Lorsque Sandra traversait le vaste open space qui conduisait à son bureau, le temps bégayait. Les conversations s’arrêtaient, les regards l’accrochaient ou la fuyaient, personne ne restait insensible à son passage. Son autorité, son charisme naturelle autant que sa sensualité extrême électrisaient l’espace. Beaucoup tous, craignaient cette Directrice des Ressources humaines froide et impitoyable. Certains, des hommes, mais aussi quelques femmes, observaient plein d’envie sa silhouette, légère et parfaitement dessinée, progressait dans les allées. Sandra était un diable dans un corps de déesse.
Son corps disait l’inverse de ce qu’elle représentait. Elle était une femme égoïste, individualiste et cassante. Alors que ses courbes étaient douces et généreuses. De longues jambes qui conduisaient à des petites fesses joliment rebondies, des hanches parfaitement dessinées et une poitrine élégante. Elle était le fantasme quotidien de bien des membres de son équipe. Mais personne n’osait lui faire la moindre remarque, même le plus petit des compliments. Et ceux qui rêvaient discrètement dans le fond de leur inconscient de lui faire l’amour, plongeaient rapidement après l’orgasme manuel venu dans la crainte de ses représailles fictives.
Un seul homme osait tenter des approches aussi régulières que vaines, le seul qui possédait davantage de pouvoir qu’elle, son supérieur, le PDG de l’entreprise. Il avait essayé la méthode douce, faites de compliments de plus en plus appuyés sur ses charmes. Puis des avances plus poussées lors d’un dîner de travail un peu arrosé. Il tomba systématiquement sur un mur. Ce quinquagénaire, charmant et séducteur, n’avait pas l’habitude de subir de tels échecs. Un soir, il envoya un message pour le moins explicite, voire menaçant, à sa jeune collaboratrice, d’une dizaine d’années sa cadette :
« Chère et charmante Sandra,
Comme vous le savez, notre vice-président vient de démissionner et je recherche actuellement son successeur. Vous avez toutes les qualités pour ce poste mais vous n’êtes pas la seule. Hélène, notre Directrice Makerting est une concurrente sérieuse qui sait compenser sa moindre expérience par des efforts relationnels plus marqués vis à vis de son Président. En d’autres termes, elle possède moins d’atout, y compris physiquement que vous, mais elle semble être plus encline à les mettre au service du PDG de cette entreprise. Pour progresser, il faut savoir par moment se courber et se mettre à nue Vous le savez, je connais vos talents et j’y suis attaché. Tout comme je suis sensible à vos charmes que malheureusement, je n’ai toujours pas eu l’autorisation de goûter, ce que je regrette amèrement. Je prendrai ma décision finale lors de notre séminaire de la semaine prochaine. Et ce choix, je l’entérinerai probablement dans la suite de notre hôtel qui je crois, sera proche de votre chambre
Bien à vous
Marc »
Ce message ne perturba d’aucune manière Sandra. Elle ne voulait pas s’abaisser à cela ou plutôt, elle estimait qu’en matière de relations entre hommes et femmes, le pouvoir ne résidait pas dans le phallus mais plutôt dans les courbes sensuelles de la gente féminine car elles étaient bien celles qui faisaient tourner les têtes et donc, quelque part le monde. Pour Sandra, le pouvoir, sexuellement parlant, était dans son camp puisque elle était celle qui faisait bander son patron et non l’inverse ! Même s’il lui arrivait parfois de songer aux demandes de son patron lorsqu’elle se masturbait et que ces rêveries la rendaient des plus humides. Malgré cela et avec la fermeté qui la caractérisait, elle lui répondit la chose suivante :
« Cher Marc,
J’ai bien noté votre proposition et le mode de désignation qui sera le votre pour l’attribution de cette promotion. Sachez que je ne suis pas insensible à vos charmes non plus. Bien au contraire, devrais-je dire. Comme nombre des femmes de notre équipe, je pourrais parfaitement rêver d’une nuit torride en votre compagnie, vous le beau mâle puissant et fort. Mais si les avancées dans l’entreprise doivent se jouer sur les performances sexuelles, alors j’ai bien peur, Monsieur le Président, d’être rapidement promue à votre place. Pour cette raison, il me semble préférable qu’aucun d’entre nous, ne soit amené à jouer sa carrière sur une fellation ou un cunnilingus.
Bien à vous,
Sandra »
Sandra était convaincue que le désir resterait une arme plus redoutable que l’accomplissement d’une quelconque relation. En réalité, elle avait le pouvoir sur son patron, elle le savait et elle entendait en jouer le plus longtemps possible.
Cette femme sûre d’elle et de ses charmes aimait plus que tout jouir de son pouvoir et de l’émoi que son physique, sa sensualité créaient partout où elle passait. Elle appréciait également jouer de cette attraction, de sa puissance avec ses subalternes qu’elle prenait un malin plaisir à aguicher sachant qu’aucun n’oserait franchir le pas mais espérant secrètement qu’un jour l’un d’entre eux punirait son audace.
Un jeune homme plus audacieux qu’un autre parvint un jour à franchir le pas. David était convoqué dans le bureau de Sandra pour négocier une augmentation. Il fut surpris par l’heure tardive de ce rendez-vous. Il était 20h00 et les bureaux étaient presque vides. Après des échanges classiques, Sandra joua sa carte préférée, celle de la provocation.
David, les choses seraient plus simples si j’étais un homme et vous une femme..
-Pourquoi ? demanda, stupéfait, le jeune trentenaire
-Et bien, repris Sandra, si j’étais un homme, je vous proposerai un dîner dans un grand restaurant pour discuter de votre augmentation. Puis, je vous ferais des avances et si j’étais assez convaincant, je vous attirerais dans mon lit, jouirais en vous et vous accorderez une augmentation proportionnelle à la jouissance éprouvée.
-, euh, David ne savait pas quoi répondre
-Mais voilà, je suis une femme et si je vous proposais de vous inviter ainsi, vous perdriez alors votre virilité et vous ne me feriez pas l’amour. Ou alors très mal. Et je suis une femme exigeante.
Fière de son coup, Sandra laissa le silence prendre place, attendant de voir ce que David serait capable de répondre à cela. Mais le jeune homme, dont la tension du pantalon, trahissait l’effet que lui faisait cette proposition, oublia le temps d’un instant la peur que vous pouvez susciter sa directrice des ressources humaines. Il ne voyait plus que cette femme si excitante qu’il avait bien souvent rêver de baiser sauvagement.
Il répondit :
-Ecoutez Sandra, j’ai la réputation d’être un bon amant et je suis persuadé que je serais capable de vous combler.
-Ne soyez pas persuadé. Je n’aime pas les convictions, je préfère l’action. Prouvez moi ce que vous avancez
-Je Vous voulez que je vous fasse l’amour ?
-J’ai envie que l’on me baise. Vous êtes là. Vous bandez, je le vois. Alors baisez moi. Ici et maintenant.
Surpris, mais violemment excité par la proposition de sa directrice, David se lève pour venir à la hauteur de Sandra. Il s’approche pour l’embrasser. Sandra le repousse.
-Je n’ai pas dit embrassez-moi ! J’ai dit : Baisez-moi.
Sandra soulève alors sa robe pour offrir sa chatte à son employé. David se baisse, retire la culotte de sa chef et pose ses lèvres sur son vagin. Il joue avec sa langue et sa bouche sur le sexe humide de Sandra. Elle passe sa main sur son vagin et y glisse son doigt pour se masturber. Puis elle demande à David de la lécher avec plus d’ardeur encore. Le jeune employé s’exécute. Il lui dévore sauvagement le sexe et glisse un doigt, puis deux, puis trois dans sa chatte. Sandra mouille abondamment et lui demande de continuer pour la faire jouir ainsi. David la doigte de plus en plus fort, de plus en plus rapidement et avec vigueur, jusqu’à ce qu’un long râle échappe à Sandra.
Après avoir repris ses esprits, Sandra glisse son approbation à David.
-C’était très bon David. Je vous félicite.
-Merci, lui répond-il. Votre sexe est délicieux. J’ai très envie de vous prendre.
-Montrez-moi ce que vous avez dans le pantalon, David
Le jeune homme libère sa queue, gonflée d’envie. Sandra la prend dans sa main, et le branle doucement avant de passer sa verge sur sa bouche.
-Vous êtes très bien monté David. C’est prometteur. Mais nous allons en rester là pour l’instant. J’ai eu mon compte. Et de la même manière qu’un patron prend congé une fois qu’il a vidé ses bourses entre les jambes de son employée, je vous laisse ici car j’ai joui, très bien joui, et cela me suffit. Mais j’ai très envie de vous revoir et de glisser cette belle verge dans mon sexe »
-Et pourquoi pas maintenant, chère Sandra ? Répondit David, frustré mais conquérant. J’ai bien compris que seul votre plaisir comptait. Et je pense que vous n’avez encore rien vu, dit-il en repassant habilement sa main sur la chatte toujours humide de Sandra.
-Vous ne baissez pas les bras David ! J’aime ce comportement. Mais n’attendez rien de moi.
-Je n’attends rien. Je veux juste vous offrir un autre orgasme, insiste-t-il en glissant un doigt dans le vagin de sa chef.
Continuez donc, dit-elle, en écartant de nouveau ses jambes
David replongea sa tête dans l’entrejambe de Sandra avec encore plus de vigueur. Sandra s’abandonnait et remonta la tête de David pour l’embrasser et s’emparer de son sexe qu’elle commença à branler.
-Vous êtes vraiment bien dur David. Donnez moi votre sexe que je le mange.
Et Sandra commence à avaler la verge de David dans un rapide va et vient. Elle le sentait à deux doigts d’éjaculer.
-Baisez-moi la bouche David. Baisez-moi la bouche bien fort.
David attrapa la tête de Sandra et joua de ses reins pour enfourner son sexe profondément dans la bouche de sa patronne. De plus en plus fort, jusqu’à l’étouffer. Sandra aimait se sentiment rare de soumission et l’encourageait à lui prendre la bouche encore plus fort, jusqu’ à l’éjaculation. Elle n’en perdit pas une goutte.