Interrogatoire Petites emplettes
Nous étions un samedi fin mars, ce matin depuis dix heures j’étais sous les ordres de Monsieur Paul, l’époux de Madame Irma. Madame la Directrice de l’établissement de dressage ’à la bourgeoise tourmentée’ avait chargé Madame Irma de me préparer pour la deuxième épreuve. Je me nommais Solange mais mon nom de soumise était Natacha. En effet pour pouvoir passer mes vacances ’à la bourgeoise tourmentée’, je devais encore réussir la deuxième épreuve. Madame Irma travaillant ce samedi, Monsieur Paul en début de matinée avait contrôlé mes progrès réalisés depuis la nuit de mardi à mercredi en matière sportive.
J’avais lamentablement échoué lors de ce contrôle et Monsieur Paul avait fini par madministrer une raclée amplement méritée à l’aide d’un battoir en cuir. Monsieur Paul avait signalé mon échec à Madame Irma qui lui avait ordonné de passer à mon interrogatoire. Le voisin de Monsieur Paul, un homme fort charmant et très serviable, venait de me préparer pour cet interrogatoire. La préparation avait été assez courte mais cependant très efficace. Quand le voisin de Monsieur Paul estima que j’étais disposée à réponde aux questions de mon ’cousin’, il arrêta le tapis de course, décrocha tout son petit matériel et le remit dans son sac. Il me tira de nouveau par la laisse jusqu’à mon ’cousin’, puis il ajouta avant de nous quitter : « Votre cousine devrait maintenant ne plus faire de difficulté, mais si elle n’est pas assez bavarde, contactez moi, après mon petit tour au marché je serai de nouveau disponible. » Monsieur Paul le remercia pour ce petit service. Nous étions maintenant tous les deux. J’ignorais encore la nature des questions que Madame Irma avait notées dans son agenda, mais je savais que j’y répondrais avec la plus grande précision, en effet je ne souhaitais pas faire un nouveau jogging avec le voisin, équipée d’un godemiché gonflable enfoncé au fond du cul, surtout après son passage au marché et l’achat de piment rouge.
J’appréhendais les questions qui n’allaient pas tarder à tomber. En effet jétais entravée les bras croisés dans le dos, les poignets solidement attachés au dessus des coudes et je portais la tenue suivante : porte-jarretelles noir, bas à résilles noirs, talons aiguilles, bâillon-boule, collier en cuir solide, cagoule en spandex et cagoule en cuir sur le visage. J’étais aussi désorientée par la chaleur régnant sous les cagoules et fatiguée d’avoir couru plusieurs kilomètres dans cette tenue sur le tapis de course de Madame Irma avec pour coachs, le voisin et son godemiché gonflable. J’avais cependant eu beaucoup de chance comme me l’avait si tendrement fait remarquer le voisin, en effet quand Monsieur Paul l’avait appelé, il n’avait malencontreusement plus de piment rouge.
Monsieur Paul en véritable gentleman eut alors un geste fort réconfortant, il passa ses mains sous les cagoules et me retira non sans mal le bâillon-boule. En effet il prétendit que j’adorais tellement ce bâillon que je ne voulais pas le lâcher en ouvrant la gueule et il fut donc dans l’obligation de me claquer les seins pour que je consente à l’ouvrir suffisamment. Je considère de mon point de vue qu’il avait tout simplement trop serré le bâillon derrière ma nuque, mais il faut bien l’admettre, mon point de vue, tout le monde s’en battait comme de l’an quarante. Après le retrait du bâillon, vous n’avez pas idée de tout le bien que je pensais de lui. En effet si ma mémoire ou mon inattention due à mon état ne me jouait pas des tours, je pouvais espérer répondre correctement aux questions qui me seraient posées et éviter des désagréments non indispensables.
Autant que je m’en souvienne, le déroulement de l’interrogatoire fut le suivant. Monsieur Paul commença par me faire prendre une position adaptée à la situation : « À genoux morue. » L’ordre étant très clair j’obéis donc sans faire de difficulté. La première question qui figurait dans l’agenda de Madame Irma et que Monsieur Paul me posa fort courtoisement était : « Morue, où as-tu acheté ton martinet ? » Je répondis sur un ton fort aimable : « Je l’ai acheté au supermarché ZZZZ de ma commune de résidence au rayon animalerie Monsieur Paul. » Il poursuivit : « Je vais composer le numéro de téléphone de ce supermarché et activer le haut-parleur et tu vas demander la taille et le prix d’une gamelle en inox adaptée aux repas d’une jeune chienne de soixante deux kilogrammes. » Connaissant mon poids je compris instantanément de quelle jeune chienne il parlait.
Bien que rouge de honte, mais le visage dissimulé sous les deux cagoules, je parvins à obtenir les informations souhaitées par Monsieur Paul. Je remerciai très poliment la personne qui m’avait donné ces renseignements précieux, en effet, elle m’avait par sa serviabilité évité un désagrément douloureux, j’en étais convaincue. La deuxième question, posée elle aussi aimablement fut : « Morue, où as-tu acheté ton godemiché ? » Cette question était extrêmement indiscrète et embarrassante, j’hésitai quelques secondes, mais pensant à un futur (pas si lointain) jogging avec le voisin, je pris rapidement la bonne décision et répliquai d’un ton naturel : « Je l’ai acheté dans un sex-shop passage XXX de la commune de YYYY Monsieur Paul. » Il m’indiqua qu’il allait appeler ce sex-shop et que je devrais demander l’heure de fermeture du magasin ainsi que le prix des boules de geisha et en réserver deux paires que je viendrais prendre en fin de journée juste avant la fermeture du magasin.
J’en avais la nausée et je ne crois pas que j’aurais été capable de suivre ses instructions. Heureusement pour moi l’appel téléphonique aboutit à un répondeur donnant les périodes d’ouverture de magasin. Monsieur Paul se contenta de dire : « Nous appellerons plus tard, entre temps je ferai en sorte que tu puisses prendre tes repas soumise Natacha. » Cette remarque lancée d’un ton perfide me glaça le dos. Il ne perdit pas de temps et me détacha immédiatement les deux poignets. L’ordre tomba aussitôt d’un ton sans appel : « Retires les cagoules, mets ta robe noire ras la chatte et remplaces tes bas à résilles pas des bas noirs opaques soumise. » Mes bras complètement engourdis ne me permirent pas de m’exécuter avec la célérité souhaitée par Monsieur Paul. Quelques coups de chaussette remplie de sable bien appuyés et une remarque du type : « Tu traînes toujours autant morue. » m’aidèrent grandement à mettre une tenue plus décente afin que nous puissions nous rendre au supermarché de ma commune.
Il poursuivit : « Aboules tes cinquante euros plus vite que cela soumise ! » Je gagnai en courant le garage, pris les cinquante euros, deux coupures de vingt et une de dix, d’argent de poche pour le week-end qui étaient dans mon sac à main et revins les donner sans tarder, toujours en courant à Monsieur Paul, en effet je voyais celui-ci pressé d’être en mesure de me faire prendre un repas. Quel gentleman ce Monsieur Paul, toujours très attentionné envers les soumises. Nous gagnâmes tous deux le garage, il me fit remarquer que j’étais maintenant une grande fille et que je pourrais de ce fait voyager à côté de lui à l’avant du véhicule. Je dois préciser que le véhicule de Madame Irma disposait de vitres traitées de telle sorte que de l’extérieur du véhicule nul ne pouvait nous voir. Je ne savais pas pourquoi, mais j’avais le sentiment que cela ne présageait rien de bon.
Une fois assise dans le véhicule, je mis en place ma ceinture de sécurité. Monsieur Paul me fixa sans tarder les menottes aux poignets, poignets que j’avais spontanément positionnés derrière mes reins, reins extrêmement douloureux suite à la raclée au battoir en cuir reçue en début de matinée. Il me disposa le plus naturellement du monde les deux cagoules sur le visage. Il faut dire que je commençais à maîtriser depuis ce matin le port de ces deux articles vestimentaires. Si j’avais eu le droit de fréquenter un salon de coiffure, ma mise en plis aurait pris un sacré coup de vieux depuis ce matin ! Mais heureusement pour moi mes cheveux et mes poils appartenaient à Madame la Directrice et il m’était formellement interdit de fréquenter ces lieux de perditions.
En faisant abstraction du port simultané des menottes, du collier et des deux cagoules, le trajet vers le supermarché de ma commune fut tout à fait normal, du moins pendant sa première partie. À un certain moment, Monsieur Paul commençant à se lasser de conduire eut l’idée de se distraire à chaque feu rouge. Il m’informa alors : « Dès que le véhicule n’avance plus morue, tu dois me dire en boucle et sans t’arrêter ’Oh oui mon chéri, continue, tu vas me faire jouir.’ Je ne veux rien entendre d’autre et surtout pas une seconde de silence ! Si tu ne respectes pas mes consignes, dès notre retour, je te caresserai la plante des pieds avec une solide baguette en noisetier. » Suite à l’audition de ces consignes et constatant que le véhicule était immobile, je me mis immédiatement à réciter ces douces paroles sans interruption. Je ne souhaitais pas particulièrement que Monsieur Paul me caresse avec sa délicatesse habituelle la plante des pieds, j’aurais certainement encore besoin de mes pieds pour sortir ce soir pour la première fois avec Madame Irma dans son club échangiste préféré et lui servir de monnaie d’échange.
L’audition à chaque fois que le véhicule était au point mort de ces douces paroles finit par donner des idées à mon chauffeur. Au feu suivant, il me doigta sérieusement la chatte à l’aide de quatre doigts de sa main gauche. Il eut la galanterie de me faire remarquer que j’étais déjà trempée comme un chienne en chaleur et qu’il devrait donc s’essuyer la main gauche sur mon bas gauche pour ne pas engluer son volant. Non seulement, quand nous serions à l’intérieur du supermarché de ma commune, ma mise en plis ne serait pas impeccable, mais encore mes bas ne seraient plus de toute première fraîcheur pendant mes emplettes. À un autre feu, pour me distraire, il varia les plaisir comme il me le fit si gentiment remarquer. Il se contenta cette fois de deux doigts de la main droite pour me fourrager joyeusement au fond du cul. Il me fit très élégamment comprendre que mon cul n’était pas d’une propreté irréprochable et qu’il devrait aussi dans ces conditions se nettoyer la main droite sur mon bas droit. Comme quoi il y avait une certaine logique à son comportement.
Quand nous arrivâmes sur le parking du supermarché et bien que depuis une bonne semaine j’en aie vu des vertes et des pas mûres, Monsieur Paul parvint cependant à me prendre par surprise si je puis me permettre. Cela se passa ainsi, il commença par me retirer les deux cagoules et les menottes. Puis il me rendit mes cinquante euros et m’ordonna d’enlever mon bas droit, de disposer les cinquante euros au fond du bas et de le remettre aussitôt. Je me permis de lui faire remarquer : « Mais Monsieur Paul, à la caisse je ne pourrai pas payer ma gamelle si les billets sont au fond de mon bas ! » Et il me répondit tout naturellement : « Oh que si tu pourras payer Natacha, et tu feras même un strip-tease érotique à la caisse pour retirer tes deux bas et tes deux chaussures à talon aiguille et les poser dans le chariot avec ta gamelle. » Il poursuivit : « Et tu sais pourquoi Natacha, et bien si nous rentrons sans ta gamelle, je me verrai dans l’obligation de te caresser très délicatement la plante des pieds, mais pas avec une simple baguette en noisetier. Non pour toi j’irai couper dans le jardin une très solide baguette en noisetier de Bollwiller, tu verras les rejets de cette variété sont particulièrement vigoureux et d’un diamètre impressionnant. »
Il m’informa ensuite : « Et pour que tu cesses de faire ta mauvaise tête après cela je proposerai à notre charmant voisin de te faire faire un jogging nettement plus long que celui de ce matin dans la cave. » Il me laissa encaisser le coup puis continua : « Alors Natacha disposée à aller faire des emplettes ? » J’en avais les larmes aux yeux, mais je pris sur moi et lui répondis : « Puisqu’il le faut je vais aller la chercher cette gamelle. » Je disposai ensuite les trois billets au fond de mon bas droit, remis mon bas et mon talon aiguille et sortis du véhicule. Monsieur Paul en gentleman alla me chercher un chariot qu’il me confia après avoir engagé un euros pour le détacher. Il me dit alors : « Tu pourrais te barrer si tu en avais envie morue, mais pour être certain de récupérer ma pièce de un euro, je vais te menotter au chariot. » Et joignant le geste à la parole, il fixa une paire de menottes d’une part à mon poignet gauche et d’autre part au chariot. Il ajouta ensuite : « Je vais prendre quelques photographies de toi pendant que tu feras tes emplettes Natacha, mais surtout ne traîne pas en route tu pourrais rencontrer une voisine ou une amie ! »
Il avait vu juste, avec un collier de chienne autour du coup et menottée au chariot, je n’allais pas traîner pour faire mes emplettes ! Je me dirigeai à toute hâte vers le rayon animalerie. Monsieur Paul me collait à la culotte (que je ne portais pas) et prenait régulièrement des photographies de moi sous toutes les coutures. Peu avant d’arriver au rayon animalerie je fus soudain terrassée quand j’entendis : « Bonjour Solange, tu as changé de style ! » J’étais au bord de l’évanouissement, mais j’eus la présence d’esprit de rétorquer à Madame Claude : « Chère voisine, cela fait un certain temps que nous ne nous étions pas rencontrées. Je suis avec mon cousin, il est photographe de charme et nous prenons rapidement quelques clichés dans ce magasin, vous m’excuserez mais je suis pressée. » Et sur cette remarque je pris mes jambes à mon cou. Je surveillai de loin cette gêneuse et à un moment propice, disposai ma gamelle d’un prix de onze euros et vingt centimes, dans le chariot. Après cet achat il me resterait donc trente huit euros et quatre-vingts centime d’argent de poche.
Le plus difficile restait à faire : le strip-tease et le paiement ! Je choisis la caisse rapide, celle où l’on doit avoir moins de dix articles, en fait je n’en avais qu’un, la fameuse gamelle. Je m’y pris donc ainsi. Ma main gauche était attachée à la barre du chariot par les menottes, j’utilisai donc ma seule main droite pour enlever mes escarpins. Ces damnés escarpins avaient une bride, j’eus bien du mal à les enlever d’une seule main et il me serait impossible de les remettre ! Toujours à l’aide de ma seule main droite je détachai les jarretelles de mon bas gauche, retirai mon bas gauche et le disposais dans le chariot. Je retirai ensuite les jarretelles de mon bas droit, mon bas droit et le disposai lui aussi dans le chariot, les billets étant à l’intérieur de ce bas. Monsieur Paul faisait semblant de ne pas me connaître et pour ajouter à mon trouble dit à haute voix : « Mais Madame, pourquoi retirez-vous vos bas il ne fait pas si chaud ! » Je lui répondis du tac au tac : « Je suis en chaleur Monsieur et j’ai particulièrement chaud au cuisses ! » Il prit un air outré et partit. J’entendis alors : « Chère voisine vous l’avez bien remis en place, mais ce n’est donc pas votre cousin ? » J’étais prise au piège, je ne savais plus quoi dire, je pris les billets dans le bas, jetai mes escarpins dans le chariot, payai rapidement la gamelle, rangeai la monnaie et le ticket de caisse dans le bas et dis à la voisine : « Foutez-moi la paix, je suis pressée. » Je partis ensuite en pleurant et en courant vers le véhicule de Madame Irma.
Monsieur Paul m’attendait, il était aux anges. Il me dit : « J’ai quelques clichés qui vont satisfaire la curiosité de Madame la Directrice, mais il est regrettable que toutes ces emplettes n’aient pas été filmées, il y a eu de véritables moments d’anthologie, des scènes dexception. » Il poursuivit : « Natacha es-tu affamée au point de devoir manger dans ta gamelle à quatre pattes sur le parking du supermarché ou préfères-tu attendre notre retour à la maison ? » Une fois de plus, en véritable gentleman, Monsieur Paul m’offrait une porte de sortie honorable. Sautant sur l’occasion je lui répondis : « J’attendrai que nous soyons de retour à la maison. » Il continua alors dun ton moqueur : « Natacha, tu es merveilleuse, les pieds nus, menottée au chariot, avec ton collier de chienne, tes bas, tes escarpins et ta gamelle dans le chariot. Tu vas pousser ton chariot dans toutes les allées du parking et je prendrai encore quelques photographies assez érotiques. »
On ne me demandait pas mon avis, je m’exécutai donc sans délai. Pour me donner du courage je me disais que j’avais bien de la chance, le parking était goudronné, d’immondes graviers ne me labouraient pas le plante des pieds, d’autre part il ne faisait pas trop chaud et le goudron n’était pas en train de fondre, ne me brûlait pas et ne me noircissait pas les pieds. Monsieur Paul me suivait d’assez loin et prenait régulièrement des clichés de moi menottée au chariot et les pieds nus. J’avais déjà parcouru plus des deux tiers des allées du parking sans le moindre incident quand j’entendis : « Tu nous fais une exhibition salope, les pieds nus, ton collier de chienne, menottée au chariot, tes bas et tes escarpins dans le chariot avec ta gamelle de chienne, tu crois que je n’ai pas compris ton petit manège. Est-ce que tu commences à tapiner la semaine prochaine ? » C’était cette immonde voisine, Madame Claude, qui me haranguait depuis son véhicule, la fenêtre côté conducteur ouverte ; je devais au plus vite faire taire cette gêneuse qui allait liguer la foule contre ma personne.
Je m’approchai d’elle en poussant le chariot de la main gauche qui y était menottée et en levant la main droite d’un air menaçant et lui criai : « Bourgeoise frigide, rentre chez toi te faire chier avec ton mari ou je t’en colle une. » Cette gêneuse piqua un fard et me prit au mot, elle partit en trombe, bon vent ! Je poursuivis ma petite promenade sur le parking jusqu’à la dernière allée, Monsieur Paul toujours aussi prévenant m’y attendait avec le véhicule, il me fit l’honneur de me retirer les menottes et m’annonça dun ton menaçant : « Donnes moi le ticket de caisse et la monnaie Natacha. » Il vérifia à l’aide du ticket de caisse que je lui avais bien rendu toute la monnaie et la rangea dans sa poche, puis il poursuivit : « Prends ta gamelle puis remets tes bas et tes escarpins sur le parking pendant que je range le chariot Natacha. » Dès que mes deux mains furent libres, je ne me fis pas prier pour prendre ma gamelle et remettre mes bas et mes chaussures. En effet, j’avais froid aux cuisses et mes pieds devenaient douloureux. D’autre part, la possession et l’utilisation future de cet accessoire de table ne me posait plus d’état d’âme.
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Le trajet de retour fut des plus ordinaires, menottes derrière les reins et port des deux cagoules mais sans distraction. Peu avant l’arrivée Monsieur Paul me retira les deux cagoules estimant que j’étais maintenant une grande fille sage et que je pourrais donc voyager sans ces articles vestimentaires. Dès mon retour je fus chargée de préparer un excellent dîner pour Monsieur Paul et Madame Irma, je pouvais utiliser tout ce que contenaient le réfrigérateur, la cave, le congélateur et le buffet de cuisine. Il eut l’honnêteté de m’informer que si le repas n’était pas assez savoureux, j’en ferais les frais. En effet le barème habituellement employé par Madame Irma afin de récompenser les prouesses culinaires des soumises était le suivant : Un mets excellent conduisait à une petite récompense pour la soumise, un bon mets aboutissait à une raclée légère administrée à l’aide d’un battoir en bois, un mets moyen se soldait par une raclée moyenne dispensée avec une canne en bambou et enfin un mets médiocre était gratifié d’une correction sévère généreusement distribuée à l’aide d’une cravache.
Je n’étais pas un fin cordon-bleu mais plutôt une cuisinière médiocre, c’était de fait une des raisons du départ de mon ex. Décidément, je devais pendant mon dressage faire des efforts permanent pour améliorer ma condition physique, rendre mes tenues vestimentaires plus sexy, et devenir un véritable cordon-bleu. Devinant par avance la faible tolérance qu’aurait Madame Irma face à la qualité gustative du repas que j’allais préparer, j’étais terrorisée mais cependant décidée à mettre toutes les chances de mon côté, je me permis donc cette remarque : « Madame Irma dispose-t-elle de livres de cuisine que vous pourriez mettre à ma disposition Monsieur Paul ? » Monsieur Paul me remit deux livres traitant de cette discipline en me précisant d’en prendre soin, Madame Irma y tenant comme à la prunelle de ses yeux selon ses dires.
Après avoir noté sur une feuille de papier tout ce que contenaient, la cave, le réfrigérateur, le congélateur et le buffet de cuisine, je me mis à la recherche dans les livres de Madame Irma d’une entrée, d’un plat principal et d’un dessert qui seraient à ma portée. Pendant ce temps Monsieur Paul nous prépara un repas. Il élabora de la purée à partir de flocons de pomme de terre déshydratés et de lait et il fit aussi cuire une andouillette. Quand le repas fut prêt j’avais choisi les recettes que je tenterais de réaliser de mon mieux, motivée par la connaissance du barème employé par Madame Irma. Je me lancerais dans la préparation d’une tarte flambée, puis de pavés de saumon aux petits légumes et en dessert je réaliserais du nougat tendre aux noix. Je commençais à rassembler tous les ingrédients dont j’avais besoin. Jen sortis au besoin certains du congélateur. C’est à ce moment que Monsieur Paul me fit comprendre que nous allions prendre notre repas, lui assis et son assiette posée sur la table et moi à genoux, les mains retenues dans le dos par les menottes et ma gamelle en acier inoxydable posée sur le carrelage de la cuisine.
Il m’informa : « Tu dois apprendre à manger proprement en toute circonstance Natacha, cela pourra t’être utile pendant tes vacances. » Je me permis de lui faire savoir que je me contenterais de purée car je m’appréciais pas particulièrement l’andouillette, il me fit comprendre à sa manière, à l’aide d’une vingtaine de coups de chaussette remplie de sable, qu’il ne m’avait pas demandé mon avis. Je savais maintenant après ce petit intermède que je devrais manger tout le contenu de ma gamelle sans faire d’histoire. Il disposa dans ma gamelle quelques morceaux d’andouillette qu’il eut la bonté de couper ainsi que de la purée. Il me fixa les mains dans le dos à laide des menottes et nous commençâmes notre repas. Pendant que Monsieur Paul dégustait élégamment l’andouillette et la purée, je m’efforçais de manger le moins salement possible le contenu de ma gamelle, à genoux et en plongeant mon visage dans la purée et les morceaux d’andouillette afin de ’nettoyer’ ma gamelle comme Monsieur Paul l’avait exigé. J’estimais cependant encore bien m’en sortir, Monsieur Paul ne mangeait pas des pieds de cochon et ne jetait dans ma gamelle les os des dits pieds afin que je finisse de les rogner. Après ce régal comme le précisa Monsieur Paul, il nous prépara un dessert, cette fois il mangea deux pommes et je fus chargée de dévorer les deux trognons, y compris les deux queues, gentiment déposés dans ma gamelle.
Quand ma gamelle fut suffisamment nettoyée, Monsieur Paul m’indiqua : « Je vais te débarbouiller la truffe Natacha, suis moi en marchant à quatre pattes et en silence. » Il me retira alors les menottes. Je suivis docilement à quatre pattes Monsieur Paul qui nous conduisit dans les toilettes. Dès notre arrivée dans cette petite pièce il m’ordonna : « À genoux les mains dans le dos et restes immobile Natacha. » Une fois mes mains retenues par les menottes, Monsieur Paul me quitta et revint une minute plus tard muni de bottes et caoutchouc qu’il était allé chercher à la cave. Pendant que Monsieur Paul enfilait ses bottes dont je ne comprenais pas encore l’usage, il m’ordonna tendrement : « La gueule plaquée au fond de la cuvette. » Surprise, je ne lui obéis pas assez rapidement. Deux coups de pieds aux fesses m’aidèrent grandement à prendre une position plus adaptée au nettoyage de ma truffe. J’avais maintenant la ’gueule’ plaquée au fond de la cuvette. Monsieur Paul me la plaqua encore un peu plus au fond en me posant un de ses pieds bottés sur la nuque.
Il actionna alors le mécanisme de la chasse d’eau. Il laissa le réservoir se remplir puis actionna une deuxième fois puis une troisième fois le mécanisme. Il constata alors que ma truffe était suffisamment propre. Madame la Directrice avait parfaitement raison de m’interdire de fréquenter les lieux de perdition que sont les salons de coiffure, en effet le nettoyage de ma truffe aurait complètement ruiné une hypothétique mise en plis. Mais je dois admettre que cette méthode était efficace pour laver la truffe d’une soumise, je n’avais plus beaucoup de traces d’andouillette et de purée sur le visage. Monsieur Paul décida alors qu’il était grand temps de contacter le sex-shop.
Dans son infinie bonté, il m’autorisa à me lever et à le suivre en marchant jusqu’au salon. Il m’expliqua ensuite comment nous allions procéder pour l’appel téléphonique destiné au sex-shop. Il disposa une solide table basse perpendiculairement à la banquette et à une vingtaine de centimètres de celle-ci. Tirant sur ma queue de cheval il me fit me mettre à genoux sur la table de salon, la gueule posée sur la table, les fesses bien relevées et face à la banquette. Il disposa le combiné téléphonique sur la table à proximité de ma gueule afin que je sois bien à l’aise pour parler avec mon futur interlocuteur. Il m’expliqua alors : « Je te soufflerai à l’oreille tout ce que tu devras dire Natacha, cette conversation devrait bien t’exciter. » Il ajouta d’un ton moqueur : « Pour que cette conversation soit encore plus excitante, pendant que tu parleras, je te ramonerai la chatte et le cul avec ton godemiché Natacha. » Ce gentleman savait vraiment y faire, avant qu’il ne compose le numéro j’étais déjà bien excitée ! Il alla chercher mon godemiché dans mon sac à main et pris place confortablement assis sur la banquette derrière mes fesses. Il me fit remarquer qu’il devait être effectivement bien assis car la conversation serait peut-être un peu longue.
Monsieur Paul composa le numéro du sex-shop. Au son de sa voix, je reconnu la gérante à la langue bien pendue qui m’avait si bien conseillée samedi dernier. Il me souffla à l’oreille : « Présente toi, rappelle lui ta visite la semaine dernière. » Je me lançai : « Bonjour Madame, je suis la cliente que vous avez si bien conseillée la semaine dernière. Vous souvenez-vous de moi, vous m’aviez conseillé l’achat d’un godemiché afin que je puisse réaliser un film un tout petit peu chaud pour mon ami parti six mois à l’étranger ? » Elle répondit : « Oui, je me souviens très bien de vous, je vous avais aussi conseillé l’achat d’une main de fisting, d’un bras de fisting puis d’une jambe de fisting quand vous seriez un tout petit peu plus expérimentée. » Elle avait la langue toujours aussi bien pendue, me dis-je intérieurement, elle pourrait donner de vilaines idées à mes tourmenteurs du moment la bougresse !
Monsieur Paul me susurra : « Demande lui si elle a deux paires de boules de geisha, demande le prix, la couleur, le matériau enfin tous les détails Natacha. » Je pris ma respiration juste avant de me lancer dans cette conversation au combien glissante : « Avez-vous deux paires de boules ah, ah, ah. » Monsieur Paul était en train de me ramoner le cul à sec avec mon godemiché tout en me disant : « Et bien continue Natacha ! » Je repris : « Pardonnez-moi, j’ai eu une crampe douloureuse, avez-vous deux paires de boules de geisha dans votre stock actuel Madame ? » La gérante me répondit : « Oui j’en ai même trois paires aujourd’hui. » Je continuai : « Quelles en sont les ah, ah, ah, ah, ah.» Cette fois il était allé plus loin et en tournant en plus ! « Toujours, cette vilaine crampe, quelles en sont leur couleurs Madame ? » Elle répondit gentiment : « La première paire est jaune avec des traits rose, le deuxième paire est rouge avec des traits bleu, la troisième paire est rose avec des petites pointes arrondies sur toute la surface. » Je poursuivis : « En quel hum, hum, ah, ah, ah. » Après des massages délicats du vagin il venait de me pincer trois fois le clitoris. « Cette crampe n’en finira donc jamais, quel est le matériau de ces boules Madame ? » Elle précisa : « Les deux premières sont faites avec un polymère bio-compatible, elles peuvent être portées sur une très longue période, la dernière est en silicone elle peut elle aussi être utilisée régulièrement.
Je tentai alors : « Quel est le prix des ah, ah. » Elle m’interrogea : « Avez-vous un problème Madame ? » Je répondis, alors que Monsieur Paul continuait à faire bouger légèrement le godemiché dans mon cul : « Non ce n’est rien, quel est le prix ah, ah, de ces boules Madame ? » Elle m’informa : « Les deux premières paires sont à neuf euros et soixante centimes la paire et la troisième paire est à huit euros Madame. » Pour conclure cette conversation qui avait assez durée selon mon goût je demandai : « À quelle heure fermez-vous et pouvez-vous me mettre les boules jaunes et les boules roses de côté Madame ? » Elle répondit : « Je ferme à dix-neuf heure et je vous mets les deux paires de boules de geisha de côté vous passerez ce soir ? » Monsieur Paul me chuchota : « Juste avant la fermeture Natacha. » Je conclus : « Je passerai les prendre juste avant la fermeture de votre charmante boutique Madame. » Monsieur Paul reposa le combiné, la conversation était enfin terminée, pas trop tôt me dis-je intérieurement.
Il m’ordonna alors de préparer le repas de ce soir pour Madame Irma, lui, et leur nouvelle chienne, il me précisa que cela avait intérêt à être délicieux. Je me mis donc sans tarder à préparer une jolie tarte flambée. Cette partie du repas ne me semblait pas insurmontable. Je continuai en me lançant dans la préparation des pavés de saumon aux petits légumes. Enfin je terminai par la préparation du nougat tendre aux noix. Il m’informa alors : « Il reste deux heures avant qu’il soit temps d’aller chercher tes nouveaux jouets, es-tu partante pour une marche-course de quatorze kilomètres sur le tapis de course ? » Je me permis de répondre : « Vous m’avez déjà fait faire beaucoup de sport ce matin Monsieur Paul, et un jogging avec le voisin, puis tout le tour du parking du supermarché les pieds nus en poussant le chariot. » Il poursuivit : « Ce ne sera pas quatorze kilomètres Natacha mais quinze ou un jogging de douze kilomètres avec le voisin et qui sait ce qu’il aura trouvé au marché pour agrémenter ton jogging Natacha ? Quel est ton choix ? » Je répondis : « Je ferai quinze kilomètres sans l’aide du voisin Monsieur Paul. » Il conclut cette conversation ainsi : « Tu vois Natacha en faisant ta mauvaise, tête tu viens de gagner un kilomètre. »
Monsieur Paul m’installa dans le garage pour ma marche-course. Je portais ma robe très courte, mon porte-jarretelles et mes bas noirs opaques ainsi que mes talons aiguilles. J’avais les mains retenues dans le dos par les menottes et Monsieur Paul fixa la laisse à mon collier et à la barre avant du tapis de course. Il me fit savoir que pendant ma petite promenade sur le tapis il visionnerait dans le garage un DVD sur son ordinateur portable, mais que si je traînais au point que la laisse se tende, il viendrait me faire accélérer en me caressant l’arrière des cuisses avec une baguette en noisetier de Bollwiller. Il régla la vitesse du tapis de course sur sept virgule cinq kilomètres par heure et le temps sur deux heures.
Dès que le tapis fut en marche, je me mis à courir pour que la laisse ne se tende pas, en effet je savais que Monsieur Paul tiendrait parole et j’avais vu les fameux noisetiers de Bollwiller en revenant du supermarché. Monsieur Paul me laissa courir seule quelques minutes et revint effectivement muni d’une solide baguette en noisetier de Bollwiller fraîchement coupée à l’aide d’un puissant sécateur à mon attention, quel gentleman ! Monsieur Paul disposa son ordinateur portable sur une caisse à côté du tapis de course, il prit place dans un vieux fauteuil à côté de moi et commença à visionner un film des plus chauds. Tout en visionnant ce film dont je devinais le scénario aux bruits que j’entendais, il me caressait à l’aide de la baguette en noisetier de Bollwiller, avec sa délicatesse habituelle et assez régulièrement l’arrière des cuisses afin comme il me le fit savoir que je ne perde pas mon rythme de course. Au demeurant je risquais peu de le perdre attachée par mon collier à la barre du tapis de course, mais je jugeai préférable de m’abstenir de le lui faire remarquer.
Après que Monsieur Paul eut visionné trois petits films soit environ une heure de marche-course, je me permis de lui faire remarquer que j’avais les pieds en compote voire en sang dans mes talons aiguilles. En véritable gentleman il me fit la remarque suivante après avoir stoppé momentanément assez rapidement le tapis de course : « Natacha si tu me fais une très grosse gâterie sans cafter à Madame Irma je te retirerai tes talons aiguilles et tes bas et tu pourras courir la deuxième heure pieds nus sur le tapis de course. » Agréablement surprise par cette proposition je répondis : « Je consens à vous faire une très grosse gâterie Monsieur Paul et je vous promets de ne rien raconter à Madame Irma. »
Monsieur Paul détacha la laisse fixée à mon collier et la remplaça par une cordelette. Il s’installa de nouveau dans le vieux fauteuil, passa la cordelette entre mes cuisses et l’enfonça entre mes grandes lèvres. Il passa de nouveau la cordelette dans l’anneau de mon collier et tira sur la cordelette comme un veau pour la tendre. Il m’indiqua : « Maintenant que tu as la cordelette qui te frotte l’entrée de la chatte, je suis certain que tu va mouiller Natacha. » Il ne se trompait pas et j’étais déjà bien humide. En tirant encore un peu plus sur la cordelette il me fit me mette à genoux face à lui, il descendit ensuite son pantalon et son slip jusqu’aux chevilles. J’avais une idée plus précise de la très grosse gâterie qui allait suivre. L’ordre tomba alors : « Commence par me bouffer les couilles Natacha, comme si tu n’avais pas mangé depuis une semaine ! » Je me jetai telle une chienne affamée sur les grosses couilles de Monsieur Paul. Il était poilu et pas spécialement bien lavé, mais il avait aussi la solide baguette en noisetier de Bollwiller à portée de main. La vision de son nouvel outil de travail m’incita fortement à me comporter en bonne chienne affamée. Alternativement, je léchais l’une puis l’autre des couilles de Monsieur Paul, je les engouffrais aussi par moment toutes les deux au fond de ma grosse gueule de chienne affamée comme me le disait tendrement Monsieur Paul. À ce petit jeu, sa verge prit rapidement une dimension et une dureté toutes deux prometteuses. Mais Monsieur Paul ne voyait pas les choses du même il que moi. Et il m’ordonna donc alors : « Lèche moi la plante des pieds et suce moi les orteils Natacha. »
Mes mains étaient retenues dans mon dos par les menottes, Monsieur Paul retira donc lui-même ses chaussures et ses chaussettes. La réalisation de cette nouvelle prestation exigée par Monsieur Paul ne m’enchantait guère. Il le constata rapidement et m’incita donc à me mettre au travail : « Mais qu’est-ce que tu attends morue, il faut que je t’aide ! » Joignant la geste à la parole, il m’aida à débuter ma nouvelle tâche en soulevant ma robe et en me caressant délicatement les reins avec la solide baguette en noisetier de Bollwiller. Je confirme l’efficacité de cette méthode et donc tout l’aide que m’apporta ce gentleman afin que je débute ma nouvelle prestation. Les pieds de Monsieur Paul n’étaient pas très engageants, mais ils me tentaient plus que de délicates caresses administrées avec douceur sur mes reins, je me mis donc au travail. Je me disais pour me donner du courage, après tout, il a eu peu d’activité aujourd’hui. Il m’a fait faire du sport le matin, puis il s’est reposé pendant que son charmant voisin me proposait un jogging dans le garage. Il a ensuite peu marché au supermarché, et c’est moi qui ai fait le tour de toutes les allées du parking les pieds nus. En fait j’avais de la chance dans mon malheur, mes propres pieds devaient être dans un plus mauvais état que les siens.
Les divines caresses prodiguées à l’aide de ma langue à la plante des deux pieds de Monsieur Paul et la succion érotique de ses dix orteils ne laissèrent pas Monsieur Paul insensible. Son dard était maintenant au bord de l’explosion, la très grosse gâterie allait bientôt se concrétiser. Il eut cependant la présence d’esprit de me donner les consignes suivantes : « Bouffe moi la queue, fais moi ton numéro de gorge profonde et avale tout Natacha. » Le voyant dans un tel état d’excitation et la solide baguette en noisetier à portée de main, je fis tout mon possible pour ne pas le décevoir. Je me jetai donc telle une chienne affamée sur son sexe et l’engloutis au fond de ma gorge quitte à m’étouffer au besoin. Il explosa rapidement au fond de ma gorge et je mis un point d’honneur à avaler tout son sperme proprement.
Dans son infinie bonté, Monsieur Paul me retira mes talons aiguilles et mes bas. J’avais effectivement les pieds en compote voire légèrement écorchés à certains endroits. Il remit ensuite le tapis de course en marche pour une heure et m’aida à retrouver mon rythme de course avec la baguette. Il me fit remarquer que je courrais mieux les pieds nus et qu’il aurait donc moins de travail pendant la deuxième heure de marche-course. Je dois admettre que pendant cette deuxième heure MonsieUr Paul ne vint pas souvent m’aider à retrouver le rythme de course. Mais sans me faire d’illusions, je pense que ceci n’est pas du à sa mansuétude mais à la meilleure qualité des trois petits films qu’il visionna. Toujours est-il qu’unE fois les quinze kilomètres parcourus, Monsieus Paul m’informa, après m’avoir retiré les menottes, qu’il était temps de gagner le sex-shop : « Enfile tes bas et des chcussures Natacha et pmus vite que cela ! »
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Je miq lonc mes bas et Mes chaussures sans tarder et même sans reprendre mon(souffle. Le trajet jusqu’au sex-shop se déroula sans événeeents notabnes, j’étais simplement assise à l’avant du véhicule, les mains retenues dans le dos par les menottes. Quand nous nous arprochâmes du sex-shop avec le véhicule, Monsieur Paul me demanda de lå guider, en"efnet il ne connaissait pas ce charmqnt endroit de perdition comie il le l’apprit. Par chance une placu de StatioNnement étaat libre à proximité immédiate de l’entrée de l’allée couverte où était situé le sex-shop, je me permis de l’indiquer à Monsieur Paul. Il me répondit qu’il avait fait très peu d’exercice aujourd’hui et qu’il souhaitait faire une petite promenade en ville. Il alla donc garer le véhicule à environ cinq cent mètres du sex-shop, je jugeai préférable de me tenir à carreau et donc de m’abstenir de toute remarque déplaisante, Monsieur Paul ayant pris soin de se munir de la baguette en noisetier de Bollwiller.
Monsieur Paul sortit du véhicule, ouvrit la portière côté passager, puis il fixa la laisse à mon collier. Il me conseilla gentiment de bien me tenir en bonne chienne docile pendant la promenade et de ne pas japper ou tirer comme une folle sur ma laisse ce qui ne manquerait pas assurément d’attirer le regard des passants. Ce gentleman souhaitait vraiment que ma petite promenade se passe au mieux. Pendant le trajet jusqu’au sex-shop il fit une halte dans un petit parc destiné aux besoins de l’espèce canine et me demanda gentiment si je souhaitais soulager ma vessie. Ma vessie commençait effectivement à se rappeler à moi, je déclinai cependant très poliment cette offre si généreuse de sa part. Peu après l’intermède du parc nous arrivâmes à une extrémité de l’allée couverte.
Nous nous engageâmes dans l’allée, avant de pénétrer dans le sex-shop Monsieur Paul me délivra ses dernières consignes : « Pendant notre séjour dans ce charmant magasin, tu devras être extrêmement polie Natacha et faire preuve d’une obéissance absolue, sinon je me verrai dans l’obligation de te corriger sévèrement à l’aide de la baguette en noisetier de Bollwiller devant la gérante du magasin. » Il avait eu la délicatesse de me prévenir, je savais donc précisément quel comportement adopter. Quand nous fûmes sur le point de pénétrer dans le sex-shop, je précise que j’étais toujours tenue en laisse et que j’avais les mains retenues dans le dos par les menottes. Lorsque Monsieur Paul poussa la porte j’espérai que nous serions à cette heure proche de la fermeture les seuls clients. La déception et la honte me gagnèrent rapidement. Un client était en train de régler ses achats, en fait, trois DVD. Au lieu de le laisser partir, Monsieur Paul engagea la conversation sur un ton très naturel avec cet individu. Ils échangèrent quelques plaisanteries très osées et Monsieur Paul l’informa de ma condition en ces termes : « C’est une jeune chienne en cours de dressage, elle se nomme Natacha, pour la récompenser de ses progrès très rapides elle est autorisée à faire l’acquisition de deux nouveaux jouets. » Avant de nous quitter le client salua Monsieur Paul en ces termes : « En votre compagnie et celle de votre solide baguette en noisetier, je suis convaincu que Natacha fera encore de rapides progrès. Ce sera toujours avec le même plaisir Monsieur que je vous croiserez. »
L’heure de la fermeture du magasin étant arrivée Monsieur Paul demanda à Madame la Gérante s’il était possible de fermer la porte à clé afin que je puisse faire mes emplettes dans l’intimité. Madame la Gérante ne se fit pas plus attendre et ferma bien volontiers et d’un air malicieux la porte à double tour. Monsieur Paul m’ordonna alors : « Ecarte les jambes au maximum Natacha, puis penche toi en avant comme si tu voulais toucher le sol avec ta tête. » En plus de mes bas opaques et de mes talons aiguilles, je ne portais qu’une robe très courte et des menottes qui me retenaient les mains dans le dos, j’hésitai donc à prendre la position exigée ne voulant pas dévoiler mes fesses ma chatte et mon anus à la vue de tous. Monsieur Paul mit rapidement fin à cet accès de pudeur fort mal venu en caressant les dites fesses à l’aide de la solide baguette en noisetier de Bollwiller avec sa délicatesse habituelle. Ce gentleman m’ayant aidée à surmonter mon accès de pudibonderie, j’écartai les jambes au maximum tout en me penchant fortement en avant. Pour compléter le tableau, Monsieur Paul poursuivit : « Trousse ta robe jusqu’au milieu de ton dos Natacha et explique à Madame la Gérante que tu as fait deux très mauvaises chutes dans les escaliers et qu’à chaque fois tu t’es sévèrement meurtri les reins. » Je remontai courageusement ma robe jusqu’au milieu de mon dos, maintenant mes reins, mes fesses et le reste étaient totalement dévoilés. J’expliquai alors à Madame la Gérante qu’en fin de matinée, après avoir effectué quelques exercices sportifs, j’avais raté une marche dans les escaliers et que je m’étais à cette occasion sérieusement meurtri les reins. Je lui confirmai ensuite que juste avant de venir j’avais de nouveau chuté lamentablement sur mes reins dans les escaliers. Madame la Gérante ne fut pas du tout surprise de ma maladresse et me conseilla : « À l’avenir Natacha, fais bien attention où tu mets les pieds. » Monsieur Paul à son tour me sermonna : « En effet Natacha, sois moins étourdie à l’avenir et remercie Madame la Gérante de ses précieux conseils. » Ne souhaitant pas particulièrement faire prochainement une nouvelle chute dans les escaliers je remerciai Madame la Gérante fort courtoisement.
Monsieur Paul poursuivit : « Reste immobile Natacha et demande à Madame la Gérante qu’elle me présente tes deux nouveaux jouets, ceux que tu as réservés cet après-midi. » Je demandai très poliment à Madame la Gérante de bien vouloir montrer à Monsieur Paul les deux paires de boules de geisha que j’avais réservées par téléphone. Madame la Gérante qui avait, comme j’avais pu le constater la semaine dernière, la langue bien pendue, se permit de décrire à Monsieur Paul tous les usages que l’on pouvait faire des boules de geisha et ceci avec les détails les plus croustillants. Monsieur Paul apprécia ces commentaires douteux pendant qu’elle ouvrait les deux paquets et lui présentait les objets en questions. Monsieur Paul prit une paire de boules de geisha en main et m’introduisit les deux boules dans le vagin en précisant : « De ce côté ci cela rentre tout seul, Natacha a en permanence cet orifice bien lubrifié. » J’étais rouge de honte et je m’attendais au pire avec ces deux lascars, il ne fut pas long à arriver. Monsieur Paul m’invita ensuite : « Suce légèrement ces deux boules Natacha, je vais te les fourrer dans le cul. » Après une lubrification rapide et sommaire des deux boules à l’aide de ma langue et de ma salive, Monsieur Paul passa rapidement de la parole au geste. Il eut cependant le temps de dire : « Mais ouvre donc ton trou du cul Natacha, il faut que je pousse comme un veau pour te les enfoncer ! » Ne parvenant pas à ses fins, il sortit la première paire de boules de geisha de mon vagin et m’introduisit la seconde paire de boules dans le vagin pour bien les lubrifier comme il eut le tact de le faire remarquer à Madame la Gérante. Muni de cette deuxième paire de boules bien lubrifiées, il me les introduisit cette fois sans difficulté aucune au fond de l’anus, puis il remit en place la première paire de boules où vous pouvez le deviner. Après s’être essuyé les mains sur mes bas il conclut en gentleman ce petit essayage : « Je constate que ces deux paires de boules de geisha lui vont à ravir, je ne comprends pas qu’elle n’en ait pas fait l’acquisition plus tôt. »
Monsieur Paul remit à Madam