Non loin de chez nous il y a quelques plans d’eau dont j’apprécie assez la fréquentation, particulièrement par les grandes chaleurs. D’une part cela permet de se rafraîchir, et d’autre part, ça peut-être l’occasion au minimum d’un moment agréable pour l’il, ou mieux de belles rencontres. L’un d’entre eux avait la réputation d’avoir une plage plus ou moins nudiste et/ou propice aux plans coquins les plus variés. J’en avais fait part à Pauline et nous avions décider de nous y rendre. A deux, nous étions au moins sûr de passer un agréable moment, quoi qu’il advienne… Nous avons donc convenu d’un samedi après-midi où elle avait pu se libérer pour y aller. Après nous être rejoins en ville, nous avons continué avec ma voiture. J’avais un peu de mal à me concentrer sur la conduite, Pauline ayant revêtu une micro jupe volante qu’elle avait remonté jusqu’à son string de bain dès qu’elle s’était assise. Pour le haut, un débardeur ample qui ne masquait pas le fait qu’elle n’avait mis que le bas de son ensemble de bain.
Elle prenait un malin plaisir à passer sa main dans ses cheveux, et ce faisant, en levant son bras, me laissait plus qu’apercevoir son sein gauche superbement galbé. Elle n’ignorait pas l’effet qu’elle me faisait, la bosse de mon bermuda de bain étant sans équivoque, mais elle s’assura quand même de la raideur de mon membre en le caressant de sa main légère à travers le tissu.
— Tu bandes déjà ! Fit-elle. J’avoue que moi aussi, je suis bien excitée .
Et joignant l’acte à la parole, elle entreprit de se caresser, d’abord à travers son minuscule bout de tissu, puis en introduisant franchement ses doigts dans son vagin liquéfié. Sachant mon goût pour son nectar, elle me les donna vite à lécher… Lorsque nous sommes arrivés, elle avait déjà eu un premier orgasme et son petit bikini ne cachait pas les traces de son plaisir. Je la trouvais terriblement excitante ainsi.
Une fois garés, nous nous sommes approchés du lac, mais avant d’arriver à la plage principale, la "familiale", nous avons pris un petit sentier sous les bois que j’avais repéré sur une vue satellite… Mon intuition était la bonne, car après quelques dizaines de mètres en zig-zag et un passage à travers des buissons, nous sommes arrivés sur une petite plage, invisible depuis la plage principale, ou quelques personnes étaient déjà installées, dans le plus simple appareil. Il y avait là un couple dans la vingtaine, elle blonde, lunettes de soleil, nez fin et lèvres maquillés, seins ronds et fermes, du 90C au moins, un cul rebondi et terriblement tentant, avec des jambes et peu courtes me sembla-t-il. Lui, plus grand apparemment, sur le dos, exhibant fierement une queue érigée de belle taille, abdos sculptés, épaules carrées, visage sec, brun. Près d’eux un homme seul, grisonnant, peut-être la cinquantaine, reluquait tranquillement la jeune fille. Il semblait un peu bedonnant, même allongé. Les cheveux légèrement frisés, courts.
Un nez un peu rond et un regard très gourmand sur Pauline. Un peu plus loin, deux autres couples discutaient ensemble.
Des habitués apparemment. Dans la trentaine chacun. À la limite de l’ombre des arbres, deux femmes, peut-être deux surs, l’une paressant très jeune, à peine vingt ans et l’autre pas encore trente. Brunes toutes les deux, allongées sur le dos, des jambes parfaites, les sexes épilés en ticket de métro, des ventres plats et fermes. La plus jeune avait des petits seins tendus par le soleil, tandis que l’aînée offrait aux regards des seins lourds mais fermes, naturels, comme nous aurions le plaisir de le voir plus tard, avec de large aréoles et des tétons très long. Je ne parvenais pas à distinguer leur visage pour l’instant. Je fantasmais déjà sur cette paire de seins, quand l’un des couples nous fit signe. Pauline reluquait justement l’un des deux hommes, le plus âgé, dans la quarantaine, chauve, au corps bien entretenu, assis en tailleur face à nous. Bien qu’au repos, sa queue semblait de belle taille. Sa femme aux longs cheveux châtains, très fine, des yeux noisettes très profonds, une bouche sensuelle nous regardait en souriant.
Elle était allongée à côté de lui, la tête sur l’une de ses cuisses. Elle avait des seins en poire, légèrement tombant, mais très excitant. La courte toison de son sexe confirmait la couleur de ses cheveux. L’autre femme, d’une fausse blondeur, au visage jovial avec un regard brillant était assise en appui sur les mains, les jambes ouvertes, les genoux relevés, exhibant fièrement une chatte épilée et dégoulinante. Ses pointes de seins tendues confirmaient son excitation. Son regard semblait braqué sur ma queue, qui tendait mon bermuda sans équivoque possible sur mon propre état. Son compagnon se masturbait tranquillement à côté d’elle, allongé sur le dos. Il avait une bite plutôt petite qu’il astiquait avec douceur. Il devait avoir dans la trentaine. Pas très sportif, le corps un peu mou, mais avec un visage agréable. Des cheveux blonds, coupés courts. L’autre homme, qui nous avait fais, signe pris la parole
— Salut. Ici seulement deux règles : pas de tissu, pas de tabou ! Tout est possible, dans le respect de chacun. Soyez les bienvenus ! Je vous fais les présentations : Moi c’est Yann, et voici ma femme Hélène. Les deux coquins avec nous, Julie et Franck. Sous le bois vous avez Stéphanie et sa jeune sur Aurélie. Au bord de l’eau, vous avez vu Pierre, qui lorgnait sur Vanessa et son copain Loïc. Ici tout le monde se connaît. Et vous c’est quoi vos petits noms ?
A peine présentés, Julie nous fit remarquer que nous ne respections pas la première règle… Le message était clair. Il ne nous fallut pas longtemps pour retirer nos quelques vêtements. Nous étions cependant un peu gênés et maladroits, cherchant à masquer nos parties avec nos mains. Julie s’est alors levée, a écarté mes mains de mon sexe tendu et a précisé "Ici, pas de tabou !", avant de le glisser dans sa bouche, tandis que d’une main, elle a commencé à caresser le sexe de Pauline. Constatant combien ma chérie était trempée, elle a dit à la cantonade avec un grand sourire :
— Les gars, je crois que cette jeune fille a envie de se faire baiser .
À ce signal, Yann et Pierre se sont approchés d’elle et ont commencé à la caresser, tout en se collant à elle, l’un devant, l’autre derrière. Tout en prenant leurs sexes en mains et en les branlant doucement, Pauline a embrassé Yann, à pleine bouche. Le senior, pour sa part, a commencé à lui caresser les seins, puis finalement à lui lécher. Je profitais de ce charmant tableau, tandis qu’une jolie blonde me suçait avec application. Elle alternait les gorges profondes et des jeux de langues sur mon gland avec délice.
— Viens, je veux goûter ton jus , me dit-elle.
Il n’aurait pas été poli de refuser pareil invitation, mais je tentais de me retenir, pour lui montrer que j’étais un peu endurant. Son regard tandis qu’elle gobait mon gland était terriblement coquin et je redoublais d’effort pour ne pas jouir immédiatement. L’exercice était d’autant plus dur, qu’à côté de moi Pauline commençait à gémir, allongée sur le dos, sous les effets d’un cuni pratiqué par Pierre, tandis qu’elle suçait avec application la queue de Yann. Nos regards se croisèrent et je compris qu’elle mourrait d’envie de se faire prendre par tous ces hommes. Je l’encourageais et je provoquais un peu la suite
— Messieurs, Pauline meurt d’envie de se faire prendre…
Pierre, qui n’attendait que ça, la prit le premier, en missionnaire. Ma gourmande se lâcha et s’offrit sans retenue à ses coups de bite rapides et puissant. Moi-même, je ne pus me retenir et explosait tandis que Julie me faisait une gorge profonde. Mon sperme chaud coula directement au fond de sa bouche. Lorsque ma queue cessa de palpiter, elle la retira un peu et la lécha avec application pour ne plus laisser une seule goutte de mon jus. Elle suçait divinement. Elle se redressa et annonça
— Les filles, sperme testé et approuvé !
Je rougis un peu et l’embrassait avec gourmandise. Nous nous assîmes un instant, pour admirer les ébats à côté de nous. Pierre se retirait juste et lâcha son jus sur le ventre de Pauline. Elle se retourna à quatre pattes et cria
— Encore !
Alors Yann vint se placer derrière elle et la prit en levrette. Il avait une très grosse queue que ma coquine avait rendue bien dure à force de la sucer. Il s’introduisit lentement en elle. Sa bite était si longue que cela semblait ne pas s’arrêter.
— Elle est bonne la queue de mon mec hein ? dit Hélène.
Pauline répondit dans un râle
— Oh oui, c’est trop bon, défonce-moi !
— Pas si vite petite vicieuse, lui répondit-il en faisant un signe à Franck.
Ce dernier se leva et vint donner sa petite bite à sucer à Pauline. Alors Yann accéléra doucement ses mouvements, enfilant sa queue bien à fond à chaque fois. Ma coquine ne pouvait plus parler, prise par la bouche et la chatte, mais elle gémissait de plaisir. Tout en admirant ce joli tableau, je branlais avec application Julie et Hélène qui s’était rapprochée. Une main pour chacune, je titillais le clito de l’une, me glissais entre les lèvres de l’autre, puis inversais… A ce moment-là, Aurélie, la plus jeune des deux surs, arriva et me dit
— Bouffe-moi la chatte .
Je me couchais sur le dos et elle s’installa au-dessus de moi, m’offrant sont délicieux petit fruit. Ses lèvres étaient fermes, jeunes. Elle avait un clito proéminent que je n’eu aucun mal à trouver et que je pris à malin plaisir à aspirer entre mes lèvres. Elle était très sensible car à chaque fois je la sentais frémir de plaisir. Tout le monde était enfiévré, Pauline gémissant sans cesse et de plus en plus fort. Je bandais à nouveau comme un âne et je sentis un sexe s’empaler sur moi. Je vis un peu plus tard que c’était Hélène qui allait et venait sur ma queue, à son rythme. Je tentais de rester concentré sur le minou ruisselant qui s’offrait à moi. Aurélie s’écrasait de plus en plus sur moi, de sorte que je la pénétrais presque avec ma bouche. Je guidais légèrement son bassin pour aller titiller son anus, que je sentais réagir avec plaisir. À côté de nous, les protagonistes avaient changé de position : Yann était allongé sur le dos, Pauline l’enfourchait et Franck la sodomisait. Depuis qu’elle avait goûté à la double dans le train, je sais qu’elle y avait pris goût et je devinais son plaisir d’être ainsi soumise à deux queues au fond de ses entrailles.
Je pensais que Loïc ou Pierre allait venir se faire sucer, pour combler tous ses orifices, mais ce fut Julie qui lui présenta son minou lisse pour qu’elle boive à sa source. Yann la soutenait par les fesses pour que ma gourmande puisse fouiller son intimité au plus profond. Elle se mit à jouir en buvant la cyprine de sa complice, tandis que les deux hommes limaient sa chatte et son cul. Pour ma part, j’essayais de ne pas perdre une goutte du jus salé d’Aurélie, qui jouissait dans ma bouche. Fouetté par cet aphrodisiaque et excité par Hélène qui s’empalait avec délice sur ma queue, je lâchais mon foutre au fond de sa grotte, dans un râle de jouissance. Les garçons explosèrent aussi vidant leurs couilles dans ma chérie qui eut un nouvel orgasme.