Au début de l?été, nous sentant à l?étroit dans notre appartement d?une petite ville du sud de la France, ma femme et moi avons eu envie d?espace, de nature et de calme. Pratiquant le naturisme, notre choix se porta naturellement sur l?Ile du Levant. Nous voici partis ; Claire et moi, Pierre, prenons la route du Lavandou dans la circulation des vacances.
Claire, la cinquantaine très bien conservée, est une petite brune au cheveux longs et à la peau mate d?un mètre soixante pour à peine cinquante kilos. Toujours bronzée, ses seins qui sont bien fermes occupent un 95C… Sa silhouette svelte et son beau petit cul font retourner nombre d?hommes…même beaucoup plus jeunes qu?elle!
Moi, la petite soixantaine, suis grand blond avec quelques cheveux blancs. Mon allure est beaucoup plus arrondie.
Mariés depuis près de trente ans, notre vie sexuelle s?est (malheureusement !) de beaucoup assagie. Cela n?est pas de mon fait mais de celui de Claire, devenue beaucoup plus conventionnelle, qui refuse maintenant de me sucer ou de se faire sodomiser. Lorsque je l?ai connue, non seulement elle ne me refusait rien mais était très chaude et assez exhibitionniste.
Ou est le temps où elle se baladait avec une salopette… sans rien dessous laissant profiter de la vue de ses seins aux hommes qui la croisaient ? Révolu aussi l?époque où elle me faisait une superbe pipe en voiture sans s?inquiéter des routiers que je doublais…tout doucement pour qu?ils profitent du spectacle.
Une fois la voiture garée au parking sur le port du Lavandou, nous montons sur la vedette des Iles d?Or qui nous dépose, une demi-heure plus tard, sur le débarcadère de l?Ile du Levant… Paysage féerique dans un parfum d?eucalyptus pour monter au sommet de l?île et arriver à l?hôtel. Après cette grimpette (dure !), nous nous installons enfin dans notre chambre : une chambre au premier étage, assez petite mais confortable et avec un superbe balcon d?où nous dominons toute l?île.
Notre premier travail est de nous mettre à l?aise… c?est à dire nus ! Assis sur le lit, je regarde Claire enlever son tee-shirt, son pantalon et son string et cela me fait bander immédiatement.
Ainsi libérés de tout vêtement, nous sortons sur le balcon admirer le paysage… nous dominons l?île, la mer, la côte au fond : un paysage vraiment superbe !
Les balcons des chambres sont mitoyens et notre curiosité nous fait regarder l?intérieur de la chambre voisine qu?on découvre entièrement ; il n?y a personne mais elle doit être occupée, une valise étant posée sur une petite table.
Il est midi, nous descendons manger une brochette au petit restaurant qui jouxte la piscine. Ambiance sympathique et décontractée, beaucoup de couples, quelques célibataires des deux sexes grignotent entre deux plongeons. Quelques mâles (certains dignes d?intérêt pour une dame !) de trente à soixante ans, seuls, semblent être venus pour chasser. Ils jaugent sans détours les nouvelles arrivantes, qu?elles soient seules ou accompagnées ! C?est ainsi que je sens les picotements d?une excitation un peu perverse envahir ma queue en voyant leur regard insistant sur le corps de ma femme, sur les seins et sur sa chatte !
Après avoir mangé et pris un café, nous remontons à notre chambre. Excité de l?avoir vue ainsi jaugée et convoitée par plusieurs mâles, j?ai aussitôt envie de la prendre et de la baiser. Je l?entraîne sur le lit où je l?allonge sur le dos pour la pénétrer sans préliminaire. Sa chatte est toujours chaude et lubrifiée, elle semble toujours prête à se faire enfiler. Je commence à aller et venir en elle, je suis très excité et sens son périnée se serrer autour de ma queue ; c?est une véritable succion qu?elle pratique avec sa chatte… c?est bon, c?est trop bon et il ne me faut que quelques minutes pour jouir en elle et me répandre au fond de son ventre.
Nous restons quelques minutes, allongés l?un contre l?autre, amoureux.
— Chérie, je vais t?épiler un petit peu, ta toison est bien fournie…
— -Oui, si tu veux, cela fait un moment que je ne l?ai pas fait.
Je vais à la salle de bains chercher pince, ciseaux et peigne. Je commence à lui raccourcir sa touffe en lui faisant une ? brosse courte ? au ciseaux avant d?éliminer les poils superflus avec la pince à épiler. Je lui laisse juste un petit triangle de poils courts au dessus de la chatte laissant bien visible son clitoris et ses grandes lèvres… elle ne pourra ainsi rien cacher de son intimité et sera plus nue que nue !
Au prétexte de calmer l?irritation de l?épilation, je commence à lui appliquer une crème apaisante. L?application se transforme en un lent massage qui agace à chaque passage son petit bouton qui grossit… un vrai petit penis ! Un doigt puis deux pénètrent son antre pour la branler doucement puis de plus en plus profondément. Je la sens de plus en plus chaude, faisant onduler son bassin pour venir s?empaler à fond sur mes doigts. J?arrête brusquement et m?allonge à côté d?elle sur le dos. Avec surprise, mais avec un plaisir profond, je la vois s?approcher de ma queue, commencer à la branler avant de la prendre en bouche. Cela faisait des années qu?elle ne m?avait pas sucé !
Elle se met à quatre pattes sur le lit, tournant le dos à la porte-fenêtre, et s?active avec ardeur sur ma queue lorsque je m?aperçois que notre voisin est sur son balcon et, tourné vers nous, ne perd pas une miette du spectacle ! Je lui souris pour le rassurer et lui faire comprendre qu?il ne me gêne aucunement. Me tournant, je me glisse sous ma femme en position de 69, elle reprend sa pipe alors que j?écarte ses fesses des deux mains afin de lui lécher consciencieusement la chatte et l?anus. J?offre ainsi à la vue de notre voyeur toute l?intimité de Claire. Notre voisin est alors aux premières loges pour voir, entre les deux globes écartés sa chatte juteuse ainsi que son petit trou du cul…
Nous jouissons, elle d?abord puis moi qui me déverse dans sa gorge.
Notre voisin s?éclipse avant que nous nous relevions. Je ne dis pas un mot à Claire de l?exhibition involontaire qu?elle vient d?offrir à notre voisin !
Dans la soirée, nous descendons au bar prendre un apéritif et là, je reconnais notre homme, assis sur un tabouret qui prend un verre. La cinquantaine fière, bel homme sans être un apollon, les tempes grisonnantes, il a le regard froid et sûr d?une homme à qui on ne peut que se soumettre.
Il nous salue, je lui lance un discret sourire complice.
— Vous venez d?arriver ? Je ne vous ai pas encore vu ; je me nomme Christian.
— Moi c?est Claire ! et mon mari Pierre, nous venons nous reposer quelques jours nous avions envie de changer d?horizon, d?autant que cela fait plusieurs semaines qu?avec la chaleur, je dors très mal la nuit.
— Puis-je vous offrir un verre ?
… Et nous nous retrouvons tous les trois à discuter de tout et rien devant une flûte de champagne.
Après dîner, je propose à notre voisin, ne voulant pas être en reste, de lui offrir un pot.
— Avec plaisir mais c?est moi qui apporte une bouteille et des verres, nous la boirons dans votre chambre répond-il d?un ton qui ne souffre pas de réplique.
Nous nous retrouvons ainsi tous les trois devant un whisky à discuter et à découvrir, petit à petit, des points communs : nous habitons à moins de vingt kilomètres de chez lui, nous sommes moi kiné, ma femme infirmière et lui, Christian est médecin radiologue!
Le courant passe, nous sommes détendus après avoir descendu la bouteille de whisky. Christian regarde toujours Claire avec un regard d?acier qui semble la transpercer…
Il est tard, nous allons nous quitter.
— Claire, tu m?a dit tout à l?heure que tu avais des problèmes de sommeil, prends donc ceci (il lui tend deux petits comprimés), j?en ai toujours dans ma trousse ; tu dormiras comme un bébé !
— Merci Christian et bonsoir !
Il retourne dans sa chambre
Claire avale les deux petits comprimés en forme de bâtonnets et s?allonge ; quant à moi, je n?ai pas sommeil et me dirige vers le balcon. Mon voisin a eu la même idée…
— Pierre, tu sais que tu m?as offert un très joli spectacle cet après-midi ! Ta femme est bandante, elle semble être chaude, elle est faite pour l?amour et toi , tu ne sembles pas jaloux…
— Tais-toi, Christian ! Elle ne sais pas que tu nous regardais cet après-midi.
— Aucun risque qu?elle nous entende, avec ce que je lui ai donné combiné à l?alcool qu?elle a bu, je peux t?affirmer qu?elle dort profondément ! Si tu veux en avoir le coeur net, vas la voir, la toucher, tu peux lui faire tout ce que tu veux, elle ne se réveillera pas, je te le garantis.
Rentrant dans la chambre, je me penche sur Claire et lui soulève le bras ; je le lâche, il retombe lourdement. Elle a les yeux clos et la respiration de quelqu?un qui dort profondément. Je m?enhardie et lui écarte les cuisses, la mettant dans une position des plus impudiques, et commence à lui toucher la chatte… pas la moindre réaction !
Devant l?état léthargique de Claire, une idée perverse me traverse soudain l?esprit…
— Christian ! Viens si tu veux la voir de plus prêt !
Christian enjambe le petit muret qui sépare nos deux balcons et me rejoint.
Il s?approche de Claire, pose une main sur son sein droit et commence à le caresser en titillant le mamelon que je vois grossir et s?ériger.
Son autre main ne reste pas inactive, caresse doucement le ventre puis descend doucement vers sa chatte ; il en écarte délicatement les lèvres et, se penchant sur elle, dégage son clitoris qu?il commence à agacer par de petits coups de langue avant de le sucer, de l?aspirer.
Elle a les yeux fermés, on la sent complètement partie, dans un profond sommeil mais cela n?empêche pas son corps de réagir aux caresses, d?onduler et de commencer à prendre du plaisir. Son corps semble éveillé alors que son cerveau est endormi. Je vois soudain son corps se tendre comme un arc, être pris de violents soubresauts puis s?affaisser sur le lit, repu de sa jouissance.
Je suis dans un état d?excitation que je n?ai jamais connu : voir ainsi pour la première fois ma femme jouir sous les mains, sous la langue d?un autre homme. Un sentiment difficile à expliquer m?envahit : à la fois une petite brûlure de jalousie largement compensée par le plaisir voyeur de son corps offert, impudique, à un autre homme devant moi…
Christian a une trique d?enfer, il bande comme un taureau ! Se relevant, il approche sa queue du visage de Claire qui paraît paisible, les yeux toujours clos. Il commence à le frôler avec son gland : les joues, le nez, la bouche… il insiste sur ses lèvres où il passe et repasse… Soudain, nous la voyons entrouvrir la bouche et commencer à téter ce gland gonflé de désir. Elle ne le suce pas, elle le tète ! Jamais je n?avais vu une femme faire cela : on dirait un bébé se nourrissant au sein maternel. Il ne faut pas longtemps de ce régime à Christian pour exploser sa jouissance entre les lèvres de Claire que je vois avaler ce nectar…
— Elle est bonne ta salope, dis-moi…Une femme qui tète un dard de cette façon ne peut qu?aimer la queue !
— C?est la première fois que je la vois se conduire ainsi, elle d?habitude si réservée !
Je la prends par les bras et déplace son corps inerte pour l?installer en travers du lit, tête renversée en arrière pendante en dehors du matelas. A mon tour, je pointe ma queue devant sa bouche ; à son contact elle entrouvre à nouveau la bouche me permettant d?introduire mon sexe entre ses lèvres. Je fais coulisser ma queue doucement, lentement, baisant sa bouche comme on baise une chatte, à fond jusqu?à sentir mes couilles buter contre son visage. Mon gland vient heurter le fond de sa gorge.
Christian, pendant ce temps, dont le sexe a retrouvé sa vigueur, le pointe à l?entrée de sa chatte. Il lui tient les jambes relevées à l?équerre, bien haut, ce qui lui permet de lui mettre bien à fond… jusqu?à la garde ! Ces mouvements de boutoir qu?il intensifient de plus en plus se répercutent sur tout son corps. A chaque fois qu?il lui enfonce à fond son dard au fond de la chatte, la bouche de Claire vient à ma rencontre et engloutie ma queue, elle en perd sa respiration, semblant s?étouffer par moment. Je lui lâche mon jus bien au fond de la gorge… une nouvelle rasade qu?elle avale, la gourmande, la salope !
Jamais je ne l?avais vu ainsi, ma femme calme et réservée se transforme en une vraie salope qui jouit avec ces deux queues qui la défoncent, une salope dont le corps réagit sans réserve, participe, en demande toujours plus et jouit à nouveau. Mais c?est vrai qu?elle est inconsciente…
Christian finit de la besogner, lui inondant le fond de la chatte.
Il s?assoit sur le lit à côté de moi
— Christian, tu l?a fait exprès de lui donner ce médicament ?
— Ce n?est pas sans arrière-pensée, je le reconnais… un demi comprimé aurait amplement suffi à l?aider à s?endormir, c?est vrai, mais je savais qu?avec deux comprimés et les quelques whiskys qu?elle avait bu, elle serait totalement assommée et offerte à nos désirs pervers. De plus, l?avantage, c?est que demain elle ne se souviendra de rien sinon une sensation de bonne gueule de bois !
— Mais c?est un véritable viol ! Tu es un salaud ; si j?avais su, je ne l?aurais certainement pas laissé avaler ces comprimés.
— ?coute, ce n?est pas si grave, tu as vu son corps prendre du plaisir ; tu as vu son bassin venir à la rencontre de ma queue pour se l?enfoncer au plus profond, tu l?as entendu gémir de plaisir, tu l?as entendu jouir…
Grâce à mon stratagème, nous l?avons libérée de son formatage intellectuel, des inhibitions et des tabous de son éducation qui lui ont inculqués que c?était mal de jouir de son corps. Grâce à moi, elle aura découvert, même inconsciemment de nouvelles jouissances !
Les scrupules s?éloignent avec une nouvelle montée de désir sexuel…
Je vais à la salle de bain chercher ma brosse à dents électrique, la mets en marche et commence à lui passer tout autour du clitoris. Il se dégage petit à petit, sort de son capuchon réagit en bandant comme un vrai petit penis ! Claire (ou plutôt son corps !) a de nouveau envie de sentir le mâle la prendre, la pénétrer. Tout en lui branlant le petit bouton d?amour avec ce god vibrant improvisé, je commence à la doigter : un doigt puis deux, enfin un troisième qui force un peu le passage et la fait réagir.
Christian a un autre objectif : il s?approche et pointe son majeur mouillé de salive contre sa petite rondelle qu?il masse en décrivant de petits cercles puis il insinue doucement un doigt dans son petit trou par des mouvements de va et vient lents et progressifs. Le cul de ma petite femme réagit, on voit le sphincter anal qui bat, qui se serre et se relâche successivement. Christian tire Claire à lui et pointe sa queue bandée contre son petit trou. Il bute dessus et doit forcer le passage pour arriver à faire passer le gland ; petit à petit, centimètre par centimètre, je vois cette belle queue bien dure s?enfoncer et disparaître dans ce petit cul qui avait perdu depuis longtemps l?habitude de se faire mettre !
Il la lime méthodiquement, successivement par des mouvements lents et doux puis accélérant en lui mettant à fond,.il la ressort très lentement pour à nouveau la pistonner jusqu?à la garde. Je continue à lui branler la chatte, deux doigts allant et venant en tournant dans son vagin pendant que de l?autre main je continue à m?occuper de son clitoris. J?essaie d?adapter mon rythme à celui de Christian. Mes doigts perçoivent, à travers le fine membrane entre la chatte et le cul, la queue de Christian qui accélère de plus en plus. La boucle est bouclée…! Il vient de décharger dans le cul de Claire !
Nous la contemplons, étendue sur le lit, et remarquons qu?elle commence à bouger.
— C?est le moment que je m?en aille, elle commence à se réveiller !
Effectivement, il est déjà trois heures du mat…
— Bonsoir…et à demain… elle est vraiment bonne tu sais !
Je m?allonge à côté de Claire et m?endors immédiatement.
Réveil un peu laborieux, il est déjà dix heures…
— J?ai une de ces gueule de bois ce matin, j?ai trop forcé sur le whisky !
Claire semble ne rien se souvenir de ses exploits nocturnes ; elle se lève pour aller prendre sa douche avant de sortir.
Aujourd?hui est un autre jour…
Nous allons retrouver Christian au bord de la piscine… notre relation ne fait que commencer !
Si ce récit (encore tout frais dans ma mémoire) vous a intéressé, indiquez-moi si vous souhaitez connaître la suite… vos réactions à [email protected]
A bientôt… peut-être !