1. Les découvertes d’Isabelle.
Maintenant, après toutes ces années, je ne peux toujours pas oublier ce qui s’est passé, il y a plus de vingt ans et
qui a bouleversé entièrement ma vie d’adulte. Et pourtant, à l’époque, tout se présentait bien pour que j’aie une vie heureuse et un avenir prometteur. Je vais vous tenter (car je ne suis pas écrivain) de raconter ce qui s’est passé en essayant d’être le plus précis possible.
Ma famille faisait partie de la bourgeoisie d’une petite ville de province, nous habitions une villa cossue entourée
d’un jardin boisé non loin du centre ville. A cette époque, des soirées mondaines étaient organisées régulièrement chez les bourgeois de la région, et mes parents se devaient d’assister à toutes ces rencontres qui resserraient les liens de toutes ces familles nanties. En fait, il s’agissait surtout pour les femmes de rivaliser dans leurs tenues, et pour les hommes de discuter d’économie et de leurs infidélités conjugales. Ma mère, blonde, quarante-cinq ans, n’avait qu’une passion : la visite de magasin de mode afin de s’offrir les nouveautés pour parader devant ses amies. Bref, ma mère était très occupée par les recherches et les réceptions. Mon père, la cinquantaine, grisonnant, avait peu de temps à nous consacrer après avoir traité ses affaires mais il était toujours à l’écoute de nos souhaits.
L’une de mes soeurs, Isabelle, dix-huit ans, grande, de longs cheveux blonds et de beaux yeux bleus est une fille
très courtisée par les garçons du pays. Elle a fait ses études dans un pensionnat de la région, restée très prude
et assez innocente, elle pense aider notre père dans ses affaires. Mon autre soeur, Sarah, seize ans, blonde aussi,
des cheveux un peu plus courts avec deux tresses, se trouve toujours au pensionnat ; quant à moi je poursuis des études
en pharmacie dans une ville plus importante et je ne rentre à la maison qu’en fin de semaine et pour les vacances.
Un samedi soir, alors que les parents se trouvent à la réception organisée par le docteur Baudoux, nous sommes
restés seuls à la maison, comme d’habitude. Nous avons terminé nos travaux scolaires et Sarah, fatiguée, est
montée se coucher tôt. Isabelle, elle, reste muette depuis quelques minutes perdue dans ses pensées.
— Que se passe-t-il ? A quoi penses-tu ?
Elle ne répond pas.
-Mais, je te connais bien, quand tu fais cette tête, c’est que quelque chose te contrarie. Allons dis-moi ce qui ne va pas !
-Bon, puisque tu insistes. Ecoute, la semaine dernière, quand je suis rentrée de la messe, j’ai voulu me changer et
je suis montée dans ma chambre. Mais en passant près de la chambre des parents, j’ai entendu du bruit. Je me suis
approchée, la porte n’était pas bien fermée, et j’ai été paralysée par ce que j’ai vu. Maman était sur le lit, nue,
les jambes écartées et papa était sur elle nu lui aussi. Les fesses de papa bougeaient d’un mouvement lent mais
régulier, le lit craquait, maman gémissait. Après un moment, papa s’est levé, maman s’est mise à quatre pattes
et il lui a enfoncé une sorte de gros bâton entre. entre .
-Entre quoi ?
-Entre.les cuisses, mais je ne sais pas à quel endroit il a pu l’enfoncer ? Depuis, je me pose des questions. L’a-t-il
enfoncé dans .l’anus et pourquoi? Je ne vois que cet endroit Et le plus étonnant c’est que maman n’a pas crié de
douleur mais qu’au contraire, elle paraissait apprécier ce que papa lui faisait. Après quelques instants, ils se sont
mis à gémir tous les deux et se sont effondrés sur le lit.
Puis papa tenant ce bâton en main l’a mis dans la bouche de maman. D’une main elle le frictionnait tandis que sa langue
passait et repassait sur le tuyau. Ils se sont ensuite effondrés sur le lit et se sont endormis. Je suis alors entrée dans ma chambre et depuis ce jour-là, j’essaie de comprendre ce que papa faisait à maman. J’ai observé le pantalon de papa et je n’ai rien remarqué qui ressemble de près ou de loin à un bâton.
-Mais Isabelle, tu n’as jamais vu le corps d’un homme ? Ne sais-tu pas comment on fait des enfants ?
Et Isabelle un peu honteuse me répondit qu’au pensionnat les bonnes soeurs leur avaient appris que les hommes et les
femmes étaient identiques et que les enfants, ils apprendraient comment les faire quand elles deviendront des femmes.
-Incroyable ! Comment est-ce possible que tu croies encore à ces sornettes !
Et bien ma fille, il serait temps que quelqu’un t’explique ce qu’une fille de ton âge doit savoir sur la vie.
Viens, je vais te donner quelques leçons et t’éclairer sur ce qui te tracasse.
Nous montons alors dans ma chambre, je prends une revue un peu osée et je lui montre des photographies d’hommes et de femmes nues ; je lui explique ce qu’est le ? bâton ? qu’elle a aperçu l’autre soir. Je lui montre également la partie de la femme qui reçoit le sexe de l’homme. Etonnée, elle n’en croit pas ses yeux.-Comment un sexe si petit peut-il devenir si gros ? Comment peut-il entrer dans ce petit trou ? Ces photos sont truquées !Devant tant d’incompréhension, je décide alors de la soumettre à des expériences.
-Veux-tu que je te montre comment cela se passe ?
-Euh! .. Oui !
Et sans attendre qu’elle réfléchisse plus longtemps, je baisse mon pantalon. Vois-tu tous les hommes ont un sexe
comme celui-ci et pour qu’il change de dimension, il faut le stimuler. Parfois, le simple fait de penser à une fille,
suffit pour qu’il grandisse mais souvent, un contact physique est nécessaire. Je prends alors sa main et la pose contre mon sexe. Au début, elle ne bouge pas puis, j’insiste pour qu’elle me caresse, ce qu’elle fait délicatement. Ensuite, je lui place ses doux doigts autour de ma queue comme dans le livre. Mon sexe se met à réagir et je la vois rougir quand elle sent que la ? chose ? grossit entre ses fins doigts. Prenant peur, elle veut retirer la main mais je la maintiens fermement, et lui imprime un mouvement de va et vient qui décalotte mon gland. A la vue de celui-ci, elle est comme hypnotisée et
ses yeux écarquillés ne peuvent plus s’en détacher alors que sa main, serrant mon sexe, va et vient d’un mouvement
lent et régulier.
Après quelques instants de ce régime et ne sachant plus me retenir, je jouis, éclaboussant son visage et sa robe. Je
remets mon sexe dans mon pantalon, je lui nettoie la face. Je lui explique ce qu’est ce liquide blanchâtre et sa fonction. Je tente de lui faire découvrir comment à partir de ce liquide on obtient des enfants. Mais c’est très difficile pour elle d’oublier ce qu’on lui a enfoncé des années durant dans la tête. Après un moment, perplexe, elle prend la direction de sa chambre, s’enferme et passe une nuit blanche à repenser à mes propos. Le lendemain, au réveil, elle a une tête de déterrée, et explique qu’elle a été malade toute la nuit et qu’elle n’a pas pu se reposer. Mais elle ne parla à personne de ce qui s’était passé la nuit précédente. Pendant une semaine, je ne fais que penser à ce qui s’est passé et mon désir le plus ardent est qu’elle accepte de réitérer ses attouchements. Mais le vendredi soir, quand j’arrive chez moi, j’apprends
qu’elle passe les deux jours dans la famille d’une amie. Je suis déçu et mon envie de la revoir augmente encore.
2. Ma soeur perd sa virginité.
La semaine suivante, je me trouve dans ma chambre à réviser mon cours de chimie quand j’entends la porte de la chambre de ma soeur se refermer. Vient-elle me rejoindre ? Hélas non, elle s’éloigne et descend à la cuisine.
Après quelques temps, je ne l’ai toujours pas entendu rejoindre sa chambre. Inquiet, j’ouvre lentement la porte, je tend l’oreille, rien, pas un bruit venant de la cuisine. Mais que fait-elle ? Je sors sur la pointe des pieds, avance vers l’escalier et . je la vois près de la chambre des parents. Je m’approche et m’aperçois qu’elle observe courbée, les ébats de nos ? vieux ? par la porte restée ouverte. Sans faire le moindre bruit, je m’approche d’elle. Elle n’entend rien, l’oeil collé à l’ouverture, elle ne perd rien de la scène et l’excitation montante, elle se caresse le sexe lentement. Profitant de l’aubaine, je me glisse derrière elle et lui murmure à l’oreille de ne pas faire de bruit pour ne pas que les parents sachent qu’elle est en train de les épier et rapidement je lui caresse les fesses. Surprise, mais n’osant pas bouger ni parler, elle se laisse aller aux caresses. Je remonte alors sa légère robe de nuit jusqu’aux épaules et je lui masse ses petits seins. Ensuite, je sors mon membre déjà tendu du pantalon et le
glisse dans sa main libre. Elle imprime immédiatement un mouvement rapide de va et vient. De l’autre côté de la porte, maman gémit sous les coups de butoir de papa. A ce moment, je lui fais tourner la tête, lui écarte les
lèvres, et enfonce mon bâton dans sa bouche brûlante et tant désirée. Je place sa main sur la colonne de chair et
imprime un mouvement rapide à ses doigts serrés ; en même temps, je cale son visage entre mes mains et l’oblige à un mouvement de va et vient autour du membre durci. C’est délicieux de sentir cette bouche engloutir ma bite ! En quelques minutes, je ressens les premiers tremblements annonciateurs du plaisir. Je sens ma verge grossir, durcir, je m’enfonce jusqu’au fond de sa gorge dans un mouvement désordonné et j’explose violemment, mon sperme n’arrête pas d’inonder sa bouche, deux giclées, trois, le trop plein de foutre ressort de ses lèvres, coulant sur ses joues.
Après un moment mon sexe diminue de volume, sort de sa bouche et je l’entraîne vers ma chambre, je l’étends sur le lit, écarte le tissu qui recouvre son corps. Je l’embrasse , puis, je descends le long de son cou, sur ses
seins, mes lèvres sucent, à tour de rôle, les tétons durcis par l’excitation ; ma langue papillonne sur ses petits
globes laiteux et mes mains la caressent partout à la fois. Puis, ma bouche descend sur son ventre, et ma langue
glisse lentement jusqu’à son clitoris qu’elle lèche tendrement et instantanément elle a son premier orgasme ! ! ! A ce moment, mon sexe se remet à gonfler et reprend une taille appréciable et profitant de la situation, j’amène mon gland rouge de désir entre ses lèvres ruisselantes, je le positionne à l’entrée de sa grotte, je pose mes lèvres sur sa bouche, je sens sa langue caresser la mienne, et je m’ enfonce en elle sauvagement, jusqu’aux couilles. Surprise par la rapidité de mes gestes, empalée pour la première fois, elle veut se soustraire à ma pénétration. Mais, prisonnière, plaquée sur le lit, elle ne peut plus éviter mes assauts. Mes coups de queue sont puissants et en regardant ma soeur, le visage crispé, qui, une nouvelle fois jouit, je ne peux plus me retenir et je sens mon foutre monter dans ma colonne de chair. A ce moment, je me retire d’Isabelle et libère ma semence sur ses seins et son ventre.
Après cette jouissance, l’immoralité de la situation la bouleverse et immobile les mains sur les yeux, elle se met
à pleurer. Je tente de la rassurer, de la réconforter mais sans m’adresser la parole, elle se retire dans sa chambre
et s’enferme à double tour. Je dois avouer que cette nuit -là, je n’ai pas beaucoup dormi.
Le lendemain matin, nous déjeunons tout ensemble sur la terrasse, parfois nos regards se croisent mais rapidement, elle détourne les yeux et ses pommettes rouges trahissent ses pensées. Le petit déjeuner terminé, elle va se promener
dans le jardin. Je ne la regarde plus de la même façon, elle n’est plus cette petite fille qui cassait les jeux de
son grand frère mais une jolie jeune femme, aux longues jambes galbées, aux petits seins bien fermes bref avec un
corps superbe qui avait joué aux jeux interdits avec son frère. Je tente alors de la rejoindre et peut-être obtenir
l’une où l’autre de ces faveurs, mais son attitude a changé et elle me fait savoir que ce que nous avons fait ensemble,
il faut l’oublier et que notre relation doit redevenir normale sans ambiguïté.
3. Séjour chez mon ami Richard.
Pendant plusieurs semaines, Isabelle évite de se retrouver seule avec moi et agit comme si je n’existais pas.
Pourtant, j’aurais tant aimé qu’elle me touche à nouveau et que nous aillions plus loin dans nos jeux amoureux. Je
suis tombé amoureux de ma soeur mais elle ne veut plus de moi ! La situation est difficile pour moi. Quand je la
vois et que je m’approche d’elle pour lui parler, mon cour bat la chamade. Mais, chaque fois, elle s’éloigne
rapidement fuyant tout contact physique et verbal. Et je m’aperçois alors que plus jamais je ne toucherai son corps
avec son consentement. Je me résous donc à essayer d’oublier, mais l’oubli n’est pas facile quand on côtoie
régulièrement l’objet du désir. Je décide alors mes parents de me louer une chambre d’étudiant près de la faculté.
Cette séparation ne peut que me faire du bien !
Le temps passe et j’ai quelques aventures avec des étudiantes. Et, je m’aperçois que les filles qui me font
bander sont celles qui ont une certaine ressemblance avec ma soeur Isabelle.
Un jour, de passage à la maison, j’apprends par ma soeur Sarah qu’Isabelle a un fiancé, Jacques Durock, et que les
parents se sont déjà mis d’accord pour un mariage dans l’année. Quelle aubaine pour mes parents, leur fille va
épouser l’héritier d’une grande famille d’industriels et de ce fait mon père va voir ses affaires prospérer. Ma mère va
pouvoir parader en compagnie de ces parvenus.
Cette nouvelle, je la reçois comme un coup de massue sur la tête. Je suis le seul à ne pas accepter cette situation ; mais mon avis ne compte pas.
Il faut absolument que je fasse annuler ce mariage ; mais comment faire ?
Je décide alors de ne plus rentrer le week-end à la maison.
A l’université, je partage ma chambre avec Richard, fils d’hôtelier, il rentre chaque week-end chez ses parents. Un
jour, il me propose de l’accompagner et de gagner un peu d’argent en aidant ses parents.
Arrivé dans la ville, nous entrons dans une grande bâtisse de quatre étages. Derrière le bureau de la réception, une
jolie blonde attend les clients. Richard passe derrière le bureau et embrasse la fille : ?je te présente ma soeur
Juliette. Si tu as besoin de quelque chose, elle te le trouvera ! ?. Nous prenons l’ascenseur et descendons au
sous-sol pour que je m’installe dans une des petites chambres réservées au personnel. Quand j’ai déposé mes
effets, Richard me fait visiter les lieux. Un bien bel hôtel avec de belles chambres spacieuses au tapis clair et
propre. Au quatrième étage, il ouvre une porte au fond du couloir qui donne sur un réduit où l’on trouve le linge de
rechange. Il entre dans la petite pièce, tire sur une planche et une porte dérobée s’ouvre sur un escalier.
Richard me dit que cet escalier est un passage qui permettait jadis à certaines personnes d’entrer et sortir
de la maison sans être vus. ? Tu vois, toutes les portes ont été condamnées mais il est toujours possible d’observer
ce qui se passe dans les chambres grâce aux miroirs sans teint ; mais chut ! Je suis le seul à connaître l’existence de ce passage?. En effet, en descendant l’escalier, je découvre le mobilier intérieur des différentes chambres. ? C’est parfois intéressant d’espionner les gens, on apprend plein de choses qui sont parfois utiles et on peut aussi, à certains moments, se rincer l’oeil.. Bon, assez joué, je vais te montrer le travail à réaliser dans les chambres?.
Nous sortons de la petite pièce et dans la première chambre, il m’explique ce que je dois faire dans chacune des trente chambres de l’hôtel. Sans être compliqué, le volume de travail allait être énorme. Heureusement, à partir de 19 heures, je pouvais me reposer. La première journée se passa bien, ce travail m’occupait et je n’avais pas le temps de penser à autre chose.
Le soir venu, Richard me rejoint au bar, m’offre un verre et nous discutons de la journée puis, vers 23 heures, il m’entraîne vers l’ascenseur et me dit ? Nous allons dans le passage secret regarder s’il n’y a rien d’intéressant dans les chambres ? piégées ?. Nous pénétrons dans le réduit, ouvrons le passage, refermons la porte derrière nous et commençons notre descente. Dans la première chambre, il n’y a personne ; dans la deuxième, un couple dort ; dans la troisième, une femme change de vêtement,
mais nous arrivons au moment où elle referme sa chemise de nuit ? Trop tard ! ? murmure Richard. ? Ce n’est pas la
peine d’aller plus loin, la dernière chambre est celle de ma soeur et il n’y a rien à voir ! ?.
Nous remontons en silence, refermons la porte et regagnons nos chambres respectives pour jouir d’un repos bien mérité.
Couché dans le lit, je me remémore les événements de la journée et ne trouve pas le sommeil. Je sors de ma chambrette et remonte au quatrième pour y jouer au voyeur.
Arrivé dans l’escalier, rien dans la première chambre, dans la deuxième, le couple dort toujours aussi profondément et
dans la troisième la dame s’est endormie lumière allumée et un livre ouvert à côté d’elle. Il ne reste que la chambre
de Juliette et même si Richard me dit qu’il n’y a rien à voir, je vais quand même jeter un coup oeil à tout hasard.
En arrivant à hauteur de la vitre, je vois Juliette, nue, assise sur un homme couché sur le lit, je ne vois pas l’homme dont la tête est cachée par les coussins, mais je vois nettement Juliette qui s’active sur le membre tendu en elle. Juliette est une jolie fille aux longs cheveux blonds, un visage aux traits fins, un corps bien proportionné avec de beaux seins et des cuisses longues et musclées.
Elle chevauche son amant ; son corps monte et descend sur un rythme lent. Puis lace sans doute de la position, elle
se lève, se retourne, vient se placer dos à son partenaire, s’assied lentement sur le membre tendu et s’active à nouveau sur ce bout de chair qui entre et sort régulièrement dans son corps ouvert. Après un moment, l’homme se redresse, la fille se retrouve à quatre pattes et celui-ci la prend en levrette. Et cet homme, ce n’est pas vrai, je n’en crois pas mes yeux, c’est. Richard, son frère. Il baise sa soeur ( voilà pourquoi je ne l’ai jamais vu avec une fille) ! ! Agrippé aux hanches de sa soeur, il donne de grands coups de boutoir, son sexe entre et sort rapidement des fesses et finalement, il se retire et éjacule sur le dos et les cheveux de sa partenaire. Ils s’effondrent sur le lit et après quelques instants s’endorment tous les deux. Je retourne alors dans ma chambre et ne cesse de penser à la scène torride observée ce soir et à ma soeur Isabelle à qui j’aimerais appliquer les mêmes caresses.
Le lendemain, au petit déjeuner, nous nous retrouvons tous à table, mais tout se passe comme si de rien n’était, nous
discutons de choses et d’autres et puis chacun va à ses occupations matinales. Vers dix heures, je retrouve Juliette devant l’ascenseur. Elle me sourit, et j’en profite pour entamer la conversation. Après quelques mondanités, j’en viens à lui demander si sa soirée s’est bien passée ; si sa nuit a été excitante ; ..Alors, son regard interrogateur croise le mien et se doutant de ma connaissance des faits, ses pommettes rougissent. Ayant marqué un point, j’embraie et lui demande
si d’autres personnes sont au courant de la relation qu’elle entretient avec son frère. Se sentant piégée, elle me supplie de garder le secret. J’accepte de ne rien dévoiler si en échange elle consent à me laisser jouir de son corps, comme son frère le fait, au moment et à l’endroit qui me conviendra le mieux. Après un moment d’hésitation, elle accepte ma proposition. Arrivé au rez de chaussée, elle repart vers la réception et je me dirige vers les cuisines. Je ne la vois plus de la journée. Le soir, les parents de Richard et Juliette ont organisé une séance de cinéma dans la grande salle de l’hôtel et vont projeter ? Autant en emporte le vent ?. Tous les clients sont invités ainsi que le personnel. A l’heure convenue pour le début du film, ceux qui assistent à la projection sont déjà installés. Je m’approche de Juliette et lui murmure à l’oreille que se sera maintenant dans la salle. Effrayée par la situation, elle refuse de s’exhiber devant tout le monde, devant ses parents, son frère. Je lui rappelle sa promesse et contre son gré cède à mon exigence. Le film commencé, nous nous installons les derniers au fond. Durant un instant, je lui prends la main et lui caresse le bras. Puis quand les
spectateurs sont bien entrés dans le film, j’ouvre mon pantalon et lui demande de me prendre le sexe. Je sens alors sa main se poser sur mon morceau de chair qui se met à grossir grâce à cette caresse inhabituelle. Ensuite, je lui murmure de le lécher et de l’introduire dans la bouche. Elle s’accroupit alors et exécute de façon prodigieuse mes désirs. Après un long moment, je la prends par les épaules, lui fais signe de se relever, lui enlève sa petite culotte, la retourne et la fais asseoir sur mon sexe qui impatient s’introduit du premier coup dans ce conduit brûlant. Elle remonte et descend le long de la colonne tendue. Puis, elle se retourne, me place ses bras sur mes épaules et introduit de nouveau mon sexe au plus profond d’elle. J’en profite pour l’embrasser et nos langues se mêlent. Tout à coup, je sens la jouissance arriver et je me
déverse en elle. Lorsque je la libère de mon étreinte, elle sort de la salle rapidement et je regagne ma chambre et mon
lit. Je ne me suis jamais vanté à Richard de cette brève aventure avec sa soeur, mais je ne suis plus jamais retourné
chez lui en week-end. A-t-il été influencé par sa soeur ?
4. Découverte du bienfait des plantes tropicales.
Pendant quelques temps, j’échafaude des plans où je fais disparaître mon rival, où je kidnappe et séquestre ma soeur
le jour du mariage, .Mais aucun de ces projets n’est vraiment réalisable ni même envisageable. Le mariage est prévu pour le vingt-cinq juillet, ce qui me laisse encore quatre mois pour trouver une solution à mon problème.
En mai, je rencontre mon ami Juan qui me donne le petit coup de pousse que j’attendais. En effet, il revient d’un voyage d’étude au Brésil où il a observé les moeurs, les us et coutumes de peuplades d’Amérique du Sud. Il me démontre que grâce à leurs connaissances des plantes de la forêt, les indigènes peuvent utiliser certaines d’entre elles pour guérir des maladies, pour détruire des ennemis, pour contrôler la volonté des ennemis, pour améliorer les rapports sexuels, pour transformer des hommes, des femmes en esclaves soumis et dociles, .et pour étayer ses dires, il me relate une expédition punitive organisée par un groupe de guerriers avec qui il se trouvait. Cela se passait en plein milieu de la forêt vierge brésilienne loin de tout foyer de civilisation moderne. Un matin, des hommes s’aperçoivent que les pierres précieuses offertes à un défunt de la tribu pour son dernier voyage ont disparu. Rapidement un petit groupe de jeunes hommes se lancent sur les traces des profanateurs. Les traces n’étant pas difficiles à suivre, ils rejoignent vite leurs ennemis qui ont décidé d’établir leur campement près de la rivière. Tout de suite, Juan s’aperçoit que les voleurs
sont des blancs à la recherche de terrains riches en minerai. L’expédition se composait d’un guide et de cinq géologues ( trois hommes et deux femmes) fraîchement sortis de grandes universités américaines.
Les poursuivants s’approchent du camp sans se faire entendre puis attendent que le groupe de chercheurs soit en dehors des tentes pour envoyer de petites flèches enduites d’un produit dont ils ont le secret avec leur sarbacane qui toutes atteignent leur cible. Surpris par la soudaineté de l’attaque, les chercheurs n’ont pas le temps de riposter et rapidement tombent au sol. En temps qu’observateur accepté par le groupe, il ne peut rien faire pour aider ces malheureux sous peine de subir le même sort. Après quelques minutes, ils approchent de leurs victimes et se mettent à fouiller les tentes, les bagages et ne trouvant rien, commencent à déshabiller les corps pour récupérer les objets volés. Ils découvrent les pierres dans une pochette attachée au pantalon du guide. Croyant les chercheurs morts, Juan se dit qu’ils vont les enterrer et reprendre le chemin du retour mais il se passe alors une chose étrange. L’un d’eux prépare une mixture dans un bol et la fait boire aux ? morts ? et comme par enchantement ils reprennent vie sous mes yeux interrogateurs. Ils
ouvrent les yeux, mais ne réagissent pas à la vue des jeunes indigènes. C’est à ce moment que le chef du groupe
se place près d’une des jeunes filles et la viole sous les cris de joie des autres. Après avoir jouit, il cède la place à un autre qui enfile à son tour la jeune géologue.
Tous possèdent la fille à tour de rôle et enfin Juan est invité à faire de même. N’ayant plus forniqué avec une blanche depuis son arrivée au Brésil, il se résout à obéir à cet ordre et s’introduit dans le corps de cette jeune brunette. Après quelques mouvements puissants dans le vagin englué du sperme de ses prédécesseurs, il se répand à son tour dans le corps de la scientifique. Ensuite, toute la troupe repart vers le village. Sur le chemin Juan se demande pourquoi l’une des filles n’a pas été violée alors qu’elle aussi était nue et offerte à tous. En arrivant au camp, les hommes sont parqués sous une hutte et les filles sous une autre. Elles sont nourries, lavées. Elles restent alors seules le reste de la journée. Le soir, tous les jeunes hommes du camp sont réunis autour du feu et discutent puis le sorcier arrive suivi des deux jeunes
captives qui sont installées au milieu de l’assemblée. Là, il prononce quelques paroles, montre les filles et en se malaxant le sexe approche de la brunette et lui enfonce le gourdin dans le vagin puis il se retire et fait de même avec la blonde. Il recommence ensuite et passe de l’une à l’autre jusqu’à ce que son sperme inonde les entrailles de la blonde. Quand le sorcier s’est retiré de la fille, tous les autres hommes se précipitent vers les deux malheureuses qui subissent les assauts de ces jeunes, excités par ce qu’ils viennent de voir. Juan ne m’a pas décrit toutes les scènes mais je sais qu’elles ont subi les assauts de tous ces hommes sans broncher. Cette orgie dura toute la nuit et le lendemain, les filles n’avaient plus aucun souvenirs de leur soirée. Ces orgies durèrent un moment, puis, un jour, elles disparurent du village.
Après un tel récit, je lui demande des détails sur ces potions : les plantes à utiliser ; les doses ; les remèdes ; .et les effets produits par l’absorption de ces substances, .Juan me donne ainsi le moyen d’arriver à mes fins. Mais quelle sera donc la finalité de mon projet : la maladie, la mort, la disparition, la folie, l’esclavage .
5. Expérience dans une boîte de nuit.
Il me reste alors un bon mois pour peaufiner ma vengeance et mettre au point une potion qui détruira cette famille.
Mais les essais ne sont pas très concluants. Plusieurs fois, j’essaye mes potions sur des animaux, mais je ne vois
aucun résultat. Il faut donc que j’utilise mes potions sur des êtres humains. Je verse alors quelques gouttes de ?
nectar ? dans le verre de certains étudiants à l’université mais les résultats ne sont pas probants. Pourtant, un jour,
après avoir réajusté mes doses, je suis surpris de voir qu’un copain à qui j’ai versé le produit de ma recherche a
des réactions bizarres après quelques instants. J’étais sur la bonne voie et la semaine suivante je crois avoir trouvé.
Pour me faire de l’argent de poche, je travaille parfois dans une boîte de nuit, ? l’Etoile ?, et ce soir, je sers les boissons et aide à la plonge. Cette soirée est particulière car j’assiste à l’élection de la miss de l’année. Chaque mois, une fille était élue miss ? Etoile ?, et après douze mois, toutes les élues se représentaient. La fille qui remportait la victoire se voyait offrir des vacances de rêve dans une île au soleil avec la personne de son choix et une somme d’argent qui lui permettrait de faire des folies pendant quelques temps ou qui lui permettrait de s’offrir un très beau cadeau. La lutte était donc acharnée pour obtenir les faveurs du jury. Les filles devaient passer plusieurs fois ; en tenue de soirée, en tenue sportive, en maillot de bain et la dernière fois elles choisissaient elles-mêmes la façon de se présenter pour rallier à elles le plus de voix possible. Toutes étaient mignonnes à croquer et je dois dire que j’aurais des difficultés à sélectionner la plus jolie du lot. Le jury se composait de trois hommes d’âges différents, le premier le plus âgé devait avoir une cinquantaine d’année était le patron de la boîte ; le deuxième, la quarantaine, était le patron de l’agence de voyage qui offrait le voyage ; et le dernier, la trentaine, était le gérant de la banque qui déboursait l’argent du concours.
La salle était remplie mais des places étaient toujours disponibles. Je profite de la commande des rafraîchissements pour le jury et les candidates et je verse dans les verres une bouteille entière de ma préparation.
Au premier passage, on pouvait admirer l’élégance de ces filles dans leurs vêtements de luxe. Leurs déplacements
étaient étudiés par le jury et les spectateurs. Certaines avaient des supporters qui se manifestaient bruyamment lors
des passages et qui ne s’intéressaient pas aux autres filles. Au deuxième passage, on découvre que certaines sont plus
sexy que d’autres qui portent moins bien les vêtements de sport et au passage suivant, on découvre enfin ces jeunes
beautés qui portent de beaux maillots qui ne cachent rien de leur magnifique corps. Quand elles sont toutes passées devant les spectateurs, une pose est prévue pendant laquelle le jury va choisir trois finalistes qui devront rechercher le moyen d’emporter la victoire..
Pendant la pose, les trois hommes se retirent dans une chambre à l’étage et les concurrentes dans une pièce voisine. J’apporte des boissons au jury et je quitte la pièce. Je m’introduis alors dans la chambre voisine et par la porte contiguë, j’écoute les réflexions et les réactions des trois hommes. La délibération est rondement menée et les trois jeunes filles élues sont vite connues : il s’agit de miss février, miss juillet et miss décembre. Les trois filles sont appelées auprès du jury qui leur explique que la sélection va se faire tout de suite et que le résultat sera proclamé plus tard dans la salle. Elles ont cinq minutes pour se préparer et montrer ce qu’elles peuvent faire.
Quand j’entends le résultat, je me dis que c’est un bon choix : miss février est une belle fille aux cheveux roux, à la poitrine bien faite et aux jambes bien galbées ; miss juillet est plutôt petite, brune avec de gros seins ; et enfin miss décembre est une jolie blonde au teint clair, aux cheveux retombant sur les épaules, les jambes fuselées et des petits seins que l’on discerne à peine sous le chemisier. A l’entrée des miss dans la pièce, je m’approche de la porte et glisse un oeil dans la serrure. Je vois la rousse se présenter en tenue très légère, bustier et mini jupe très très courte ; elle passe devant les hommes et met en évidence ses formes superbes. La deuxième entre à son tour et elle a son soutien gorge détaché d’un côté ; avec les mouvements, celui-ci descend et dévoile un sein aux regards des hommes qui apprécient la situation. La troisième, la blonde, s’approche du jury, se place devant et se met à se déshabiller lentement, fixant les hommes du regard. Elle veut absolument gagner et pour cela est prête à tout. Lorsqu’elle se retrouve nue comme un ver, on peut admirer ce corps admirable et sa toison blonde bouge sur un rythme lent. Elle s’approche du plus vieux des hommes présents et soudainement plonge sur son pantalon et en extirpe un membre bien formé. Elle glisse dans la bouche et de la main entame un mouvement bien rythmé pour tenir ce sexe en bonne condition. L’homme étonné par la rapidité du geste n’a pas réagit mais à présent, il apprécie ce que cette blonde lui fait. Les deux autres filles sont stupéfaites et ne savent pas quoi faire ; elles s’aperçoivent qu’avec une telle prestation, elles n’ont plus aucune chance. Alors, pour essayer de renverser la vapeur, miss février s’occupe des deux autres hommes qui ne demandent pas mieux tandis que l’autre miss apeurée par ce qu’elle voit reste prostrée dans un coin de la pièce. Quel spectacle inattendu, les
deux miss occupées à tailler une pipe aux membres du jury ! Bientôt les cinq ? acteurs ? sont nus et derrière la
porte, je ne perds aucune images du spectacle qui m’est offert. Quand le plus jeune des hommes est bien en forme,
il délaisse sa partenaire et va se placer derrière la belle blonde et se fraie un passage entre les fesses de celle-ci.
Pendant ce temps, la rousse, installée sur son partenaire, monte et descend sur la colonne de chair en suivant un
rythme imposé par les mains du mâle. L’autre groupe est toujours actif ; la belle se trouve assise à l’envers sur le sexe du patron qui est couché à terre, l’autre se fait sucer le gland. Quand le plus jeune se retire, je m’aperçois que le gourdin est entré dans l’anus de la miss, ce qui n’a pas l’air de perturber la fille. Arrivé près des autres, le jeune homme pousse miss février pour que son corps se colle à celui de l’homme couché sous elle et tente de s’introduire dans le trou libre de celle-ci. Mais elle ne veut pas se laisser pénétrer. ? Je ne veux pas, je n’ai jamais fait cela, j’ai peur, non, arrêtez ! ?
Mais la volonté de l’homme est trop forte et doucement, le gland entre dans ce corps par un conduit jamais exploré
puis par petits coups et malgré les cris, le membre va progresser dans le conduit. Le visage de la rousse grimace
sous les coups de butoir des deux hommes. Après un moment de ce régime, le patron de l’agence de voyage se retire de
la rousse et veut essayer l’autre fille. Il s’installe devant la blonde couchée sur l’homme, lui écarte les lèvres, caresse le clitoris gonflé, s’installe au-dessus du ventre de la belle et introduit son gros membre dans son corps ouvert. Trois minutes après, il se met à jouir, se retire et le sperme éclabousse le corps ; l’autre lui aussi jouit alors dans l’anus élargi. Dans l’autre coin de la chambre, miss février, la main serrée autour de la colonne de chair, fait jouir l’homme dans sa bouche. Après ces émotions, ils se reposent un instant et décident de partager le prix et de déclarer les deux miss
vainqueurs ex ?quo. Et tout à coup plus un bruit ne se fait entendre dans la pièce. Que se passe-t-il ? Je jette un oeil
par la serrure et aperçois les six personnes endormies alors qu’elles se rhabillaient. Mon produit serait-il la cause de cet état des choses ? Je l’espère. Pour vérifier cela, j’entre dans la chambre et fais du bruit, je secoue le patron mais rien ne change. Ils sont sous l’influence du produit Je passe dans la pièce suivante et toutes les jeunes filles sont aussi endormies.
Après les scènes observées auparavant, je décide de profiter de l’aubaine et de me faire une miss. Je choisis une jolie fille de couleur qui a été élue miss septembre me disant que je n’aurais peut être plus l’occasion d’essayer une telle fille. Je lui enlève son maillot, lui caresse tout le corps, baisse mon pantalon et force l’entrée de son paradis. Aucune réaction ! Occupé à mes mouvements, je lui dis de se réveiller et de me donner du plaisir. Elle ouvre alors les yeux et je sens son corps qui bouge sous moi. A chacun de mes mouvements, son corps vient à la rencontre du mien, ce qui me donne des sensations encore plus fortes. Nous changeons ensuite de position et je la prends en levrette et là aussi ses mouvements du corps sont tels que mon excitation monte de plus en plus. Dans cette position, je regarde mon sexe qui entre et qui sort de ce vagin bien accueillant et observant la rosette bien refermée de la belle, il me vient l’idée d’essayer d’y introduire un doigt dans ce conduit. Avec mes mouvements répétés, mon sexe gonfle de plus en plus dans ce boyau élargi et je sens la jouissance envahir mon corps tout entier et mon sperme inonde alors ses entrailles.
Whoah ! C’est super ! Je rhabille alors la miss, lui demande de se rendormir et d’oublier ses souffrances. Je repars ensuite heureux dans la salle. Après plus de deux heures d’attente, les résultats sont enfin connus.
Mais ceux-ci ne doivent pas être ceux escomptés par une partie du public car une bousculade se produit au milieu de
la piste de danse et certains en sont venus aux mains. Le service d’ordre intervient rapidement et évacue la piste de
danse. Les miss lauréates quant à elles heureuses des prix remportés quittent la salle sous les applaudissements des
spectateurs. Les autres, déçues, prennent un verre offert par la maison avant de repartir chez elles. Je profite alors de la présence de la jolie miss septembre près du bar pour attirer son regard, mais elle ne se souvient pas de moi !
Mes recherches commencent à porter leurs fruits !
6. Nouveau test à l’université.
Dix jours plus tard, ma potion magique est pratiquement prête, il faut que je la teste une dernière fois sur une personne dont je pourrai suivre les réactions.
Je décide donc de l’utiliser sur l’un des profs de l’école. Sous prétexte de rencontrer mon prof de math, je m’introduis dans la salle de réunion et verse une bonne dose de ma composition dans le café qui est prévu pour les poses des professeurs.
Ce jour-là seul trois professeurs ont des heures de pose entre les cours et nous devons justement assister à leur cours. Je pourrai ainsi observer les réactions de ces personnes au cours de la journée. Impatient, j’attends mes professeurs. Mais le premier ne s’est pas présenté, cloué au lit avec une grippe ; la deuxième a été prise d’un malaise et s’est absentée pendant deux heures (est-ce à cause de mon produit ?) ; seule notre professeur de biologie, Mademoiselle Gabrielle Désir (un bien beau nom pour une jeune femme, grande, brune, les cheveux tirés en arrière pour former une queue de cheval, elle avait un certain charme et bien des étudiants devaient fantasmer sur une telle créature) a pu assurer son cours.
Après vingt minutes de travail, ses pommettes sont devenues très rouges, puis ses yeux petits à petit se sont fermés.
Tous, dans la classe étions assez étonnés ; nous ne savions pas ce que nous devions faire. Nous approchons du bureau
et essayons de la réveiller, mais rien à faire. Nous nous regardions tous les cinq, qui a une solution ? Les deux filles secouèrent Mademoiselle Désir, mais rien à faire. Si ces réactions provenaient du produit ingurgité, je devais la réveiller pour examiner ses réactions. Je m’approche d’elle et l’appelle. Immédiatement, elle ouvre les yeux, mais son regard n’est plus le même. Je lui demande de se lever et de nettoyer le tableau ; ce qu’elle fait rapidement. Pendant ce temps j’explique aux autres qu’elle est comme hypnotisée et qu’elle obéit aux ordres quels qu’ils soient.
Profitons-en pour augmenter nos cotes et prendre connaissance des réponses au questionnaire prévu demain.
Après avoir exécuté ce travail, Fredo dit : ? Mademoiselle Désir levez-vous et enlevez votre chemisier ! ?Nous nous
sommes tous regardés et avec bonheur nous avons vu notre professeur se lever et ôter son chemisier dévoilant ainsi
un soutien gorge noir retenant une belle poitrine bien ferme. Profitant de l’aubaine, je lui fais enlever la jupe découvrant une culotte noire elle aussi. Enfin, Didier s’approchant du bureau, baisse son pantalon et se fait sucer le gland. L’excitation est alors à son comble. Les garçons entourent alors la prof , lui caressent le corps offert et lui enlèvent le soutien gorge et la petite culotte. Pendant que Didier se fait toujours sucer, Fredo se place derrière la jeune femme et introduit son membre bien tendu dans l’intimité de son professeur. Il commence des mouvements de va et vient qui font trembler tout le corps de la femme pliée en deux. Peu après, nous changeons de place. Fredo se fait sucer, Didier se fait astiquer le membre et moi je m’installe derrière le prof. Je m’introduis dans ce vagin déjà bien humide et après quelques mouvements, je décide d’explorer l’autre trou. C’est avec une grande difficulté que j’arrive à y pénétrer tant l’ouverture est étroite et les mouvements de notre joli prof pour se soustraire à cette pénétration sont brusques ; puis lentement je m’enfonce plus profondément et imprime alors un mouvement en avant de plus en plus puissant la tenant fermement aux hanches. A chaque coup, elle crie de douleur mais ses cris sont étouffés par le gland qui lui empli la bouche. Puis, sans quitter ce trou accueillant, je me couche à terre ; la demoiselle assise sur moi, reçoit alors le membre de Didier dans le vagin. Fredo lui propose son gland et notre beau professeur se retrouve ainsi avec les trois trous bouchés. Quel bonheur !Pendant que nous baisons notre chère ? Désir ?, les filles excitées par le spectacle, se sont déshabillées et se sont mises à caresser leur intimité et c’est à ce moment que monsieur Durand, le préparateur est sorti du laboratoire.
Stupéfait par ce qu’il voit, il reste un moment à contempler le spectacle en se masturbant, puis rapidement il veut aussi participer à la fête ; il se jette sur l’une des étudiantes et la pénètre d’un coup. Après quelques coups de boutoir, il attrape une autre fille et la possède à son tour ; la troisième subit le même sort par la suite. Fredo quitte alors la bouche du prof et se fait lui aussi les copines de classe. C’est à ce moment que Didier sentant qu’il va jouir se retire et envoie son sperme sur le corps de Gabrielle. N’en pouvant plus, je me retire de l’anus dilaté et à mon tour, je jouis dans la bouche et sur le visage de notre prof. Fatigués, nous nous rhabillons et nettoyons notre prof puis, j’ordonne à Gabrielle de se laver, se revêtir et oublier ce qui s’est passé. Nous assistons alors à la suite de la partouze où Fredo et monsieur Durand s’acharnent sur nos copines jusqu’à leur jouissance.
Je me félicite des effets de ma potion mais j’attends avec peur le cours du lendemain. Qu’allait-il se passer ?
Eh! Bien le lendemain tout s’est déroulé comme si rien ne s’était passé ; le professeur a tout oublié mais elle est
la seule car durant tout le cours, des images et des sensations me sont revenues et mon sexe est resté tendu pendant toute l’heure.
7. Découverte de Sarah.
La mise au point de mon produit est pratiquement terminée. Il ne me reste qu’à contrôler le temps de réaction et le
temps pendant lequel le produit fait son effet.
En fin de semaine, de retour à la maison pour renouveler mon linge, je me retrouve pratiquement seul ; toute la
famille est de sortie pour la célébration de noces d’or chez les Durock. La seule personne avec qui j’ai un contact est ma petite soeur Sarah qui doit rester à la maison pour réviser sa matière pour les examens de fin d’année. Je profite du dîner pour verser dix gouttes de mon breuvage dans sa boisson. Ensuite, j’attends les effets du produit en l’aidant dans son travail. La réaction ne se fait pas attendre longtemps. Elle commence à avoir très chaud, ses joues rougissent puis elle s’endort. Je m’approche d’elle et l’appelle. En entendant son prénom, elle se réveille. Du moins j’ai cette impression mais en fait, elle est dans un état second, elle est soumise comme une esclave obéissant aux ordres du maître ; et ce maître
c’est moi.
Je veux voir jusqu’où cette soumission peut aller. Y a-t-il un reste de volonté ? Je lui demande de se déplacer dans la
pièce, de déplacer des objets, de monter sur une chaise, de sauter, de se pincer, de se piquer le doigt avec une
aiguille. Durant les mouvements de Sarah, je remarque que ma soeur commence à devenir une petite femme et que son
corps a changé depuis quelques mois. En faisant cette réflexion, je sens que mon sexe réagit et qu’une certaine excitation m’envahit. Sarah a maintenant plus de seize ans.
Voulant voir si son corps est maintenant bien formé et si les tabous peuvent être surmontés aussi, je lui demande
de se déshabiller ; ce qu’elle fait immédiatement sans protester. Lorsque tous ses vêtements sont à terre, je découvre le corps de ma petite soeur ; mince, de petits seins à peine formés, un ventre plat, quelques poils blonds garnissent son bas ventre sous lesquels des lèvres cachent l’entrée de son réceptacle à plaisir, des jambes longues et fines. Ce corps vaut bien celui de sa grande soeur Bien sûr, d’ici peu il se développera encore pour en arriver à une certaine perfection ( comme celui d’Isabelle dont je suis devenu fou).
Après un moment passé à contempler ce corps juvénile, je m’en hardis et lui demande de se caresser le corps, de
malaxer ses seins, d’écarter les lèvres de son sexe et de caresser son clitoris. Pendant qu&rsqu