Avant-propos :
Bonjour, l’histoire que vous propose est une pure fiction. Je me suis librement inspiré d’une autre histoire publiée: Elodie, piégée de PointF qui m’a énormément plu.
Je ne connais rien à la technique qu’un personnage utilise dans cette histoire. Mais je ne pense pas et je n’espère pas que ça existe ou fonctionne.
Je ne cautionne en rien la soumission sans consentement mutuel dans la vie réelle.
Il s’agit d’un fantasme, d’une fiction dans laquelle d’ailleurs, je ne décris pas volontairement le physique de l’héroïne afin que chacun se l’imagine plus librement.
C’est mon 1er récit érotique mais j’espère qu’il sera durable et qu’il vous apportera autant de plaisir interdit à le lire que j’en ai en l’écrivant.
Ce 1er chapitre est long et à prendre comme une introduction plantant le décor pour la suite des événements.
Servane, très belle jeune femme de 20ans est une vraie salope…
Et ça à tous les niveaux :
Née dans une famille influente et fortunée, elle a toujours été pourrie gâtée par des parents trop occupés par leurs mondanités et autres futilités pour élever leur fille.
De cette enfance, elle a un comportement agressif, capricieux et est persuadée que tout lui est dû.
Une sale gosse égocentrique en somme, qui a pris la sale habitude d’obtenir tout ce qu’elle veut et tout de suite.
Que ce soit par l’argent, par les contacts de ses parents ou par son physique avantageux dont elle joue comme une pute qui se vend.
Elle avait réussi à obtenir son bac mais, comme vous vous en doutez, plus grâce à quelques billets mis dans les poches des profs que par son travail.
Elle avait quand même un peu hésité à tailler 2, 3 pipes à de vieux vicieux pour monter ses notes pendant les oraux…
Jouer les allumeuses avec des petits hauts ouverts sur décolleté, des mini-jupes et des bas, la parfaite tenue d’écolière salope pour faire des branlettes était courant.
Mais elle essayait quand même de pas trop leur en donner pour éviter qu’ils en demandent plus. Elle tenait à son contrôle sur son petit monde.
A l’université, son travail n’était pas plus glorieux et professeurs et élèves connaissaient sa réputation et le dédain qu’elle éprouvait pour tout le monde.
S’ils lui léchaient pas les bottes, ils n’avaient aucun intérêt à ses yeux.
Elle continuait à obtenir ses notes avec de plus grosses liasses en se penchant sur le bureau des profs pour faire déborder son décolleté sous leur nez.
Même dans les couloirs, elle continuait à se moquer des autres qu’elle rabaissait en les insultant ou leur faisant faire des tours de singe pour un billet.
Et les encadrants ne disaient rien, soit par crainte pour leur poste à cause des contacts haut placés des parents de Servane, soit car elle était passée sous leur bureau.
Mais il y en a un qui lui résistait : Eric, un prof de sciences humaines dans la trentaine.
Jusque-là il avait toujours refusé l’argent qu’elle lui proposait.
Et les notes de Servane dans cette discipline étaient si catastrophiques qu’elles lui descendaient la moyenne générale et elle risquait son année si ça continuait.
Aujourd’hui elle était restée dans la salle avec Eric après les cours pour obtenir de meilleurs notes…
C’était la fois de trop…
Elle avait pas mis de soutien-gorge ce jour-là et se dandina vers le bureau du prof en relevant sa mini-jupe jusqu’au raz des fesses pour laisser apparent son string avant de sasseoir sur le bureau en croisant les jambes.
Elle pris son regard d’allumeuse innocente en se rapprochant de lui qui finissait un papier.
Monsieur…s’il vous plaît…j’ai absolument besoin de meilleures notes en sciences…
Alors vous savez qu’il vous suffit de travailler mademoiselle. Vos copies sont toujours vides de sens ou blanches…Croyez-vous sérieusement que c’est comme ça que vous réussirez dans la vie ?
Mais Eric…tu sais que j’obtiens toujours ce que je veux.
Elle sort une grosse liasse d’entre ses seins et lui pose sur le bureau.
C’est le double de ce que je t’avais proposé la dernière fois. Pour un pauvre prof comme toi, c’est une belle somme. Imagine tout ce que tu vas faire avec ça…Et ça juste pour me mettre un 12…
Mademoiselle si vous saviez vous tenir, vous ne me tutoieriez pas. En plus du manque de travail, votre comportement en classe avec les autres élèves est néfaste et inadmissible. Et vous croyez que je vais accepter votre argent ? Il est peut-être temps que vous compreniez que l’argent achète pas tout…
Oh tu le prends comme ça…Mais tu sais, tu me plais bien, encore plutôt beau gosse…
Elle le dévisage en se léchant les lèvres et glisse un doigt le long de sa chemise.
Si c’est autre chose que l’argent qui t’intéresse…je pourrais peut-être…
Servane caresse sans honte l’avant de son pantalon qu’elle sent se tendre déjà.
Il se cambre un peu devant cette étudiante si entreprenante et dépose ses lunettes en la regardant dans les yeux. Son regard a changé de l’air sérieux à un air plus sauvage.
Tu veux me tutoyer, je vais te tutoyer aussi. Mais tu vas voir ce qui va t’en coûter. J’ai entendu comme tout le monde des rumeurs sur toi. Et je vois que c’est fondé…2secondes…
Il se lève alors et va fermer la porte de la classe à clé.
Elle le regarde faire satisfaite en se disant qu’elle va enfin avoir sa note après une petite branlette. Et se retourne en décroisant les jambes toujours assise sur le bureau.
Ah et tu crois que je vais faire quoi d’après ces rumeurs ?
Déjà va t’asseoir sur une chaise. Voilà tu seras mieux comme ça.
Mais pour tout te dire Servane, je crois que je vais te donner la leçon de ta vie. Sachant ça, tu veux toujours ta note ?
Intriguée, voire un peu craintive de son ton si autoritaire soudaine mais aussi si arrogante, elle le regarde avec dédain et mépris.
Tsssss comme si j’avais à craindre qu’un prof me fasse la leçon ! Si tu oses faire quelque chose qui me plaît pas, tu perds ton boulot de toute façon !
Oui je veux ma note et tu vas me la donner.
Alors qu’elle s’attend à ce qu’il ouvre son pantalon devant elle, il se met à son niveau à 10cm de son visage et la regarde fixement dans les yeux.
Elle se recule dans la chaise par réflexe de surprise mais n’arrive plus à détourner le regard de ses yeux qui la fixent avec une autorité forte et…quelque chose d’autre qui l’attire irrésistiblement.
Fixe bien mes yeux ! Regarde moi, regarde moi bien ! Oui comme ça, continue si tu veux ta note…Tu sens le sommeil monter en toi…Un sommeil lourd…Tu continues de m’écouter mais tu t’endors profondément Servane…
Elle cherche naturellement à résister en voulant tourner le regard. Mais ses yeux sont si persuasifs, son ton si autoritaire qu’elle s’endort sur la chaise en ne faisant que fermer les yeux.
Bien Servane, laisse toi aller et n’écoute que ma voix. Tu es sous mon contrôle à présent. Tu vas, à partir de maintenant, suivre à la lettre les ordres que je te donne, moi Eric, ton professeur et ton Maître.
Pour commencer, tu me seras totalement soumise dans cet état de conscience altérée à chaque fois que je te dirai « Je vous prie ».
Tu suivras aveuglément tous mes ordres en gardant conscience de tes actes sans pouvoir dévier de ma volonté.
Tu ne pourras en aucun cas directement ou indirectement me causer du tord ou me faire du mal.
Si je te donne un ordre qui va au delà de cet état, tu le suivras aussi.
Tu ne pourras faire part de cette soumission à personne et d’aucune manière que ce soit.
Et tu ne sortiras de cet état de soumission que lorsque je prononcerai le mot « réjouissances ».
Si tu m’as bien entendu et compris, lève lannulaire gauche…
Servane reste totalement immobile, toujours les yeux fermés en transe et ne lève que l’annulaire gauche.
C’est parfait Servane. Pour m’appartenir, ton esprit a aussi besoin d’une clé pour se libérer de mon contrôle. Il te suffirait de prononcer un mot que tu ne prononces jamais vu ton arrogance : « gentille ». Maintenant que tu connais cette clé, tu oublies totalement qu’il s’agit de ce mot…
Bien, tu es prête à présente. On va passer à un test. Servanes, je vous prie de vous réveiller…
Elle ouvre les yeux et est désorientée comme pour un réveil extrêmement brutal après un sommeil de plomb. Le temps de se remettre, elle le voit debout devant elle en la regardant de haut avec un sourie en coin qui en dit long. Elle qui a horreur qu’on la regarde comme ça se lève immédiatement et part vers la porte.
Je sais pas ce que t’as essayé de faire à me fixer comme ça mais ça marche pas. Tu te prenais pour quoi ? Un hypnotiseur?!Tu refuses de me donner cette note mais tu vas me le payer sale prof !
Oh mais faites comme vous voulez. Je vous reverrai pour d’autres réjouissances…
Elle marque à ce mot un petit temps d’arrêt et reprend son sac furieuse qu’il se foute d’elle comme ça. Mais alors qu’elle est à 1m de la porte, il reprend :
J’allais oublier : Servane je vous prie de revenir.
Comme si j’allais rester…ici…plus…longtemps…Mais ?!
Le professeur rit car même si elle dit le contraire, elle s’est arrêtée brièvement et a fait machinalement demi-tour pour revenir devant lui. Elle le regarde avec des yeux exorbités, presque prise de panique.
Mais…qu’est-ce que t’as fait ?!
Oh tiens je croyais que l’hypnose marche pas sur toi ? Alors pourquoi est-ce que tu as fait exactement ce que je viens de te dire ?
Parce que je te suis soumise…
Elle s’arrête dans sa phrase, n’en revenant pas d’avoir dit ça.
On dirait que tu m’obéis bien pourtant…Tu vois comme tu as répondu spontanément alors que tu penses le contraire ? Vois-tu j’ai appris cette technique d’hypnose très particulière à force de m’intéresser à différentes pratiques de psychologie et d’études sur le mental. C’est comme tout système en fait. Si tu l’as compris, tu sais le contrôler. Je pourrais détailler plus mais vu ton niveau en cours…
Elle sort fébrilement son portable de son sac pour appeler des secours complètement horrifiée et apeurée. Mais elle ne fait que regarder son téléphone sans pouvoir appuyer sur les touches.
Salaud !!!! Laisse moi partir ! Tu sais pas à qui tu t’attaques ! T’es foutu enfoiré !
Allons allons, pas d’injures d’une telle bouche ! Déjà je t’interdis de m’insulter de façon définitive. Et tu devras toujours me vouvoyer poliment. Et soyons fou, m’appeler Maître quand tu es sous hypnose.
Ensuite, tu croyais pouvoir le dire à quelqu’un ? Tu es si naïve…Le pire tu sais, c’est que cette technique ne marche que sur un esprit faible. Si tu étais un peu plus intelligente que ça, ça aurait pas marché. Mais il fallait pas s’attendre à mieux d’une petite pute dans ton genre.
Mais merci de m’y faire penser. Donne moi ton numéro de portable. Je t’appelle et tu m’enregistres sous « M Portable ». Et tu me répondras systématiquement.
Ce qu’elle fait machinalement en ayant des larmes de peur et de honte qui coulent.
Arrête de pleurer. Tu es beaucoup moins arrogante et bavarde d’un coup. Pourtant je t’ai pas interdit de parler…A moins que ce ne soient que des injures qui veulent sortir.
Il se rapproche d’elle en souriant de toutes ses dents alors qu’elle recule un peu en s’étant arrêtée de pleurer.
Puisque rien ne veut en sortir, on va y faire entrer quelque chose : Suce moi comme une vraie salope ! Et pour ajouter un peu de piment, tu vas même lui trouver un mauvais goût alors que je suis propre et que tu l’aurais trouvée bonne si tu l’avais fait de toi-même comme tu proposais il y a quelque minutes…
Non…pitié…s’il vous plaît Maître…je hummmmmmmmmmmmm !!!!
Elle s’était déjà mise à genoux et lui avait sorti la bite bien bandée et raide du pantalon tout en l’implorant. Sans finir sa phrase, elle l’engloutit en une fois pour lui faire une gorge profonde d’emblée.
Rahh je me doutais que t’étais une pute mais pas à ce point-là ! Tu t’y connais en fellation !
Pour seule réponse elle le fixe du regard avec des yeux emplis de haine. Mais s’applique à avaler toute sa queue en de longs mouvements lents de tête pour le faire bander un max. Elle glisse sa langue sur toute la longueur sans arrêt pour augmenter son plaisir. Et ça alors qu’elle a un goût affreux en bouche.
Elle voudrait pleurer, lui mordre la bite et partir en courant mais elle reste là, totalement soumise, en train de lui faire une pipe bruyante et baveuse sans s’arrêter une seconde.
Oh oui continue ma salope. Tu dois vraiment détester ça être menée à la baguette. Maintenant tu sais ce que ça fait ce que tu infliges aux autres sans arrêt.
D’ailleurs ton nom Servane, je suis sûr que tu savais même pas qu’il signifie servitude…Tu étais prédisposée pour ça. Ah oui pas de doute avec ta langue qui tourne autour…Autant t’es une élève désastreuse, autant tu vas être une pute de première !
Et je vais même t’accorder une faveur pour ta 1ère leçon : on enlève le mauvais goût et tu vas prendre ton pied à me sucer tout en te caressant la chatte. Je parie que tu es déjà mouillée de toute façon !
Elle se sent si méprisée, rabaissée mais savoure la queue de son nouveau Maître d’un coup en faisant descendre une main dans son string. Elle écarquille les yeux en sentant qu’elle est effectivement déjà mouillée ! Elle est utilisée contre son gré et y éprouve du plaisir ?! Elle croit devenir folle en tournoyant son pouce sur le clitoris alors que 2 doigts tortillent dans sa chatte. Et le goût de cette énorme bite en bouche qui l’enivre…
Elle accélère sa fellation en gémissant malgré elle. Elle alterne parfois en crachant sur la queue, la lèche dans tous les sens. Et ses doigts qui s’affolent et la font mouiller…
Eric se tend de plus en plus. La voir elle soumise à genoux et lui faisant une pipe comme jamais il avait reçu. C’est trop de plaisir d ’un coup !
Humm oui salope ! Je parie que tu aimes pas avaler…Alors là n’en perds pas une goutte !!!!
Servane écarquille les yeux de nouveau en ne voulant surtout pas ça mais déjà elle ne fait plus que téter le gland en le branlant furieusement. Et elle sent alors dépaisses giclées de sperme envoyées sur sa langue qui vibre sous la queue crachant. Et elle avale goulûment tout ce sperme chaud, encore et encore. Il se vide littéralement dans sa bouche accueillante en la regardant faire avec un air de prédateur.
Elle lui tête la bite vraiment jusqu’à la dernière goutte, la nettoie bien encore avant de la ressortir finalement de sa bouche. Elle retire aussi ses doigts trempés, se relève et baisse la tête perdue dans le fait d’avoir eu autant de plaisir malgré elle à suivre des ordres aussi ignobles.
S’il vous plaît…je voudrais partir Maître.
Jamais j’avais eu une pipe comme ça ! Tu peux partir, tu l’as mérité. Mais après une dernière question : Comment tu l’as trouvée ma queue ?
Dégueulasse au début puis si bonne. J’ai adoré vous sucer Maître.
Voilà ce que je voulais entendre. Tu peux partir maintenant et tu auras ta note. Un marché est un marché. Mais tu sais ce que ça te coûte maintenant… A très bientôt pour d’autres réjouissances…
Et encore une fois, elle s’arrête puis reprend ses affaires aussi vite qu’elle peut pour sortir de la pièce.
Elle appelle aussitôt dehors son chauffeur pour qu’il la récupère devant l’entrée de l’université. Elle court comme une folle pour s’éloigner aussi vite que possible d’Eric et de ce qu’il lui a fait.
Elle voudrait s’arrêter devant tous ceux qu’elle croise et qui l’évitent pour tout leur dire. Mais elle ne peut pas.
Consciente après cette 1ère « leçon » qu’elle devra lui obéir malgré elle, elle tremble et manque d’air une fois dans la voiture. Qu’est-ce que son « Maître » allait faire d’elle ?