Introduction : Un invité-surprise
C’était la sainte nuit de Noël, il était précisément trois heures du matin lorsque j’entendis un grand chambardement au rez-de-chaussée de la maison. Qu’est-ce qui pouvait bien faire ce raffut ? Mes parents avaient-ils fait tomber un cadeau ? En tout cas, le bruit continuait, on aurait dit quelque chose ou quelqu’un qui descendait de la cheminée. À dix-huit ans, cela faisait belle lurette que je ne croyais plus au Père Noël. Par contre les cambrioleurs…
J’allumais mon téléphone pour appeler la police, mais il restait éteint. C’était curieux, il marchait parfaitement bien deux heures plus tôt. Je décidais de me lever et d’aller voir. Je n’étais pas froussarde et je préférais affronter le danger plutôt que de me cacher en espérant qu’il finisse par passer.
Je quittais ma chambre pour aller réveiller mes parents, mais passant devant l’escalier menant au rez-de-chaussée, je ne pus résister à la tentation de jeter un il en bas. Descendant de quelques marches, je penchai la tête pour observer ce qui se passait dans la cheminée. Peut-être après tout n’y avait-il qu’un souci de ramonage.
Il faisait trop sombre pour voir, et j’allais remonter, quand par une fenêtre, la lune se mit à éclairer le salon. Là, dans la pénombre, je distinguais un grand homme de plus de deux mètres portant une robe de moine noire et une longue barbe drue, il sortait de la cheminée en semblant comme se déplier. Il avait l’air surnaturel, pourtant ce ne pouvait être le père Noël. Son aspect était menaçant, dans une main il tenait un grand fouet et dans l’autre un sac en cuir vide. Cette vision effroyable me coupait le souffle et les jambes, c’est alors que l’individu se tourna vers moi et énonça d’une voix gutturale :
Ophélie, tu as été une méchante fille cette année.
J’hurlais à pleins poumons !
Au SECOURS !!!!
Et je m’enfuis dans la chambre de mes parents. Ceux-ci étaient endormis. Je me mis à les secouer jusqu’à les faire tomber du lit. Pendant ce temps, j’entendais le sinistre individu monter les marches une à une.
Oh oui, tu as été une méchante fille. Et pour les méchantes filles, le Père Fouettard vient les corriger. Oh ! Oh ! Oh !
Ce "Oh ! Oh ! Oh !" n’avait rien de jovial, c’était un ricanement funeste. Il me fichait une frousse de tous les diables et je me rendais compte que, malgré tous mes efforts, il m’était impossible de réveiller mes parents. C’était comme s’ils étaient plongés dans un coma profond. Pourtant je les entendais bien respirer, et même un petit peu ronfler, ils étaient vivants. Je persistais à les remuer, à crier, à leur donner des claques… rien à faire.
Le géant baissa la tête pour entrer dans la chambre. Il alluma. Le monstre était en pleine lumière face à moi. Il avait une tête saisissante, des cheveux sale et huileux et d’un noir ténébreux. Son visage taillé à la serpe était grêlé, son nez était long et crochu, ses oreilles étaient petites et poilues. Dans sa main le fouet était en fait un martinet, les lanières de cuir faisaient plus de quarante centimètres.
Petite fille, tu as été bien vilaine, il est temps de recevoir ton châtiment.
Non ! Qu’est-ce que vous voulez me faire ?! Au secours !!
Ne te fatigue pas, c’est l’heure magique de Noël, l’heure où les parents sont endormis, et où les méchantes filles sont punies.
Il s’approchait du lit et leva le martinet. Je me protégeais le visage de mes mains lorsque les lanières de cuir s’abattirent sur moi. Je sentis mon pyjama se faire déchirer, la douleur fut immédiatement très vive. Je me roulai en boule pour me protéger, mais le Père Fouettard arrêta de me fouetter. Il posa son sac de cuir à terre et dit :
Monte dans le sac, méchante fille, où tu recevras d’autres coups de martinet.
Mais qu’est-ce que vous allez faire de moi ?
Je vais te ramener à mon château et te faire cuire. Avec ta peau je ferais un beau sac et de belles lanières pour mon fouet.
Mais c’est injuste ! J’ai pas été si méchante.
Oh que si ; je ramène les cent plus méchantes filles de France à mon château, et toi, tu es la centième plus méchante fille ex-aequo. Oh ! Oh ! Oh ! Tu aurais été un tout petit peu plus gentille, tu aurais dit merci ce matin à la personne qui t’a ouvert la porte, tu y auras échappé. Dommage pour toi, à cause de ça, je vais te manger et je laisserais tes yeux pour mes corbeaux.
Mais, attendez… si je suis la centième ex-aequo, ça veut dire qu’en fait je suis la cent et unième ! Vous n’avez pas droit de m’enlever.
Centième ou cent-unième, peu m’importe, je t’emporte dans mon sac.
Il abattit à nouveau le martinet sur moi, déchirant encore plus mon dos de pyjama, je sentis ma peau prête à se craqueler sous le coup.
Mais je rassemblai mon courage, et criai :
Je suis la cent-unième, tu n’as pas le droit de me prendre, je veux en parler au Père Noël, à Saint-Nicolas ou à qui que ce soit qui a inventé ces règles !
Oh ! Oh ! Oh ! Si tu le prends comme ça, je vais faire un marché avec toi. Si d’ici la fin de l’année tu réussis à te faire excuser de toutes les méchancetés que tu as commises en 2018 et que tu reçois une juste punition, je te laisserais tranquille. Mais s’il reste une seule chose pour laquelle tu n’as pas fait acte de contrition, ou si tu fais des promesses que tu ne tiendras pas, je viendrais te chercher et te ferais bouillir dans mon chaudron.
D’accord !
Alors voilà la liste de tous les méfaits que tu as accomplis.
Il me tendit un parchemin de la taille d’une feuille A4 sur laquelle je pouvais lire :
J’ai été désagréable avec mes parents.
J’ai été une garce avec Jean, Rémi et Nicolas.
J’ai fait des blagues racistes.
J’ai fraudé dans les transports en commun.
J’ai donné des coups de pieds à un chien.
J’ai été responsable de dégradation de propriété publique.
Je me suis moqué fréquemment et méchamment de Linda.
J’ai lu des histoires pornographiques.
J’ai été insupportable en classe.
J’ai été une horrible baby-sitter
Je lus la liste me demandant comment toutes ses choses avaient été assemblées. Il y avait-il un Dieu tout puissant qui m’observait ? Cela soulevait de nombreuses questions théologiques. Mais pour le moment, je n’en avais vraiment rien à foutre. J’avais le Père Fouettard qui voulait me dévorer, et c’était bien assez dingue comme ça.
Lorsque tu auras été absoute d’une de ces vilaines choses, la ligne sera magiquement barrée. Si d’ici au trente-et-un décembre à minuit, toutes les lignes ne sont pas biffées, je me régalerais d’un bon repas de vilaine fille. Oh ! Oh ! Oh !
Prononçant ces mots, il partit de la chambre avec une rapidité étonnante pour sa taille. Je le suivis en criant :
Comment je peux me faire pardonner de ses méchancetés ?!
Il ne répondit pas, il se glissa dans la cheminée avec une agilité inouïe et il disparut de la maison ne laissant aucune trace derrière lui si ce n’est une odeur de charbon.
Chapitre I : J’ai lu des histoires pornographiques
Je retournais dans ma chambre. J’avais rêvé, ce n’était pas possible autrement. Le Père Fouettard ? Ça n’avait aucun sens, et pourtant… j’avais cette liste entre les mains, mon pyjama était déchiré, je ne pouvais pas écarter ce qui venait de se produire comme une simple hallucination. Il fallait que je fasse quelque chose. Mais sans précipitation, ce serait le plus sûr moyen de tout perdre. Je devais rester calme, garder la tête froide, il n’y avait que neuf éléments sur la liste, et j’avais toute une semaine pour accomplir mes B. A… Largement assez de temps si je m’y prenais bien. Après tout, il me suffirait sans doute d’être une gentille jeune fille sage et modèle pour résoudre la majorité de ces problèmes.
On était le 25 décembre et il était trois heures du matin, je n’allais pas trouver le sommeil ce soir. Autant en profiter pour essayer de barrer une des tâches de la liste.
Je commençais par « J’ai lu des histoires pornographiques » c’est vrai que je prenais souvent mon pied en lisant des récits érotiques. Je trouvais que les vidéos pornos étaient plutôt destinées aux mecs. C’est qu’ils veulent de l’action, se sentir puissant en regardant une pauvre fille se faire baiser. Moi, il me fallait une histoire avec des personnages bien écrits, des sentiments et des scènes sensuelles pour m’exciter.
Je me connectais sur mon site favori, et je me demandais comment faire amende honorable. Après une longue réflexion, je constatais que si je me trouvais dans cette situation, c’est parce que j’avais beaucoup menti et que je m’étais mal comportée. Pour m’en sortir, le mieux était d’adopter le comportement inverse, tentée d’être honnête et sincère. Et aussi éviter que d’autres ne tombent dans la même galère que moi, ce serait altruiste et ce ne pourrait qu’être favorable à ma rédemption. Je postais un nouveau sujet sur le forum :
Titre : Lire des histoires pornographiques c’est mal, vous devriez arrêter !
Message : Cette année, j’ai lu des tonnes de textes érotiques sur votre site, et je le regrette vraiment. Vous devriez arrêter aussi pour votre bien. C’est sale, et malsain, j’en sais quelque chose… Quand vous vous rendez sur un site cochon, imaginez que quelqu’un vous observe et vous juge, alors déconnectez-vous le plus vite possible. C’est la seule manière d’adopter un comportement responsable et bienséant. »
Voilà, je m’étais comportée en petite fille sage et modèle. Je regardais la liste espérant voir la ligne barrée. Mais rien ou presque… la première lettre était à moitié rayée. Je me demandai ce que j’avais loupé, peut-être devais-je me montrer plus convaincante ? Puis, je me souvins alors des paroles du Père Fouettard :
Tu devras te faire pardonner et punir pour tes vilaines actions.
Flûte. Ça allait être plus compliqué que je ne l’avais pensé au départ. Je retournais sur le forum, et il y avait déjà deux messages de réponse. L’un disait :
Si tu ne veux pas lire de texte porno, qu’est-ce que tu fous là ? t’es conne ou quoi ? Si tu prends pas ton pied, gâche pas le plaisir des autres.
Un autre avait écrit :
Troll détecté.
Je répliquais :
Je troll pas du tout ! Je le pense vraiment ! Et je voudrais me faire pardonner pour avoir lu les textes du site. Et aussi subir la punition qui semble adéquate.
N’importe quoi.
Moi je veux bien te pardonner, mais seulement si tu es une gentille fille, lol.
Et qu’est-ce que je dois faire, parce que je suis une fille et je veux bien être gentille.
Tu as une webcam ? Tu as une adresse Skype ?
Oui, OpHeLiE03, je branche la Webcam.
C’est ce que je fis. Et quelques secondes plus tard, plusieurs dizaines de demandes de contact apparaissaient en notification. Je les acceptais toutes, puis précisais mon intention :
Euh, voilà alors je voudrais me faire pardonner pour avoir lu des histoires érotiques.
Pour te faire pardonner t’as qu’à te masturber sur la vidéo.
Non ! Hey, trouver autre chose s’il vous plaît.
Malgré le danger de mort que j’encourais de la part du Père Fouettard, se masturber devant des spectateurs en ligne n’était pas encore une étape que je me sentais prête à franchir. Cela déplut beaucoup aux personnes connectées :
Allumeuse ! »
Fait pas ta pute… »
Conasse, je veux me branler moi. »
Mais un type qui semblait un peu plus gentil fit la proposition suivante :
T’as qu’à lire hum… Le texte : "Confessions d’une lycéenne salope" sur le site.
Bon, voilà qui semblait raccord, les histoires de confession et de pardon, c’est justement ce que je cherchais, et si je pouvais obtenir la clémence des internautes c’était bon pour moi. J’allai sur le site et commençai la lecture.
« Je m’appelle Jeanne Terison et je suis une salope, une grosse salope. On appelle des salopes des filles qui couchent facilement. Une grosse salope c’est une fille qu’il faut tenir à distance si vous ne voulez pas qu’elle vous saute dessus. Quand on me siffle, je sors la langue pour sucer. On me dit que je me tiens mal, c’est vrai, j’écarte les jambes pour qu’on voie ma petite culotte. Enfin quand j’en porte une… »
Je m’arrêtai un instant :
Dites, je suis pas sûr que je peux lire ça, c’est quand même assez trash.
Ta gueule et continue à lire, je suis en train de me branler.
Recommence et lit tout le texte d’un coup, où on te pardonne pas !
Et mets-y plus de sentiment, qu’on sente que t’es une vraie grosse salope.
Et donne ton vrai nom, au début aussi !
J’avais l’impression de ne pas avoir trop le choix. Je recommençai donc à lire le texte, en y mettant plus de formes :
« Je m’appelle Ophélie Fanon et je suis une salope, une grosse salope […] j’écarte les jambes pour qu’on voie ma petite culotte. Enfin quand j’en porte une, parce que j’aime avoir la chatte à l’air. Et si on ne me regarde pas, j’ai une mauvaise habitude… Je m’enfonce les doigts dans ma cramouille, enfin… si j’ai un bon gros objet phallique à côté de moi, dans ce cas je me le fourre bien profond dans ma caverne humide. J’adore ça avoir l’abricot bien rempli. En cours, croyez-le ou non, mais mes stylos passent plus de temps dans ma chatte que dans ma trousse. Mais évidemment pour une grosse pute comme moi, vous imaginez bien qu’un stylo n’est pas suffisant pour ma minette.
Je mate les garçons, qu’ils soient beaux ou pas je m’en fous, c’est leur bite que je veux. Quand ils me regardent, je me mords les lèvres et leur fait de l’il. J’aime qu’on bande sur moi, qu’on se masturbe en pensant à moi. Mais bien plus que ça, j’aime qu’on me baise avec de grosses queues, j’aime sentir le foutre sur moi, le sperme gluant qui déborde de ma chatte et de mon cul.
Une bonne grosse bite pour me ramoner, qu’est-ce qu’une salope comme moi peut vouloir de plus ?
Plusieurs grosses bites, évidemment.
Pour ça, certains soirs, je vais en banlieue, je mets ma minijupe la plus courte à ma disposition et je m’approche d’une bande de jeunes. Je n’ai pas besoin de faire la mijaurée plus de dix secondes avant d’être emmenée dans une cave et prise en tournante. Oh ! Tout ce sperme chaud qui vient de queues noires, arabes ou blanches, je m’en régale, elles m’aspergent, me fourrent, m’embrochent. Après mon premier gangbang en cité, je n’ai pas pu m’asseoir une bonne semaine et j’avais la mâchoire qui me faisait mal.
Ça, c’est le week-end quand j’ai un peu de temps. Mais en semaine au lycée je ne m’ennuie pas non plus. Oh non ! J’ai la réputation (méritée) d’être la traînée du lycée, une serpillère à foutre, alors on me baise à couille rabattue. Les ados, ça peut baiser trois ou quatre fois par jour ! Et ça baise vite, entre les cours je peux me faire péter le cul deux ou trois fois dans le couloir, plus si le prof a du retard… On ne me demande pas mon avis, on sait que je suis toujours d’accord. D’ailleurs, après que le mec ait déchargé dans ma foufoune ou dans mon cul et qu’il m’ait fait nettoyer sa queue avec ma bouche, je remercie toujours. On a beau être salope, on n’en oublie pas les bonnes manières… Tout comme je pense à mettre des mouchoirs sur mon siège en cours, sinon je laisse une flaque de sperme qui déborde de ma chatte. Je me suis déjà fait gronder pour ça… J’aime bien me faire gronder, ça finit toujours par une enculage à sec ; rien de tel pour vivifier.
Mais n’allez pas croire que malgré le temps que je passe les jambes écartées que je sois sotte pour autant… je n’ai que des 20/20 en contrôle. Et je les gagne chèrement, les profs de soixante ans qui attendent la retraite, je dois les sucer des heures durant pour qu’ils me giclent dans la bouche, ils sont tellement mous ! Mais je ne veux pas que vous pensiez que je me plaigne. Sucer une bite, je ne m’en lasse jamais. Et ce que je préfère, c’est respirer les couilles bien pleines de semence à vider. Miam ! C’est la promesse d’une magnifique douceur à venir…
Alors, si vous me croisez au lycée ou dans la rue, sifflez-moi, et je viendrais vous sucer !
Fin. »
Parfait !
Cool, je mets la vidéo en lien dans les commentaires. Je vais exploser mon nombre de "likes"
Hey ! protestais-je faiblement, encore assez ému de ce que je venais de lire.
T’as super bien lu salope, on te pardonne.
Ouais, voilà, t’es toute pardonnée, d’être une cochonne.
Je regardais la liste, la ligne était au trois quarts barrée. Je m’étais fait pardonner de mon mauvais comportement, mais il devait manquer quelque chose pour être tout à fait au clair.
« Merci de me pardonner. Mais je n’aurais pas dû lire de tels textes, et pour ça je mérite d’être puni. Qu’est-ce que je dois faire à votre avis.
Un des mecs sur Skype prit la parole : « Tu veux une punition petite coquine, très bien. J’ai regardé ton historique de message, et tu n’as jamais laissé de commentaires après les récits. C’est mal, les auteurs prennent du temps pour écrire ces histoires, et toi tu en profites sans jamais rien donner en retour. Dorénavant, tu vas lire chaque texte qui est publié sur le site, et tu laisseras à chaque fois un commentaire où tu expliqueras ce qui t’a excitée.
Sur chaque texte ?
Oui ! Et si tu as aimé un des textes, tu e-mailleras une photo de toi à poil à l’auteur. Et à chaque fois ça devra être une photo différente. Et si tu as trouvé un des récits vraiment excitant, alors tu te filmeras en train de te masturber tout en lisant l’histoire à voix haute. Puis tu enverras ta vidéo à l’auteur.
Je ne pourrais pas plutôt…
Non, c’est ta punition ou alors tu restes une méchante fille.
Bon d’accord… »
Ça ne m’arrangeait pas, il y avait plus d’une dizaine de textes publiés par jour, si je devais tous les lire et laisser un commentaire ça me prendrait un temps fou. Sans parler des photos et des vidéos… Enfin heureusement, la moitié des récits étaient des histoires d’inceste qui ne m’excitaient pas le moins du monde, ça m’éviterait d’avoir à me prendre en photo à poil. Et puis, je pourrais toujours lire ces récits la nuit, ça m’économiserait du temps pour la journée.
En parlant de ça, il était déjà sept heures du mat, et j’avais intérêt à passer à la ligne suivante. J’étais contente de voir « J’ai lu des histoires pornographiques » complètement barré. Même si je trouvais ça un paradoxal de devoir lire des histoires pornographiques pour me faire pardonner… Mais je supposais que comme il s’agissait d’une punition, ça ne comptais pas comme un vilain comportement.
A suivre…