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Les routiers sont sympas – Chapitre 18

Les routiers sont sympas - Chapitre 18



Hier soir, j’ai laissé Nathalie chez Élodie avec la promesse de venir les chercher pour aller au restaurant.

À l’heure prévue, je les retrouve toutes les deux plus belles l’une que l’autre… Elles ont troqué leurs vêtements décontractés, jeans et sandales, pour des tenues de sortie en jupettes, collants, chaussures montantes, corsage à col en vé sous une veste assortie… Je reste quelques secondes en admiration devant ces nymphes aux visages joyeux…

Nous nous embrassons en se souhaitant une bonne journée.

Dans la voiture, tout en conduisant, je leur demande :

— Alors, les filles, vous avez passé une bonne nuit ?…

— Nous nous sommes couchées tard, mais nous avons bien dormi… dit Nathalie

— Pourquoi vous vous êtes couchées tard ?…

— Nous avons fait connaissance… Nous avons beaucoup parlé… dit Elodie

— Je peux savoir de quoi vous avez parlé ?…

— Nous avons comparé nos vies, nos malheurs, nos joies… Notre avenir…

— Nous avons aussi parlé de toi… ajoute Nathalie

— J’espère que c’était en bien…

— Après tout ce que tu as fait pour nous, nous te considérons comme notre sauveur… Nous te devrons une reconnaissance éternelle… dit Elodie

— Arrêtez d’en jeter… Je n’ai fait que vous aider… Je suis fier d’avoir réussi… Pour moi, c’est naturel… Vous ne me devez rien… Maintenant, c’est à vous deux de tenir bon…

La conversation continue sur le même sujet pendant le trajet…

Arrivés au village, les quelques personnes qui se trouvaient sur le parcours entre le parking, où j’avais garé la voiture, et le restaurant, se retournaient pour admirer mes deux compagnes. Il en est de même à l’intérieur de la salle à manger…

Malgré la chaleur, le repas se passe bien… Les mets et le vin sont savoureux…

Peut-être à cause du menu un peu chargé, peut-être à cause de l’apéritif et du vin bus, peut-être à cause de la chaleur atmosphérique, peut-être un peu de tout cela à la fois, le repas terminé, d’un commun accord, nous décidons d’aller faire une petite sieste chez Élodie.

Arrivés sur place, nous entrebâillons les volets, nous laissons les fenêtres du côté de l’ombre entrouvertes. Pour faire circuler l’air et avoir un peu de fraîcheur dans la maison, nous laissons les portes intérieures ouvertes.

Ayant revêtu un short et un t-shirt, je m’allonge sur le divan du salon, les filles vont sur les lits, dans les chambres.

J’ai dormi à peine une heure quand, dans un demi-sommeil, j’entends des chuchotements, des petits gloussements et des petits rires. J’écoute quelques minutes… Complètement réveillé, je pense que les filles doivent se raconter des blagues ou des souvenirs de jeunesse particulièrement joyeux…

Tel un Indien sur le sentier de la guerre, silencieusement, je m’approche de la chambre d’où proviennent ces bruits incongrus.

Quelle ne fut pas ma surprise en arrivant au coin de la porte !…

Les filles sont allongées, l’une à côté de l’autre, seulement vêtues de leurs culottes, et d’un peignoir de bain ouvert… Elles se caressent et s’embrassent les parties de leurs corps ainsi dénudés, en insistant, un peu, sur leurs poitrines, mais sans descendre plus bas que leurs nombrils.

À tour de rôle, l’une d’elles arrête les bisous et chuchote dans l’oreille de l’autre. L’autre écoute attentivement. Parfois des gloussements ou des petits rires s’échappent de sa bouche avant de répondre…

Je les observe quelques minutes en essayant d’entendre ce qu’elles se disent. Je ne comprends pas leurs paroles. Je vois une auréole d’humidité s’élargir sur l’entrejambe de leurs culottes.

Face à ce spectacle libidineux, je ne peux m’empêcher d’avoir une érection à la limite de la douleur.

N’y tenant plu, j’entre dans la chambre en disant : « Alors, les filles, on se donne du plaisir ? »

Surprises, d’un bond, elles s’assoient en essayant de cacher leurs nudités :

— Ce n’est pas la peine de jouer aux petites filles pudiques, ça fait presque cinq minutes que je vous regarde…

— Tu es un voyeur, un vicieux, un pervers !… On croyait que tu dormais… dit Elodie

— On ne faisait rien de mal, on se racontait nos premières expériences sexuelles de lycéennes… dit Nathalie

— C’est sûr que vous ne vous faisiez rien de mal… Il n’y a quà voir la tache sur vos culottes…

— Et toi !… À voir la bosse de ton short, tu as apprécié le spectacle… remarqua Nathalie

— Il aimerait, peut-être, qu’on s’occupe de lui ?…

— Oui ! J’aimerais bien… Hier soir, vous avez beaucoup discuté. Vous vous êtes raconté vos problèmes. Vous avez parlé de moi et sûrement comment je vous ai appris à donner du plaisir à un homme… Maintenant, avant de vous occuper de moi, vous allez finir ce que vous avez commencé… Vous allez vous donner du plaisir entre filles…

— Tu es gonflé… Tu voudrais jouir du spectacle ?… Peut-être nous n’avons pas envie… Quen penses-tu Élodie ?

— Comme toi, je ne voudrais pas me donner en spectacle devant un homme…

— Vous n’allez pas me jouer la comédie des jeunes vierges effarouchées alors que j’ai fait l’amour avec vous deux, à tour de rôle… Nathalie, tu as refusé les propositions d’une femme sans savoir quel plaisir tu pouvais avoir… Élodie, tu croyais être une fille anormale avant de savoir que tu étais une femme fontaine… Tu vas me faire voir si tu gicles toujours autant… Je suis sûr que Nathalie aimerait bien voir aussi…

— Comme je suis curieuse de nature, je voudrais voir ça… En plus, Élodie, tu m’as dit que tu avais eu beaucoup de plaisir quand Michelle s’était occupée de toi… J’aimerais bien connaître la même chose… Joseph nous a fait oublier nos peurs et nos réticences, on lui doit bien ça…

— Après tout, se faire jouir entre filles, c’est une nouvelle expérience à connaître… Si on n’aime pas, on ne recommencera pas… Nous nous sommes caressées, nous avons commencé à aimer ce que nous nous faisions, j’ai envie d’aller jusqu’au bout… Joseph, tu nous regarderas et tu nous donneras tes conseils…

— C’est vrai que je commençais à aimer aussi nos caresses… J’ai aussi envie de jouir…

— Mettez-vous nues et continuez… Je veux bien vous conseiller, mais je suis sûr que vous saurez y arriver…

Élodie va chercher et étale sur le lit un grand drap de bain. Quittant leurs peignoirs et leurs culottes, à genoux sur le lit, les filles se regardent, un sourire béat aux lèvres…

— Tu es belle dit Élodie…

— Tu n’es pas mal non plus répondit Nathalie…

— Élodie, tu te contractes, détends-toi, arrête de penser, profites-en… Pense à ton plaisir… Pense au plaisir que tu vas donner… Vous êtes deux belles filles, bien désirables… Caressez-vous… Faites-vous jouir comme jamais… Profitez-en… Plus vous aurez d’expériences, plus vous ferez des hommes heureux

Se savoir belles et désirables était un sentiment qu’elles appréciaient. Elles étaient flattées de toutes mes attentions. Chacune aurait pu profiter égoïstement de son plaisir. Mais elles voulaient partager.

S’approchant l’une de l’autre, s’enlaçant, après un instant d’hésitation, leurs bouches se joignent pour un long baiser sensuel…

— Je ne pensais pas qu’un jour j’embrasserai une fille comme cela… – dit Nathalie.

— Moi non plus… Mais je trouve que c’est agréable… répond Élodie.

Depuis leur rencontre, elles se sentaient différentes. Quelque chose d’indéfinissable s’était déclenché en elles. Elles ont ce sentiment bizarre de braver les interdits, qui a fini par se transformer en une excitation grandissante.

Leur relation était si récente : à peine quarante-huit heures, et un repas un peu arrosé…

Elles sont bien loin ces filles plutôt timides et réservées, limite coincées…

Elles sont devenues ces femmes sensuelles, sauvages, brûlantes, impudiques, qui découvrent une autre forme de plaisir, plus intense.

S’écartant légèrement, leurs mains, tout en caressant leurs épaules, leurs bras, leurs flancs, se dirigeaient vers leurs poitrines.

Tout en léchant et en embrassant par petits baisers, leurs bouches suivent le même chemin que les mains. Arrivées sur place, les mains massent les seins, les bouches sucent les mamelons. Quelques soupirs lascifs commencent à s’échapper des gorges…

Elles ne peuvent contenir plus longtemps les sensations qui déferlent en elles.

Frissonnantes, les corps tendus de désir, elles se contractent sous le plaisir des caresses prodiguées. Haletantes, le cur battant à tout rompre, elles tentent de retrouver leurs esprits.

À demi conscientes, elles se murmurent à l’oreille :

— Que tu es belle… Non, s’il te plaît, n’arrête pas, pas encore !… Encore !…

Les réponses étaient :

— Laisse-toi aller…

— Non, je ne peux pas,… c’est trop fort, je… n’arrive pas à contrôler…

— Ne contrôle rien, laisse-toi dévaster par le plaisir, tu es si belle lorsque tu jouis – bredouillaient-elles

Les jambes entrouvertes, offertes, les seins et le ventre enflés, les tétons érigés, les lèvres gorgées de sang, rouges de plaisir, les cheveux en bataille, une lueur sauvage et fascinante se reflète dans leurs yeux.

Lentement, légèrement, les mains caressantes ont continué leur descente, en passant sur le dos et le bas des reins, jusqu’aux fesses des deux nymphes.

Leurs bouches embrassaient et léchaient le ventre jusqu’au pubis, s’arrêtant un instant sur le nombril. C’est ainsi que les filles se sont retrouvées couchées sur le côté, en position ftale, leurs sexes à quelques centimètres de leurs bouches…

— Tu mouilles beaucoup… Ça dégouline sur tes cuisses… dit Elodie

-Tu n’es pas mieux, ma chère… Tu coules en continu… Tu aimes ce que je te fais… Moi, je commence à bien aimer… On continue ?

— Ho oui ! C’est trop bon…

Disant cela, chacune avait posé une main sur la chatte de l’autre. En cadence et synchronisées, elles faisaient des mouvements masturbatoires, le majeur s’enfonçant de plus en plus entre ces lèvres intimes ainsi offertes… Les soupirs se transforment en râles de plus en plus profonds.

C’est Élodie, la première, qui pose ses lèvres sur ces autres lèvres pour aspirer et boire le nectar qui remonte des profondeurs vaginales…

Très vite, Nathalie l’imite… Après s’être désaltérée à la source divine, c’est le clitoris d’Élodie qu’elle prend entre ses lèvres pour le titiller du bout de la langue.

Le résultat ne se fait pas attendre… Élodie arrête tout mouvement… Sa respiration s’affole… Son corps se raidit et s’allonge sur le lit… Ses jambes sont agitées de tremblements de plus en plus rapides… Ses râles deviennent de plus en plus aigus.

Nathalie, qui a introduit un doigt agitateur dans le vagin de sa partenaire, accélère ses mouvements…

Soudain, le corps d’Élodie, tétanisé, se cambre, s’arc-boute… D’une main passée dans les cheveux, elle écarte la tête de Nathalie avant de s’écrier « Attention ! »

Nathalie dirige son regard entre les cuisses largement écartées d’Élodie et contemple, effarée, plusieurs jets puissants d’un liquide incolore qui jaillissent de son sexe. Elle avait l’impression qu’elle urinait, mais à chaque projection correspondent une ou plusieurs contractions de plaisir… Puis la source se tarit, les spasmes se font plus espacés et moins violents pour enfin cesser… Essoufflée, le cur battant, vaincue par l’orgasme, Élodie s’abandonne sur son drap de bain trempé… Elle perd connaissance… Son corps est affalé, inerte, sur le lit…

— Mon Dieu, d’où ça sort ça ? – s’écrit Nathalie…

— C’est ce que le monde médical n’arrive pas à expliquer… Chez certaines femmes, ce serait l’aboutissement d’une jouissance extrême… C’est pour cela qu’on les appelle Femmes fontaines

-… C’est spectaculaire mais sans danger pour leur santé…

— Tu dis sans danger… Il me semble qu’elle est évanouie…

— Ne t’inquiète pas… Elle respire… Elle est dans un nuage… Il faut attendre, elle va revenir tout doucement…

— C’est pour ça qu’on dit « monter au septième ciel »

— Sans doute…

Élodie commence à ouvrir les yeux, à bouger bras et jambes… Comme sortant d’un rêve, elle demande :

— Que sest-il passé ?… C’est moi qui ai mouillé tout ça ?!

— Ho ! Oui ! Quel spectacle !… Quelle jouissance !… – dit Nathalie

— Je l’ai senti venir… Je n’ai rien vu… Je n’ai rien senti… Je flottais… Jétais bien, comme dans du coton…

— Tu as perdu connaissance… J’étais inquiète, Joseph m’a rassuré… Tu reviens vers nous, comment te sens-tu ?…

— Je suis fatiguée… Je n’ai aucune force… J’ai encore des sifflements dans les oreilles…

Après une pause, les deux jeunes femmes changent le drap de bain trempé.

Quand c’est fini, Nathalie prend Élodie dans ses bras et l’embrasse chaudement. Elle s’allonge sur le lit. Écartant les jambes, elle interpelle Élodie :

— Lèche-moi maintenant, demande-t-elle. Je sens que je vais partir vite.

Élodie se met à genoux et, sans hésitation, suce les grandes et petites lèvres de son amie. Elle lui plonge l’index dans la chatte, bien profondément, comme elle fait pour elle-même. Cette caresse est efficace si j’en juge par les râles qui roulent dans la gorge de Nathalie. L’orgasme monte et surgit soudainement.

Une main sur la main d’Élodie pour la maintenir sur sa vulve, l’autre sur sa tête pour la maintenir entre ses cuisses. Chaque contraction vaginale lui fait expulser un peu de cyprine dans la bouche d’Élodie.

Enfin, Nathalie se relâche, libérant le doigt et le visage de son amie.

— C’était magnifique, magique, dit Nathalie, son regard fixant les yeux de sa bienfaitrice…

— Tu sais, j’ai eu beaucoup de plaisir à te faire plaisir…

Quand les deux filles sortent de la salle de bains, elles reviennent sur le lit. Je leur demande :

— Ça vous a plu… Vous n’avez pas eu besoin de mes conseils… Vous vous êtes bien débrouillées toutes seules… Ne seriez-vous pas des homosexuelles qui s’ignoraient ? »

— Ho non ! – Me répond Nathalie – C’était très fort, très bon, mais pour moi, je préfère quand tu me prends… J’aime sentir ta grosse queue au fond de ma chatte…

— Pour moi, c’est pareil, reprend Élodie C’est la première fois qu’une fille me fait jouir… Jamais je n’aurais pensé que c’était aussi intense… Je te remercie d’avoir mis au courant Nathalie de la réaction particulière de ma jouissance. Ça m’a permis de me relâcher complètement…

— Quand tu voudras faire l’amour avec un garçon, c’est toi qui devras lui dire… Tu m’as promis…

— Je ne sais pas si j’y arriverai… Je n’ai pas encore rencontré celui qui me plaira pour cela…

Se serrant dans les bras l’une de l’autre, elles se caressent, s’embrassent et finissent par refaire l’amour avec quelques précautions pour Élodie…

Elles sont reparties dans leur monde… Elles m’ont complètement oublié…

Après avoir joui plusieurs fois chacune, Nathalie réalise que je suis toujours présent. Je n’ai pas perdu une miette de leur spectacle… En les regardant, pour ne pas les troubler dans leurs ébats, pour faire baisser la tension de ma verge, je me masturbais lentement… Trois fois j’ai éjaculé… dans du papier essuie-tout…

Après s’être retrouvés ensemble, sous la douche, chacune et chacun savonnant et lavant les autres, nous décidons d’arrêter nos ébats et de nous reposer le reste du week-end…

Nous nous couchons de bonne heure afin de commencer une semaine de travail au mieux de notre forme…

Mais cela est une autre histoire…

Petikokin

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