.
É : Tu es le premier à qui je peux faire ça, c’est envoûtant comme mouvement et ça m’excite. Elle me plaît beaucoup.
A : Je suis content qu’elle te plaise.
É : Elle plaît aussi beaucoup à mon minou, elle lui a manqué. Tu veux bien t’occuper de ma chatte avec ta langue avant qu’elle ne retrouve une amie qui la comble merveilleusement bien ?
A : Avec grand plaisir !
Éléana ne cacha pas le sourire que lui a donné ma réponse. Elle ne tarda pas à m’enlever mon t-shirt et à se déshabiller complètement pour me présenter son sexe à déguster. À peine avais-je déposé ma bouche sur ses lèvres que je sentis Éléana fondre sur moi en susurrant un « Hummm » ce qui la fit se cambrer encore plus. Je m’attaquai par de lents cercles, du bout de ma langue, à son clitoris encore timide. J’alternai avec des coups de langue sur ses lèvres pour la faire languir dans son plaisir. Éléana soupirait de bien-être depuis le début du cunnilingus dont je l’honorai. Elle en profita quelques instants avant de venir s’occuper de mon sexe en suçotant délicatement mon gland. Puis, de la pointe de la langue, elle m’appliquait de douces pressions sur mon frein, la zone la plus sensible pour moi, tout en déposant de la salive. Pendant que je lapai son jus délicat sans oublier de titiller son bouton d’amour, Éléana mit ma queue en bouche. Elle faisait de lents va-et-vient et sa langue s’amusait sur mon gland et ma hampe. La fellation qu’elle me prodiguait était exquise à tel point que je sentis approcher le point de non-retour. Je laissai Éléana sur sa faim côté plaisir pour la frustrer un peu et je me déversai dans sa bouche. Elle avala puis elle se remit à califourchon sur mon sexe redevenu mou.
É : C’est toujours aussi bon.
A : Toi aussi, tu es délicieuse à boire. Et j’ai encore très soif.
Après m’avoir embrassé, Éléana grimpa sur le haut du lit et se mit à califourchon au niveau de ma tête. Ses jambes écartées m’offraient une vue splendide sur son minou humide, ouvert de par sa position. Ses fines petites lèvres roses sortaient de leur écrin que forment les grandes lèvres. J’immisçai ma langue entre ses nymphes pour récolter sa cyprine puis je me focalisai sur son clitoris encore timide. Éléana gémit immédiatement et se cramponna aux barreaux du lit pour ne pas s’effondrer sur moi. Plus je titillais ou mordillais son bouton d’amour, plus ses gémissements devenaient forts. Après un petit moment, je sentais ses jambes secouer de spasmes de plus en plus rapprochés ; son orgasme était proche mais elle tentait de retarder le moment fatidique. Je décidais de lui faire atteindre sa petite mort le plus vite possible et me focalisais sur son clitoris. Il n’aura fallu qu’un court instant pour qu’elle exprime sa jouissance dans un long « Oh oui » en agrippant ma tête de ses deux mains pour la maintenir à sa place. Je suis persuadé que les personnes aux alentours de ma chambre ont dû bien entendre ce joli cri sans équivoque de ma petite amie. Je terminais ce cunnilingus d’un dernier coup de langue pour récupérer son succulent nectar produit pendant son orgasme, récoltant aussi un petit gémissement très mignon. Après avoir repris ses esprits, Éléana se blottit contre mon flanc droit à nouveau, sa main gauche est restée dans mes cheveux tandis que sa main droite caressait ma verge. Elle m’embrassa pour me remercier de son orgasme mais aussi pour sentir le goût de sa cyprine dans ma bouche.
É : Waouh !!! Et dire que c’était à moi de m’occuper de toi.
A : Oh mais je l’ai fait avec plaisir. J’adore te faire jouir, surtout t’entendre.
É : C’était merveilleux. J’ai jamais joui aussi fort pendant des préliminaires.
A : Alors il faudra qu’on en refasse encore pour vérifier.
É : Humm oui. Pour toi je me donnerai corps et âme, et tu pourras faire ce que tu veux de moi.
A : Pour l’instant, c’est toi qui fais ce que tu veux avec mon corps.
É : Je t’utilise pour mon plaisir, c’est excitant. Il est temps de passer au second round.
Disant cela, Éléana plaça ses jambes de part et d’autre de mon bassin, une lueur de luxure dans les yeux. Elle s’abaissa pour venir s’asseoir sur mon pénis, le plaquant contre mon bas-ventre avec son sexe toujours humide. Par de lents mouvements, elle fit coulisser ma verge entre ses lèvres intimes qui lubrifiaient ma queue grâce à sa cyprine qui s’écoulait encore.
A : J’adore ce que tu me fais.
É : Je fais redécouvrir ta belle queue à ma chatte.
Éléana se dirigeait maintenant vers mon gland. Elle fit des petits cercles avec son bassin, son clitoris attaquait mon frein agréablement. Lorsqu’elle eut fini de nous exciter, elle releva son bassin en accompagnant mon pénis toujours à l’entrée de son sexe. Quand elle jugea l’angle bon, elle me fit pénétrer dans son antre humide, petit à petit, nos regards ancrés l’un dans l’autre. Dès que nos pubis se touchèrent, nous n’avons pu réprimer un soupir de plaisir. Éléana commençait à monter et descendre sur ma verge, lentement d’abord puis de plus en plus vite jusqu’à trouver une vitesse régulière qui lui plaît. Elle se retenait d’extérioriser ce qu’elle ressentait, je le voyais à ses yeux fermés et sa lèvre inférieure qu’elle mordait ; j’aurais tant voulu la prendre en photo à cet instant précis tellement elle est sublime. Elle continuait ses va-et-vient, réglée comme un métronome, mais je décidais de la perturber en donnant un léger coup de bassin pour accentuer la pénétration lors de sa descente. Surprise, elle lâcha un « Han » prisonnier de sa gorge depuis trop longtemps, puis d’autres suivirent ainsi que des « Oui ». L’entendre gémir commençait à me faire défaillir et, du côté d’Éléana, je devinais à ses cris et ses mouvements saccadés qu’elle allait bientôt jouir. Après quelques allers-retours, je me déversai en elle. Mon orgasme déclencha le sien, elle s’empala sur ma queue jusqu’à la garde, la tête en arrière pendant qu’elle gémissait. Puis elle s’écroula sur moi, heureuse et fatiguée, mon sexe toujours ancré dans le sien.
É : Je suis désolée.
A : De quoi ?
É : Je m’en veux d’avoir été assez idiote de penser que tu étais comme les mecs qui séduisent des filles uniquement pour tirer un coup et qui disparaissent après, alors que tu étais ici.
A : Arrête de te torturer l’esprit avec ça. Comment aurais-tu pu savoir que j’étais à l’hosto ?
É : Ça ne m’excuse pas. Je n’aurais pas dû t’envoyer tous ces messages.
A : Tu n’as rien à te faire pardonner. Et on a passé un joli moment tous les deux. C’est le plus important, non ?
É : Tu es trop gentil avec moi.
A : Je t’aime. Et je ne veux pas que tu souffres davantage pour quelques mots.
É : Je t’aime aussi. Je ferai tout pour être une meilleure copine pour toi.
Éléana se redressa et elle m’embrassa, fougueusement, comme pour sceller à jamais ce qu’elle vient de dire. On passa le reste de l’après-midi à discuter de tout et de rien et à s’embrasser puis elle a dû partir car les heures de visites étaient terminées.
Le lendemain, Valentina revint pour faire ma toilette. Elle avait à peine fermé la porte que ses vêtements avaient déjà glissé le long de ses courbes divines. Je pus voir son pubis avec sa fine toison noire taillée en pointe comme une plume et ses lèvres totalement épilées. Ne pouvant toujours pas être debout, je restai donc assis dans la salle de bain. Elle s’est agenouillée et commença à me sucer afin de mettre mon pénis en érection. Je « subis » ce traitement pendant deux minutes puis elle se releva et se caressa au niveau du clitoris afin de lubrifier son antre intime. Elle se positionna de dos et mit l’entrée de son vagin juste devant mon gland. Elle s’empala alors, complètement, sur mon pénis. Elle commença par faire de lents va-et-vient puis elle accéléra. Elle faisait toujours pénétrer mon sexe en entier et quelquefois, elle sortait ma bite de son fourreau en chaleur pour la remettre quasi instantanément. Valentina me procurait un bien immense, je sentis l’éjaculation arriver. Elle se retira, à ma grande frustration, mais reprit la fellation et je déversai mon sperme dans sa bouche, elle avala toute ma semence jusqu’à la dernière goutte. Après sa petite collation, elle commença à me laver comme elle l’avait fait la veille mais avec une petite variante. Elle termina par ma verge, comme d’habitude, mais avant elle mit beaucoup de savon sur ses seins et elle commença à me faire une branlette espagnole. Ma queue redevint dure et, rapidement, seul mon gland dépassait d’entre ses montagnes charnelles. Après quelques minutes de ce traitement, je zébrai sa poitrine de mon sperme. Elle lava ses seins puis termina de faire ma toilette.
Cet après-midi, Éléana revint me rendre visite. Elle s’installa sur mon lit, nous nous retrouvâmes vite nus mais elle souhaitait juste rester ainsi et sentir nos peaux collées l’une contre l’autre. Nous avons discuté toute l’après-midi, parlant de nos vies respectives et apprenant un peu plus de l’autre. Puis le moment de nous séparer est venu et nous nous embrassâmes, Éléana avait une petite moue de tristesse en quittant la chambre. Le docteur revint pour me dire que je sortais demain. Le soir, c’est Valentina qui m’apporta le repas ; elle me dit aussi qu’elle est de garde cette nuit et qu’elle aimerait me donner quelque chose avant mon départ. En quittant la pièce, elle rajouta qu’elle répondait toujours quand on la sonne et ce même après 23 heures. Pendant la soirée, je réfléchissais à ce qu’elle voulait dire par « me donner quelque chose » et c’est après 23 heures passées que je sonnai. Valentina arriva après quelques minutes. Elle rentra dans la chambre et ferma la porte. Elle s’approcha du lit, lentement, en retirant ses vêtements. Une fois arrivée à mon chevet, elle retira la couette. J’avais un début d’érection ; elle monta sur le lit et commença à me sucer. Lorsque mon sexe fut aussi dur qu’il était possible de l’être, elle descendit du lit et remonta, mais cette fois-ci tête-bêche. Je pouvais enfin la remercier pour les moments de jouissance qu’elle me procurait chaque matin. Je prenais grand soin de son minou qui m’avait donné tant de plaisir ce matin. J’avalais toute la cyprine qui coulait de son antre intime. Elle avait repris sa fellation, elle s’occupait à merveille de ma queue soit par des léchouilles appliquées, soit en prenant ma verge dans sa bouche. Après quelques minutes, je déversai mon sperme chaud qu’elle avalait immédiatement. Malgré ma jouissance, elle gardait ma queue devenue plus molle dans sa bouche et s’occupa de mon gland comme s’il s’agissait d’une sucette. Je continuai d’entretenir l’humidité de son minou avec des coups de langue pour récupérer son jus ou en titillant son petit clitoris. Lorsque mon sexe se fit à nouveau dur, elle se releva et s’agenouilla, face à moi, puis elle s’empala sur mon pieu. Elle gémissait, doucement, de plaisir afin de ne pas réveiller les patients des chambres mitoyennes. Elle enfournait entièrement mon pénis en faisant des va-et-vient rapides et en malaxant ses seins. Je sentis l’éjaculation approcher et la prévins mais elle ne se retira pas et j’éjaculai dans son vagin. Elle se retira une minute après mon éjaculation et nettoya ma verge avec sa bouche. Elle se rhabilla et avant de partir, elle me dit qu’elle viendra plus tôt demain.
Le lendemain, Valentina vint une demi-heure plus tôt. Comme la veille, elle commença par me faire une fellation puis dès que mon membre fut en érection, elle s’empala dessus jusqu’à la garde. Le tempo de ses va-et-vient était encore plus rapide que celui d’hier, il ne me fallut que peu de temps pour éjaculer de nouveau dans sa chatte en chaleur. Après ce traitement, elle me fit ma toilette mais elle se doucha avant. J’étais aux premières loges et ce spectacle augmenta mon excitation. Elle le remarqua et pour la première fois elle commença par me nettoyer mon sexe grâce à une bonne branlette espagnole. J’éjaculai sur ses monts puis elle lava sa poitrine. Elle reprit ma toilette comme au premier jour. Lorsqu’elle eut fini de m’habiller, je lui demandai si c’était possible de se revoir pour baiser une dernière fois quand je n’aurais plus de plâtres et elle me répondit "quand tu veux" en me laissant son numéro de téléphone puis elle quitta la pièce. Vers dix heures, le docteur vient pour les derniers contrôles et me donna quelques consignes. Ma mère et ma petite sur vinrent me chercher et je rentrai à la maison. Je m’installai sur le canapé. Peu après, ma mère partit faire les courses. Daniela me rejoignit sur le canapé et on commença à parler :
D : Tu m’as tellement manqué pendant cette semaine, frérot.
A : Toi aussi tu m’as manqué, ma petite Dany.
D : Tu sais, ce que le docteur a dit à propos de te laver… Eh ben je vais m’occuper de toi.
A : Si tu veux, ça ne me dérange pas (après ces mots, un grand sourire illuminait son visage).
D : Dis, je peux dormir avec toi cette nuit ? Je dors si bien quand je suis dans tes bras.
A : Non Dany, pas tant que j’aurai ces plâtres.
D : Mais pourquoi ?
A : Imagine que je bouge pendant la nuit ; je pourrais te blesser avec un de mes plâtres. Je te promets que quand je ne les aurai plus, tu pourras venir autant de fois que tu veux.
D : OK Toni, on fait comme ça.
Le reste de la journée s’écoula paisiblement entre les discussions avec ma sur et le visionnage de chaînes de télé musicales.
Ça fait maintenant trois jours que je suis sorti de l’hôpital et ce troisième jour et ceux qui suivent furent surprenants.